Connu / https://framapiaf.org/@frenchhope@mastouille.fr/113298526271869144
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4 j Laurent Espitallier @frenchhope@mastouille.fr
#philippe_gattet #management #productivité #philippegattet #entreprise #réunionite #bureaucratie #travail #administratif
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Ndlr : va du côté de la performance, pas de la robustesse, quoi que...
...
Guillaume Gourgues, maître de conférences en science politique à l'université Lyon 2 et membre du laboratoire de recherche Triangle
...
Avec ma collègue, Alice Mazeaud, on a publié un article dans la revue française de science politique qui est justement consacré au pilotage de la participation citoyenne au sein de l'État. Et l’un des résultats de recherche sur lequel on a abouti, c'est que depuis sa création [en 1995 ; puis autorité administrative indépendante en 2002, ndlr], la Commission nationale du débat public (CNDP) est surveillée comme le[…]
Sujets relatifs :
Management, Bienveillance, Changement
Les conflits, ça coûte cher, en temps et en énergie. La meilleure manière de les éviter, c'est de prendre les devants en adoptant des modes de communication pacifiés. Emilie Baudet, coach et conseil en management, vous explique en trois vidéos les méthodes de communication non violente qui vont grandement améliorer votre quotidien au travail et celui de vos équipes.
Pourquoi se préoccuper de communication non violente dans le monde du travail ? Pas par une sorte de revival baba-cool... mais parce que les conflits au travail prennent du temps, qu'ils mangent notre énergie et que vous auriez donc tout à gagner à les réduire au minimum dans vos équipes et dans votre collectivité. Cette vidéo est là pour[…]
Sujets relatifs : Management, Boîte à outils, Communication
Photo MEDIATION © Gajus - adobestock
Nous savons tous qu’un conflit enterré ou mal réglé ressurgit un jour, nourri par des semaines ou des mois d’insatisfaction, voire d’humiliation. Rétablir la relation, redonner la parole et rétablir de la confiance réciproque, tels sont les objectifs de la médiation qui recrée de la valeur dans nos organisations. Isabelle Ruisseau et Hervé Chavas la pratiquent dans leurs activités quotidiennes.
Ah si tous les êtres humains avaient lu Marc Aurèle et ses « Pensées pour moi-même »… La grande thèse du philosophe stoïcien qui, dans le civil, fut empereur romain, reposait entre autres sur cette idée simple en apparence mais tellement profonde à l’analyse : la résolution des conflits relève uniquement de l’écoute et tout homme est amendable à partir[…]
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Non répertoriée - 37 vues - 2 - 0 - 4 abonnés
RENCONTRE DES TIERS-LIEUX NOURRICIERS
Troisième webinaire du cycle de rencontre sur les tiers-lieux nourriciers.
L'objectif est d'identifier les spécificités des modèles économiques et juridiques des tiers-lieux nourriciers, de partager des expériences de tiers-lieux nourriciers consolidés sur la construction de leur modèle socio-économique et juridique (choix, défis, réussites…), d'alimenter la réflexion des porteurs de projets sur les points clés à prendre en compte dans leur démarche (retours d’expérience inspirants) et de faire connaître les personnes et structures ressources, ainsi que les outils en appui à la définition du modèle économique et juridique des tiers-lieux nourriciers.
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Connu / https://grandjardin.jardiniersdunous.org/content/perma?id=75725
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Lorenzo Favia
Salle commune · 15 nov. 2021 · Visible par tous les membres de l'espace
Présentation Économie de la Contribution suivant l’approche de Lionel Lourdin
Superbe synthèse Par Juliette Pères , Responsable développement FABLIM / Labo des territoires alimentaires méditerranéens.
à partir de la mn 1H39
· Commentaire (1) · J'aime (3)
Photo de profil de Bruno Tison · 18 nov. 2021
Est-ce que LIONEL Lourdin a été invité pour parler de son modèle économique?
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Tr.: ... Villages vivants ... La Halle Tropisme, tiers-lieu culturel ... Rémi Léger, Drôme en zone péri-urbaine, ferme, maraïchage, jardin pédagogique, arboriculture, boulangerie, qCAE ; Jacques Depissy??, Oise, ... L'Hermitage agroécologie, ne pas vivre de subventions publiques, scop CAE compta analytique, aide PAC et c'est tout. Financement participatif déterminant ...
Yohan Duriaux ? Movilab? vidéo : co-construire un tiers-lieu physique -> pj social -> économique -> politique
Communs, contribution aux communs, supports de l'innovation, de l'activité économique, mettre en place les ieux ressources pour animer les contributions ... économie de la contribution ... approche open source ... logiciel libre ... vers un management de la contribution ...
Q : Chloé dans une comm comm : accompagnement ...
*Ndlr : terminer >1:08:00 ACT
33 claps · 7 min read
Voilà 10 mois que le projet La Tête Ailleurs a débuté. Notre compréhension et notre pratique des modes de gouvernance collaborative ne cessent de se renforcer, grâce aux nombreuses rencontres, discussions et opportunités d’expérimentation que la vie met sur notre chemin.
Fraîchement sortis d’un séminaire co-animé par Olivier Pastor [l’un des fondateurs de l’Université du Nous], et en plein bouillonnement sur nos premiers accompagnements d’équipes, on a envie d’aborder aujourd’hui avec vous une question centrale dans la poursuite de notre mission : comment définir concrètement la gouvernance partagée ?
... la formalisation du “faire ensemble” ... un “faire ensemble” qui repose sur un principe simple mais radical : personne n’a de pouvoir sur personne. Que ce soit de manière explicite — définie par un organigramme — ou plus implicite — régie par des jeux d’influence et de manipulation.
En d’autres termes, utiliser ce protocole induit que tous les membres de l’organisation ont la même part de pouvoir et de responsabilité.
Ce qui nous amène d’emblée à démonter deux idées reçues :
- “Gouvernance Partagée veut dire que tout le monde décide de tout”. En aucun cas. La co-responsabilité n’empêche pas que certaines décisions soient individuelles — relatives à l’étendue des rôles de chacun — et d’autres collectives — à la jonction entre plusieurs rôles.
- “En Gouvernance Partagée, tout le monde fait ce qu’il veut”. Bien au contraire. Pour que chacun sache qui fait quoi et comment, on a besoin d’un cadre à la fois plus rigoureux et plus explicite que celui qu’on rencontre dans les systèmes classiques. Mais la vraie différence, c’est que ce cadre est construit ensemble, pour libérer et non pour contraindre.
Les différentes briques de la Gouvernance Partagée - Un “Nous” fort
- Des individus souverains
- Des rôles clairs et bien délimités
- Des process qui neutralisent les égos
- Un pilotage par tensions
- Une structure en cercles articulés par des double liens
- Une Raison d’Être au service de la société
- Des règles à la fois strictes et libérantes
- Une volonté profonde de redistribuer le pouvoir
... un chemin, pas un état ...
mail : bertrand@la-tete-ailleurs.fr
Clés : Management ; Collective Intelligence ; Change Management ; Société ; Entreprise Liberee
Ndlr : "personne n’a de pouvoir sur personne" est une belle utopie...
Le "liant entre pouvoir et amour" semble "verbeux" ?! Approfondir ACT
Entrez rêveurs, sortez manageurs. C’était le slogan d’une publicité pour une école de commerce placardée sur tous les murs des métros il y a deux ans. Cette phrase très révélatrice des attentes, des objectifs et du processus de formation en école de commerce, c’est aussi le titre du livre de Maurice Midena journaliste indépendant.
Il a enquêté pendant plus de deux années sur la formation dans ces écoles, et la réalité qu'il dévoile est bien moins reluisante que celle des plaquettes de publicité.
Entre sexisme, bizutage, brutalisation, acceptation de la violence, enseignement de la doctrine néolibérale, les écoles de commerce métamorphosent les élève qui y étudient.
Comment ces étudiants sont-ils façonnés, formatés, pour devenir les managers de demain, qui serviront aveuglement les entreprises pour toujours plus de croissance et de rentabilité, souvent au détriment des droits sociaux les plus basiques ?
Pour Maurice Midena, l’idéologie néolibérale imprègne les cellules grises des étudiants les plus brillants avant de se répandre dans les plus hautes sphères du pays. Dans cet entretien, il nous dévoile étape par étape les mécanismes sociaux qui s'opèrent au sein des écoles, avant de se reproduire dans les entreprises françaises.
Connu et indexé à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?sysa6g
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Enregistrement de la séance des Grands débats École de Paris – ENGIE du 15 septembre 2020 avec Didier Holleaux, directeur général adjoint d'ENGIE et Jean-Marc Jancovici, associé-fondateur de Carbone 4, président de The Shift Project et professeur à MINES ParisTech.
Les chemins de la transition énergétique ne sont pas aussi clairement tracés qu’on ne l’entend souvent. Les conflits d’objectifs sont en particulier arbitrés avec des visions différentes. Sur les modalités elles-mêmes, les avis diffèrent : le nucléaire représente-t-il une marge de manœuvre décisive ou un modeste contributeur à la transition énergétique ? les territoires doivent-ils jouer un rôle marginal dans une planification centralisée ou un rôle essentiel dans une vision multipolaire et multi-échelle ? miser massivement sur l’électrification est-il le prérequis d’une transition efficace ? quel rôle doivent jouer les énergies renouvelables non électriques (biomasse, biogaz, géothermie, solaire thermique…) ? la sobriété énergétique est-elle vraiment un levier d’action décisif ?
9 commentaires dont
Damien Prevot il y a 1 semaine
très bon débat et même parfois drôle (petite pique involontaire (?) de Didier Holleaux sur modestie de Jean-Marc Jancovici :-). Globalement JMJ est plus sur les grands ordres de grandeur et sur ce qu’il faudrait faire dans un monde à économie dirigée alors que DH parle plutôt de multiples exemples particuliers qui doivent aller dans le bon sens mais ne donnent aucune garantie d’être suffisants. JMJ qui se base donc sur les grands principes présente néanmoins quelques contradictions (apparentes?) : il indique qu’il faut mettre en place une économie de guerre (si on veut limiter à 2°C) mais juge pourtant infaisable la simple mise en place d’une taxe sur le CO2 pour des questions un peu accessoires de bonne gestion budgétaire, de même il peste sur les excès de communication faits par les anti-nucléaires sur les rares accidents nucléaires sans donner les vrais chiffres significatifs du nombre de morts par énergie mise à disposition qui sont très faibles par rapport au charbon mais dit en fin de débat que le CCS ne se développera pas en utilisant le même type d’argument c’est à dire un accident unique (celui du lac Nyos) qui en fait a très peu à voir avec le CCS (c’était une éruption naturelle de CO2) mais sans donner les « vrais » chiffres significatifs qui seraient par exemple le nombre de morts par million de t de CO2 traitées.
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Dans le cadre de la commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de la France insoumise, Sabine Rubin auditionnait Sabine Pepinster, directrice de collège à Créteil, UNSA.
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commission-enquete-suivi-covid19/
Catégorie Actualités et politique 28 commentaires
Transcription : ... deux tensions : débureaucratiser d'un côté et nouveau management public (NPM new public management - à pb local, solutions locales), management participatif, se percutent et ça nous perd. ... le niveau d'angoisse était très élevé chez les personnels et les parents d'élèves. ... /déconfinement cantine impossible ...
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Historien du nazisme et de sa vision du monde, Johann Chapoutot a récemment fait paraître un essai dont la réception n’a pas été unanime : Libre d’obéir : le management, du nazisme a aujourd’hui. Il revient avec Julien Théry sur la démarche du livre et profite de l'occasion pour répondre aux objections qui lui ont été opposées.
C’est la lecture de l’abondante littérature nazie sur la Menschenführung, la conduite des hommes, qui a attiré l’attention de Johann Chapoutot sur les similitudes frappantes entre les discours de l’époque sur la nécessité de « faire mieux avec moins » et ceux qui prolifèrent aujourd’hui aussi bien dans la sphère entrepreneuriale que dans celle du gouvernement néolibéral.
Avec l’expansion du Reich au fil des conquêtes hitlériennes et le développement de l’effort de guerre, la nécessité d’administrer le plus efficacement possible avec des moyens réduits devint une obsession pour les cadres nazis. Et si le nazisme fut tout entier « un grand moment managérial », c’est parce que son idéologie poussa à l’extrême l’utilitarisme qui dominait en Occident depuis les débuts de la Révolution industrielle. Le darwinisme social cultivé en Europe depuis le XIXe siècle, tout particulièrement en Angleterre et en France, fut porté à son paroxysme par l’anthropologie nazie. Pour cette dernière, seule l’utilité d’une vie humaine pouvait justifier son existence – son utilité pour la prospérité et la promotion de la race germanique, appelée à dominer les autres sur tous les plans.
Dans son livre, Johann Chapoutot examine en particulier le cas emblématique de Reinhard Höhn (1904-2000). Jeune et brillant juriste engagé très tôt dans le militantisme nationaliste et antisémite, Höhn intègre le SD, c’est-à-dire l’élite de la SS, au début des années 30. Adjoint de Reinhard Heydrich, il devient, tout en montant les échelons de la hiérarchie dans la SS jusqu’au grade de général, professeur de droit à l’Université Humbold de Berlin et directeur de l’Institut d’études sur l’État, voué à des recherches en matière d’organisation institutionnelle adaptée au gouvernement du Reich par la race supérieure. Après la défaite de 1945, Höhn se fait discret pendant quelques années, avant d’être embauché par un think-tank patronal qui lui confie la fondation d’une école de management à Bad Harzburg en 1956. Ses techniques de « management par délégation de responsabilité », dont l’élaboration a commencé dès le temps du Reich, connaissent un immense succès et son Akademie für Führungskräfte der Wirtschaft forme plus de 600 000 cadres allemands jusque dans les années 80 : autant dire que son influence est dominante dans le « Miracle économique allemand »… Höhn publie, dans le même temps, une série de manuels qui se vendent abondamment.
Non seulement un penseur nazi du management, ancien dignitaire du Reich qui ne s’est jamais repenti en aucune manière de son engagement, a joué un rôle de premier plan dans l’essor économique de la République Fédérale d’Allemagne, mais ses idées sur l’organisation des hommes et de la production ont été pleinement en phase, et même pionnières à certains égards, dans le développement du management lui-même. Non seulement la « délégation de responsabilité » renvoie à l’engagement personnel, à l’esprit d’initiative et à la culture d’entreprise prisés aujourd’hui par la science managériale, mais la substitution d’agences autonomes, flexibles et temporaires à l’administration d’État, théorisée par Höhn au cours de sa seconde carrière, correspond pleinement à l’esprit du « New public management » devenu dominant depuis les années 1980 (et inculqué par exemple aux élites françaises à l'ENA). Paradoxalement, souligne Johann Chapoutot, l’ordo-libéralisme, version allemande du néolibéralisme, a été promu par d'anciens opposants au nazisme, autour du chancelier Adenauer, mais la vision purement utilitariste, productiviste de l’humanité qui le caractérise a pour résultat une réification des « ressources humaines » qui n'est pas sans similitude avec celle opérée par l’idéologie nazie.
Motion design Kilian Le Dantec. Montage Alexis Debaye.
Une émission de Julien Théry #Nazisme #Management #Chapoutot
Catégorie Actualités et politique 203 commentaires
i aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?carWNw
• 1 vues Channel avatarAccount avatar - Durée 16 min 17 sec
Des réformes successives, une réorganisation de l'entreprise, et 57 suicides parmi ses salariés pour la seule année 2017. En face, le déni de la direction. Une situation qui évoque le cas de France Telecom, dont les dirigeants sont actuellement jugés pour leur management criminel.
Confidentialité Publique
Publié originellement 12 juin 2019
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : france telecom ; management ; pépy ; SNCF ; suicides
10:00 - il y a 1 jour - 10 vues lemediatv
et à
https://www.youtube.com/watch?v=dFOIweUkJ8s
"
27 369 vues - 2,9 k - 11 - 275 k abonnés
On a vu se multiplier ces gestes : des travailleurs qui jettent – ou déposent – leurs outils de travail. Soignants, cheminots, ouvriers, égoutiers, profs, artisans du Mobilier National ou salariés de Météo France. En manif ou pendant les discours à la con de leurs dirigeants, chacun montre l’objet qui rappelle le mieux sa profession. Que veulent-ils dire en faisant cela ?
Il ne suffit pas d’avoir un outil : il faut le maîtriser. L’outil rappelle la face concrète du travail, le métier. Travailler, ce n'est pas seulement un moyen de gagner de l’argent, c’est une activité qui demande engagement et effort, sueur et attention, coordination avec d’autres, et organisation.
Or le néo-management nous empêche de bien travailler. Et non seulement il est dans le déni des effets délétères qu'il produit, mais il tente pathétiquement de réenchanter artificiellement le travail qu'il a vidé de son sens.
Si la réforme des retraites rencontre une opposition aussi large toutes professions confondues c'est aussi qu'elle révèle l'univers mental de ses défenseurs : leur obsession de la rentabilité financière va de pair avec un refus catégorique de considérer les exigences du travail concret. Il faut refuser leur fausse alternative : on n'a pas à choisir entre rentabilité ou bonnes conditions de travail.
.#Stagirite #Managers #Grève
Catégorie Actualités et politique 317 commentaires
le Stagirite Épinglé par Le Média il y a 11 heures
Et vous, quel est l’objet qui représente le mieux votre travail ? (à part l’oreiller, hein...)
Pour aller plus loin :
- Marie-Anne Dujarier, Le Management désincarné. Enquête sur les nouveaux cadres du travail
Paris, La Découverte, coll. « Cahiers libres », 2015
Recensions :
https://www.cairn.info/revue-travail-et-emploi-2016-2-page-129.htm
https://journals.openedition.org/lectures/18572
Articles sur les jets d’outils
https://blogs.mediapart.fr/thomas-coutrot/blog/280120/jeter-ses-outils-en-defense-de-son-travail
https://www.mediapart.fr/journal/france/220120/retraites-la-mobilisation-evolue-ou-l-outil-de-travail-au-service-de-la-com
Provenance des extraits :
UNIVERSITÉ, RECHERCHE : LA RÉBELLION FACE AU DÉSASTRE QUI VIENT - MARCHE OU GRÈVE #25 : https://www.youtube.com/watch?v=3fV9qMtIZc0
Conférence Le management désincarné avec Marie-Anne Dujarier : https://www.youtube.com/watch?v=OeBOwwZmMUk
«Espace de travail» : le «réalisme» managérial contre la réalité du travail : https://www.youtube.com/watch?v=ZAsn5KxVSZE
Théobald de Bentzmann : https://www.facebook.com/lesmutantsvideo/videos/636543863752981/
Connue / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1225106813021904896
"
Remomax @Remumax · 9h En réponse à @LeMediaTV et @Le_Stagirite
C'est le principe de Dilbert: « Les gens les moins compétents sont systématiquement affectés aux postes où ils risquent de causer le moins de dégâts : ceux de managers. »
"
&
néomanagement en opposition au Prix de l'excellence https://www.decitre.fr/livres/le-prix-de-l-excellence-9782729600259.html
"
Le Prix de l'excellence remet en question la prépondérance du " rationalisme " enseigné par les écoles de gestion, mais ne défend pas non plus de façon inconditionnelle les " relations humaines ". La réponse se trouve entre ces deux extrêmes.
"
1 558 vues - 10 - 0 - 360 abonnés
Depuis 2016, FABERNOVEL INNOVATE accompagne la MAIF dans le design de son expérience utilisateur et collaborateur.
0 commentaire
Connue / https://careers.fabernovel.com/
Transcription : 4 questions à Pascal Demurger, Directeur général de MAIF et Leila Turner, Directrice générale de FABERNOVEL INNOVATE
- Comment la révolution numérique impacte-t-elle le secteur de l'assurance ?
contraction à venir du marché certaine avec le développement des véhicules semi-autonomes d'abord, totalement autonomes ensuite. Réduction de la sinistralité de 50% à horizon 2030, 80% à horizon plus lointain. Un nombre d'acteurs plus important (GAFA, Startup ... Évolution des règles du jeu sur ce marché B2C en B2B ou B2B2C. Enfin, la manière de faire de l'assurance : bigdata, UX. Bouleversements profonds, nombreux et rapides.
Leila ... repenser la diversification de son marché. le numérique abaisse les frontières à l'entrée. La MAIF veut RENDRE CAPABLE POUR RENDRE POSSIBLE. Soit remonter bien plus en amont ... rentrer sur le marché de la formation, agrégateur bancaire, par ex. - Réponse à ces changements : résumée en 2 mots : PIVOT - SINGULARITÉ. Management par la confiance, entreprise libérée. Que la MAIF ait un impact sur la société : impact environnemental et sociétal positif, Inspirationnel pour ses salariés, ses clients, etc
- Comment FI a accompagné la M sur ses chantiers ? l'aider sur la refonte de son expérience sociétaires. /designers écoute, observation utilisateurs pour bien détecter et comprendre usages et besoins. ET aussi un peu sorti du cadre en allant voir audelà de la maif et de l'assurance dt san francisco /UX. Puis posé les piliers d'une expérience cible telle qu'elle devrait être vécue par l'ensemble des sociétaires. Est profond, a vocation à circuler et devenir un point de fuite pour l'ensemble de l'entreprise, en tenant compte de la culture et des singularités très fortes de la maif. /opérationnel /équipes décliner cette vision sur >>nbr parcours types (souscription contrat, gestion patrimoine, déclaration sinistre. Refonte UX. Idem avec expérience collaborateur / carrière. En transverse installer une culture de l'UX en formant à méthodo design thinking. Faire différent pour envisager la suite.
- Quelle suite ? Focaliser sur la culture (du digital, on a créé en interne une académie du digital pour la diffuser, la généraliser ; puis de l'UX à partir de la relation sociétaire à dépasser). Puis le style managérial, doit être symétrique, d'où un vaste chantier de management par la confiance dont on sent bien que c'est un chantier culturel.
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
(Administration handi-accueillante et attachée à la mixité et à la diversité)
INTITULE DU POSTE : Office manager / Médiateur du lab 110 bis
Offre à télécharger à https://place-ep-recrute.talent-soft.com/Handlers/download.ashx?filetype=1032&fileguid=25418b50-afb7-4f4d-b8d3-1182bc739a62&offerid=158093
CONTACTS RH
- Véronique GRONNER, cheffe de service, adjointe à la Secrétaire générale du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse et du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation veronique.gronner@education.gouv.fr - 01 55 55 82 89
- Somalina PA, responsable du Lab 110 bis et du pôle de développement des financements alternatifs et d’accompagnement des porteurs de projets innovants
somalina.pa@education.gouv.fr - 01 55 55 10 85
Connu / https://twitter.com/LeaDouhard/status/1194991625900085260
"
François BOCQUET a retweeté
Léa Douhard @LeaDouhard · 7h📣
.#jobalert Envie de participer à la transformation de l'#education nationale de l'intérieur ?
Le @lab110bis recrute 2 profils ASAP :
✅ 1 stagiaire chargé(e) de projet #evenementiel http://bit.ly/stage110bis #stage
✅ 1 office manager / médiateur
Portail de la Fonction Publique | Page offre - Sg lab 110 bis office manager-médiateur h-f,...
Ce site propose des offres d'emplois publiées par les employeurs des Fonctions Publiques d'Etat, Territoriale et Hospitalière.
"
.#orange #mobile - 52 002 vues - 3,7 k - 64
Catégorie Divertissement 484 commentaires
Le Fil d'Actu - Officiel
Épinglé par Le Fil d'Actu - Officiel - il y a 3 jours
NOS SOURCES :
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_apres-france-telecom-les-patrons-font-ils-plus-attention-a-leur-personnel?id=10213502
https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/sante-au-travail/suicides-a-france-telecom-l-article-a-lire-pour-comprendre-pourquoi-orange-se-retrouve-devant-la-justice_3423431.html
https://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2014/12/12/france-telecom-la-mecanique-de-la-chaise-vide_4539636_3224.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/05/proces-france-telecom-radiographie-d-un-systeme-de-harcelement-moral_5458549_3224.html
https://www.mediapart.fr/journal/france/050519/proces-des-suicides-france-telecom-les-dirigeants-face-leur-responsabilite-sociale
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/orange-sur-le-banc-des-accuses-20190505
https://www.latribune.fr/economie/france/ordonnances-macron-des-effets-collateraux-negatifs-sur-la-prevention-des-risques-810857.html
SOURCES VIDEO :
https://www.youtube.com/watch?v=PK080YkNudY&t=12s
https://www.youtube.com/watch?v=8tP0yfo3rYM
https://www.youtube.com/watch?v=ZIXRbTx1HQI&t=1027s
https://www.youtube.com/watch?v=2UCXrK0898I
https://www.youtube.com/watch?v=acbmXxL7yXA
https://www.lemonde.fr/societe/video/2009/10/04/la-peche-aux-moules-c-est-fini_1249128_3224.html
https://www.dailymotion.com/video/xahube
https://www.lci.fr/justice/proces-pour-harcelement-moral-a-france-telecom-les-gens-etaient-des-cibles-2120709.html
https://www.francetvinfo.fr/economie/telecom/suicides-a-france-telecom/video-le-fils-d-un-ancien-salarie-qui-s-est-suicide-revient-sur-l-horreur-de-ce-qu-il-s-est-passe-a-france-telecom_3431117.html
16
Greg Stef il y a 4 jours
A quand une vraie greve totale generale pour tout en France...
Xerfi Canal, le médiateur du monde économique
Cet article est publié dans le cadre du premier festival de la Revue française de gestion, « Finance, Stratégie, Gouvernance : 40 ans de Revue Française de Gestion » organisé le 17 novembre 2017 à l’IAE de Grenoble en partenariat avec le CERAG, The Conversation France et XERFI Canal Productions – Les auteurs du numéro spécial de la RFG « Concilier finance et management » publié en 2009 et coordonné par Michel Albouy, étaient invités à s’exprimer sur le thème : « Une décennie après la crise financière : quel regard, quelles évolutions… ?
...
le thème de l’exemplarité, qui figurait dans le titre de l’article alors que personne ou presque n’en parlait en 2009 pour discuter de la relation entre finance et stratégie, suscite aujourd’hui pas moins de 814 000 occurrences
...
La thèse défendue dans cet article peut se résumer sous la forme d’une équation simplifiée : I = C x M x E
...
L’étrange défaite de la stratégie et du management
Commençons par le I, pour « Incertitude »
...
L’incertitude, c’est le futur, dans sa dimension radicalement méconnaissable.
...
C pour « Calcul ». Puisque le calcul, ou plus exactement la rationalité calculatoire, est celle qui nous est la plus familière. Puisque c’est elle qui érige les mathématiques au rang de reine des sciences. Puisque c’est le calcul qui donne sa crédibilité à l’hypothèse d’efficience des marchés. Puisque la propriété, c’est sans doute moins ce « vol » cher à Pierre-Joseph Proudhon que le moyen de substituer aux passions potentiellement déchaînées le souci, d’abord, de la défense des intérêts (Hirschman, 1980).
...
posséder c’est aussi toujours un peu être possédé. Que l’échange marchand est bien fait d’une double dépossession, réciproque, entre un offreur et un demandeur puisque dans le cadre d’un marché les choses ne s’échangent pas, c’est la relation avec elles qui s’échangent. Par double transfert, et donc dépossession réciproque, de droits – ou titres – de propriété comme on peut le comprendre du fameux article « The problem of social cost » de Ronald Coase.
...
ceci ouvre la voie à toutes les arnaques et à tous les scandales : se sentir dépossédé sans avoir le sentiment d’avoir été dédommagé en retour fait le lit de la colère. Puis de la haine. Comme un sentiment qui s’impose lorsqu’on s’estime trahi. Ou volé. Ou violé. Surtout si les fauteurs ne sont ni retrouvés, ni sanctionnés.
...
en termes strictement économiques : la confiance, c’est le terreau sur lequel s’ensemencent les calculs des agents. Elle procède donc d’une dimension exogène aux calculs, puisqu’elle est une institution.
...
Avec les forces de Porter par exemple et les appétits pour la marge et sa capture ; ou encore – surtout – avec le fameux conflit potentiel entre les mandants et les mandataires, les actionnaires et les dirigeants, cher à la théorie positive de l’agence.
...
Voilà pourquoi Jensen (2001) a pu défendre avec la force de conviction qu’on lui connaît, en s’appuyant sur la dynamique calculatoire (Ressourceful Evaluative Maximizing Model), que la maximisation de la création de valeur pour l’actionnaire devait être l’objectif unique de l’entreprise. Une vision largement relayée par nombre de dirigeants en pratique, puisqu’elle organisait aussi mécaniquement… l’explosion de leur rémunération. Au risque de la disparition même du besoin de gestion (Denis, 2008).
LOVE/HATE. r2hox/Visual Hunt, CC BY-SA
La tension LOVE/HATE au principe d’une véritable théorie stratégique
L’article publié en 2009 dans la RFG traitait indirectement du fait que les théories dites « contractuelles de la firme », dès lors qu’elles sont toutes empreintes dans leurs gènes de l’imaginaire économique, sont bel et bien des théories du soupçon, de la défiance, du HATE.
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Il ne faut en effet jamais sous-estimer combien nos sciences du management restent imprégnées du contexte culturel américain, et combien elles en sont aussi le véhicule de l’imaginaire idéologique comme cela a été rappelé à maintes reprises dans les pages de la RFG (Denis, Martinet, 2012).
Avec une conséquence directe : la passion de la compétition, l’ambition de la fortune restent le plus petit dénominateur commun d’une société toujours en proie au déchaînement de haine entre ses communautés. C’est là d’ailleurs qu’il faut chercher cette véritable passion pour le « légal » et le « rationnel » au sens de Max Weber, dans une société américaine qui a fait sienne la célébrissime formule de Samuel Colt : « God created Man and Samuel Colt made them equal »
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la fin de l’Histoire était le signe que le C du Calcul transformait désormais de manière définitive le I de l’incertitude en R du Risque.
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Comme si l’on touchait à un tabou insupportable, le M du « Mimétisme » a donc continué à rester largement l’impensé de la crise par le courant que l’on qualifie de « dominant », celui des théories contractuelles.
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Dans un pays comme la France, ce refus de prendre en compte les dynamiques mimétiques rivales, les emballements, la façon dont les prix peuvent devenir « overvalued » et avec quelles conséquences (Jensen, 2005) trace désormais une distinction nette, entre économistes dits orthodoxes et ceux dits hétérodoxes. L’exubérance irrationnelle sous le poids des rivalités mimétiques et des désirs de monnaie a beau être toujours dénoncée (Orléan, 2009), ceci ne change rien dès lors qu’il paraît toujours rationnellement préférable d’avoir tort avec tout le monde plutôt que raison tout seul.
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aucune des démonstrations de l’inefficience à court terme des marchés à l’occasion des crises ne semblait avoir raison de la passion pour le postulat de « l’efficience des marchés » (Jorion, 2006).
La rivalité mimétique est pourtant d’évidence pour un professeur de gestion.
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l’entreprise c’est d’abord un acte créateur et en ce sens, aussi, une famille (Denis, 2014).
Famille et exemplarité : inverser la vapeur épistémologique et théorique
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une conviction épistémologique profonde, était la suivante : et si nous renversions, nous, professeurs de sciences de gestion, la vapeur ? Les phénomènes mimétiques sont d’une telle évidence empirique, ils ont été si bien théorisés en économie mais aussi en sociologie et même en gestion, qu’ils peuvent et doivent renseigner l’exercice de la raison managériale et stratégique.
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concentrons-nous plutôt sur le seul objectif épistémologique qui vaille pour les sciences du management : aider à concevoir mieux ex ante là où d’autres se donnent d’abord pour mission d’expliquer ex post (Martinet, 1997, 2009).
Focaliser sur ce qui fait tenir ensemble la « famille » plutôt que sur les motifs – technologiques, économiques, politiques, sociétaux… – qui pourraient conduire les parties à ne se réunir que pendant un temps a priori donné et en envisageant toujours cette relation comme potentiellement à termes échus, voilà le sens du renversement de vapeur que proposait l’article de 2009.
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l’aspiration au LOVE continue de diriger le monde. Un LOVE qui, bien sûr, peut toujours finir par dégénérer en HATE.
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la famille n’est pas l’espace de la liberté, puisqu’elle est précisément le lieu de son abolition.
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Avec cette famille comme lieu de dons/contre-dons perpétuellement recommencés s’est imposée l’idée d’une nécessité de remettre l’exemplarité au cœur du management, de la stratégie et même de la finance. « Montrer l’exemple », « donner l’exemple », « prendre exemple sur »… Si ce terme s’est imposé dans l’actualité et le vocabulaire politique avec une force irrésistible depuis la période 2010-2012, c’est non sans une pointe de satisfaction que je constate donc que le E de l’Exemplarité aura été introduit dans les pages de la RFG dès… 2009 ! Ce « E » qui constituait, pour moi, la variable manquante de l’équation stratégique, pour ne pas dire politique.
Introduire l’exemplarité permettait de rappeler combien la matrice d’Ansoff retrouve de la vigueur si on la voit comme une invitation à scénariser quatre « exemples » de vecteurs de croissance pour mieux ouvrir et concevoir des futurs possibles
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l’articulation avec les travaux les plus récents en gouvernance d’entreprise portant sur l’héroïne managériale, l’overvalued equity ou encore l’intégrité. Il allait aussi plus loin.
L’abus de confiance, trou noir juridico-managérial à repenser
La crise ... son paroxysme le 15 septembre 2008 avec la chute de Lehman Brothers, allait de pair avec cette ritournelle : nous étions sur le point de revivre l’exemple des années 1930.
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En conclusion, l’article RFG de 2009 s’interrogeait quant au fait de savoir si la prochaine crise ne serait pas pire, faute peut-être d’avoir su oublier l’exemple de 1929…
il n’y a pas meilleure valeur qu’une bonne information...
comment a-t-on pu réussir cette performance qu’une crise d’une telle ampleur que celle de 2007-2008 ne conduise finalement aucun coupable en prison ?
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nécessité d’une requalification jurisprudentielle du chef d’abus de confiance (Denis, 2010a ; 2010b)
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le juge n’est pas habilité à se prononcer sur la qualité des choix d’exploitation… Or, si l’on part du principe que l’incertitude (I) ne saurait être pensée – au XXIe siècle pas davantage qu’au XXe – sans la confiance, alors le calcul économique (C), seul, ne suffit plus. Parce que la confiance procède d’un processus endogène et non exogène. Elle suppose dès lors une compréhension des dynamiques mimétiques et de légitimité à l’œuvre (M). Elle requiert aussi un droit dynamique, apte à construire des jurisprudences exemplaires, au risque sinon de constater ex post la multiplication des scandales de dopage sans parvenir à jamais en sanctionner un et a fortiori à en prévenir d’autres.
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aboutissant à un arrêt de la cour d’appel de Versailles le 23 novembre 2016 qui a statué de manière très sévère sur la qualité des choix d’exploitation de l’entreprise Société Générale sur la période 2005–2008 constitue une source de profonde satisfaction.
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comment, des travaux de recherche que l’on critique si souvent pour leur absence d’utilité peuvent potentiellement ramener quelques milliards dans les poches du budget national.
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rappeler que dans nos sociétés managériales, les professeurs de « garagisme » (Denis, 2013) doivent désormais oser jouer le rôle qui aurait dû être le leur depuis bien longtemps si les inerties cognitives de nos institutions n’étaient ce qu’elles sont. A savoir, ni plus ni moins, que le premier.
Clés : management stratégie incertitude crise économique sciences de gestion crise financière risque
ndlr :
ago-antagonisme pas explicité ? ACT
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