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Tr.: ... Olivier ... Nice ... médiateur endocrinien ... permaculture, école alternative ... éducation par le concret et les sciences ... jardin de 1 ha acheté ... design ... et le biomimétisme sont des o... choix pour régénérer les écosystèmes et la civilisation,
Parce qu'il est temps de reconnecter les enfants et leur éducation à la nature,
Parce que des lieux exemplaires et démonstratifs sont essentiels pour faciiter et accélérer la diffusion de la transition,
École de Permaculture du Petit Pessicart
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facilitation ... cocréation ... intelligence collective ... quartier géomorphologique ... forêt-jardin ... collecteurs d'eau ... serre ... petites mares ... agroforesterie ... chantier participatif ... professionnalisation du projet ... holacratie ... ouvrir toutes nos facettes ... pragmatisme de l'ancrage ... donner un coussin émotionnel aux enfants ... tiers-lieu ... résilience ... ata yoga ... forêt vivrière ... transmetteur ... facilitateur ... écoles en transition ... de vrais archipels, laboratoires ... leviers d'imbrication ... rob opkins? ...
Renouvelables
Qui sommes-nous ? / Eric Leser 10 mai 2019 - 7 min (durée de lecture)
Notre ambition, notre conviction et notre vocation
Comment Transitions & Energies entend contribuer, modestement, à construire des stratégies efficaces et réalistes de transitions énergétiques.
La nécessité de se passer progressivement des énergies fossiles et de leur substituer des sources d’énergie non carbonées sans mettre en péril nos sociétés et notre civilisation est le défi de notre temps. La question de la transition énergétique est d’ailleurs trop essentielle pour être laissée aux seuls lobbys, idéologues, lanceurs d’anathèmes, romantiques, anticapitalistes recyclés et à des institutions manquant souvent de réalisme et de courage.
Nous sommes entrés malheureusement dans l’ère de la panique énergétique. L’émotion, les postures et le simplisme règnent et nous égarent. Nous ne ferons pas face en nous couvrant la tête de cendres et en suivant les prophètes d’un nouvel apocalypse. Les solutions et les stratégies technologiques comme économiques existent. Pour les élaborer et les mettre en œuvre, il faut une vision méthodique des enjeux et des problèmes et faire appel à la connaissance, la raison et la science.
... apporter à un débat nécessaire et légitime des fondements scientifiques, des raisonnements construits sur les faits, des points de vue argumentés sur les avantages et les inconvénients des choix techniques, financiers et politiques qui se présentent à nous. Nous entendons, modestement, permettre ainsi de construire des stratégies publiques et privées convaincantes et acceptées par l’opinion.
Au cours des vingt-cinq prochaines années, le monde doit transformer son système d’approvisionnement en énergie et réduire significativement son empreinte carbone. Pour y parvenir, la croissance de la consommation d’énergie doit ralentir et le bouquet énergétique (le cocktail de sources d’énergie) changer radicalement. L’humanité n’a jamais accompli une telle transition, encore moins à une telle échelle.
Les technologies qui permettent de mener cette transition sont aujourd’hui loin d’être toutes arrivées à maturité. Les stratégies à mettre en place sont complexes. Cela ne nous empêche pas d’être confiants. Avec de la méthode, de la volonté et en pariant sur l’ingéniosité et la créativité, l’humanité peut surmonter l’un des plus grands défis de son histoire. C’est notre conviction à Transitions & Énergies.
Mais il faut expliquer et convaincre. Telle est notre vocation. Apporter des éléments de compréhension, éclairer les choix et participer ainsi à construire le consensus indispensable pour réussir les transitions énergétiques.
Nous aborderons sans tabous et sans a priori tous les aspects de cette question et toutes les problématiques : celles des énergies renouvelables, du nucléaire, de l’hydrogène, des énergies fossiles ou celles des mobilités et des transports, du géo-engineering, des technologies en devenir et en gestation.
Nous entendons promouvoir l’innovation, y compris, par exemple, dans l’utilisation de l’hydrogène ou la capture et le stockage du carbone. Il s’agit d’une nécessité à la fois pour atteindre nos objectifs de réduction de l’empreinte carbone et pour assurer notre prospérité et notre indépendance. L’innovation est vitale dans la production, l’utilisation et la distribution d’énergies plus propres et plus durables mais aussi via le numérique avec les véhicules autonomes, les réseaux électriques automatisés, décentralisés et intelligents ou l’utilisation du big data pour rendre plus efficaces les circuits logistiques.
Faire de la France et de l’Europe un leader dans l’innovation ouvrira de nouveaux marchés, créera de nouvelles industries et permettra à l’ensemble de la société d’avoir accès à une énergie plus propre et la moins coûteuse possible.
Pour donner une idée du défi auquel nous sommes confrontés, les transitions énergétiques ont un coût estimé entre 50 000 et 90 000 milliards de dollars lors des 15 prochaines années. En comparaison, le PIB annuel mondial s’élève à près de 80 000 milliards de dollars. Une transition mal maitrisée vers une économie décarbonée pourrait mettre en péril la stabilité financière et mener à une récession massive si elle n’est pas accompagnée de financements publics et privés pertinents et de soutiens aux industries. La difficulté tient à ce que l’on connaît la situation de départ mais sans savoir très précisément vers quoi l’on se dirige et plus encore comment.
Selon les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie. La demande mondiale d’énergie devrait seulement croître de 0,1 % entre 2016 et 2040 contre 2 % entre 2000 et 2015. Et dans le même temps, toujours entre 2016 et 2040, les énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) devraient passer de 81 % à moins de 61 % des sources d’énergie primaires.
L’histoire de l’énergie et celle des civilisations sont intimement liées. Dans sa lutte pour survivre, pour domestiquer son environnement, pour échapper à la misère, pour se donner les moyens de maitriser son développement économique, social, intellectuel, l’humanité n’a cessé de diversifier ses sources d’énergie. C’est l’intensification du recours à l’énergie qui a permis la révolution agricole et industrielle.
Nous sommes ainsi passés successivement de l’énergie animale et celle du bois, du vent et de l’eau à celle du charbon (quand le bois a commencé à manquer en Europe), du pétrole, de l’hydroélectrique, puis du gaz naturel, de la fission nucléaire et aujourd’hui à une échelle industrielle des renouvelables avec notamment l’éolien et le solaire. Jusqu’au xixe siècle, 95 % de l’énergie consommée par l’humanité provenait du bois. Avec la révolution industrielle, le couple charbon-vapeur a permis de fournir davantage d’énergie. Et ce n’est qu’au xxe siècle que le gaz, le pétrole et l’électricité ont permis de considérablement changer le mode de vie des pays riches qui sont entrés après 1945 dans la société de consommation et des loisirs.
Les caractéristiques de toutes ces évolutions ont été de passer à des sources d’énergie de plus en plus concentrées et de le faire parce qu’il s’agissait d’un progrès évident. Nous l’avons oublié, ces transitions énergétiques ont toujours été positives pour les hommes et même dans une certaine mesure pour la nature.
Quand nous avons cessé d’utiliser le bois et l’avons remplacé par des carburants fossiles, nous avons permis à nouveau aux forêts de grandir. Quand nous avons arrêté de brûler du bois dans nos cheminées, nous n’avons plus respiré de fumées toxiques. Il est évident aujourd’hui que ces fumées avaient considérablement réduit l’espérance de vie de nos ancêtres. Quand nous avons remplacé, pour produire de l’électricité, les carburants fossiles par de l’uranium, nous avons réduit la pollution atmosphérique et les émissions de CO2.
Nous devons continuer impérativement dans une logique de progrès. Les transitions énergétiques ne seront acceptées dans les démocraties que si elles sont comprises comme une façon de sauvegarder l’environnement, mais aussi d’améliorer les conditions de vie du plus grand nombre. La régression, la décroissance sont des voies sans issue socialement comme politiquement.
C’est pourquoi les idéologues de la peur n’apportent pas de solutions. Ils tétanisent. Ils attirent l’attention en permanence sur de nouveaux risques et détournent des vrais enjeux. Ils ont tellement effrayé les opinions et les gouvernements que ces derniers semblent aujourd’hui presque incapables de construire des stratégies réalistes de transitions énergétiques à long terme et plus encore de les expliquer et de les justifier. Transitions & Énergies entend contribuer à sortir de cette impasse.
Nous le faisons dans ce premier numéro en consacrant un grand dossier à la voiture électrique à batteries. L’adoption massive d’un tel véhicule, puissamment encouragée par les pouvoirs publics en Europe et dans le reste du monde, présente des avantages en réduisant les émissions polluantes et de CO2… et de sérieux problèmes. Ce moyen de transport ne peut pas être une solution miracle à nos problèmes de mobilité dans les villes et encore moins dans les zones dites périphériques. Il a encore aujourd’hui des limites technologiques trop pénalisantes. Il nécessite la construction d’infrastructures massives. Son attrait pour le consommateur reste relativement faible même avec des subventions importantes à l’achat. Il représente un enjeu industriel majeur pour les constructeurs automobiles, condamnés à jouer leur avenir sur un pari risqué. Enfin, la fabrication et le recyclage des batteries sont une menace pour l’environnement.
L’adoption à grande échelle du véhicule électrique à batteries n’a de sens que s’il s’agit d’un élément parmi d’autres d’une stratégie d’ensemble de transition énergétique. Une stratégie indispensable dont la mise en œuvre sera le fil conducteur de Transitions & Énergies.
manifeste
Mentions légales
Transitions et Énergies, trimestriel, est édité par la société Green Axxe Communication, au capital de 20 000€.
Siège social : 32 rue du Faubourg Poissonnière, 75010 Paris, France
Numéro de commission paritaire : 0624 T 93955
Dépôt légal à parution. ISSN : 2800-4930
Directeur de la publication : Gil Mihaely
Rédacteur en chef : Éric Leser
Direction artistique : Aymeric Ferry
Contact : contact@transitionsenergies.com
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Rk6J1w
Ndlr : progrès, innovation, impératif du marché et de la croissance... Néolibéralisme, technologisme, sont-elles ses idéologies ? Vérifier. SINON, est dans le mythe du remplacement des énergies par le nucléaire, alors qu'elles n'ont fait que s'empiler, sauf pour la production française d'électricité... DÉNONCER ACT
&
en complément :
"
un peu de recherches sur ce site Transition Énergies (qui semble n'avoir qu'un dirigeant et pas de salariés) :
https://www.transitionsenergies.com/qui-sommes-nous/
Puis de voir leurs mentions légales :
https://www.transitionsenergies.com/mentions-legales/
Puis une petite recherche sur Green truc :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/entreprise/green-axxe-communication-851151258
Cliquer sur dirigeant, on arrive là :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/dirigeants/851151258
Cliquer encore sur dirigeant de Cantio, on arrive là :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/dirigeants/850686114
Cliquer sur les entreprises du dirigeant GIL MIHAELY et on arrive là :
Et on voit entre autres sur une de ses entreprises :
https://www.causeur.fr/a-propos
Miam-miam 😋 : on trouve Élisabeth Levy et Alain Finkelkraut... de fans de LFI et son programme....
"
"Si nous ne sommes pas capables de rêver le monde que nous voulons, alors nous ne pourrons pas le créer" STARHAWK
contact@sentiersdelawen.fr
Accompagnement - Suivi - Infos pratiques - Tarifs & inscription
S’apaiser
Prendre du recul et se soustraire de l’urgence imposée.
S’harmoniser avec le temps long, celui de la Nature et celui des saisons.
Observer et accueillir ses émotions, ses envies, en pleine conscience et en toute liberté.
Rêver
Partager un moment une utopie concrète, pour entrevoir les possibles d’un monde à inventer.
Laisser son imaginaire déborder, jusqu’à parvenir à manifester sa vision d’un futur désirable.
S’ouvrir à un choix de vie qui nous corresponde et nous fasse vibrer, sans se limiter.
Se réinventer
Découvrir les leviers d’une résilience heureuse, d’une existence joyeuse, consciente et sobre.
Danser avec ses Dragons, s’affranchir de ses systèmes bloquants, du regard du Monde et de celui des autres, pour s’aimer tel·lle qu’on est.
S’organiser, mettre son temps et ses ressources disponibles au service de sa vision.
Célébrer
Se féliciter soi et le groupe à chaque étape franchie. Remercier mutuellement pour le chemin parcouru et s’encourager pour la suite. Célébrer la liberté des corps, l’ouverture des cœurs et l’épanouissement des esprits. S’abandonner à l’instant présent, reprendre son souffle et continuer.
Ce stage est une proposition d’accompagnement s’adressant à tout·e·s celles et ceux qui envisagent une transition de vie écologique et sociale, sans trop savoir par où ni comment commencer.
Cette initiative de transition peut être de tout type : personnelle, professionnelle, associative, collective ou individuelle… Elle devra néanmoins être partagée (si les participant·e·s choisissent de s’inscrire en couple) et répondre à trois critères : être utile à la Terre, être utile à la communauté et constituer une évolution personnelle pour celles et ceux qui ont choisi de la porter.
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Accompagnement proposé
Le parcours proposé est facilité par différentes méthodes actives, prenant la forme d’ateliers, de jeux, de sorties dans la nature, d’activités en lien avec la Terre, et également de rencontres avec des acteur·trice·s du territoire, impliqué·e·s dans le milieu associatif environnemental, dans l’agriculture biologique, ou dans l’économie sociale et solidaire.
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Suivi post stage ... projet de transition
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Facilitateurs
- Fabienne (Résistante climatique - Créatrice de cuisine végétale – Boulangère)
- Brice (Accompagnant en résilience heureuse - Conteur d’un futur désirable – Guide forestier)
Créé il y a plus de dix ans à l’initiative de l’agrobiologiste et philosophe Pierre Rabhi, Colibris est un mouvement qui accompagne la transition des citoyens vers une société plus écologique et humaniste. Plus que jamais nous œuvrons, avec d’autres, à la construction de modes de vie et d’activités plus sobres pour des territoires plus résilients. Convaincus que la transition de la société est nourrie par la transformation individuelle, le changement humain est au cœur de notre raison d’être.
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Ndlr : si accompagnement et médiation reposent sur la mêmethéorie, le Mvt Colibris est AUSSI médiateur ? Questionner ACT
En estimant que les bassines peuvent être un outil de la transition agro-écologique, la Région pose tout de même ses ...
Connu / TG le 08/03/23 à 17:30
Connu / TG le 28/02/23 à 09:40
"
formation cnfpt transition alimentaire https://www.fun-mooc.fr/fr/cours/acteurs-leviers-outils-pour-mener-les-transitions-du-systeme-alimentaire/
FUN MOOC (https://www.fun-mooc.fr/fr/cours/acteurs-leviers-outils-pour-mener-les-transitions-du-systeme-alimentaire/)
Acteurs, leviers, outils pour mener les transitions du système a…
Connu / TG le 28/02/23 à 09:47
"
nouvelle étude assez intéressante : typologie des ruralités actuelles et potentiels de contribution aux transitions ...
Pour ce premier épisode de d'Un monde nouveau spécial "2022, l'année de la bascule", l'anthropologue Philippe Descola nous explique comment notre perception de la crise écologique s'est radicalisée, quand Redcar fait peau neuve avec son nouvel album "Les Adorables étoiles".
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2022 : année de la bascule environnementale : analyse de Philippe Descola
2022 année de la bascule « environnementale », « écologique », « climatique » https://reporterre.net/Climat-Nous-sommes-proches-de-plusieurs-points-de-bascule ... Hausses des températures, canicules à répétition, sécheresse… 2022, c'est l'année la plus chaude jamais enregistrée en France ? Comment pourrait-on la nommer ? Après 6 rapports du GIEC et 27 COP depuis le premier Sommet de la Terre à Rio en 1992, une chose est sûre : cette année notre perception a (enfin) changé. Et si ce monde devenait inhabitable ? La question s’impose désormais au plus grand nombre. Pour analyser ce point de bascule, qui mieux que vous Philippe Descola à qui l’on doit tout simplement l’une des dernières révolutions de la pensée moderne : la fin de l’opposition entre nature et culture. Début décembre, il était présent au forum organisé par l'Ademe, l'Agence nationale pour la transition écologique et le Centre Pompidou à Paris autour de la nécessité de s'engager dans la transition écologique comme une transition culturelle est nécessaire.
Une conscience écologique à la peine
L'anthropologue est quelque eu perplexe quant à cette nouvelle conscience écologique de notre monde occidental qui peine à s'imposer selon lui puisqu'il considère que le bouleversement d'affect nécessaire à un tel changement n'est pas encore là, et correspond encore à une fraction de la population : "Cette transition écologique qualifie le passage d'un État à un autre que je ne vois pas encore, puisqu'on assiste encore à une perpétuation d'un État qui n'a pas beaucoup changé depuis la COP 21. Les résultats de la COP 27 n'ont pas apporté grand chose. Je suis plutôt inquiet, même si les chaleurs exceptionnelles de l'été de l'automne font prendre conscience qu'il y a quelque chose qui se passe, il demeure un fossé entre cette prise de conscience et les réactions véritables. Tant que les Etats auront des intérêts à défendre, notamment en termes de maintien de l'exploitation des énergies fossiles, je ne pense pas qu'on fasse des progrès considérables".
Pas de transition climatique sans transition culturelle
Selon l'anthropologue, il est plus que nécessaire de repenser notre rapport au vivant pour engager cette transition de nos rapports culturels. Alors nous pourrons enfin révolutionner notre rapport à la nature qui ne repose que sur un dogme de domination, de hiérarchisation, d'exploitation dont il nous faut nous affranchir : "Cette transition culturelle suppose que nous ayons conscience de pouvoir renouer des liens avec tout ce qui nous environne, et en particulier les humains et les non-humains de notre entourage immédiat, de façon à ne pas se situer dans une position de domination de surplomb vis-à-vis de la nature. Ne pas continuer à maintenir cette situation dans laquelle nous nous sommes engagés en Europe il y a quelques siècles, qui a été le moteur de la modernité, de se considérer comme maître et possesseur de la nature et de considérer que le vivant est une ressource pour notre satisfaction". Il faut refonder notre naturalisme, repenser notre conception de la nature, non comme une chose extérieure à nous ni domesticable tel que le monde moderne nous l'enseigne depuis les grandes explorations de la Renaissance.
Renouer avec le naturalisme et l'animisme et ne faire qu'un avec le vivant
Il est particulièrement attentif aux multiples expériences sociales et culturelles menées par de nombreux peuples autochtones qui ont évolué sans techniques, sans modèle de pensées tels que le nôtre, mais qui sont autant d'inventions originales de se lier entre humains et de se lier avec des non-humains. Il s'agit de rompre avec cette pensée linéaire qui repose depuis des siècles et des générations sur le progrès absolu et qui résonne depuis comme une sorte de résolution absolue de notre société bourgeoise s'accomplissant dans le capitalisme : "En réalité, les transformations historiques qu'a connues l'humanité ne suivent pas une ligne droite, car il y a de très nombreuses expériences, des alternatives, dont certaines se sont fermées, quand d'autres se sont ouvertes et celles-ci peuvent nous permettre de penser le futur avec plus d'optimisme. Les options qui sont devant nous sont beaucoup plus vastes que celles qu'on pourrait imaginer. Ces expériences d'autres peuples plus en symbiose avec le vivant, le milieu naturel sont autant de stimulations pour penser que notre futur n'est pas condamné à être la perpétuation du présent. On peut imaginer d'autres formules puisque l'humanité n'a cessé de faire preuve d'une capacité d'imagination considérable au fil des millénaires.
C'est ce regard neuf qu'il ramène justement d'Amazonie qui lui permet d'imaginer un autrement dès lors qu'on considère que ce n'est pas le passé de l'humanité mais son contemporain tel que le rapport qu'ont les Indiens d'Amazonie aux non-humains. C'est ce qui a inspiré sa pensée du monde à venir. Ce qu'on appelle l'animisme, le fait de prêter à des non-humains, des plantes, à des animaux, à des esprits, une intériorité, une subjectivité, une âme, de façon à pouvoir échanger avec eux, sans non plus empêcher les rapports de prédation : "Cette attitude, on peut essayer de la transposer au présent. À l'intérieur du cadre naturaliste, on peut essayer d'établir par la connaissance et l'observation et l'intimité avec d'autres espèces que la nôtre, des rapports qui ne soient plus des rapports d'exploitation, de domination. Les peuples autochtones, nous offrent la polyvalence là où nous, nous sommes entrés avec la division technique du travail dans un système où chacun accomplit une tâche à l'intérieur d'un ensemble, où les responsabilités sont partagées et définies par des maîtres-d 'œuvre. Là où dans des sociétés Amazoniennes, chacun est capable de faire la totalité des opérations nécessaires à la vie quotidienne. Lorsque des opérations complexes sont menées, chacun le fait en observant ce que font les voisins. Globalement, chacun met la main à la pâte. Il y a une circulation des savoirs et des savoirs-faire".
► Ethnographies des mondes à venir, le dernier ouvrage de Philippe Descola co-écrit avec Alessandro Pignocchi, est disponible aux éditions du Seuil.
Le Projet
La Fête des Possibles 2022 a pour objectif de rendre visibles toutes les initiatives citoyennes qui construisent une société plus durable, humaine et solidaire, et d’inviter toutes et tous à découvrir ces initiatives puis à agir.
Du 9 au 25 septembre, les créatrices et créateurs de possibles ouvrent leurs portes pour montrer le monde qu’ils construisent, et recensent ces rendez-vous sur la carte de la Fête. A vous de les découvrir !
Les rendez-vous
Créatrices et créateurs de possibles, qu’il s’agisse d’individus, associations, collectivités, entreprises… peuvent organiser des rendez-vous pour la Fête des Possibles.
Toute l’année, ils agissent pour une société juste et durable, et peuvent vous en parler au mieux en Septembre.
Qu’ils cultivent la terre dans des jardins partagés, montent des projets d’énergies renouvelables citoyennes, s’investissent dans des associations de solidarité ou pour plus de démocratie directe dans leur commune, la coopération est aussi importante pour les créateurs de possibles. Tous les ans sont ainsi organisés des villages associatifs, festivals, projets communs qui réunissent 2, 3 ou des dizaines d’initiatives !
Mais la Fête des Possibles, ce sont aussi des formats très variés pour découvrir comment faire changer son territoire. Un atelier dans un jardin partagé, une visite de ferme avec une AMAP près de chez soi, une balade à vélo des lieux de la transition du coin, un rassemblement sur une place publique pour discuter du futur de son territoire, un atelier d’éco-construction dans une ressourcerie, un banquet végétarien participatif, une soirée projection/débat, un parcours pédagogique sur l’efficacité et la sobriété énergétiques… il y en a pour tous les goûts !
Le point commun : rendre visible les initiatives citoyennes pour un monde plus juste et durable, et permettre à toutes et tous d’agir près de chez eux.
L’organisation
La Fête des Possibles est un projet impulsé par le Collectif Transition Citoyenne (ou CTC), un collectif rassemblant 31 organisations œuvrant toute l’année pour une transition écologique, sociale et démocratique.
Le CTC porte également :
- le projet du Pacte pour la Transition – Municipales, qui a pour objectif d’accompagner des centaines de collectifs locaux agissant pour la transition de leur commune, en interpellant les élus locaux, mais aussi en co-construisant avec celles et ceux-ci des territoires plus justes et plus durables ;
- le projet du Pacte pour la Transition – Législatives, qui a pour but d’outiller toutes celles et ceux qui souhaitent se mobiliser dans le cadre des élections législatives.
Autour de la Fête des Possibles, s’est aussi créé un écosystème de dizaines d’Organisations des Possibles, des structures nationales qui agissent dans des domaines différents pour la construction d’une société juste et durable.
C’est à travers cette coopération et la mobilisation de leurs réseaux propres, que chaque année, des centaines de rendez-vous sont organisés sur la période de la Fête.
La Fête des Possibles est financée par le Collectif Transition Citoyenne grâce aux cotisations de ses membres, ainsi que le financement de la Fondation pour le Progrès de l’Homme et de la MAIF.
...
contact@fete-des-possibles.org
...
Editeur du site :
Le Collectif pour une Transition Citoyenne
14 Passage Dubail, 75010 Paris
Structure juridique : Association loi 1901
Président : Julien Noé
Contact : contact@transition-citoyenne.org
-> Consulter ici les statuts de l’association https://transition-citoyenne.org/statuts-du-ctc/
Hébergement : chez OVH
Conception et réalisation :
- Thibaut Caroli, Conception, design et développement front-end
- Yann Rolland, Conception, développement front-end et back-end
Retour d'un pompier pour penser nos organisations actrice des transitions - Publié il y a une semaine / secoueur_de_cocotier Par furax37
• 180 vues
Conférence 08 Juillet lors du Forum des usages coopératifs de Brest
VisibilitéPublique
CatégorieActualité & Politique
LicenceAttribution - Partage dans les mêmes conditions
LangueFrançais
Étiquettes
Durée1h 10s
Commentaires Aucun
Posté dans ACTUS, PETITION, APPEL
Réduire le trafic routier, notamment celui des poids lourds dans la plaine d’Alsace est possible en allégeant l’axe nord-sud et inversement, de son trafic de transit. Pour cela, la solution s’appelle le ferroutage.
La collectivité européenne d’Alsace (CEA) est envahie par les poids lourds en transit qui ne font qu’augmenter :
- la dégradation des chaussées à cause de leur poids,
- la pollution de l’air
- et le trafic local qu’ils contribuent à surcharger.
« Le danger du GCO est de transformer l’Alsace en couloir à camions ! »
...
Pétition à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?uNotog
se prononcent « Géco »
...
petit groupe de citoyens installés dans le Périgord vert et alentours. Certains sont nés ici, beaucoup viennent d’ailleurs mais nous sommes tous animés par une envie de transition citoyenne… quelque chose qui se ferait en douceur, avec de la bienveillance et de la tendresse pour construire un monde plus beau.
Nous nous sommes rencontrés un certain 27 septembre 2014 ... nous ne sommes pas constitués en association déclarée. Nous avons juste rédigé une déclaration d’intention pour définir les valeurs qui nous semblent essentielles et nous rapprochent et nous nous sommes fixés quelques objectifs.
http://gco.ouvaton.org/la-declaration-dintention/
http://gco.ouvaton.org/les-objectifs-du-collectif/
...
Le p’tit Gco
... groupe chargé de coordonner l’action du collectif… Ce groupe (ou cercle) veille à la cohésion du Gco et cherche à donner les moyens de se développer à tous les projets qui naissent au sein du collectif . Le petit Gco est à l’origine des crieurs, du site, des journées qui réunissent tout le collectif, de la création de la Gco-asso, de la mise en place d’un local à Nontron, de la publication de l’écho du gco… etc
- les membres : Vivi Karine Isabelle Olivier Françoise Benjamin Adrien Frédérique Stephan Grégoire
...
Le(s) crieur(s)
3 thématiques bien distinctes :
... listes de discussion qui permettent d’échanger avec les membres du collectif en proposant des petites annonces, des coups de main, des bons plans, des idées de sortie, des propositions de débats, des colères ou de grands élans d’enthousiasme… Ils fonctionnent à la manière des crieurs d’antan sur les places publiques, à la différence qu’ils sont virtuels et que chacun est autonome
...
Quelle est l’origine du crieur ?
Le crieur a été imaginé lors d’un échange de mail entre les membres du P’tit Gco de l’époque un certain 04 mars 2015
13 minutes
Alors que vient de débuter la conférence de Glasgow en Ecosse sur les changements climatiques, beaucoup d’acteurs du local s’interrogent sur les mesures à prendre et celles-ci ne manquent pas.
Les initiatives qui transitent par les Carnets de campagne y contribuent pour beaucoup avec toutefois ce même sentiment d’une réparation hasardeuse des dégâts causés par les activités humaines. C’est pourquoi nous nous arrêtons aujourd’hui sur le hors-série du magazine Sans Transition! qui apporte sa dose de réflexions et de solutions au nom d’une biodiversité retrouvée. Tous les remèdes sont dans la nature
...
Un petit livre qui vient de paraître aux éditions des petits matins sous la plume de Camille Dorival et sous le titre de « la transition écologique, ici et maintenant » peut être utile pour compléter le dossier du magazine. D’abord il rappelle les faits depuis la Cop21 de 2015 à Paris qui a abouti à la signature par 195 Etats d’un accord sur le climat obligeant chacun à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Une victoire en demi-teinte en sachant qu’aucune sanction n’était prévue en cas de non-application, ce qui fut le cas avec l’administration Trump aux Etats-Unis. Une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites, selon la fameuse citation d’Alphonse Allais et le dernier rapport du GIEC (le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) le prouve. A plus 1,5 °C les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s’adapter. Avec un réchauffement de plus de 2°C, « 80 millions de personnes supplémentaires souffriraient de la faim d’ici 2050, des centaines de millions d’habitants de villes côtières seraient menacés par des submersions et 420 millions de personnes seraient menacées par des canicules extrêmes » Le rapport conclut que la vie sur terre peut se remettre d’un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes. L’humanité ne le peut pas ». Face à cette version apocalyptique mais hélas réaliste, 3 grandes propositions se présentent à nous. : La croissance verte (continuer à nous appuyer sur un PIB en croissance tout en diminuant l’impact de nos activités sur l’environnement), la décroissance (consommer et produire moins et rendre nos modèles économiques plus sobres) et la post-croissance (développer des activités à faible empreinte écologique et donnant plus d’importance à la qualité de la vie et au bien-être). Or, c’est bien vers cette troisième solution que tendent les innombrables initiatives dont nous rendons compte : monnaies locales, épargne solidaire, réseau d’échange des savoirs, lieux et tiers-lieux de partage et de constructions communes. Au chapitre de la biodiversité, l’auteur mentionne les exemples de création d’îlots de verdure en ville et dans les zones industrielles et une mobilisation accrue en faveur d’une écologie urbaine. Camille Dorival, La transition écologique, éditions les Petits Matins, préface de Patrick Viveret.
Tr.: ... Éloi Laurent sur la sociale-écologie, les liens d'interdépendance, la coopération des espèces vivantes, des relations, pas des stocks, mais un immense flux ++ ...
Notre raison d’être Pour la propagation de systèmes émancipateurs !
Notre gouvernance
Agilité, Entreprise libérée (Nourri.e.s par les écrits d’Isaac Getz et ceux d’Edgar Morin sur les entreprises humanistes), Scop en avril 2018, Holacracy (les processus de prise de décision se font dans une gestion des rôles plus que des personnes, etc), La coopération fait partie de notre quotidien,
Notre équipe
- Aliocha Iordanoff, PDG – Facilitateur coach des organisations en transition
- Sarah Dantz, Facilitatrice en intelligence collective
- Juliette Brunerie, Facilitatrice en intelligence collective
- Jeanne de Kerdrel, Facilitatrice en intelligence collective
- Thomas Mady, Responsable design graphique
- Solen Bel Latour, Facilitateur & Médiateur
Notre histoire
Semawe est née en 2009 à Avignon et s’est installée à Grenoble en 2017. SAS devenue SCOP
Semawe (activité et Siège Social)
12 rue Claude Genin 38100 Grenoble 04 86 65 26 22 contact@semawe.fr
Mentions légales hébergé par OVH
7 990 ont signé
Nicole BONNEFOY a lancé cette pétition adressée à ministre des transports
Près de 40 000 camions utilisent quotidiennement la RN 10. Un nombre important d’entre eux la traverse sans s’arrêter (en transit) et pourrait parfaitement prendre ou rester sur l'Autoroute A10 entre Poitiers et Bordeaux. S’ils ne le font pas, c’est souvent pour économiser quelques litres de carburant et une soixantaine d'euros de péage.
Les conséquences de cette situation sont pour la Charente :
- un trafic routier d’une telle ampleur qu’il met en danger la sécurité des chauffeurs poids lourds eux-mêmes et celle des automobilistes au point que nombreuses sont les personnes qui ne veulent plus emprunter la RN 10.
- l’augmentation de la pollution atmosphérique avec par exemple la présence de 29,8 kg/habitant NOx (Oxydes d’azote) sur le territoire de la communauté de communes de Val de Charente contre 21kg/h sur la Charente et 15,9 kg/h sur la Region Nouvelle Aquitaine. Aux NOx se rajoutent les particules fines... (sources bureau étude AXENNE et ATMO)
Afin de lutter contre la pollution atmosphérique et l'insécurité routière ... donner la possibilité aux élus dont le territoire est traversé par la RN10, de restreindre la circulation des poids lourds en transit dès lors qu’ils peuvent prendre l’autoroute à proximité.
Nous demandons que nos territoires ruraux aient la même possibilité que les villes en mesures de restriction de circulation.
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=> Commentaire :
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Je ne signe pas car il y a une GROSSE LACUNE : PAS UN MOT SUR LES CAUSES ???
Pourquoi tant de camions ? Ne faudrait-il pas relocaliser l'économie plutôt que de traiter une partie des conséquences ?
Donc ENVOYER CETTE PÉTITION AU PREMIER MINISTRE, À LA MINISTRE DE L'ÉCOLOGIE, ET AU MINISTRE DE L'ÉCOLOGIE
afin de leur demander de prendre toutes les mesures nécessaires pour résorber ce flux de camions AU PLUS VITE.
Sur les conséquences, il y AUSSI a l'usure prématurée de la chaussée.
De plus, Mme Bonnefoy est en pleine campagne électorale pour les départementales.
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Rédaction 4 jours 2 commentaires
Les candidat-e-s du collectif « La Vienne en Transition« , la gauche sociale et écologique unie dans tous les cantons de la Vienne pour les élections départementales.
Sigles utilisés : NE : Non encarté ; GE : Génération Écologie ; EELV : Europe Écologie-Les Verts ; PCF : Parti communiste français ; PS : Parti socialiste ; GS : Génération S ; PP : Place Publique ; LFI : La France lnsoumise
Liste des cantons
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Vivonne
Candidate — Catherine Chevalier, PC Remplaçante — HeloIse Maurouard, NE
Candidat — Patrick Jean, LFI Remplaçant — Jean-Philippe Faure, PC
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Nous avons invité Raphaël Larrère pour parler du bouquin co-écrit avec Catherine Larrère Le pire n'est pas certain : essai sur l'aveuglement catastrophiste, sorti en septembre 2020. Leur analyse critique des thèses catastrophistes pourra être mise en perspective avec les réflexions que nous avions conduites lors de l’atelier prospectif par lequel nous avions ouvert le programme « Explorer les chemins de la transition » (voir : https://www.cit-in.fr/premier-atelier-de-reflexion-prospective), ainsi que lors de la première séance du séminaire consacré aux futurs : « Comment s’orienter dans la transition » (voir : https://www.cit-in.fr/comment-s-orienter-dans-la-transition). Cela permettra de réfléchir avec Catherine et Raphaël à la manière dont les expérimentations au centre du programme offrent, dans leur pluralité, des voies de politisation de l’écologie et rouvrent les possibilités d’action et les alternatives.
Connu / https://www.cit-in.fr/
Choisir de créer le monde dans lequel nous vivrons ou laisser les évènements suivre leur cours est une question à laquelle nous sommes collectivement confrontés. Selon l'écrasante majorité des données scientifiques, notre futur est très incertain. Les urgences s'accumulent, des effondrements ont déjà commencé. Les solutions sont connues, mais ne sont pas mises en place. Et si des personnes et des collectifs s'engagent pour que la situation évolue, un changement de paradigme est nécessaire.
Explorer les dimensions intérieures pour réaliser un changement radical
L'Université des colibris, véritable levier d'éducation populaire, associé au Réseau Transition belge et au Laboratoire de Transition Intérieure, basé en Suisse, avec une dizaine d'autres partenaires, proposent de favoriser ce changement de paradigme en explorant les dimensions intérieures et culturelles de la situation. Ces dimensions qui, oubliées, favorisent l'inertie et la reproduction des mécanismes qui détruisent la vie. Et qui ont aussi le potentiel de nous permettre de franchir d'importants paliers de changement.
crédit : Flore-Aël Surun, du désir dans les ailes, photographie, 2008.
Un MOOC pour soutenir cette exploration
Pour ce faire l'Université et ses partenaires propose un MOOC, une formation en ligne gratuite et ouverte à tous·tes pour:
Rappeler les faits liés aux effondrements et aux bouleversements en cours et à venir.
Apprendre à transformer les ressentis et émotions inconfortables générés par les faits en énergie pour l'action positive
Favoriser l'évolution des consciences individuelles et des cultures collectives pour cesser de reproduire souvent inconsciemment, les logiques qui ont créé cette situation, et permettre un vrai changement de cap
Initier à des théories, postures et pratiques qui permettent d'aligner l'être et l'agir, au niveau individuel et collectif
Découvrir la diversité des moyens d'action et permettre à chacun de choisir comment contribuer individuellement et collectivement
Constitué de 17 modules pour une durée totale de formation de 12h environ. De plus, des rencontres, entre participants et/ou dans la nature, auront lieu pour pratiquer, expérimenter, apprendre et s'enrichir ensemble (selon les conditions sanitaires en vigueur).
crédit : Véronique Drougard, "Prendre soin du vivant", photographie, 2020.
Les intervenants
- Nathalie Achard, militante, auteure, formatrice en Communication Non Violente
- Olivier de Schutter, juriste et professeur de droit international, rapporteur spécial de l'ONU sur l'extrême pauvreté
- Josué Dusoulier, co-fondateur du Réseau Transition belge
- Michel Maxime Egger, sociologue, écothéologien, responsable du Laboratoire de Transition Intérieure
- Carole Feulien, formatrice en écopsychologie
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Rop Hopkins, fondateur du réseau Villes en Transition
Gauthier Chapelle, ingénieur agronome, co-auteur de "Une autre fin du monde est possible"
Inscrivez-vous !
Merci à nos partenaires principaux (et à tous les autres que vous découvrirez dans le MOOC) : Réseau Transition - Laboratoire de la Transition Intérieure - Fondation Léa Nature
Depuis quelques temps je propose des possibilités d’accompagnement, de soutien et de services variés de façon plus formelle, et plus seulement à titre amical / humain / habituel / courant / évident comme jusqu’ici. Je me rends compte que je n’en ai pas vraiment parlé sur ce site hormis la création/mise à jour d’une page dédiée et peu mise en avant ! Voilà qui est réparé. Vous trouverez toutes les informations sur la page “Accompagnement”. Un petit résumé : Besoin d’une information mais sans savoir où et comment chercher ? Vous ne savez plus par quoi commencer ? Besoin d’écoute, de recul, de soutien ponctuel ? Ou simplement envie d’un coup de pouce pour réfléchiret voir les choses sous un autre angle, ou pour être accompagné dans certains questionnements ?
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