JLPM Jean-Luc @JLPM@framapiaf.org
#Marthon vendredi 2 déc 2022
#CinéÉchange #CinéDébat avec #FemmesSolidaires
#Documentaire de #MariePerennès et #SimonDepardon
RIPOSTE FÉMINISTE
avec #MarinaFoïs
Organisé par #UniversitéDePays et #CinéMarthon
#Charente #CharentePérigord
Logo de ciné marthon à gauche (noir et orange) en haute au centre, titre "ciné-échange au cinéma de Marthon - le vendredi 2 décembre à 20h30" "en présence de militantes de Femmes Solidaires" en rouge stabiloté en jaune à gauche, l'affiche RIPOSTE FÉMINSTE un film de Marie Perennès et Simon Depardon Une femme debout de dos, tient un fumigène avec son bras gauche tendu en hauteur à 45° à droite et en dessous, les critiques de différents journaux en bas, logos de Université de Pays et de Femmes solidaires
01 déc. 2022, 05:12 ·
Coopérons pour apprendre et faire apprendre dans l'enseignement supérieur et en formation des adultes
Librecours (librecours.net) est un système de publication de cours en ligne et un espace web permette de jouer ces cours avec des apprenants et des formateurs. Les contenus de Librecours sont tous sous licence libre CC BY-SA.
Les contenus présents actuellement sur Librecours visent la littératie numérique :
- initiation à l'informatique : programmation, système, réseaux, bases de données, document numérique, Web
- initiation aux enjeux du numérique : philosophie, économie, droit
- initiation à l'ingénierie soutenable en lien avec le numérique
Le niveau visé va du lycée au premier cycle universitaire. Les formations ont principalement été organisées dans les contextes de l'Université de Technologie de Compiègne (UTC) et de l’UPLOAD (Université Populaire Libre Ouverte Autonome Décentralisée ).
Librecours est réalisé sur la base de la chaîne éditoriale Scenari (scenari.org) et ajoute des fonctions (volontairement minimalistes) de gestion des interactions entre apprenants et formateurs :
- Les apprenants peuvent réaliser des exercices et remonter une auto-évaluation.
- Les apprenants peuvent rendre des documents en ligne au format PDF ou sous la forme d'URL.
- Les enseignants peuvent associer à chaque rendu un commentaire et une évaluation.
Les autres fonctions classiques que l'on trouve au sein des système de formation en ligne sont assurées par des logiciels tiers (sans intégration) : Etherpad, CodiMD , Mattermost, BigBlueButton , Framaform, Mastodon... L'objectif est de conserver un outil simple d'une part et de privilégier la culture d'outils tiers libres d'autre part.
Aujourd'hui, le système est multi-utilisateurs, plusieurs personnes peuvent écrire des modules ou gérer des formations. En revanche, il n'existe qu'une seule instance et un espace commun de consultation.
Les évolutions prévues sont :
- Multi-instances : le site librecours.net deviendra stph.librecours.net ;
- Multi-serveurs : chacun pourra installer et gérer son propre serveur (par exemple sooc.picasoft.net, cours.framasoft.org, etc.) ;
- Fédération : les catalogues, les identités, les inscriptions, les modules gérés sur des serveurs différents pourront être liés les uns au autres.
Low-technicisation du numérique, cours de Stéphane Crozat à l'UTC
Lownum (lownum.fr) est une formation sur la démarche de low-technicisation dans le domaine du numérique. La low-technicisation consiste à repenser la conception d’outils pour rendre ceux-ci plus soutenables et plus conviviaux. La formation Lownum outille méthodologiquement cette démarche (état de l’art, idéation, maquettage, évaluation réflexive) pour la rendre concrète dans le cadre d’un projet de conception fictif (c’est à dire que l’objet ou service visé n’est pas effectivement construit dans le cadre de la formation).
La low-technicisation est un concept à discuter. Pour animer la formation en ce sens et à distance, nous nous sommes appuyés sur une sélection de cinq outils complémentaires :
- Librecours ;
- Mattermost, un service web libre de discussion instantanée ;
- La radio locale FM et web Graf’hit ;
- Peertube, un média social de partage de vidéos libre, décentralisé et fédéré ;
- Mastodon, un média social de micro-blogging libre, décentralisé et fédéré.
Le cours a réuni une cinquantaine d’étudiants à l’UTC (janvier et juillet 2022) et une douzaine de participants dans le cadre UPLOAD (avril-juin 2022). 3 projets ont vu le jour dans ce cadre et on été capitalisé sur le site Lownum :
- « OSlow » : concevoir un système d’exploitation minimaliste, qui pourrait fonctionner sur d’anciens ordinateurs et smartphone
- « Bibli’low’box » : proposer une offre culturelle numérique légale, libre, publique et low-technicisée, que ce soit pour du streaming ou du téléchargement.
- « httpslow » : proposer un protocole permettant aux sites et aux navigateurs de communiquer afin de minimiser les informations échangées.
Autres lectures liées
Crozat, S. (2021). Vers une ataraxie numérique : Low-technicisation et convivialité. In Prendre soin de l’informatique et des générations, hommage à Bernard Stiegler (FYP Éditions).
Crozat, S. (2022). Décentralisons l’éducation. Next INpact Magazine #3.
Framasoft. (2020, mars 24). Un librecours pour mieux contribuer à la culture libre. Framablog. https://framablog.org/2020/03/25/un-librecours-pour-mieux-contribuer-a-la-culture-libre/
Gosset, P.-Y. (2021). La place du numérique à l’école est à l’image de la place de l’école dans la société. In L’école sans école : Ce que le confinement nous dit de l’éducation. C&F Éditions. https://cfeditions.com/sans-ecole/
Connu / mel du 23/9/22 à 10:17
magazines 65 min tous publics
Si Jean Castex sera en poste "au moins" jusqu'à vendredi soir comme l'a expliqué il y a quelques jours le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, le Premier ministre prépare bien son départ. Hier soir, il a convié à Matignon ses 41 ministres et secrétaires d’État pour un dîner d’adieu après vingt-deux mois de gouvernement. Et l'heure est à l'incertitude pour bon nombre d'entre eux. Plusieurs figures du quinquennat, à l'instar de Bruno Le Maire ou Gérald Darmanin, souhaiteraient faire partie du second mandat d'Emmanuel Macron. Dix-huit ministres sont par ailleurs candidats aux législatives. Jean Castex a fait savoir de son côté qu'il ne souhaitait pas entrer dans le prochain gouvernement ni être candidat aux législatives et a déjà fait ses cartons. Mais le nom de son successeur n’est toujours pas dévoilé. Le chef de l’Etat qui avait promis que la personne nommée serait attachée "à la question sociale, environnementale et productive" a affirmé lundi avoir arrêté son choix sans en dire plus. Et préfère s’engager dans la campagne des législatives en ciblant Jean-Luc Mélenchon.
Mardi, lors d’un discours visant à mobiliser ses troupes pour les élections des 12 et 19 juin, Emmanuel Macron a multiplié les attaques contre le leader de la France insoumise qui a réussi à prendre la tête d’une union de la gauche dans l’optique des législatives et ambitionne d’être Premier ministre. "Un troisième tour ? Cela n’existe pas. Il ne faut pas vous laisser intimider par ceux qui voudraient rejouer aux législatives ce qui a été tranché à la présidentielle", a-t-il lancé aux candidats de la majorité, réunis aux Docks d’Aubervilliers, avant de dénoncer une "extrême gauche", qui serait "unie sur une seule chose, la décroissance", "pas même d’accord sur le nucléaire" et "qui a choisi le communautarisme plutôt que l’universalisme".
Un ton offensif contre celui qui est devenu le deuxième personnage politique le plus apprécié des Français et le premier opposant au président (37 %), devant Marine Le Pen (33 %) d’après les dernières enquêtes d’Elabe. À la tête de la Nouvelle union populaire écologique et sociale, Jean-Luc Mélenchon rêve d’une majorité à l’Assemblée nationale et d’une cohabitation où il tiendrait le premier rôle. Le parti est en train de finaliser la liste de ses candidats aux législatives, non sans remous, et doit gérer une première crise. La France insoumise a annoncé mercredi avoir ouvert une enquête interne après des accusations de violences sexuelles à l’encontre du journaliste controversé Taha Bouhafs. Le jeune homme avait retiré sa candidature, la veille, aux législatives à Vénissieux en dénonçant des "attaques sans précédent" et des "calomnies" récurrentes.
Invités :
- Bruno Jeudy, rédacteur en chef du service politique - Paris Match
- Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique - France Télévisions
- Caroline Vigoureux, journaliste et auteure de "Le mystère Taubira" - l’Opinion
- Mathieu Plane, économiste - Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE)
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Dimanche 1er mars, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de l’émission « En toute franchise ». L’occasion pour lui de revenir sur le coup de force du gouvernement : l’utilisation de l’article 49.3 sur le projet de loi de réforme des retraites, pour bâillonner l’opposition. Il a annoncé à nouveau le dépôt d’une motion de censure à l’initiative du groupe de la France insoumise et co-signée par les députés communistes et socialistes pour contrer l’autoritarisme du pouvoir. Il a appelé à une riposte populaire contre ce passage en force et rappelé que la bataille était loin d’être terminée. Interrogé sur l’épidémie de Coronavirus, il a redit la disponibilité des insoumis pour contribuer à l’effort face à un péril. Il a défendu une autre politique permettant de mieux faire face ce genre de menaces : pôle public du médicament, reconstruction de l’hôpital public, etc. Dans ce domaine comme en matière de retraites, il a plaidé pour une politique de salut commun.
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