C’est un critère de plus en plus scruté lors des vagues de chaleur : la température humide, qui mesure la température de l’air ambiant combinée au taux d’humidité. A partir de certains seuils, le corps humain lâche. Ces températures humides extrêmes sont de plus en plus fréquentes.
Et il est parfois nécessaire et même inévitable de lutter... contre la chaleur. Nos petits corps sont mis à rude épreuve quand le thermomètre s’affole, et à ceux qui seraient passés à côté je vous signale qu’une partie de l’Asie souffre en ce moment d’une vague de chaleur inédite, les Philippines, la Thaïlande, le Vietnam, le Cambodge, le Bengladesh, la Birmanie, l’Inde, il y a plus de 45° par endroits, une habitante disait dans les journaux « il fait chaud à en mourir » et c’est vrai. Savez-vous par exemple que si vous êtes exposé à une température de 35° dans une zone très humide, 100% d’humidité, pendant 6h, vous y passez ?
C’est ce qu’on appelle la « température humide », le « wet bulb » en anglais, dont on retrouve les origines dans l’US Navy, en 1956 précisément, comme me l’a expliqué la physicienne de l’atmosphère au CNRS Sarah Saffiedine : « Le terme « wet bulb temperature » a commencé à être vraiment utilisé par l’armée aux États Unis suite à plusieurs décès et maladies qui ont touché l’armée navale américaine dont la côte Est proche de l’Équateur. C’est là où on trouve les premiers essais d’utiliser la température humide comme un indice de confort thermique qui peut prédire les coups de chaleur e, activité en extérieur »
... quand l’air est sec, on peut transpirer et donc refroidir notre température interne, puisqu’on évacue la chaleur, alors que quand il fait humide, ben ça ne ventile pas. Donc on peut tomber en hyperthermie, c’est-à-dire que la t° de notre corps dépasse la normale, comme quand on a de la fièvre. Et la barre des 35°/100 d’humidité 6h, ou – variante – 38° 80% d’humidité, ou encore 41° 60% d’humidité, elle pourrait non seulement en fait être + basse, certaines études commencent à parler d’un danger mortel à 31° et 60% d’humidité, mais surtout, elle est plus fréquente, ces événements de t° humide extrême ont été multipliés par 2 depuis 40 ans. Et ça ne va évidemment pas aller en s’arrangeant avec le réchauffement climatique. Cathy Clerbaux est elle aussi physicienne de l’atmosphère au CNRS :
« Comme la température augmente, des zones du globe vont être de plus en plus chaude et comme la température augmente la vapeur d’eau il y a plus d’évaporation aussi. Des endroits combinent à la fois des températures élevées et une concentration en vapeur d’eau qui est assez élevée et humide. On pense qu’en 2050, si on fait des projections de la température, dans certaines régions du globe comme l’Asie du Sud, le golfe persique, tout ce qui est autour de la mer rouge, il va y avoir plusieurs jours par an où justement ces températures vont être difficiles à supporter parce qu’elles combineront à la fois température élevée et niveau d’humidité élevé aussi »
Voilà des zones à risque clairement identifiées, avec un critère un peu contre-intuitif, c’est qu’il pourrait être plus difficile à vivre en bord de mer, où il y a plus de vapeur d’eau et donc d’humidité, que dans les terres, les chercheuses citent l’Arabie Saoudite par exemple. Sarah Saffiedine prévient également que ce n’est que le début :
« Aujourd’hui on voit qu’il y a de temps en temps des extrêmes mais ces extrêmes seront la norme dans le futur. Dans cette norme du futur il y aura aussi des extrêmes. On ne sait pas encore vraiment. Chaque année il y a une canicule qui est plus extrême que celle de l’année d’avant. Il y aura peut-être des événements très extrêmes de chaleur, ça pourrait avoir des effets catastrophiques »
Des régions inhabitables, et même si l’Europe par exemple est moins concernée puisque le climat est tempéré et non tropical, elle est aussi surveillée. L’enjeu est d’anticiper, partout :
« La finalité est de regarder comment le corps humain supporte les variations de différents paramètres avec l’idée que si les températures autour du globe augmentent, comment les personnes qui vivent dans des pays qui combinent à la fois chaleur et humidité vont pouvoir supporter ça ? »
Et là c’est un travail à mener aussi avec la médecine bien sûr, les recherches en fait sont encore assez nouvelles, mais l’enjeu est grand, avec comme toujours dans ce monde qui change, la nécessité de s’adapter, et donc de penser aussi les choses politiquement, à une échelle locale, nationale, globale. En attendant, donc, les corps et les gens n’arrêteront pas de lutter, pour simplement pouvoir continuer à vivre.
L'équipe Camille Crosnier Production Suzanne Pacaud Stagiaire
L'association Générations futures publie mardi un rapport sur les pesticides dans l'air.
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Connu / TG le 21/01/24 à 16:09
Structural basis for bacterial energy extraction from atmospheric hydrogen
Abstract
Diverse aerobic bacteria use atmospheric H2 as an energy source for growth and survival1. This globally significant process regulates the composition of the atmosphere, enhances soil biodiversity and drives primary production in extreme environments2,3. Atmospheric H2 oxidation is attributed to uncharacterized members of the [NiFe] hydrogenase superfamily4,5. However, it remains unresolved how these enzymes overcome the extraordinary catalytic challenge of oxidizing picomolar levels of H2 amid ambient levels of the catalytic poison O2 and how the derived electrons are transferred to the respiratory chain1. Here we determined the cryo-electron microscopy structure of the Mycobacterium smegmatis hydrogenase Huc and investigated its mechanism. Huc is a highly efficient oxygen-insensitive enzyme that couples oxidation of atmospheric H2 to the hydrogenation of the respiratory electron carrier menaquinone. Huc uses narrow hydrophobic gas channels to selectively bind atmospheric H2 at the expense of O2, and 3 [3Fe–4S] clusters modulate the properties of the enzyme so that atmospheric H2 oxidation is energetically feasible. The Huc catalytic subunits form an octameric 833 kDa complex around a membrane-associated stalk, which transports and reduces menaquinone 94 Å from the membrane. These findings provide a mechanistic basis for the biogeochemically and ecologically important process of atmospheric H2 oxidation, uncover a mode of energy coupling dependent on long-range quinone transport, and pave the way for the development of catalysts that oxidize H2 in ambient air.
Connu / TG le 13/03/23 à 11:35
"
LA REVOLUTION ECOLO-ENERGETIQUE EST EN MARCHE.
Le risque principal est la monétisation de l'air. On a déjà prévenu depuis longtemps.
En tout cas, ça justifie l'arrêt du nucléaire puisqu'une technologie lui est supérieure en terme d'indépendance de production locale. Reste le problème des brevets, qui évidemment va nous le mettre de toutes façon bien profond.
la conversion de l'hydrogene par l bactérie est une réction-doxydo-réduction donc d'un échange d'életrons donc de profustion d'élicricité
production
d'autre part, tu peu produire n'importe où et consommer sur place en héorie
"
Ndlr : En clair, les bactéries génèrent des électrons, donc un courant électrique, par une réaction d'oxydo-réduction de l'hydrogène en aérobie, c'est-à-dire n'importe où en présence d'air ? Vérifier ACT
Recherche fondamentale ou appliquée ? Si oui, applications effectives à quelle échéance ? Et quel rendement ? Questionner ACT
Editorial
Médecins, scientifiques, enseignants et chercheurs, nous nous sommes tous impliqués, chacun à notre manière, dans l’information et la prévention contre le COVID-19 depuis le début de la pandémie.
Ce qui nous rassemble est notre confiance dans la science et dans la démocratie. Nous pensons que les décisions doivent être fondées sur des données scientifiques solides, que celles-ci doivent être expliquées à la population et débattues avant d’être arbitrées politiquement. Nous ne sortirons du COVID qu’avec une population éclairée, où chaque individu deviendra un acteur de la lutte contre la diffusion du virus.
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Membres du collectif :
- Eric Billy – chercheur en immuno-oncologie – Strasbourg
- Dr Matthieu Calafiore – médecin généraliste – maître de conférence des universités – directeur du département de médecine générale de la faculté de Lille
- Dr Franck Clarot – médecin légiste – radiologue – vice-président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (76)
- Dr Corinne Depagne – pneumologue – Lyon
- Dr Jonathan Favre – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons
- Pr Germain Forestier – Data scientist – professeur des universités en informatique – Directeur du département d’informatique de l’Institut IRIMAS, Université de Haute-Alsace – professeur associé à l’université de Melbourne
- Pr Guillaume Gorincour – radiologue – vice-président du Conseil départemental de l’Ordre national des médecins (13)
- Stéphane Korsia-Meffre – vétérinaire & rédacteur médical – Auxerre
- Dr Christian Lehmann – médecin généraliste – écrivain
- Dr Jérôme Marty – médecin généraliste – président de l’Union Française pour une Médecine Libre (UFMLS)
- Dr François-Xavier Moronval – médecin urgentiste – Epinal
- Dr Michaël Rochoy – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons, chercheur associé à l’ULR2694
- Dr Hélène Rossinot – médecin spécialiste de santé publique – écrivain – Nancy
- Barbara Serrano – consultante indépendante et Maîtresse de conférences associée à l’Université de Versailles Saint-Quentin
- David Simard – docteur en philosophie, spécialisé en philosophie de la médecine et de la santé, chercheur associé au laboratoire LIS (EA4395) – Faculté de santé de l’Université Paris Est – Créteil
- Dr Florian Zores – Cardiologue – Strasbourg
- Pr Mahmoud Zureik – professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’Université de Versailles Saint-Quentin
Anciens membres / membres honoraires :
- Pr Thierry Baubet – psychiatre – chef de service psychiatrie addictologie – Hôpital Avicenne – Bobigny
- Dr Bruno Rocher – psychiatre addictologue – médecin responsable de l’espace Barbara – CHU Nantes
Le collectif réunit aussi d’autres bénévoles qui apportent compétences et expertise dans des domaines aussi variés que l’ingénierie mécanique, l’énergie et la qualité environnementale des bâtiments, le nettoyage industriel, la certification et les normes, la physique, la communication, la santé publique et globalement le monde de l’entreprise tertiaire et de l’enseignement.
C’est aussi à l’occasion de ce premier projet AERATION/VENTILATION https://ducotedelascience.org/category/prevention/prevention-aeration/ dont vous voyez la matérialisation sur ce site, que le collectif a décidé de se doter d’une identité qui rassemble : « du Côté de la Science ».
Durée de lecture : 8 minutes Clé : Climat
La concentration de CO2 dans l’atmosphère a atteint un record en dépassant les 420 parties par million (ppm), un taux qui n’avait pas été mesuré depuis 5 millions d’années. La trajectoire est telle que nous pourrions bientôt connaître les mêmes taux de dioxyde de carbone qu’il y a 15 millions d’années, quand les êtres humains n’existaient pas.
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depuis quelques années des records de température sont battus pratiquement chaque mois ; pourquoi alors s’intéresser à celui-ci plutôt qu’à un autre ? D’abord parce que ce record-là est la cause de tous les autres : pics de chaleur et autres évènements extrêmes, acidification des océans ou fonte des glaces découlent tous de l’ascension irrésistible du CO2, et pas l’inverse. Mais surtout parce que dans le monde des climatologues, les relevés du Mauna Loa ont un statut particulier et symbolique.
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situé pratiquement au centre du plus grand océan de la planète, au plus loin de toutes les activités humaines, il est perché à une altitude suffisante pour être au-dessus de ce que l’on nomme la couche d’inversion de l’atmosphère [1]
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que nous dit le fait que la courbe de Keeling ait pour la première fois passé ce cap ? D’abord, que nous avons changé d’époque géologique. Car en réalité, ce n’est pas un record de plus de 60 ans que nous venons de battre… mais de cinq millions d’années ! « L’ère géologique dans laquelle nous vivons depuis deux millions et demi d’années, dite ère Quaternaire, se caractérise par des taux de CO2 qui fluctuent faiblement, oscillant au gré des glaciations et des déglaciations pour l’essentiel entre 180 et 280 ppm, avec quelques rares pics à 300 ppm », indique à Reporterre Gilles Ramstein, climatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE) de Paris-Saclay et auteur de Voyage à travers les climats de la Terre.
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Depuis la révolution industrielle, nous aurions ainsi parcouru en deux ou trois siècles le chemin inverse des quarante derniers millions d’années de refroidissement progressif du climat.
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la hausse du niveau marin est encore mal maîtrisée ... Giec de 1,1 mètre de hausse maximum d’ici la fin du siècle — ce qui serait déjà catastrophique — doit être considéré prudemment. « Grâce aux fossiles, nous savons qu’il y a eu dans le passé des hausses de plusieurs mètres en un siècle à certains moments ; mais nos modèles n’arrivent pas à les reproduire, ce qui montre qu’ils sont encore imparfaits. » Nous ne sommes donc pas à l’abri d’une mauvaise surprise.
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Notes
[1] Une couche d’inversion est une couche d’air dont le gradient de température est positif, c’est-à-dire que celle-ci croît avec l’altitude. La couche d’inversion se comporte alors comme un « couvercle ».
Connu / https://framasphere.org/posts/59eab9e08fd00139b73a002590d8e506
"Robert Sanscartier il y a environ 11 jours"
Ndlr : Conclusion une élévation de >1m en 2100 est un minimum... ALERTER ACT
présentées dimanche 29 septembre dans le cadre du congrès organisé par la Société européenne des maladies respiratoires ... réalisées au Royaume-Uni sur l’impact de la pollution de l’air sur les nouveau-nés et les enfants
La première montre que la pollution de l'air accroît le risque de mortalité infantile, la seconde qu'elle réduit la fonction pulmonaire.
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par des chercheurs de l’université de Cardiff ... les particules en suspension PM10, le dioxyde d’azote (NO2) et le dioxyde de soufre (SO2) ... Les PM10 et NO2 proviennent principalement du trafic routier, quand le SO2 est le produit de l’activité industrielle ... la chercheuse Sarah Kotecha ... Anna Hansell, professeure en épidémiologie environnementale ...
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Risque de décès accru
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Réduction de la fonction pulmonaire
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30 minutes
Jean-Luc Mélenchon, président du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, député des Bouches-du-Rhône, est l'invité du Grand entretien de France Inter. Il est l'auteur de "Les Cahiers de l'Avenir en commun - numéro 1 Démocratie et 6e République !" aux éditions du Seuil.
"Je ne pense pas qu’il y ait jamais eu d’épidémie par hasard, elles sont toujours le résultat d’une situation et leur propagation est toujours le symptôme d’un mode d’organisation de la société", estime Jean-Luc Mélenchon. "Cette épidémie, comme celles que nous verrons à l’avenir, de plus en plus violentes, vient d’un mode social particulier qui conduit à baisser les coûts de production partout, par exemple dans l’agriculture à faire des élevages hyper-intensifs où des millions d’animaux deviennent des foyers extraordinaires de propagation des virus. Ensuite, la globalisation fait que ça traverse le monde à toute vitesse. Le point de départ de cette crise sanitaire est social, son mode de déroulement est social, l’épidémie se propage plus parmi les pauvres que parmi les populations les mieux protégés. D’un bout à l’autre de la chaîne, il y a des choix humains. Donc la suite des événements nous appartient, si nous y réfléchissons et que nous prenons le temps."
"Nous avons besoin d’organiser des méthodes qui ne concourent pas à cette situation absurde"
Que pense-t-il de la décision du gouvernement de ne pas reconfiner pour l'instant ? "Tout ça est un tissu d’absurdités depuis le début. Lorsque l’épidémie a commencé, on a été confinés. Nous étions tous pris par surprise et c’était la méthode qui s’imposait. Au fond, c’est une méthode du Moyen-Âge, on n’a rien inventé. Aussitôt, nous avons été quelques-uns à dire qu’il fallait planifier le déconfinement. Ensuite, on déconfine, d’une manière hasardeuse : par exemple, on a fait retourner les mômes à l’école pour dix jours ! Là-dessus, on dit qu’il va y avoir une deuxième vague. Ces gens-là n’ont rien prévu à aucune étape, et sont incapables d’imaginer autre chose que des choses inhumaines. Imaginer qu’on peut transbahuter des malades d’un bout à l’autre du pays, comme s’ils n’avaient pas de famille, qu’on peut se passer de tout et rester enfermé, ça c’est une vision de technocrate, qui ne comprend rien à ce qu’est l’être humain, un être social. Je vous annonce que la vague numéro 4, ce sera une vague psy, il y a déjà un embouteillage dans les hôpitaux à ce sujet."
Emmanuel Macron n’a rien prévu, comme d’habitude, et ce n’est pas sérieux", assure le leader d'opposition. "Nous avons besoin d’organiser des méthodes qui ne concourent pas à cette situation absurde, être tous les jours menacés de confinement. Quelle méthode ? La société par roulement : changer l’heure de travail, pour ne pas être tous en même temps ; faire du roulement dans le milieu scolaire. [Il propose également, pour les salles de concert, “d’installer des purificateurs d’air”] Il existe plein de méthodes, mais il faut réfléchir au-delà de “confiner ou ne pas confiner”. La société va craquer, nous ne sommes pas faits pour être traités de cette façon."
"On doit se demander pourquoi on continue à diminuer le nombre de lits d’hôpitaux. On nous explique que tout ce bazar est lié au fait qu’il n’y a pas assez de lits en réanimation, et on continue à en supprimer. Ce n’est pas acceptable."
Que faire face à la pénurie de vaccins ? "Déjà, ne pas faire confiance aux incapables qui ont organisé cette situation. Comment se fait-il que le petit Cuba arrive à faire 5 vaccins, dont 3 sont en phase de vérification de leur efficacité, et que la France, qui a inventé l’idée même de vaccin, soit incapable d’en produire un. On s’en est remis de manière dévote et aveuglée à une entreprise, Sanofi, qui elle-même a détruit progressivement détruit tous ses labos de recherche, et nous nous retrouvons tout nus sur le bord de la rivière glacée."
Sur le vaccin, "il faut aller à toutes les portes sans faire de l'idéologie"
Il propose de revenir à une souveraineté nationale sur le sujet, et en attendant de se tourner vers d'autres sources de vaccins. "Commençons par remettre des sous dans la recherche publique, par reprendre en main et réquisitionner ceux qui doivent l’être pour les faire travailler correctement. Ensuite, il faut réapprovisionner en vaccins. Pfizer, Moderna, n’ont pas assez de vaccins et nous attendons qu’ils veuillent bien nous en donner. Mais il y a d’autres pays qui en produisent ! Il faut aller à toutes les portes sans faire de l’idéologie. Il y a un vaccin russe, qui depuis le mois d’octobre et de novembre est réputé, par une commission d’enquête, marcher à 90 %."
Même si l’Agence européenne du médicament n’a toujours pas donné d’autorisation de mise sur le marché ? Doit-on passer outre l'avis de ces experts ? "Si j’étais le président de la République, c’est exactement ce que je ferais. De même que je ferais venir les vaccins cubains et chinois. À l’heure qu’il est, des pays entiers se vaccinent avec. Il ne faut pas faire d’idéologie ! On prend ce qu’il y a quand il est avéré que ça marche. Il faut s’adresser aux Russes et dire : “est-ce que vous pouvez en fabriquer chez vous ?” Ils nous ont proposé de le faire et les autorités françaises ont refusé !"
"Israël est remarquable : c’est un tout petit pays qui a réussi à se doter de vaccins et à organiser la vaccination de la population", donne comme autre exemple Jean-Luc Mélenchon. "Puisqu’ils savent le faire, ayons la modestie de leur demander comment ils ont fait. La coopération internationale est vitale dans ce genre d’affaires : l’Union européenne aurait pu se mettre d’accord, par exemple sur ce qu’est un confinement, comment déconfiner, quels médicaments utiliser… Nous ne parlons pas des traitements : si nous ne voulons pas que des malades arrivent en réanimation il faut les traiter avant."
A-t-il lui-même été vacciné ? Non, mais pas pour des raisons médicales ou idéologiques. "Mon médecin m’a proposé de l’être, mais je ne veux prendre la place de personne. Mon âge fait qu’on aurait dû me vacciner dix fois, mais comme je crache le feu… Peut-être suis-je un peu irresponsable mais je ne veux pas prendre la place de quelqu’un d’autre. C'est quelque chose qui me pose problème quand il y a pénurie, c’est moral ça n’a rien de sanitaire."
"Macron traite l'écologie comme il traite les autres questions"
Dans ses "Cahiers de l'Avenie en Commun", il évoque de grandes questions écologiques. "Tout le monde est devenu écologiste, ce n’est plus la propriété d’un parti, remarquable dans le passé parce qu’ils ont été les lanceurs d’alerte quand il fallait. Mais toute la discussion, c’est de se demander comment on est écologiste. Dans le cas de Marine Le Pen, c'est l’escroquerie avec un E majuscule. Quand Emmanuel Macron a proposé qu’on réautorise les néonicotinoïdes, elle a voté pour ; lorsqu’ils ont décidé de rallonger le délai du glyphosate, elle n’était pas là pour voter contre ; et ainsi de suite."
Comment juge-t-il le bilan d’Emmanuel Macron sur le sujet ? "Il traite l’écologie comme il traite toutes les autres questions : il pense que c’est une question spécifique, il ne comprend pas que c’est un tout. Si on est en rupture, il faut être sérieux et planifier. On ne peut pas réorganiser la production, la consommation, les machines, les matériaux sans se donner de la visibilité. C’est l’appel central de notre écologie de rupture."
100 % d'énergies renouvelables avant 2030
Jean-Luc Mélenchon souhaite une énergie 100 % renouvelable, dans un délai aussi court que possible. "Si vous augmentez la consommation d’énergie, que vous n’avez pas une mécanique de sobriété, dire que vous serez à 50 % de nucléaire dans 10 ans, vous n’avez rien gagné. Par exemple, tout le monde parle du véhicule électrique mais qui va produire cette électricité ? Pour un million de véhicules électriques de plus, il faut une centrale nucléaire de plus. Ceux qui ont mis en place le nucléaire ont cru bien faire, et je pense qu’ils ont fait du mieux qu’ils pouvaient. Maintenant, nous savons tous que c’est extrêmement dangereux. Je n’aime pas jouer l’affolement, mais nous sommes le seul pays au monde qui a une centrale nucléaire en amont du fleuve qui dessert la capitale ! Nos centrales sont concentrées dans des régions où il y a une industrie chimique et autre extrêmement importante. Un accident, et c’est fini. Or nous allons à l’accident pour plein de raisons ! Donc je dis : on renouvelle tout."
"Sur la date, je pense que 2030, c’est trop long [pour passer à 100 % de renouvelable]. Nous avons un savoir-faire dans notre pays : nous pouvons utiliser le thermique, l’hydrolien… En plus de tout ce qui relève de la sobriété, donc la diminution de la quantité d’énergie que nous consommons. Et nous avons de jeunes ingénieurs capables de se lancer dans cet immense travail."
Il estime que pour y parvenir, "nous avons besoin d’une mobilisation générale de la population de ce pays, de son intelligence, de sa jeune génération, parce qu’il faut arrêter ce qui est en route. Il faut changer de mode de production, parce que dans la décennie qui vient le changement climatique est irréversible, nous atteignons des points de bascule."
/Ressources/Energie/Gaz/Biogaz-Methanisation_intrants_agricoles_ou_autres/
Jeudi 20 juin 2019 Séance de 9 heures Compte rendu n° 46
Compte rendu
Commission d’enquête sur l’impact économique, industriel et environnemental des énergies renouvelables, sur la transparence des financements et sur l’acceptabilité sociale des politiques de transition énergétique – Audition, ouverte à la presse, de M. Daniel Chateigner, professeur des Universités, et de Mme Liliane Reveillac, membres du Collectif scientifique national méthanisation raisonnée (CSNM), de MM. Freddy Garcia, Sebastien Almagro et Mme Anne Danjou, membres du Collectif national vigilance méthanisation (CNVM)
Présidence de M. Julien Aubert, Président, puis de Mme Marjolaine Meynier-Millefert, Rapporteure
Au cours des différentes auditions sur la filière du gaz, la méthanisation a été
présentée comme la solution permettant au gaz de passer de la catégorie des énergies fossiles – le gaz naturel importé – à celle des énergies renouvelables – le biogaz produit en France – tout en offrant aux agriculteurs une source complémentaire de revenus. Plusieurs interrogations sur l’impact environnemental de la méthanisation sont apparues au fil de ces auditions, notamment celles portant sur la qualité des intrants, leur disponibilité, la concurrence éventuelle au détriment par exemple des surfaces destinées aux cultures alimentaires ou encore celles portant sur la prévention des nuisances qu’il s’agisse de la qualité de l’air, de l’eau ou des sols.
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e-mail: info@samudelenvironnement.fr
Numéro pour signaler une pollution : 0681660250
Le SAMU (Service d'Analyse Mobile en Urgence) de l'environnement Alsace est une association de droit local qui exerce ses activités selon les statuts votés en Assemblée Générale en Juin 2010.
L'association est reconnue organisme d'intérêt général de l’état et organisme dispensateur de formation par la Préfecture.
Une fédération française des SAMU de l'environnement regroupe les SDE des différentes régions à l'échelle française et internationale.
La structure alsacienne a été la première à voir le jour. Les autres régions se sont inspirées de l'expérience en Alsace pour monter leur propre structure selon les problématiques et le potentiel locaux.
Objectifs
- Évaluer l'état sanitaire de l'environnement (eau, air, sol et habitat)
- Démocratiser les sciences de l'environnement pour une meilleure compréhension des enjeux : conseil, sensibilisation, information et formation
- Innover et imaginer de nouveaux outils et protocoles pour le diagnostic environnemental
- Faire vivre le réseau des acteurs de l'environnemental sur son territoire
Notre histoire
Témoignage du Dr Fariborz Livardjani, à l’origine du projet https://www.youtube.com/watch?v=TfsHWXuHhfo
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Le SAMU de l'environnement primé par les Trophées "Allez de l'avant avec les assureurs" - 2008 - •26 mai 2018 / SAMU de l'Environnement
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primé par les Trophées "Allez de l'avant avec les assureurs" catégorie "associations".
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Le service SAMU a été conçu en 1994. Il est intervenu d’une manière expérimentale, lors du conflit armé au Kosovo en 2000 pour les diagnostics d’urgence eau-air-sols afin de protéger la population des contaminations des ressources naturelles par l’usage d’armes chimiques. Le concept a été importé en France après cette mission humanitaire. Ainsi une unité expérimentale existe à Strasbourg et est fonctionnelle depuis 2003. ... l’impact toxicologique, biologique, économique et social des pollutions de l’écosystème, tant accidentelles que chroniques, en mettant la priorité sur l’impact sur la santé humaine. Cet outil, de par son originalité, procure des renseignements détaillés d’impacts nouveaux et complémentaires aux systèmes de surveillance atmosphérique et hydrique existants. »
R&D collaborative
Face aux enjeux environnementaux, l'innovation est essentielle pour développer des activités humaines moins polluantes et davantage responsables. Les écotechnologies et les nouveaux services environnementaux œuvrent à cette transition écologique incontournable. Le SAMU de l'environnement souhaite accompagner toutes celles et ceux qui développent les solutions d'avenir pour nous et notre planète.
État de l'art
Tout nouveau projet de R&D et d'innovation début par la revue (review) de l'état de l'art, de la science et de la question dans le domaine abordé. Cette étape, souvent chronophage, demande rigueur et exhaustivité. Le SAMU vous propose de déléguer ce travail pour mieux vous concentrer sur le cœur de l'innovation.
Développement
Équipé de moyens de prélèvement et d'analyse sur différents milieux et doté de compétences à la fois technique et scientifique, Le SAMU de l'environnement teste et expérimente pour vous vos produits et services environnementaux, et vous apporte les données manquantes à la concrétisation de votre projet.
Incubation
Après plusieurs années d'innovation, Le SAMU de l'environnement met son expertise à votre disposition pour vous permettre de développer vos propres projets. Nous mettons pour cela notre matériel et nos compétences pour vous accompagner tant dans la phase organisationnelle qu'opérationnelle de votre programme de recherche.
Médiation scientifique
https://www.samudelenvironnement.org/services/m%C3%A9diation-scientifique/
Blog
- 08/06/2020 - Les relations entre plantes et champignons
- 13/04/2020 - Le monde des fourmis
- 20/03/2020 - Pollution en profondeurs
- 01/03/2020 - Les espèces exotiques envahissantes
- 03/02/2020 - Les perturbateurs endocriniens
- 10/01/2020 - Les Abeilles
- 13/12/2019 - Les impacts de la pollution sonore anthropique sur la faune
- 08/10/2019 - Le SAMU de l'environnement de retour sur la toile avec un nouveau site web
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Mentions légales :
site édité par l'association du SAMU de l'environnement Alsace, dont le siège est situé au 5 rue du cimetière à Strasbourg (67200), et inscrit au Registre des Associations du Tribunal d'Instance de Strasbourg sous les références Volume 86 Folio n° 145.
Le directeur de la publication est le président de l'association.
Créé avec Jimdo !
Frédéric Pignard, directeur RSE et relations institutionnelles, Daikin France
TAGS Chauffage climatisation énergies renouvelables Pompes à chaleur
Traditionnellement, la climatisation était sous nos latitudes considérée comme un luxe réservé aux classes aisées, voire un gaspillage d’énergie. Avec l’hyperisolation des logements et le réchauffement climatique, le refroidissement des locaux en été devient un impératif de santé publique. La pompe à chaleur air/air est là pour répondre de façon vertueuse à ce nouveau défi.
Le confort d’été : un nouvel impératif
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dans une PAC air/air, seules les fuites de réfrigérant peuvent générer des émissions de GES. Or elles sont très faibles. Des études européennes menées sur le terrain concernant 69 000 installations ont démontré que les appareils de chauffage et de climatisation en « split » étaient parmi les moins fuyards de tous, avec des taux de fuite d’environ 1,3 % par an contre 6,1 % sur les appareils de réfrigération commerciale. ... le règlement F-gaz 517/2014 du 16 avril 2014 relatif aux gaz à effet de serre fluorés, a renforcé toutes les exigences notamment celles sur le confinement, faisant progresser considérablement la qualité des installations et ainsi diminuer encore les taux de fuite. ... Sur la base du réfrigérant R32 et d’un taux de fuite de 2 % par an, une PAC air/air émet en moyenne 20 kg CO2/an soit, dans le cas de la maison de 100 m2 analysée dans le tableau 1, 0,2 kg de CO2eq par m2 et par an.
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L’association avec le photovoltaïque : un mariage gagnant
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Des PAC air/air devenue intelligentes :
- fonctionnement en régime variable du compresseur qui adapte précisément la production de chaud ou de froid à la demande afin d’éviter les arrêts et les redémarrages trop fréquents ;
- détecteurs de présence ;
- programmation sur place ou à distance ;
- algorithmes d’auto-apprentissage aux usages et de lissage de la puissance appelée ; etc.
Ndlr :
- signification de "en split" : "Une fois relié au compresseur, un split chauffe ou rafraîchit, il déshumidifie gràce à sa sonde hygrométrique, il élimine 100 % des odeurs, ainsi que les poussières à l'aide de ses filtres anti-poussières et les bactéries." selon https://pompe-a-chaleur.ooreka.fr/qr/voir/26972/pompe-a-chaleur-que-signifie-split-pour-une-pompe-a-chaleur
- autopromotion ? impartialité ? quels autres acteurs du marché ? ACT
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Peste, choléra, tuberculose… les épidémies ont contribué à façonner nos villes. Pendant des siècles, l’un des enjeux majeurs de l’architecture et de la conception des villes a été de permettre la circulation de l’air, jugé coupable de porter avec lui les mauvaises odeurs la peste, le choléra ou la tuberculose.
Le boulevard Saint Germain à Paris lors des travaux haussmanniens en 1887 (gravure) Haussmann a changé la physionomie de Paris, son but était de faire disparaître le choléra. © Getty / Apic
Nous en parlons avec Philippe Rahm, architecte suisse, diplômé de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne en 1993.
Il est l'auteur de Le jardin météorologique et autres constructions climatiques (ed. B2).
Hippocrate disait « si on est malade tout seul, c’est qu’on a mangé quelque chose de mauvais. Mais si on est malades à plusieurs c’est que l’air n’est pas bon. Donc il faut changer l’air, le faire circuler ».
Pour tous les médecins du Moyen-Âge, la corruption de l’atmosphère est la cause première de la peste, comme l’affirme par exemple Aldobrandini à Sienne ou Ibn Khatimah à Grenade.
En 1853 Napoléon III et Haussmann font le projet d’assainir Paris grâce à des réalisations architecturales et d’urbanisme mieux adaptées aux contraintes de l’hygiène publique.
Ainsi les transformations urbaines à Paris sont essentiellement dues au choléra.
En l’absence de compréhension des mécanismes épidémiques du cholera qui se propage en réalité dans l’eau, et ignorant l’existence des bactéries, c’est l’air que l’on rend responsable jusqu’en 1883 de la maladie. Mais c’est en fait grâce aux travaux d’Haussmann en sous-sol avec la construction des égouts, la gestion de l’eau potable et des eaux usées que les grandes épidémies de choléra ont disparu dans la capitale.
Pour aller plus loin :
- AOC media : Coronavirus ou le retour à la normale https://aoc.media/opinion/2020/03/09/coronavirus-ou-le-retour-a-la-normale/
- Le Monde : Peste, choléra, tuberculose… les épidémies ont modelé nos villeshttps://www.lemonde.fr/smart-cities/article/2020/03/30/comment-les-epidemies-ont-modele-nos-villes_6034868_4811534.html
Ndlr: intuition de l'air vicié
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Catégorie Science et technologie 811 commentaires
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"Conversation Mathieu Chassignet @M_Chassignet
"Une étude européenne a montré que du fait de la masse plus élevée des véhicules électriques (en moyenne +280 kg par rapport à un modèle équivalent essence), les
VE émettent autant de particules en masse que les véhicules à motorisation thermique"
...
Brice Perrin @briceperrin · 12h
« remise en suspension » désigne les particules déposées au sol qui sont soulevées du fait du vent ou du trafic. Elles sont ainsi "remises en suspension" dans l'air ambiant.
ASHRAE (American Society of Heating, Refrigeration and Air Conditioning Engineers), fondée en 1894, organisation internationale technique dans le domaine des génies thermiques et climatiques (chauffage, ventilation, air conditionné, réfrigération). Réunit plus de 54,000 membres à travers le monde.
Publie normes et lignes directrices internationalement reconnues. Normes souvent citées / codes du bâtiment, & utilisés / ingénieurs, experts en mécanique du bâtiment, architectes & organismes gouvernementaux. Communément acceptées / architectes & ingénieurs comme meilleures pratiques dans l’industrie.
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LEED encourage d’augmenter la ventilation de l’air extérieur / améliorer la qualité de l’air intérieur. Le crédit LEED IEQ2 « Augmentation de la Ventilation » exige d’augmenter les taux de renouvellement d’air extérieur dans la zone de respiration de tous les locaux occupés de manière à ce qu’ils soient supérieurs d’au moins 30% aux taux minimaux requis par la norme ASHRAE 62.1-2007.
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Nous contacter:* Louis Haag Phone: +82 10 3278 8988 - Email: louis.h@greenbim-eng.com
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Dans cette vidéo on parle du solaire thermique. Le solaire thermique est un moyen de production de chaleur qui est peu connu, peut-être parce qu'on sous-estime nos besoins en chaleur. On commence donc par jeter un œil à l'utilisation de l'énergie et de chaleur en France (1:10). J'explique ensuite ce qu'est le solaire thermique et les différents capteurs existants (5:59). Contrairement, à ce qu'on pourrait penser, le stockage de chaleur intersaisonnier est possible (12:10). Pour mieux visualiser à quoi ressemble le solaire thermique, on examine un petit exemple (16:16). On parle ensuite du rendement, du taux de retour énergétique, des matériaux utilisés et des émissions de CO2 que le solaire thermique permet d'éviter (21:02). Enfin, on regarde la situation du solaire thermique dans le monde et en France (26:21) et je discute des freins à son déploiement (29:40) avant de conclure (35:29).
Sources détaillées ici: https://www.lereveilleur.com/le-solaire-thermique/
Arrière-plan composé d’illustrations parues dans Courrier International: http://www.courrierinternational.com/
Catégorie Éducation 338 commentaires
Le Réveilleur il y a 1 an (modifié)
Edit 12:30 l'eau chaude MOINS dense va se retrouver au-dessus.
25:27 Une installation solaire produit l'équivalent en chaleur de la combustion 50 à 70 L de pétrole PAR AN.
29:00 Facteurs CULTURELS (et pas culturaux).
Comme toujours, vous avez les sources en description, mais maintenant ça vous renvoie sur mon tout nouveau site web parce que c'est quand même beaucoup plus lisible comme ça !
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Maxence - Marketing Résistant il y a 1 an
Je te remercie tellement pour la qualité de ton travail...
Je bosse dans le solaire thermique et tout ce que tu dis est absolument exacte <3
En revanche, ça manque de solaire thermique pour l'industrie (qui est ultra intéressant car plage de température très compatible avec l'agroalimentaire par exemple)
ET de solaire thermique à concentration (cf le lowtech GoSol.org et les québécois Rackam)
(Mais la vidéo est déjà longue pour Youtube alors tu es amplement pardonné hein ;) )
Merci encore ! Keep going !
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Youpi Matin il y a 1 an
Enfin quelqu'un qui parle de solaire thermique !! Merci !!! Après l'isolation des bâtiments, c'est vraiment LE truc à subventionner pour réduire significativement la dépendance énergétique du pays, baisser les importations de gaz et fioul, réduire la précarité énergétique (et augmenter le pouvoir d'achat par la même) et cerise sur le gâteau, créer des emplois par dizaine de milliers ! Faut mettre le paquet là-dessus !! je peux pas liker 12 fois sinon je le ferais !!!
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Forhorse88 il y a 1 an
J'ai un CESI et je l'ai installé moi même. Parce que le matériel est facilement disponible et abordable, mais les installateurs vous les vendent pour un bras, et vous prennent le deuxième pour la pose, ce qui plombe la rentabilité et donc le taux de retour sur investissement.
Tout bon bricoleur peut l'installer lui même, il y a même des sites et des associations pour vous aider (APER par exemple)
Transcription : ... 1:50 : électricité 15 %( des usages spécifiques de l'électricité), chaleur 50% (source négawatt représentation des flux d'énergie, ressources primaires par usages) ACT
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Les émanations de gaz toxique en avion surviennent en moyenne tous les 2 000 vols. Certains appareils sont même obligés d'atterrir en urgence. D'où viennent ces émanations ? Que risquent les passagers ?
Vous êtes confortablement installé dans l’avion. Vous décollez et soudain, en plein vol, vous sentez une étrange odeur de chien mouillé. Même chose dans la cabine de pilotage ! Ce type d’incident ne serait pas rare : baptisé "fume event" (pour "émanations de gaz"), il surviendrait en moyenne tous les 2 000 vols !
Parfois, c’est la panique pour l’équipage et les passagers : étourdissements, gestes incohérents… Certains appareils sont obligés d’atterrir en urgence, comme le vol de la British Airways BA286 à San Francisco en octobre 2016.
Que savent les compagnies aériennes ?
D’où viennent ces mystérieuses émanations ? Pourquoi certains pilotes et hôtesses de l’air sont-ils définitivement incapables de voler de nouveau après un "fume event" ? Que savent les compagnies aériennes ? Que risquent les onze millions de passagers qui montent dans un avion chaque jour ?
Un reportage de Marianne Kerfriden et Stéphane Conchon
Catégorie Actualités et politique 470 commentaires
Flying Frenchman il y a 9 mois (modifié)
Je suis moi même pilote sur A320 et ces "fume events" nous posent beaucoup de problèmes en ce moment.
La cause est difficilement identifiable et difficilement prévisible, puisque souvent liée à une simple fuite d'huile dans le système de pressurisation.
Les compagnies prennent ce problème très au sérieux et je sais qu'Airbus travaille dessus en ce moment même.
Il faut en tout cas savoir que ces événements restent rares et sont surtout dangereux pour les équipages, puisque plus exposés
Transcription : ... syndrome aérotoxique
Planche de vol à air
Interview de Franky Zapata, l'inventeur du …
Flyboard® Air est l’évolution logique du Flyboard® à eau créé en 2011
L'eau est propulsée par la turbine, à travers un long tuyau, jusqu'à des buses à jet inférieur
L'objectif d'une tuyère est d'augmenter l'énergie cinétique du fluide qui la traverse
Le fonctionnement des turboréacteurs s’appuie sur le principe d’action-réaction : il s’agit d’accélérer une masse d’air pour créer une force de poussée
...
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Ils sont de plus en plus nombreux en France à vouloir se passer de factures d'électricité, de gaz et d'eau. Pour cela, ces familles ont réussi à devenir autonomes. La formule ? D'un côté, produire sa propre électricité avec des panneaux solaires par exemple. De l'autre, profiter de ce qu'offre gratuitement la nature en récupérant par exemple les eaux de pluies et en chauffant la maison de manière passive. Ce marché de l’autoconsommation est en pleine croissance. Quelles sont les possibilités qui existent et quels sont les coûts pour celles et ceux qui se sont lancés dans l'aventure ? Reportage de Romain Perrot.
Revoir l'intégrale de l'émission https://youtu.be/3scHQzvEtYA
Tout Compte Fait, présentée par Julian Bugier tous les samedis à 14h00 sur France 2, vous dévoile les coulisses d'un monde qui change.
PLUS D'INFOS https://www.france2.fr/toutcomptefait
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Catégorie Vie pratique et style 441 commentaires
Transcription :
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Strasbourg, tour écolo-économe à base de capteurs solaires
... Efficacité énergétique des équipements et qualité de l’air intérieur ... Optimisation énergétique des systèmes pour le bâtiment performant (production de chaleur, rafraîchissement, ECS, ventilation..). ...
Issue de https://www.asder.asso.fr/je-recherche-une-formation/formations-certifiantes/formation-charge-de-projet-energie-batiment-durables/