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Affaire François de Rugy : Fabrice Arfi de Mediapart, auteur des révélations sur l'affaire, répond à vos questions. Entretien réalisé par Rémy Buisine.
Catégorie Actualités et politique 1 866 commentaires
Tribune
Matthieu Caron, directeur de l’Observatoire de l’éthique publique, estime, dans une tribune au « Monde », que l’affaire des frais de mandat de l’ancien président du Parlement doit conduire le pouvoir exécutif à prendre de nouvelles mesures pour faire la transparence sur le train de vie de nos élus.
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« "Quitter l’âge de la transparence infantile pour entrer dans l’âge de la transparence adolescente" ? »
— Retweet https://twitter.com/elsafouc/status/1152209307053764609
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Publiée il y a 3 jours - 87 vues
Ce refus de voir l’information, c’est la mort du journalisme.
Et un petit peu de la démocratie.
Je le dis sans aucun sanglot dans la voix. Je le dis en vous regardant en face : Le journalisme est vraiment mal barré en ce moment."
BFM TV, affaire Zineb Redouane, révélations de Médiapart sur De Rugy ou la propagande de la PQR, dans cet édito, Denis Robert dresse un portrait alarmant de l'état du journalisme en France.
.#DeRugy #OuEstSteve #ZinebRedouane
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Catégorie Actualité & Politique
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Étiquettes : gilets jaunes ; Macron ; Ou est Steve ; Steve ; Zineb Redouane
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"Ce refus de voir l’information, c’est la mort du journalisme.
Et un petit peu de la démocratie.
Je le dis sans aucun sanglot dans la voix. Je le dis en vous regardant en face : Le journalisme est vraiment mal barré en ce moment."
BFM TV, affaire Zineb Redouane, révélations de Médiapart sur De Rugy ou la propagande de la PQR, dans cet édito, Denis Robert dresse un portrait alarmant de l'état du journalisme en France.
Clés : #DeRugy #OuEstSteve #ZinebRedouane
Catégorie* Actualités et politique
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Les soupers fins de François de Rugy et l’annonce de nouvelles taxes qui devraient profiter à la lutte contre leréchauffement climatique. C’est le sommaire du numéro 41 du P’tit coup de Bourbon, présenté par Serge Faubert.
Clés : #DeRugy #DeRugyDemission #DeRugyGate #DeRugyHomard #Écotaxes
Catégorie Actualités et politique 799 commentaires
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Cette fois, l’exécutif a réagi rapidement, et dans la nuit. Il était 23h40 hier soir lorsque l’Elysée a annoncé la nomination de la ministre des Transports Elisabeth Borne au ministère de la Transition écologique après la démission de François de Rugy. Un remaniement express pour montrer qu’il n’y a pas de pause dans la priorité écologique du gouvernement et qu’ « il n’y a pas de temps à perdre » comme l’a indiqué aujourd'hui la nouvelle patronne de l’hôtel de Roquelaure lors de la passation des pouvoirs. Troisième à prendre en charge le maroquin de l’environnement sous le quinquennat d’Emmanuel Macron, après les mandats écourtés de Nicolas Hulot puis François de Rugy, Elisabeth Borne devient donc une des poids lourds du gouvernement tant l’urgence climatique est au cœur des débats actuels.
Un grand pas en avant pour cette technocrate, issue de la société civile, projetée sur le devant de la scène politique grâce au macronisme, et bien décidée à « poursuivre ce combat essentiel qu'est la transition écologique et solidaire ». « Tout au long de mon parcours j'ai acquis la conviction qu'il ne suffit pas de décréter la transition écologique pour qu'elle s'accomplisse », a ainsi déclaré Elisabeth Borne cet après-midi. « Je mesure l'ampleur de la tâche qui m'attend. Ceux qui me connaissent savent que cela ne me fait pas peur », a-t-elle ajouté avant de clore son discours au ministère de l’Ecologie pour se rendre au Sénat et défendre le projet de loi Energie et climat. Énergie, gaspillage, alimentation, pollution, mobilité... Les dossiers ne manquent pas sur le bureau de la nouvelle ministre.
Mais quel est son profil ? Polytechnicienne, ex-directrice de la stratégie de la SNCF, ex-PDG de la RATP, ex-préfète de région, Élisabeth Borne a conduit la récente réforme de la SNCF, et a déjà piloté des dossiers écologiques sous Ségolène Royal, dont elle a un temps dirigé le cabinet au sein du ministère qu’elle retrouve aujourd’hui. Sa nomination au ministère de la Transition écologique « est une évidence », a commenté la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye. Néanmoins, elle est loin de faire l'unanimité. « La nomination d’Elisabeth Borne, faiseuse d’autoroutes et défaiseuse de rails, confirme que l’inconséquence écologique résistera à la démission de François De Rugy. L’événement de ce jour n’est pas cette passation de pouvoir mais le fait que sera voté ce soir le climaticide », a réagi le député France Insoumise Adrien Quatennens en évoquant le Ceta, le traité controversé entre l'Union européenne et le Canada qui doit être examiné à l'Assemblée nationale. « Nommer à l'Écologie celle qui s'apprête à remettre 25 000 camions sur les routes en fermant la ligne Perpignan-Rungis, c'est fort ! », a ironisé le PCF sur Tweeter. De son côté, Julien Bayou, porte-parole d'Europe Écologie-Les Verts, a également réagi sur le réseau social : « Borne nommée ministre de l'Écologie. Elle n'est pas ministre d'État. Une ministre des Transports qui a accompagné le déclin des petites lignes et la réduction du fret ferroviaire (et pas uniquement Rungis-Perpignan). Encore le décalage entre les discours et les actes ».
Alors qui est Elisabeth Borne ? Quels sont les dossiers brûlants qui attendent la nouvelle ministre ?
Invités :
- Yves Threard - Directeur adjoint de la rédaction du Figaro
- Anne-Laure Barral - Journaliste, spécialiste environnement à Franceinfo
- Arnaud Gossement - Avocat spécialiste en droit de l'environnement
- Gilles Dansart - Journaliste et directeur de Mobilettre
Catégorie Divertissement
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C'est la nouvelle affaire qui secoue le gouvernement d'Edouard Philippe et Emmanuel Macron. Depuis hier, le ministre de la Transition écologique François de Rugy fait l'objet d'une série de révélations de Médiapart qui plonge l’ancien écologiste, désormais numéro deux du gouvernement, dans la tourmente.
Tout a commencé mercredi, avec un premier article de Médiapart sur une dizaine de réceptions, données par François de Rugy et son épouse à l'hôtel de Lassay, quand il était encore président de l'Assemblée nationale. Photos à l’appui, le grand public a découvert le faste de ces soirées : des homards servis à table, des grands crus issus de la cave de l'Assemblée nationale à plusieurs centaines d'euros. Les participants étaient principalement des amis ou des connaissances du couple, selon le site d’information. A Mediapart, François de Rugy a indiqué qu’il s’agissait de « dîners informels liés à l’exercice de [ses] fonctions avec des personnalités issues de la société civile » pour « répondre à l’exigence de représentation liée à [sa] fonction ». Mais son épouse n’a pas tenu le même discours au média, assurant que les invités appartenaient pour l’immense majorité à « son cercle amical ».
Depuis, l’affaire suscite de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Sous pression, le gouvernement a - pour l’instant - fait corps derrière son ministre d’État. Lequel depuis 24 heures s’en est justifié à plusieurs reprises. Reconnaissant que ces images puissent interpeller les Français, l’ancien président de l’Assemblée nationale a revendiqué son bilan de réformateur au Palais-Bourbon et mis en avant le fait que dans son ministère, seul un tiers du budget réception aurait été dépensé. Se posant en chantre de la transparence, il a aussi publié cette nuit sur son compte twitter « les réponses apportées à Mediapart, sur des dîners à l’Assemblée, et des travaux de rénovation de mon appartement de fonction au ministère ». François de Rugy a également dû limoger sa directrice de cabinet Nicole Klein pour tenter d’éteindre un autre incendie. Le site d'investigation a révélé mercredi qu'elle bénéficiait d’un logement social à Paris depuis 2001, qu’elle a conservé de 2006 à 2018 alors qu'elle n'habitait plus la capitale. Enfin ce jeudi, un nouvel article de Médiapart dévoile que le ministre a fait réaliser plus de 63 000 euros de travaux, payés par le contribuable, dans les appartements privés du ministère de l’Écologie. Parmi ces travaux figure l’installation d’un dressing à près de 17 000 euros. Dans l’opposition comme dans une partie de la majorité, les critiques se multiplient à l’égard de celui qui a toujours prôné l'exemplarité et la transparence. Certains, comme la députée écologiste Delphine Batho, vont jusqu’à demander sa démission. Pour l’heure, le ministre assume, et « garde la confiance » du chef de l’État.
Mais François de Rugy peut-il tenir ? Le cas de Rugy est-il un problème de légalité ou d’éthique ? Quelles sont les règles au Parlement ? Le délégué général de LREM a estimé que la déontologue de l'Assemblée devra se pencher sur les dîners organisés par François de Rugy. Parallèlement, on a appris dans les colonnes du Monde que quinze parlementaires, dont Jean-Christophe Cambadélis, sont sous le coup d'enquêtes préliminaires distinctes lancées par le parquet national financier car ils sont soupçonnés d'avoir utilisé leur indemnité représentative de frais de mandat pour des dépenses personnelles. Les sommes concernées vont de 20.000 euros à 80.000 euros par élus.
Faire table rase des petits arrangements et des privilèges opaques des élus, c'était tout l'enjeu de la loi de confiance dans la vie politique, adoptée en 2017. Qu’est ce qui a changé depuis cette loi ?
Invités :
• Bruno Jeudy - Rédacteur en chef du service politique de Paris Match
• Soazig Quéméner - Rédactrice en chef du service politique de Marianne
• René Dosière - Ancien député, spécialiste de la gestion des finances publiques
• Frédéric Says - Editorialiste politique à France Culture – Co-auteur de « Dans l’enfer de Bercy »
Catégorie Divertissement
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C'est la nouvelle affaire qui secoue le gouvernement d'Edouard Philippe et Emmanuel Macron. Depuis hier, le ministre de la Transition écologique François de Rugy fait l'objet d'une série de révélations de Médiapart qui plonge l’ancien écologiste, désormais numéro deux du gouvernement, dans la tourmente.
Tout a commencé mercredi matin, avec un premier article de Médiapart sur une dizaine de réceptions, données par François de Rugy et son épouse à l'hôtel de Lassay, quand il était encore président de l'Assemblée nationale. Photos à l’appui, le grand public a découvert le faste de ces soirées : des homards servis à table, des grands crus issus de la cave de l'Assemblée nationale à plusieurs centaines d'euros. Les participants entre 10 et 30 personnes, étaient principalement des amis ou des connaissances du couple, selon le site d’information. A Mediapart, François de Rugy a indiqué qu’il s’agissait de « dîners informels liés à l’exercice de [ses] fonctions avec des personnalités issues de la société civile » pour « répondre à l’exigence de représentation liée à [sa] fonction ». Mais son épouse, journaliste à Gala, n’a pas tenu le même discours au média, assurant que les invités appartenaient pour l’immense majorité à « son cercle amical ».
Depuis, l’affaire suscite de très nombreuses réactions piquantes et ironiques sur les réseaux sociaux. Sous pression, le gouvernement a - pour l’instant - fait corps derrière son ministre d’État. Lequel depuis vingt-quatre heures s’en est justifié à plusieurs reprises. Reconnaissant que ces images des « ors de la République » puissent interpeller les Français, l’ancien président de l’Assemblée nationale a revendiqué son bilan de réformateur au Palais-Bourbon et mis en avant le fait que dans son ministère, seul un tiers du budget réception aurait été dépensé. Se posant en chantre de la transparence, il a aussi publié cette nuit sur son compte twitter « les réponses apportées à Mediapart, sur des dîners à l’Assemblée, et des travaux de rénovation de mon appartement de fonction au ministère ». François de Rugy a également dû limoger sa directrice de cabinet Nicole Klein pour tenter d’éteindre un autre incendie. Le site d'investigation a révélé mercredi soir qu'elle bénéficiait d’un logement social à Paris depuis 2001, qu’elle a conservé de 2006 à 2018 alors qu'elle n'habitait plus la capitale. Enfin ce jeudi, un nouvel article de Médiapart dévoile que le ministre a fait réaliser plus de 63 000 euros de travaux, payés par le contribuable, dans les appartements privés du ministère de l’Écologie. Parmi ces travaux figure l’installation d’un dressing à près de 17 000 euros. Dans l’opposition comme dans une partie de la majorité, les critiques se multiplient à l’égard de celui qui a toujours prôné l'exemplarité et la transparence. Certains, comme la députée écologiste Delphine Batho, vont jusqu’à demander sa démission. Pour l’heure, le ministre assume, et « garde la confiance » du chef de l’État.
Mais François de Rugy peut-il tenir ? Le cas de Rugy est-il un problème de légalité ou d’éthique ? Quelles sont les règles au Parlement ? Le délégué général de LREM, Stanislas Guerini, a estimé ce jeudi que la déontologue de l'Assemblée nationale devra se pencher sur les dîners organisés par François de Rugy. Parallèlement, on a appris aujourd’hui dans les colonnes du Monde que quinze parlementaires, dont Jean-Christophe Cambadélis, sont sous le coup de quinze enquêtes préliminaires distinctes lancées par le parquet national financier (PNF) car ils sont soupçonnés d'avoir utilisé leur indemnité représentative de frais de mandat pour des dépenses personnelles. Les sommes concernées vont de 20.000 euros à 80.000 euros par élus.
Faire table rase des vieilles pratiques, des petits arrangements et des privilèges opaques des élus, c'était tout l'enjeu de la loi de confiance dans la vie politique, adoptée en 2017. Qu’est ce qui a changé depuis cette loi ?
Invités :
• Bruno Jeudy - Rédacteur en chef du service politique de Paris Match
• Soazig Quéméner - Rédactrice en chef du service politique de Marianne
• René Dosière - Ancien député, spécialiste de la gestion des finances publiques
• Frédéric Says - Editorialiste politique à France Culture – Co-auteur de « Dans l’enfer de Bercy »
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Rugy démission? Oui, je la demande, et depuis le jour de sa nomination. Pour les truites et les ombres du Doubs, pour les rivières qui se vident, pour les hêtres qui se meurent, pour les vaches du Canada et les forêts d'Amazonie, pour la nature peinte par Courbet.
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PJM B. il y a 2 heures (modifié)
François Ruffin , je vous mets 21 sur 20 pour votre bonne volonté votre sourire et tout le reste !
Médiapart vient de révéler que François De Rugy, Ministre de la Transition Écologique et Solidaire, avait multiplié les dîners somptueux avec des amis lorsqu’il présidait d’Assemblée Nationale. Sur la table, on trouvais « des homards géants, du champagne et des vins de la cave de l’Assemblée – du Château Cheval Blanc 2001 estimé à 550 euros la bouteille ou du Château d’Yquem 1999, estimé à 265 euros ».
Le Ministre estime qu’il s’agissait de « dîners informels liés à l’exercice de [ses] fonctions avec des personnalités issues de la société civile ». Pourtant, comme l’indique Le Monde, « parmi les convives identifiés par Mediapart figurent notamment des membres de sa famille et des amis de sa femme Séverine, journaliste à Gala. »
Selon Mme de Rugy, ces agapes somptueuses entre amis avaient un objectif : « Quand vous êtes un homme politique, vous ne pouvez pas vous couper de la société ». A grands renforts de vin à plusieurs centaines d’euros la bouteille ? https://t.co/BnJpW3pJHp
— Fabrice Arfi (@fabricearfi) July 10, 2019