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🗣 Invitation d'E. Macron, préférendum, rentrée scolaire, abayas : retrouvez l'intégralité de mon passage dans la matinale de Sud Radio du 30 août 2023.
Tr.: ... laïcité ...
Jura. Extension du parc éolien à Arbois : le référendum échoue par manque de votants
Les Arboisiens étaient appelés aux urnes ce dimanche. Il fallait au moins 50 % des inscrits pour que le référendum soit valide. À ...
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C'est sa réforme des retraites, c'est le mandat de Macron qui est en jeu, pas le nôtre. S'il veut passer en force, qu'il fasse un référendum et que, comme De Gaulle, il respecte l'avis des Français.
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Manuel Bompard, directeur de la campagne de Jean-Luc Mélenchon, était l’invité de Oriane Mancini et Stéphane Vernay, rédacteur en chef délégué et directeur de la rédaction de Ouest France à Paris dans Bonjour Chez Vous !
Sur les retraites :
"Emmanuel Macron doit s'engager clairement sur un référendum. Pour l’emporter, il doit avoir des électeurs qui se portent sur lui alors qu’ils n’adhèrent pas à son projet. Il devra s’en remettre aux Français sur certains sujets.", affirme Manuel Bompard.
Retrouvez l'émission intégrale de Bonjour Chez vous ! ici : https://www.publicsenat.fr/emission/emission/bonjour-chez-vous
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Dans ce 148e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur le référendum qui a eu lieu en Nouvelle-Calédonie le dimanche 12 décembre et qui a été marqué par une très forte abstention suite aux refus des indépendantistes d’y participer.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a expliqué l’histoire des accords de Matignon puis de Nouméa qui ont conduit à la tenue de trois référendums sur la question de l’indépendance. Il explique notamment comment ce processus a permis de sortir de la logique de violences et d’ouvrir une période de paix civile. Il alerte sur le fait que rien ne peut être fait, en Nouvelle-Calédonie, sans l’accord des deux parties : pro-indépendance et anti-indépendance. Il dénonce le passage en force du gouvernement Macron sur ce sujet.
Jean-Luc Mélenchon explique donc que compte tenu de la très faible participation au référendum et compte tenu du fait qu’il a été boycotté par les indépendantistes, il faut désormais reprendre le processus à zéro. Il dit donc que cela sera l’un des enjeux de la prochaine élection présidentielle.
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Le 16 décembre 2020, Adrien Quatennens était l'invité de Sonia Mabrouk sur Europe 1. LaMatinale #Europe1 - 266 commentaires
Politique
Coralie Delaume est essayiste. Elle collabore à Marianne et anime notamment le blog l’Arène nue. Elle a publié Le couple franco-allemand n'existe pas (Michalon, 2018), mais aussi, avec David Cayla, La fin de l’Union européenne, (Michalon, 2017) et 10 + 1 questions sur l'Union européenne (Michalon, 2019).
L’utilisation du 49.3 le rappelle crûment : les outils politiques à la disposition du peuple pour influer sur le cours des choses disparaissent peu à peu. Et c’est grave.
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Le référendum
On savait déjà que les référendums ne servaient plus à rien. L'épisode de celui sur la Constitution européenne en 2005 et de la victoire du « non » à près de 55 %, suivie trois ans plus tard par l'adoption du traité de Lisbonne, s'est chargé de nous l'enseigner. Car c'est bien le même texte qui a été imposé par Nicolas Sarkozy et voté par le Parlement en 2008. Pour qui serait tenté d'en douter, il suffit de se remémorer ce mot du père du Traité constitutionnel, Valéry Giscard d'Estaing. Dans Le Monde du 26 octobre 2007 https://www.lemonde.fr/europe/article/2007/10/26/vge-sur-le-traite-europeen-les-outils-sont-exactement-les-memes_971315_3214.html il affirmait: « dans le traité de Lisbonne, rédigé exclusivement à partir du projet de traité constitutionnel, les outils sont exactement les mêmes. Seul l'ordre a été changé dans la boîte à outils. La boîte, elle-même, a été redécorée, en utilisant un modèle ancien, qui comporte trois casiers dans lesquels il faut fouiller pour trouver ce que l'on cherche. ». Puis d'ajouter : « [le Traité] est illisible pour les citoyens, qui doivent constamment se reporter aux textes des traités de Rome et de Maastricht ». Quoi de mieux qu'un texte illisible, en effet, pour décourager toute velléité de vérification ?
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Le Parlement
... comme le déplorait déjà Guy Carcassonne dans son célèbre ouvrage sur La Constitution (Seuil, 2014), les modalités récentes d'usage du 49-3 constituent une dérive : « on a vu se banaliser une arme dont l’utilisation devait rester exceptionnelle. Elle était faite pour des gouvernements fragiles, elle est utilisée par des gouvernements forts […] Elle était faite pour conclure un débat, elle est utilisée pour y couper court. Elle était faite pour mettre les députés devant leurs responsabilités, elle est utilisée pour affranchir le gouvernement des siennes ». Il faut dire aussi, ô surprise, que l'opposition s'oppose. A défaut de pouvoir « dissoudre le peuple », finira-t-on par interdire l'opposition ?
La grève
... Le mouvement social dans les transports, notamment, s'est révélé comme le plus long qu'ait connu la France en trente ans. Plus long que celui de 1986-87 sur les salaires (28 jours) et que celui de 1995 (22 jours). Si l'on en croit les sondages, il était de surcroît très soutenu. Il n'en a été tenu aucun compte.
L'élection présidentielle
... que « l'extrême-centre » se nomme « Les Républicains », « Parti socialiste » ou « En marche », c'est toujours la même politique qui est menée. Une politique néolibérale faite d'européisme indépassable, d'austérité budgétaire, de libre-échange et de déflation salariale.
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Longtemps, le fhttps://www.marianne.net/debattons/entretiens/david-cayla-les-regles-europeennes-determinent-strictement-le-cadre-economiqueait que les candidats du « bloc bourgeois » aient été artificiellement répartis dans deux formations politiques, l'une de droite et l'autre se disant de gauche, a été l'assurance vie du statu quo. Les Républicains et le PS se partageaient équitablement le pouvoir, et en faisaient la même chose. La réunion, sous la bannière macroniste, des faux adversaires qu'étaient l'aile centriste du parti de droite et l'aile droite du parti de « gauche », a certes clarifié les choses. Le rôle d'assurance-vie du système est désormais joué par le Rassemblement national. En 2022, sa présence au deuxième tour pourrait assurer la victoire à l'un ou l'autre des « Macron » potentiels qui se trouvera en face, quels que soit son nom et son étiquette. Si les référendums ne servent plus à rien, si la grève est sans effet, si le Parlement est contourné et si l'élection présidentielle ne consiste plus qu'à choisir tantôt entre des clones, tantôt entre l'un des clones et le chaos, il ne reste plus rien de la démocratie. Aussi ne faudra-t-il pas s'étonner que les électeurs ne se précipitent plus aux urnes pour défendre celle-ci en « faisant barrage ». Ils pourraient même se dire qu'après tout, la dérive autoritaire, on y est déjà.
Lire aussi
"Les élections européennes ne changeront pas la nature des politiques européennes" https://www.marianne.net/debattons/entretiens/david-cayla-les-regles-europeennes-determinent-strictement-le-cadre-economique
Clés : démocratie ; Emmanuel Macron
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Aujourd'hui, lundi 02 mars à 14h30, suivez en direct la conférence de presse de la France insoumise. Cette conférence de presse abordera le thème des retraites, des élections municipales, de la prochaine niche parlementaire de La France insoumise ainsi que de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars 2020. Participez sur les réseaux sociaux avec #ConfPresseFi.
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À peine les débats commencés sur la réforme des retraites, les macronistes font planer la menace du LBD parlementaire : le 49.3.
Sur un projet de loi que la majorité du pays rejette. Elle est belle la démocratie LREM.
Retrait ou référendum.
Édito d'Adrien Quatennens pour Canal Fi. Abonnez-vous à Canal Fi pour retrouver tous nos éditos politiques.
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Le 21 février 2020, Adrien Quatennens était l'invité de Laurent Neumann et Éric Brunet #BFMTV. #BrunetNeumann
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21 225 ont signé - Journal L'HUMANITÉ a lancé cette pétition adressée à gouvernement et à 2 autres
Après plus de deux mois de mobilisations sociales d’une ampleur historique, une majorité de Français demandent toujours le retrait de la réforme du système de retraites voulu par le gouvernement. Alors que les projets de loi commencent à être examinés à l’Assemblée nationale, tout est organisé pour contourner le débat devant la représentation nationale et inciter les parlementaires à voter à l’aveugle, avec le recours programmé à pas moins de 29 ordonnances. Même le Conseil d'État a rendu un avis très sévère, relevant « la fausse promesse d’un régime universel », des projections financières « lacunaires », mais aussi des dispositions « contraires à la Constitution ».
Ce niveau de défiance à l’égard d’une réforme « inédite depuis 1945 et destinée à transformer pour les décennies à venir un système social qui constitue l’une des composantes majeures du contrat social », comme le souligne à juste titre le Conseil d’État, pose un problème démocratique majeur. A ce stade, seule une consultation populaire permettrait de le résoudre. Un référendum sur le retrait du projet gouvernemental doit être organisé, pour que le peuple ait le dernier mot.
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Le 10 février 2020, Adrien Quatennens était l'invtié de #AuditionPublique sur #PublicSénat et #LCP.
Au menu : #Retraites, #ViolencesPolicieres, #Municipales2020 #presidentielle2022
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Le 6 février 2020, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Caroline Roux pour parler de la bataille parlementaire en cours contre la réforme des retraites. Le président du groupe parlementaire “La France insoumise” a expliqué que les insoumis avaient déposé de nombreux amendements pour pouvoir développer leurs arguments contre ce projet. Il a appelé Emmanuel Macron à retirer le projet de réforme ou à le soumettre à un référendum pour que le peuple puisse s’exprimer sur le sujet. Jean-Luc Mélenchon a affirmé que le président de la République devait comprendre qu'il aurait affaire à l'Assemblée à une opposition parlementaire qui se fait l'écho de celle des salariés en lutte dans la grève et les manifestations.
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Interventions anti-CETA des député.e.s France Insoumise Clémentine Autain, Adrien Quatennens, Eroc Coquerel, Mathlde Panot, François Ruffin, Bénédicte Taurine et Alexis Corbière, le soir du 17/07/2019 à l'Assemblée nationale.
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Au programme de l'Autre 20h, présenté ce soir par Romain Mahdoud :
⏩ COUPLE BALKANY : LES MAFIEUX DE LEVALLOIS ENFIN CONDAMNÉS ?
Le procès de Patrick et Isabelle Balkany a commencé, David Servenay, journaliste pour le site Les Jours fait le point.
⏩ PRIVATISATIONS : LE REFERENDUM POUR DIRE NON À MACRON
Le conseil constitutionnel a validé la procédure de referendum d'initiative parlementaire contre les privatisations prévues par la loi PACTE. Henri Sterdyniak vous en explique les enjeux dans sa chronique éco.
⏩ LA FACE CACHÉE DU SYSTÈME MACRON - Partie 2
Denis Robert interview Marc Endeweld qui nous révèle les méthodes de Macron et son rapport curieux à l'amitié.
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C'est la plus lourde défaite enregistrée par un gouvernement britannique à la Chambre des Communes depuis les années 1920. Bien au-delà des pires prévisions, les députés de Westminster ont rejeté par 432 voix contre 202 l’accord sur les modalités du Brexit que Theresa May a conclu avec les Européens en novembre dernier après d’âpres négociations. A deux mois et demi de la date prévue de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, la Première ministre britannique essuie un désaveu historique qui plonge un peu plus le pays dans la crise. Car parmi les députés de tous bords qui ont infligé à Theresa May cette cuisante défaite, il n’y a d’entente que sur une chose : refuser cet accord. Certains d’entre eux veulent un nouveau référendum sur le Brexit, d’autres veulent modifier le texte ou exigent une rupture plus franche que celle que prévoit l’accord ; d’autres enfin, comme le leader travailliste Jeremy Corbyn souhaitent surtout de nouvelles élections.
Du coup aujourd’hui il n’y a pas de majorité pour le plan de Theresa May mais il n’y a pas non plus d’autres solutions qui se dégagent. « Il est clair que cette chambre ne soutient pas cet accord. Mais le vote de ce soir ne nous dit rien sur ce qu'elle soutient », a d’ailleurs souligné hier soir Theresa May qui doit affronter ce mercredi soir une motion de censure susceptible de faire tomber son gouvernement. Deux ans et demi après le référendum où 51,9 % des Britanniques ont choisi le Brexit, le pays est dans l’impasse. Et l’inquiétude monte des deux côtés de la Manche alors que le Royaume-Uni est censé sortir de l’Union européenne dans soixante-douze jours. Pour le négociateur en chef de l’UE pour le Brexit Michel Barnier « jamais le risque d’un no deal n’a paru aussi élevé ». « On se prépare à une absence d'accord » a affirmé de son côté ce mercredi la ministre chargée des Affaires européennes Nathalie Loiseau. Le président du Medef a lui appelé les entreprises françaises à se préparer au « pire scénario ». Tandis que la principale organisation patronale britannique, la CBI, a jugé « ingérable » un Brexit sans accord et a réclamé un plan d’urgence pour protéger l’économie. En fait, aujourd’hui l’incertitude est à son comble et tout semble possible. Alors pourquoi un tel rejet de l'accord par les députés britanniques? Quels sont désormais les scénarios possibles ?
Invités :
- Philippe Dessertine - Directeur de l’Institut de Haute Finance
- Philip Turle - Journaliste britannique à RFI
- Jean-Dominique Giuliani - Président de la Fondation Robert Schuman
- Florence Faucher - Professeure à Sciences Po, spécialiste de la Grande-Bretagne
- Denis MacShane - Ancien Ministre d'Etat en charge des Affaires européennes de Tony Blair (en duplex de Londres)