Depuis septembre, les élus et techniciens de la collectivité Cœur de Chartreuse travaillent avec les acteurs du territoire pour préparer la ...
Connu / TG le 9/10/22 à 13:14
Le président Emmanuel Macron a annoncé la relance de la construction de réacteurs nucléaires lors de sa dernière allocution télévisée le 9 novembre.
France Télévisions Temps de lecture : 1 min.
Un ouvrier sur le chantier de construction du réacteur EPR de troisième génération à Flamanville, dans le nord-ouest de la France, le 16 novembre 2016. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)
Un doute plane sur la filière nucléaire
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La construction de nouveaux moyens de production électrique – qu'ils soient nucléaires ou renouvelables – "appelle des décisions à présent urgentes pour garantir notre approvisionnement à l'horizon de la décennie 2040", soulignent les magistrats dans une note thématique. C'était déjà la conclusion du récent rapport du gestionnaire du réseau RTE, alors que le parc nucléaire français vieillit.
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Planète - Coronavirus et pandémie de Covid-19 - Temps de Lecture 5 min.
Contrairement aux attentes, le nombre de cas positifs a baissé de moitié depuis la levée des restrictions sanitaires le 19 juillet.
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Faute de certitudes, deux grandes explications à ce paradoxe sont avancées. La première vient de l’Euro 2020, qui s’est déroulé du 11 juin au 11 juillet. La compétition de football a vu l’Angleterre atteindre la finale, et chaque match poussait les Anglais à se réunir dans les pubs, les fan-zones ou simplement en groupe chez eux. Le jour de la finale, des hordes de supporteurs ont fait la fête toute la journée à travers le pays – jusqu’à la défaite de leur équipe –, essentiellement sans masque ni distanciation sociale. « Quand l’Euro s’est arrêté, on a vu un rapide déclin du nombre de contaminations », souligne Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia. Il en veut pour preuve que les contaminations en Ecosse, où l’équipe nationale avait été éliminée dès le 22 juin, avaient commencé à reculer trois semaines plus tôt.
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Connu / https://twitter.com/bloginfo/status/1425354018046582785
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Denis Szalkowski @bloginfo · 11 août
Et si c'était ça la solution, revivre normalement, vacciner les plus fragiles et soigner les gens ! #COVID #COVID19 #coronavirus Il faut arrêter cette imbécilité de #PassSanitaire
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intègre https://www.youtube.com/watch?v=kP97Ngw3cWw
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Dans ce 136e numéro de la Revue de la semaine tourné depuis La Paz, en Bolivie, Jean-Luc Mélenchon revient sur son déplacement sur le lac Titicaca où se posent de nombreux problèmes de pollution liés à la gestion de l'eau : urbanisation, absence de traitement des eaux usées, fonte des glaciers qui paradoxalement vont diminuer la quantité d'eau du lac et augmenter la concentration en toxines, développement d'algues et de cyanophycées... Il fait le récit de sa rencontre avec une équipe de chercheurs franco-boliviens qui étudient le lac Titicaca et les leçons qu'on peut en tirer.
Plus largement, Jean-Luc Mélenchon explique comment le changement climatique rend plus compliqué la prise de décisions politiques et la planification compte tenu de l'incertitude qu'il occasionne sur le temps long, une situation connue pouvant changer très rapidement et dérégler de nombreux paramètres de la prise de décision initiale. Il affirme donc la nécessité de se doter d'outils de mesure puissants pour connaître les changements de manière très fine.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon détaille pourquoi ces changements invitent à penser l'unité du peuple humain devant les défis liés au changement climatique. Il appelle à penser une diplomatie universaliste au service du peuple humain.
910 commentaires
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À propos de : Clive Hamilton, Requiem pour l’espèce humaine, Paris, Presses de Sciences Po, 2012, 266 p. Clive Hamilton, Les apprentis sorciers du climat. Raisons et déraisons de la géo-ingénierie, Paris, Seuil, 2013, 352 p. Alexandre Magnan, Changement climatique : tous vulnérables ?, Paris, Éditions Rue d’Ulm, 2013, 72 p. Edwin Zaccai, François Gemenne, Jean-Michel Decroly (dir.), Controverses climatiques, science et politique, Paris, Presses de Sciences Po, 2012, 254 p.
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Le doute intelligemment exploité entretient la confusion
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Le changement climatique est un processus global et complexe. Son analyse mobilise une multitude de disciplines scientifiques : climatologie, météorologie, glaciologie, hydrologie, géomorphologie, océanographie, agronomie, géographie, etc. Malgré le concours de l’ensemble de ces disciplines, l’existence d’incertitudes dues à cette complexité, aux limites des sciences et connaissances actuelles conjuguées à un processus imparfait de diffusion des informations produit et entretient une part de doute qui, en politique, peut rapidement être interprété comme une forme de faiblesse voire d’incompétence. Or, c’est bien aux décideurs politiques, qui « ont besoin de pouvoir justifier leur décision et de mesurer les risques encourus » (Controverses climatiques, science et politique, p. 82), qu’il appartient d’impulser et de soutenir le processus d’élaboration de solutions visant à répondre aux problèmes soulevés par les scientifiques du GIEC. Cette traduction politique constitue le ressort du débat autour de l’existence du changement climatique et du traitement de ses conséquences.
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La gestion de ce doute et ses implications constituent le sujet de l’ouvrage collectif Controverses climatiques, science et politique, qui s’intéresse à l’introduction du changement climatique dans la sphère politique. Les travaux explorent la vigueur du mouvement climatosceptique, ses motivations, productions, stratégies, aussi bien dans les pays industrialisés que dans les pays en développement. Sa dynamique repose essentiellement sur l’entretien de la confusion au sein de l’opinion publique et le discrédit des scientifiques par ces « marchands de doute » [2]
[2]Expression utilisée à l’origine pour désigner les lobbyistes de…
. La prise en compte du changement climatique est anxiogène, onéreuse, culpabilisante et appelle ni plus ni moins à une refonte totale de nos modes de vie, ce qui fait beaucoup pour un phénomène dont on peine à percevoir les effets. Ce simple constat, réel, est habilement exploité, enrobé d’accusations de catastrophisme, d’extrémisme ou même de communisme. À titre d’exemple, le mouvement climatosceptique américain qualifiait ses adversaires de « pastèques », les suspectant d’être vert à l’extérieur et rouge à l’intérieur, quand certains de ses porte-paroles déclaraient que les Américains n’avaient « pas gagné les guerres du XXe siècle pour rendre le monde plus sûr pour les légumes » [3]
[3]Phrase attribuée à Richard Darman, membre de l’administration…
. La maîtrise de la rhétorique et de la raillerie, excellents outils de promotion et de médiatisation, est bien du côté des climatosceptiques. L’analyse du phénomène à travers des études de cas (France, États-Unis, Chine, Union européenne) se révèle ainsi particulièrement riche d’enseignements. C’est d’ailleurs là chose étrange que de finalement observer des scientifiques toujours aussi peu à même de se défendre malgré l’expérience qu’aurait dû leur conférer l’accueil souvent houleux réservé à leurs productions. Aussi, le GIEC continue de pâtir de son refus d’investir, au moins partiellement, le jeu politique [4],
[4]Lire à ce sujet l’excellente contribution d’Olivier Godard,…
se contentant de répondre aux attaques et tentatives de déstabilisations en s’adressant à leurs auteurs – qu’ils soient scientifiquement compétents ou non – et non directement à l’opinion publique.
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L’entretien d’un doute dans l’esprit du public reste donc l’objectif premier de la communauté climatosceptique, sentiment que favorise la gestion embarrassée de l’incertitude par les pédagogues du changement climatique. Car la reconnaissance de cette incertitude – qui découle simplement de leur rigueur scientifique – peut être instrumentalisée et utilisée à leurs dépens. À ce sujet, la remarque de James Hansen, climatologue à la Nation Aeronautics and Space Administration (NASA), pour qui « les scientifiques sont davantage préoccupés par la crainte d’être accusés de “crier au loup” plutôt que par celle de “chanter quand Rome brûle” » (Requiem pour l’espèce humaine, pp. 14-15), semble parfaitement appropriée.
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Ndlr : cet exemple confirme la pertinence du concept d'instrumentalisation(s) par le doute en politique, réponse à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?BliFSA
Cet article est publié dans le cadre du premier festival de la Revue française de gestion, « Finance, Stratégie, Gouvernance : 40 ans de Revue Française de Gestion » organisé le 17 novembre 2017 à l’IAE de Grenoble en partenariat avec le CERAG, The Conversation France et XERFI Canal Productions – Les auteurs du numéro spécial de la RFG « Concilier finance et management » publié en 2009 et coordonné par Michel Albouy, étaient invités à s’exprimer sur le thème : « Une décennie après la crise financière : quel regard, quelles évolutions… ?
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le thème de l’exemplarité, qui figurait dans le titre de l’article alors que personne ou presque n’en parlait en 2009 pour discuter de la relation entre finance et stratégie, suscite aujourd’hui pas moins de 814 000 occurrences
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La thèse défendue dans cet article peut se résumer sous la forme d’une équation simplifiée : I = C x M x E
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L’étrange défaite de la stratégie et du management
Commençons par le I, pour « Incertitude »
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L’incertitude, c’est le futur, dans sa dimension radicalement méconnaissable.
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C pour « Calcul ». Puisque le calcul, ou plus exactement la rationalité calculatoire, est celle qui nous est la plus familière. Puisque c’est elle qui érige les mathématiques au rang de reine des sciences. Puisque c’est le calcul qui donne sa crédibilité à l’hypothèse d’efficience des marchés. Puisque la propriété, c’est sans doute moins ce « vol » cher à Pierre-Joseph Proudhon que le moyen de substituer aux passions potentiellement déchaînées le souci, d’abord, de la défense des intérêts (Hirschman, 1980).
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posséder c’est aussi toujours un peu être possédé. Que l’échange marchand est bien fait d’une double dépossession, réciproque, entre un offreur et un demandeur puisque dans le cadre d’un marché les choses ne s’échangent pas, c’est la relation avec elles qui s’échangent. Par double transfert, et donc dépossession réciproque, de droits – ou titres – de propriété comme on peut le comprendre du fameux article « The problem of social cost » de Ronald Coase.
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ceci ouvre la voie à toutes les arnaques et à tous les scandales : se sentir dépossédé sans avoir le sentiment d’avoir été dédommagé en retour fait le lit de la colère. Puis de la haine. Comme un sentiment qui s’impose lorsqu’on s’estime trahi. Ou volé. Ou violé. Surtout si les fauteurs ne sont ni retrouvés, ni sanctionnés.
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en termes strictement économiques : la confiance, c’est le terreau sur lequel s’ensemencent les calculs des agents. Elle procède donc d’une dimension exogène aux calculs, puisqu’elle est une institution.
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Avec les forces de Porter par exemple et les appétits pour la marge et sa capture ; ou encore – surtout – avec le fameux conflit potentiel entre les mandants et les mandataires, les actionnaires et les dirigeants, cher à la théorie positive de l’agence.
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Voilà pourquoi Jensen (2001) a pu défendre avec la force de conviction qu’on lui connaît, en s’appuyant sur la dynamique calculatoire (Ressourceful Evaluative Maximizing Model), que la maximisation de la création de valeur pour l’actionnaire devait être l’objectif unique de l’entreprise. Une vision largement relayée par nombre de dirigeants en pratique, puisqu’elle organisait aussi mécaniquement… l’explosion de leur rémunération. Au risque de la disparition même du besoin de gestion (Denis, 2008).
LOVE/HATE. r2hox/Visual Hunt, CC BY-SA
La tension LOVE/HATE au principe d’une véritable théorie stratégique
L’article publié en 2009 dans la RFG traitait indirectement du fait que les théories dites « contractuelles de la firme », dès lors qu’elles sont toutes empreintes dans leurs gènes de l’imaginaire économique, sont bel et bien des théories du soupçon, de la défiance, du HATE.
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Il ne faut en effet jamais sous-estimer combien nos sciences du management restent imprégnées du contexte culturel américain, et combien elles en sont aussi le véhicule de l’imaginaire idéologique comme cela a été rappelé à maintes reprises dans les pages de la RFG (Denis, Martinet, 2012).
Avec une conséquence directe : la passion de la compétition, l’ambition de la fortune restent le plus petit dénominateur commun d’une société toujours en proie au déchaînement de haine entre ses communautés. C’est là d’ailleurs qu’il faut chercher cette véritable passion pour le « légal » et le « rationnel » au sens de Max Weber, dans une société américaine qui a fait sienne la célébrissime formule de Samuel Colt : « God created Man and Samuel Colt made them equal »
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la fin de l’Histoire était le signe que le C du Calcul transformait désormais de manière définitive le I de l’incertitude en R du Risque.
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Comme si l’on touchait à un tabou insupportable, le M du « Mimétisme » a donc continué à rester largement l’impensé de la crise par le courant que l’on qualifie de « dominant », celui des théories contractuelles.
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Dans un pays comme la France, ce refus de prendre en compte les dynamiques mimétiques rivales, les emballements, la façon dont les prix peuvent devenir « overvalued » et avec quelles conséquences (Jensen, 2005) trace désormais une distinction nette, entre économistes dits orthodoxes et ceux dits hétérodoxes. L’exubérance irrationnelle sous le poids des rivalités mimétiques et des désirs de monnaie a beau être toujours dénoncée (Orléan, 2009), ceci ne change rien dès lors qu’il paraît toujours rationnellement préférable d’avoir tort avec tout le monde plutôt que raison tout seul.
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aucune des démonstrations de l’inefficience à court terme des marchés à l’occasion des crises ne semblait avoir raison de la passion pour le postulat de « l’efficience des marchés » (Jorion, 2006).
La rivalité mimétique est pourtant d’évidence pour un professeur de gestion.
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l’entreprise c’est d’abord un acte créateur et en ce sens, aussi, une famille (Denis, 2014).
Famille et exemplarité : inverser la vapeur épistémologique et théorique
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une conviction épistémologique profonde, était la suivante : et si nous renversions, nous, professeurs de sciences de gestion, la vapeur ? Les phénomènes mimétiques sont d’une telle évidence empirique, ils ont été si bien théorisés en économie mais aussi en sociologie et même en gestion, qu’ils peuvent et doivent renseigner l’exercice de la raison managériale et stratégique.
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concentrons-nous plutôt sur le seul objectif épistémologique qui vaille pour les sciences du management : aider à concevoir mieux ex ante là où d’autres se donnent d’abord pour mission d’expliquer ex post (Martinet, 1997, 2009).
Focaliser sur ce qui fait tenir ensemble la « famille » plutôt que sur les motifs – technologiques, économiques, politiques, sociétaux… – qui pourraient conduire les parties à ne se réunir que pendant un temps a priori donné et en envisageant toujours cette relation comme potentiellement à termes échus, voilà le sens du renversement de vapeur que proposait l’article de 2009.
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l’aspiration au LOVE continue de diriger le monde. Un LOVE qui, bien sûr, peut toujours finir par dégénérer en HATE.
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la famille n’est pas l’espace de la liberté, puisqu’elle est précisément le lieu de son abolition.
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Avec cette famille comme lieu de dons/contre-dons perpétuellement recommencés s’est imposée l’idée d’une nécessité de remettre l’exemplarité au cœur du management, de la stratégie et même de la finance. « Montrer l’exemple », « donner l’exemple », « prendre exemple sur »… Si ce terme s’est imposé dans l’actualité et le vocabulaire politique avec une force irrésistible depuis la période 2010-2012, c’est non sans une pointe de satisfaction que je constate donc que le E de l’Exemplarité aura été introduit dans les pages de la RFG dès… 2009 ! Ce « E » qui constituait, pour moi, la variable manquante de l’équation stratégique, pour ne pas dire politique.
Introduire l’exemplarité permettait de rappeler combien la matrice d’Ansoff retrouve de la vigueur si on la voit comme une invitation à scénariser quatre « exemples » de vecteurs de croissance pour mieux ouvrir et concevoir des futurs possibles
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l’articulation avec les travaux les plus récents en gouvernance d’entreprise portant sur l’héroïne managériale, l’overvalued equity ou encore l’intégrité. Il allait aussi plus loin.
L’abus de confiance, trou noir juridico-managérial à repenser
La crise ... son paroxysme le 15 septembre 2008 avec la chute de Lehman Brothers, allait de pair avec cette ritournelle : nous étions sur le point de revivre l’exemple des années 1930.
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En conclusion, l’article RFG de 2009 s’interrogeait quant au fait de savoir si la prochaine crise ne serait pas pire, faute peut-être d’avoir su oublier l’exemple de 1929…
il n’y a pas meilleure valeur qu’une bonne information...
comment a-t-on pu réussir cette performance qu’une crise d’une telle ampleur que celle de 2007-2008 ne conduise finalement aucun coupable en prison ?
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nécessité d’une requalification jurisprudentielle du chef d’abus de confiance (Denis, 2010a ; 2010b)
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le juge n’est pas habilité à se prononcer sur la qualité des choix d’exploitation… Or, si l’on part du principe que l’incertitude (I) ne saurait être pensée – au XXIe siècle pas davantage qu’au XXe – sans la confiance, alors le calcul économique (C), seul, ne suffit plus. Parce que la confiance procède d’un processus endogène et non exogène. Elle suppose dès lors une compréhension des dynamiques mimétiques et de légitimité à l’œuvre (M). Elle requiert aussi un droit dynamique, apte à construire des jurisprudences exemplaires, au risque sinon de constater ex post la multiplication des scandales de dopage sans parvenir à jamais en sanctionner un et a fortiori à en prévenir d’autres.
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aboutissant à un arrêt de la cour d’appel de Versailles le 23 novembre 2016 qui a statué de manière très sévère sur la qualité des choix d’exploitation de l’entreprise Société Générale sur la période 2005–2008 constitue une source de profonde satisfaction.
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comment, des travaux de recherche que l’on critique si souvent pour leur absence d’utilité peuvent potentiellement ramener quelques milliards dans les poches du budget national.
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rappeler que dans nos sociétés managériales, les professeurs de « garagisme » (Denis, 2013) doivent désormais oser jouer le rôle qui aurait dû être le leur depuis bien longtemps si les inerties cognitives de nos institutions n’étaient ce qu’elles sont. A savoir, ni plus ni moins, que le premier.
Clés : management stratégie incertitude crise économique sciences de gestion crise financière risque
ndlr :
ago-antagonisme pas explicité ? ACT