Flatpak (anciennement xdg-app) est un système de virtualisation d’application pour les distributions GNU/Linux de bureau.
Historique
Le système de paquets Flatpak fut développé à l'origine pour faciliter le déploiement sécurisé d'applications sur différentes distributions Linux. Le développeur principal du projet est Alexander Larsson.
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En mai 2017 est lancé Flathub [archive], un magasin d'applications qui permet de facilement trouver et installer un paquet Flatpak.
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L'objectif est de fournir un environnement « bac à sable » (sandbox) sûr, isolé du reste du système, dans lequel les utilisateurs peuvent exécuter des applications non validées par les dépôts de la distribution (des versions de test, par exemple)
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Le second objectif est de permettre l’installation des paquets Flatpak sur n'importe quelle distribution, les développeurs n'ont plus besoin d'emballer leur application pour chaque distribution GNU/Linux.
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avantage de ne pas nécessiter de droit administrateur.
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Pendant ce temps-là, la nuit dans Paris, ces athlètes spécialistes du parkour éteignent les enseignes lumineuses des magasins. Selon la loi, pour lutter contre la pollution lumineuse, ces lumières doivent être éteintes entre 1h et 6h. Et de nombreuses boutiques ne jouent pas le jeu…
Connu / TG 11/10/22 À 13:05
À contre-courant
En France, c’est environ 8 millions de personnes qui ont recours à l’aide alimentaire. Un constat alarmant, surtout dans un pays riche en terres agricoles.
Odette, correspondante citoyenne du Média, nous fait découvrir un projet en réflexion depuis plus de deux ans, une sécurité sociale de l’alimentation.
Mathieu Dalmais, agronome militant nous en explique les enjeux : "Ca s'organise autour de trois piliers, l'universalité, c'est à dire de créditer tout le monde de 150 euros par mois sur la carte vitale, le conventionnement pour que démocratiquement on se mette d'accord sur les produits que l'on pourra acheter avec cette carte, en accord avec les enjeux sociaux et environnementaux, puis la cotisation, de chacun selon ses moyens et à chacun selon ses besoins."
Des citoyens et collectifs associatifs qui sont déjà mobilisés et présents sur le terrain pour servir d’exemple local. Comme l’association Terre de Liens, qui aide de jeunes agriculteurs à s’installer. Car en France, ce sont plus de 200 fermes qui disparaissent chaque semaine.
Pauline et Joachim sont installés depuis 2016 à Saint-Romain-le-Puy, à 30min de Saint-Etienne. Un projet rendu possible grâce à l’investissement de citoyens, comme Nelly, bénévole à Terre de Liens : "Je ne voulais pas placer mes économies dans une banque. Ici on sait que notre argent va pouvoir financer des projets qui protègent nos terres agricoles."
Éviter la perte du foncier agricole, mais aussi vivre de son activité et rendre les produits accessibles au plus grand nombre, un challenge compliqué d’après Joachim. "Bien sûr que c'est dur pour les gens qui sont serrés à chaque fin de mois. Pas tout le monde peut s'acheter sa mâche à 12 euros le kilo. Mais nous en tant qu'agriculteur nous ne pouvons pas jouer le rôle de rendre accessible nos produits car il faut qu'on en vive. Il faudrait organiser ça autrement pour que tout le monde puisse bien manger".
A la Fourmilière, un magasin coopératif à Saint-Etienne, la question de l’accès pour tous à des produits de qualité mais cher se pose aussi.
Des initiatives locales importantes mais insuffisantes d’après Mathieu Dalmais, d’où la nécessité d’une sécurité sociale de l’alimentation pour avoir un impact global et vertueux. Une démocratie alimentaire, pour mieux payer nos agriculteurs, mieux manger, mieux cultiver en respectant nos sols, et surtout pour toutes et tous.
Mathieu, membre d'ingénieurs sans frontières, comment institutionnaliser une démocratie alimentaire ... pour toutes et tous
@LeMediaTV Niveau 1 :
LA LUTTE DEVIENT NATIONALE CONTRE BIOCOOP
"On est solidaire parce qu'on a déjà vu les conditions de travail se dégrader dans nos magasins qui vont vers une gestion clairement capitaliste, et ca, c'est pas un problème local, c'est un problème national." #Biocoop #Bio
On est solidaire parce qu'on a déjà vu les conditions de travail se dégrader dans nos magasins qui vont vers une gestion capitaliste, c'est pas un problème local, c'est un problème national.
6:30 PM · 22 sept. 2020
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