Iten a investi une dizaine de millions d’euros dans sa première unité de production à Dardilly, près de Lyon (Rhône). Sa capacité devrait quintupler d’ici 2020.
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Sept ans après sa création, le fabricant de microbatteries li-ion à l’état solide Iten (anciennement I-Ten)
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Fabien Gaben, fondateur et patron de la société lyonnaise
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combinent une très forte densité d’énergie à une très forte densité de puissance, entre 20 microAh et 500 microAh, peuvent être rechargeables en une minute. Elles peuvent être utilisées pour des cartes à puce qui intègrent des fonctions biométriques, pour des horlogeries internes, des capteurs autonomes et des dispositifs médicaux.
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Précurseur sur les batteries tout-solide, qu’il produit depuis onze ans pour équiper des bus, Blue Solutions lorgne désormais les voitures électriques. La filiale du groupe Bolloré, qui a détaillé sa feuille de route le 20 septembre lors du Batteries Event à Lyon, prévoit d’avoir une solution fiable d’ici à 2025, avant de la produire en masse dès 2028.
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Inaugurée en 2016, l'usine d'Ergue-Gaberic de Bluebus permet au groupe Bolloré de produire des batteries tout-solide adaptées aux autobus électrique depuis des années. L'enjeu est maintenant d'adapter technologies et lignes de production à l'automobile.
«Le monde accélère et nous sommes au cœur de la transition», se félicite Richard Bouveret. Fraîchement nommé directeur des activités mobilité et smart grid au sein du groupe Bolloré, et donc PDG de sa filiale dédiée aux batteries électriques Blue Solutions, l’homme a profité du Battery Events, qui s’est tenu à Lyon du 18 au 21 octobre, pour dévoiler la nouvelle stratégie de la pépite française des batteries tout-solide.
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accumulateurs lithium-ion dont l’électrolyte (la couche entre les électrodes permettant le passage des ions) est non plus liquide, comme aujourd’hui, mais solide. Extrêmement difficile à maîtriser, cette modification permet, sur le papier, d’obtenir de nombreux gains de performance, que ce soit en termes de sécurité, de tolérance aux charges rapides ou de quantité d’énergie stockée pour une même densité (poids et volume de la batterie). D’autant que les cellules tout-solide peuvent, comme le fait Blue Solutions, utiliser une anode faite intégralement en lithium métallique (et non plus en graphite ou en silicium, comme l'imaginent certains constructeurs) pour doper encore leur densité énergétique.
Seul problème : difficiles à fabriquer, ces batteries sont d'une telle complexité qu’aucun industriel ne les propose dans le commerce… à l’exception de Blue Solutions. Or, sa technologie ne remplit pas encore toutes les promesses théoriques du «tout-solide». «Cela fait onze ans que nous produisons des batteries tout-solide, mais nous n’avons pas de solution magique, sinon nous dominerions déjà le marché mondial des batteries», reconnaît sans peine Jean-Baptiste Behaghel, vice-président chez Bolloré e-mobilité et smart grid.
Aujourd’hui, Blue Solutions – qui dispose de deux usines de production à Ergue-Gaberic en Bretagne et à Boucherville au Canada – utilise un électrolyte à base de polymère qui ne fonctionne qu’à haute température (autour de 80°C) et donc impose de chauffer la batterie. Une caractéristique qui restreint leur usage aux bus ou aux voitures en autopartage, qui roulent tous les jours et très fréquemment...
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de génération 4. Elles utilisent moins de lithium à l’anode que celles actuelles, et seront munies d’un tout nouvel électrolyte, toujours en polymère. Surtout, elles pourront transporter beaucoup d’énergie (l’entreprise vise 450 Wh/kg, contre environ 260 pour les batteries à électrolyte liquide actuelles) et fonctionner à basse température. Selon l'entreprise, qui a dévoilé ses premiers résultats expérimentaux, la nouvelle cellule peut déjà être chargée et déchargée 700 fois efficacement et sans trop de perte de capacité à 20°C. Blue Solutions vise 1000 cycles pour répondre aux standards de l'automobile.
Dans le monde des batteries tout-solide, les électrolytes en polymères sont jugés plus avancés que d’autres alternatives (les sulfures et les oxydes céramiques) mais sont souvent écartés en raison de leur faible conductivité ionique (qui impose de fonctionner à haute température). Un récit contesté par Blue Solutions, qui prend pour preuve les performances de sa dernière batterie, capable comme ses concurrentes d’être rechargée rapidement.
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Le terme « biocombustibles » désigne les combustibles solides, d’origine végétale (ou animale, de manière plus marginale), utilisés soit pour de la production de chaleur seule, soit pour une production combinée de chaleur et d’électricité.
Ces biocombustibles peuvent être les co-produits ou sous-produits d’activités forestières, agricoles ou industrielles ou être issu de filières ayant uniquement comme objectif la fourniture d'énergie.
Les biocombustibles retenus dans la Base Carbone ® sont les suivants :
■Le bois bûche
■Les granulés de bois (ou pellets)
■Les plaquettes forestières
■Les écorces, sciures, chutes
■Les broyats de cagettes ou de palettes
■La paille
■La bagasse
Sources :
[130] Etude ADEME – Bio Intelligence Service / « bilan environnemental du chauffage domestique » / 2005
[131] Etude ADEME – Bio Intelligence Service / « bilan environnemental du chauffage collectif (réseau de chaleur) et industriel » / 2005
[132] Note ADEME / « Bilan énergie et effet de serre des filières céréales » / 2006
[133] DGEMP, pages concernant la biomasse du site de l'Observatoire de l'Energie
[943] MEEM - MLHD - Référentiel Bâtiment « Energie-Carbone » - Label E+/C-
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/756570847338168350/773225544539045949
Le Cetim adapte son offre d’accompagnement à la transformation des entreprises pour le mettre au service du rebond et de la relance durable de leurs activités.
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Connu / https://twitter.com/CetimFrance/with_replies
Ndlr : (privé) cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?-ueGhw
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Dans le cadre du comité stratégique de filière "Transformation et valorisation des déchets", un appel à projets a été lancé pour des chaudières valorisant les CSR. Jean-Philippe Carpentier, président de Federec, nous explique pourquoi.
Interview vidéo | Déchets | 09 avril 2019 | Sophie Fabrégat
Connu /
https://twitter.com/alterjure/status/1115995677081862144
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Thibault Turchet @alterjure
Position de FEDEREC massivement pour les CSR me fait toujours halluciner, au lieu de se battre à fond pour éco-conception et sécuriser des gisements mieux recyclables. Erreur stratégique fondamentale de cette industrie à mon sens
17:11 - 10 avr. 2019 1 Retweet Julien Delalande 0 réponse 1 Retweet 0 j'aime Julien Delalande Texte du Tweet
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