Mis à jour le 23 mai 2024 à 18h25 - Durée de lecture : 4 minutes Clés : Climat
Les fortes précipitations du printemps en France s’expliquent par le réchauffement de l’atmosphère. Cette situation devrait se reproduire à l’avenir, accompagnée d’étés de plus en plus secs.
...
un symptôme », assure le climatologue Robert Vautard. Une loi physique, la formule de Clausius-Clapeyron, est à l’origine de ce phénomène.
Des événements de plus en plus extrêmes
Que dit-elle ? « À l’augmentation de température de 1 °C, correspond une augmentation de l’humidité de l’atmosphère de 7 %, poursuit le directeur de l’Institut Pierre-Simon-Laplace. Autrement dit, à mesure que le climat se réchauffe, la vapeur d’eau stockée au-dessus de nos têtes se multiplie. » Or, l’air ayant une certaine capacité à contenir celle-ci, une fois le seuil dépassé, elle finit par se condenser, former des nuages et se transformer en pluie. « Résultat : le cycle de l’eau est accéléré par le changement climatique et les précipitations sont plus fréquentes. »
...
Les inondations plus fréquentes au printemps
...
Commençons par exclure le bitume et le béton des parkings. Ce sera certes cher, mais de grands volumes d’eau pourront ainsi être absorbés. »
SATURATION de l'EFFET DE SERRE : Le réchauffement a-t-il atteint sa limite ? - 6 oct. 2023 / ScienceEtonnante
1,39 M d’abonnés - 30k+ - 630 022 vues - Géologie & planétologie
On cherche à comprendre comment fonctionne vraiment l'effet de serre...
Le serveur Discord de Science étonnante ➡️ / discord https://discord.gg/GPamYjVYxA
Détails et compléments dans le billet de blog qui accompagne la vidéo : https://scienceetonnante.com/2023/10/06/la-saturation-de-leffet-de-serre
Le code sur Github : https://github.com/scienceetonnante/RadiativeForcing
00:00 Intro
1:15 Rayonnements de la Terre et du Soleil
09:50 On allume l'effet de serre
14:51 L'argument de la saturation
21:13 Un modèle numérique simple
27:49 Estimer le forçage radiatif
Écrit et réalisé par David Louapre © Science étonnante
Abonnez-vous : / scienceetonnante
Me soutenir sur Tipeee : http://www.tipeee.com/science-etonnante
ou Patreon : / scienceetonnante
Mes livres : https://scienceetonnante.com/livres/
Facebook : / sciencetonnante
3 421 commentaires
- @ericbertrand2386 il y a 6 mois
'Maintenant on va rallumer l'effet de serre ..." et là j'ai une coupure pub pour une voiture
996 - @julesjoulaud3889 il y a 6 mois
Bonsoir, chaleureuses félicitations pour votre médaille CNRS de la médiation scientifique, elle est méritée pour tout le travail que vous faites. Vous êtes un exemple pour stimuler la jeunesse.
Tr.: ... modèle numérique simple écrit en python ... forçage radiatif (NDLR : plus d'énergie reçue qu'émise) ... réchauffement de 3 à 4 W/m2 pour un doublement du CO2 ... donne un impact significatif sur la température moyenne qui sera calculé dans une prochaine vidéo ...
Ndlr : l'argument de la saturation démonté avec certitude et brio. Je résume : la quantité de CO2 dans l'atmosphère dépend de l'altitude. Chaque couche absorbe et réémet de la chaleur pour les spectres de chaque molécule dont elle est composée. 3 parties : en dessous de 10 km, au dessus de 30 km et entre les deux. Au final, le fonctionnement thermique de l'atmosphère est complexe et maintenant TRÈS BIEN CONNU et le réchauffement est INCONTESTABLE. Affirmer qu'il y a un effet de saturation à partir d'un certain seuil de concentration en CO2 est donc FAUX. Valoriser ACT
Structural basis for bacterial energy extraction from atmospheric hydrogen
Abstract
Diverse aerobic bacteria use atmospheric H2 as an energy source for growth and survival1. This globally significant process regulates the composition of the atmosphere, enhances soil biodiversity and drives primary production in extreme environments2,3. Atmospheric H2 oxidation is attributed to uncharacterized members of the [NiFe] hydrogenase superfamily4,5. However, it remains unresolved how these enzymes overcome the extraordinary catalytic challenge of oxidizing picomolar levels of H2 amid ambient levels of the catalytic poison O2 and how the derived electrons are transferred to the respiratory chain1. Here we determined the cryo-electron microscopy structure of the Mycobacterium smegmatis hydrogenase Huc and investigated its mechanism. Huc is a highly efficient oxygen-insensitive enzyme that couples oxidation of atmospheric H2 to the hydrogenation of the respiratory electron carrier menaquinone. Huc uses narrow hydrophobic gas channels to selectively bind atmospheric H2 at the expense of O2, and 3 [3Fe–4S] clusters modulate the properties of the enzyme so that atmospheric H2 oxidation is energetically feasible. The Huc catalytic subunits form an octameric 833 kDa complex around a membrane-associated stalk, which transports and reduces menaquinone 94 Å from the membrane. These findings provide a mechanistic basis for the biogeochemically and ecologically important process of atmospheric H2 oxidation, uncover a mode of energy coupling dependent on long-range quinone transport, and pave the way for the development of catalysts that oxidize H2 in ambient air.
Connu / TG le 13/03/23 à 11:35
"
LA REVOLUTION ECOLO-ENERGETIQUE EST EN MARCHE.
Le risque principal est la monétisation de l'air. On a déjà prévenu depuis longtemps.
En tout cas, ça justifie l'arrêt du nucléaire puisqu'une technologie lui est supérieure en terme d'indépendance de production locale. Reste le problème des brevets, qui évidemment va nous le mettre de toutes façon bien profond.
la conversion de l'hydrogene par l bactérie est une réction-doxydo-réduction donc d'un échange d'életrons donc de profustion d'élicricité
production
d'autre part, tu peu produire n'importe où et consommer sur place en héorie
"
Ndlr : En clair, les bactéries génèrent des électrons, donc un courant électrique, par une réaction d'oxydo-réduction de l'hydrogène en aérobie, c'est-à-dire n'importe où en présence d'air ? Vérifier ACT
Recherche fondamentale ou appliquée ? Si oui, applications effectives à quelle échéance ? Et quel rendement ? Questionner ACT
Durée de lecture : 8 minutes Clé : Climat
La concentration de CO2 dans l’atmosphère a atteint un record en dépassant les 420 parties par million (ppm), un taux qui n’avait pas été mesuré depuis 5 millions d’années. La trajectoire est telle que nous pourrions bientôt connaître les mêmes taux de dioxyde de carbone qu’il y a 15 millions d’années, quand les êtres humains n’existaient pas.
...
depuis quelques années des records de température sont battus pratiquement chaque mois ; pourquoi alors s’intéresser à celui-ci plutôt qu’à un autre ? D’abord parce que ce record-là est la cause de tous les autres : pics de chaleur et autres évènements extrêmes, acidification des océans ou fonte des glaces découlent tous de l’ascension irrésistible du CO2, et pas l’inverse. Mais surtout parce que dans le monde des climatologues, les relevés du Mauna Loa ont un statut particulier et symbolique.
...
situé pratiquement au centre du plus grand océan de la planète, au plus loin de toutes les activités humaines, il est perché à une altitude suffisante pour être au-dessus de ce que l’on nomme la couche d’inversion de l’atmosphère [1]
...
que nous dit le fait que la courbe de Keeling ait pour la première fois passé ce cap ? D’abord, que nous avons changé d’époque géologique. Car en réalité, ce n’est pas un record de plus de 60 ans que nous venons de battre… mais de cinq millions d’années ! « L’ère géologique dans laquelle nous vivons depuis deux millions et demi d’années, dite ère Quaternaire, se caractérise par des taux de CO2 qui fluctuent faiblement, oscillant au gré des glaciations et des déglaciations pour l’essentiel entre 180 et 280 ppm, avec quelques rares pics à 300 ppm », indique à Reporterre Gilles Ramstein, climatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE) de Paris-Saclay et auteur de Voyage à travers les climats de la Terre.
...
Depuis la révolution industrielle, nous aurions ainsi parcouru en deux ou trois siècles le chemin inverse des quarante derniers millions d’années de refroidissement progressif du climat.
...
la hausse du niveau marin est encore mal maîtrisée ... Giec de 1,1 mètre de hausse maximum d’ici la fin du siècle — ce qui serait déjà catastrophique — doit être considéré prudemment. « Grâce aux fossiles, nous savons qu’il y a eu dans le passé des hausses de plusieurs mètres en un siècle à certains moments ; mais nos modèles n’arrivent pas à les reproduire, ce qui montre qu’ils sont encore imparfaits. » Nous ne sommes donc pas à l’abri d’une mauvaise surprise.
...
Notes
[1] Une couche d’inversion est une couche d’air dont le gradient de température est positif, c’est-à-dire que celle-ci croît avec l’altitude. La couche d’inversion se comporte alors comme un « couvercle ».
Connu / https://framasphere.org/posts/59eab9e08fd00139b73a002590d8e506
"Robert Sanscartier il y a environ 11 jours"
Ndlr : Conclusion une élévation de >1m en 2100 est un minimum... ALERTER ACT
La couverture minimale estivale fait maintenant la moitié de l’étendue observée il y a 40 ans. Quatre records d’étendue minimale ont été battus depuis 2000, le plus récent datant de septembre 2012. Cependant, depuis cette date, aucun nouveau record n’a été établi. Une nouvelle étude de Jennifer Francis suggère qu’un changement dans la circulation atmosphérique pourrait expliquer la tendance récente.
...
Francis et Bingyi Wu indiquent cependant que les relations statistiques et les hypothèses avancées nécessiteront des expériences de modélisation ciblées pour vérifier les mécanismes de causalité. Les tendances de pression atmosphérique de 2010 à 2020 présentent des anomalies de pression au niveau de la mer négatives dominant l’océan Arctique ainsi que des tendances positives sur les zones continentales des hautes et moyennes latitudes. D’après les auteurs de l’étude, la pression de surface au-dessus de l’Arctique pourrait encore diminuer à mesure que les gaz à effet de serre continuent de s’accumuler dans l’atmosphère, fournissant éventuellement une rétroaction négative sur le rythme de la perte de glace de mer dans un monde en réchauffement.
Connu / https://jeremybouchez.wordpress.com/2020/12/09/glace-de-mer-arctique-pourquoi-cette-absence-de-record-depuis-2012/
La caractérisation du carbone suie ou black carbon (BC), dans les rejets à l'atmosphère des installations, a permis de mettre en avant, pour chaque méthode, ses points forts et ses limites. Aucune des méthodes n'apparait totalement satisfaisante en raison de leurs sensibilités respectives à différents facteurs, notamment liés à la matrice d'émissions.
Ces travaux ont permis toutefois permis de mettre en avant les problématiques suivantes :
Dans une future harmonisation des pratiques de mesure, les critères de sélection de la méthode retenue pourraient concerner la facilité de mise en oeoeuvre, et le type d'impact évalué : la santé (davantage lié au carbone élémentaire) ou l'effet de serre (davantage lié au black carbone).
Le BC est considéré comme majoritairement présent dans les particules fines (PM2,5). Cependant, lorsque l'émission de particules de taille supérieure n'est pas négligeable, comme lors des essais de la présente étude, faut-il, selon l'objectif poursuivi, prendre en compte le BC émis dans les particules fines ou dans l'ensemble des particules ?
Compte-tenu de son impact sanitaire et de ses effets sur le climat, ces travaux ont permis d'améliorer les connaissances sur les méthodes de mesures de BC à l'émissions. L'INERIS a ainsi testé plusieurs adaptations de méthodes de mesures appliquées à l'air ambiant pour des mesures à l'émissions sur banc d'essais, puis sur des installations émettrices de ce composé : méthode optique automatique, méthodes par prélèvement sur filtre associées à une analyse thermique et à une analyse thermo-optique.
Documents à télécharger https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/caracterisation-emissions-blackcarbon-carablack-201803-synthese.pdf
(PDF — 1.12 Mo — 23/01/2019)
Détails
Description du tableau Mots-clés : AIR, CARBONE, EMISSION DE POLLUANTS, MESURE A L'EMISSION, RECHERCHE SCIENTIFIQUE
Co-auteur(s) : CTRE INTERPROF TECH ETUDE POLLUT ATMO, INSTITUT NATIONAL DE L'ENVIRONNEMENT IND
Date de mise en ligne : janvier 2019
Date d'édition : mars 2018
Langue : FR
Type de support : pdf/A4
Cible(s) concernée(s) : Entreprises et Monde Agricole
Public : Monde de la recherche, Bureaux d'études
->
particules fines (PM2,5) ... chaudières de puissance inférieure
à 50 MW, tous secteurs confondus. Ses émissions en 2015, évaluées à près de 7 400 tonnes de BC, sont largement prépondérantes au regard des autres sources de combustion.
Le deuxième plus gros émetteur de BC est la combustion de fioul domestique dans les chaudières de moins de 50 MW, tous secteurs confondus, avec moins de 150 tonnes. ...
cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?tswZeg
Commentaires :
"
Whart1984 - 1 / 5 (3) Aug 15, 2018
The problem is, the magnesite soaked with carbon dioxide couldn't be used for anything without risk of its release into atmosphere again. In addition this process would be energy hungry and it would actually increase the fossil fuel consumption instead of decrease. And until large consumerists of fossil fuels like Russia or China will not be willing to sequester carbon dioxide in this way, then every effort would have marginal results.
Résumé : il y a risque de relargage du co2 dans l'atmosphère, le procédé est avide en énergie donc pas sobre, il accroit la consommation d'énergie fossile (le pourquoi pas donné), tant que les pays très consommateurs d'énergies fossiles comme la Russie ou la Chine ne s'y seront pas mis, les résultats seront marginaux (tout progrès n'est-il pas bon à prendre ?)
Not to say, that carbon dioxide levels rise MUCH FASTER than the consumption of fossil fuels and they ignore its trends, so that they apparently originate from another source independent on human activity.
catrov - 5 / 5 (4) Aug 15, 2018
For a reality check, let's calculate how much magnesite would be needed to absorb all the CO2 produced by energy generation just in the US in one year. The reference year is 2010; emissions have undoubtedly risen since then. But it will give us a good ballpark figure.
We need 2 tons of magnesite to absorb 1 ton of CO2, we emit 1.2 billion tons of CO2 per year, and magnesite has a density of 3. Thus we would need about 1 billion cubic meters of magnesite, which is enough to cover the city of Los Angeles to a depth of nearly a meter
That's a big waste disposal problem. If it has to be shipped to a disposal site, that's 100 million dump truck loads, or 200 dump trucks unloading every minute, 24/7, 365 days a year. This is not likely to be a practical solution.
...
"
ndlr :
l'article anglais a déjà un titre racoleur.
Terminer l'analyse des commentaires
ACT
Science
Mineral microscope
Lors de la conférence Goldschmidt, qui a lieu à Boston, des chercheurs ont présenté leurs travaux visant à éliminer le CO2 dans l’atmosphère. Le processus expérimental, qui a été mis au point, permet de produire de la magnésite en un temps record. Ainsi, il serait possible de profiter de sa capacité naturelle à stocker le dioxyde de carbone à grande échelle. Enfin une bonne nouvelle pour ceux et celles qui s’inquiètent de la politique environnementale de Trump.
...
une tonne de magnésite naturelle est capable d’éliminer près d’une demi-tonne de CO2. Même lorsque le dioxyde de carbone est contenu dans l’air. Aussi, les scientifiques ont vite compris combien il pourrait être intéressant d’exploiter ce minéral. Malheureusement, celui-ci a un point faible particulièrement handicapant : sa formation est très lente. Après plusieurs mois de travail, un processus expérimental a changé la donne. En effet, ce dernier transforme des microsphères en catalyseur afin de permettre à la magnésite de se former en 72 jours seulement. Par ailleurs, cette utilisation n’altère en rien les microsphères. Si bien qu’elles peuvent donc être réutilisées par la suite. De fait, si ce procédé est reproduit de manière industrielle, il pourrait devenir LA solution pour éliminer le CO2 dans l’atmosphère !
Ian Power, professeur à l’université de Trent en Ontario (Canada), qui est à la tête du projet, a déclaré : « pour l’instant, nous reconnaissons qu’il s’agit d’un processus expérimental. Il faudra le développer avant de pouvoir être sûr que la magnésite peut être utilisée dans la séquestration du carbone ».
Cela n’a pas empêché le professeur Peter Kelemen de l’observatoire Lamont Doherty Earth de l’Université de Columbia (New York) de faire part de son enthousiasme quant à la possibilité d’avoir découvert une réponse écologique pour stocker du carbone à moindre coût. Ce dernier a même indiqué qu’il s’agissait peut-être de LA solution tant attendue pour éliminer le CO2 dans l’atmosphère.
Source
https://phys.org/news/2018-08-scientists-mineral-co2-atmosphere.html
Clés : Écologie Étude
Connu par
https://twitter.com/Siecledigital/status/1031896963996762113
"
Nicole Corsyn a aimé
Siècle Digital
@Siecledigital
21 hil y a 21 heures
...
0 réponse 0 Retweet 3 j'aime
"
ndlr :
le journaliste ? reprend sans recul l'hypthèse affirmée par le chercheur sans creuser si cette matière est renouvelable ou non, si cette technologie sera déployable ou non à grande échelle de manière durable et renouvelable, si le processus de stockage du co2 est réversible ou non (production de co2).
Et après avoir lu l'article source ainsi que les commentaires qui sont antérieurs à celui de siècle digital, on peut dire que le côté "science" est superficiel et que l'auteur a soit un parti-pris productiviste soit une grande légèreté, soit les deux, soit ?
DOMMAGE.
À la lecture de la version anglaise :
https://phys.org/news/2018-08-scientists-mineral-co2-atmosphere.html
i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?P-vGhA
- le fait que les microbilles soient en polystyrène est éludé en fr (using polystyrene microspheres)
- procédé à température ambiante et sobre en énergie éludé aussi ?!
- "mechanism of natural magnesite crystallization at low temperatures (mécanisme de cristallisation naturelle à basse température (ambiante ?))" ne figure pas non plus dans la "traduction" fr qui publie dans une rubrique "science" mais élude certaines clés scientifiques...
Analyse des commentaires (l'article fr n'en autorise pas :-( :
- l'article fr publié le 20 soit postérieur aux commentaires critiques dont celui de catrov reposant sur un calcul, aurait dû être pris en compte, voire vérifié !
En effet, ils démontent la thèse avancée par le titre : la quantité de magnésite rien que pour les USA est bien trop importante selon castrov pour devenir un jour LA SOLUTION.
=>
creuser, questionner, faire vérifier
ACT
"Les chiffres ne mentent pas. Nos émissions continuent d’être trop élevées et il faut renverser la tendance (...) Nous disposons déjà de nombreuses solutions pour faire face à ce défi. Il ne manque que la volonté politique", a déclaré Erik Solheim, Directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE).
Publié une semaine avant que ne débutent les négociations sur le climat à Bonn (Allemagne), sous l'égide de l'ONU, le rapport démontre l'importance d'une réponse forte et urgente à l'échelle mondiale pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris.