Connu / TG le 14/02/24 à 8:10
1,05 M d’abonnés - 4,4k+ - 73 838 vues - 1 676 commentaires #Islamophobie #Valence #ValeursEtReussite
L’école privée musulmane Valeurs et Réussite a-t-elle été victime de discrimination, de racisme voire d’islamophobie de la part des pouvoirs publics?
En 2022 dans la commune drômoise, une école privée musulmane installée dans les locaux de la grande mosquée de Valence va signer un compromis de vente avec la mairie afin de construire son établissement scolaire et passer sous contrat avec l'État. Mais le projet est annulé à la suite d'une polémique déclenchée par un article de Charlie Hebdo qui pointait des liens entre les responsables de l'association et les Frères musulmans. L'article fait également mention du port du voile par les petites filles et la non-mixité dans les classes.
Le journal est condamné en première instance pour diffamation publique, mais le mal est fait et les pouvoirs publics vont faire marche arrière. Charlie Hebdo a fait appel de cette décision.
Mourad Jabri le président de l’association Valeurs et Réussite est déterminé à "laver l’honneur de l’école". Il va déposer plainte contre le maire de Valence et la préfète de la Drôme pour faux et usages de faux en écritures publiques, discrimination, dénonciation calomnieuse et menace sous condition.
Comment, en l’espace de dix jours, les pouvoirs publics ont réussi à faire échouer le projet d’une école privée musulmane ?
Blast révèle dans ce long format, enrichi d’enregistrements privés et de courriers tenus secrets, les dessous à tout le moins d'une injustice caractérisée.
Journaliste : Hamza Chennaf, Xavier Monnier
Tr.: ... Association Libre pensée ...
Par Maïa Courtois
21 septembre 2022 à 17h23 Mis à jour le 22 septembre 2022 à 11h03
Durée de lecture : 5 minutes
Libertés Luttes Alternatiba
Libertés
Un préfet macroniste s’attaque à Alternatiba
Un atelier de formation à la désobéissance civile d’Alternatiba Poitiers a déplu au préfet macroniste de la Vienne. Il exige, au nom de la loi Séparatisme, que lui soient retirées certaines subventions. M. Darmanin le soutient.
Des tables rondes, des expos, une disco-soupe, des jeux et des spectacles... Pour sa deuxième édition, à Poitiers, le Village des alternatives organisé par le mouvement pour le climat et la justice sociale Alternatiba s’est installé dans le parc du Triangle d’Or le week-end du 17 et 18 septembre. A priori, rien de menaçant dans cet événement que les organisateurs voulaient « festif et familial ». Las, celui-ci est, depuis le 15 septembre, dans le viseur du préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier.
Dans des courriers adressés à la mairie de Poitiers et à la communauté urbaine du Grand Poitiers, le représentant de l’État a demandé l’arrêt des subventions à cet événement — 15 000 euros selon France 3. En cause : des ateliers de désobéissance civile, jugés incompatibles avec le contrat d’engagement républicain signé entre l’association et les collectivités. Ces ateliers « inciteraient à un refus assumé et public de respecter les lois et règlements », écrit le préfet. La mairie et la communauté urbaine refusent de se plier à cette injonction.
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Ces contrats d’engagement républicain ont été introduits par la loi « confortant le respect des principes de la République », dite loi Séparatisme, adoptée le 24 août 2021. Le décret d’application définissant le cadre de ces contrats est entré en vigueur au 1er janvier 2022. Il impose aux associations sollicitant des subventions de n’« inciter à aucune action manifestement contraire à la loi, violente ou susceptible d’entraîner des troubles graves à l’ordre public ». La désobéissance civile « ne date ni de cette loi ni de ce gouvernement, elle a au moins 200 ans », soupire Christiane Queyreix, l’une des coordinatrices du Village des alternatives au sein d’Alternatiba Poitiers, jointe par Reporterre. « La Cour européenne des droits de l’Homme a affirmé plusieurs fois que la désobéissance civile était l’un des aspects les plus importants de la liberté d’expression. »
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L’affaire de Poitiers est remontée jusqu’au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui a exprimé son soutien au préfet
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La responsable associative parle elle d’« une dérive assez extrême » permise par la loi Séparatisme. Et souligne « l’imprécision » du décret ... De quoi laisser « l’arbitraire des préfets » s’engouffrer dans cette brèche. « Monsieur le préfet devrait plutôt louer l’action des citoyens pour agir. L’État a été condamné pour inaction climatique, il ne respecte pas les Accords de Paris », souligne-t-elle. « On aimerait bien que l’État donne l’exemple sur ce que doivent être les “valeurs de la République” ! »
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Avant la loi Séparatisme, il existait une charte des engagements réciproques entre les associations et les collectivités. Ces dernières, maîtresses de leurs attributions budgétaires, disposaient de cette charte pour poser de grands principes et des leviers judiciaires afin de sanctionner les associations en cas d’injures publiques, de diffamation... La création des contrats d’engagement républicain « ajoute en fait une couche de contrôle de l’État sur les collectivités », explique Nathalie Tehio, avocate, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’Homme. « C’est une mainmise de l’État sur la distribution des subventions, donc sur la politique de la ville défendue à travers les choix de soutien à certaines associations. »
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Vingt-cinq associations écologistes avaient saisi, en mars, le Conseil d’État https://reporterre.net/Les-associations-se-sentent-menacees-par-le-Contrat-d-engagement-republicain
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« ça a fait une publicité d’enfer pour notre formation à la désobéissance civile », sourit Christiane Queyreix. « Au moins vingt-cinq personnes sont venues ! Dont trois RG [agents des renseignements généraux], qui sont toujours faciles à repérer… »
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... NFT signifie « Non-Fungible Token », soit jeton non fongible en français
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Les NFTs existent grâce à la technologie de la blockchain ... gérer des « smart contracts ... exécuter du code informatique dans la blockchain ... on trouve majoritairement des NFTs sur la blockchain Ethereum car ils sont nés sur cette blockchain ... première à avoir implémenté les smart contracts. Cependant, on trouve maintenant de plus en plus de NFTs dans d’autres blockchains (Binance Smart Chain, Solana, Elrond, etc.).
Si vous souhaitez acheter un NFT, vous devrez vous rendre sur une marketplace.
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Le metaverse est un autre domaine dans lequel on pense naturellement aux NFTs. Pour faire simple, un metaverse est un monde digital, virtuel, persistant et partagé. Le jeu The Sandbox permet d’acheter une parcelle de terre virtuelle (un LAND) dans le metaverse. Les parcelles peuvent alors s’échanger, se vendre, se louer.
À la manière d’un Second Life (pour ceux qui connaissent), il sera possible d’explorer ces LANDs en 2D et en 3D. Et qui sait peut être un jour en VR. Les propriétaires de parcelles peuvent construire et afficher ce qu’ils souhaitent sur leurs terres. Par exemple, créer une galerie d’art pour exposer leurs NFTs, organiser un concert, faire de la publicité, et mille autres possibilités.
Les NFTs dans le Gaming : des possibilités infinies
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la supply chain dont les NFTs peuvent améliorer la traçabilité, le domaine de la propriété industrielle (brevets) ou encore la DEFI (decentralized finance) et la gamification de la finance
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Un contrat de 250 millions d’euros a été signé le 24 juin 2022 entre l'agence de l'énergie japonaise et Orano La Hague,
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Connu / tg 29/06/22 9/33
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Le 2 novembre 2021, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de l'émission RTL Soir. Il est d'abord revenu sur le coup de com' de Macron sur le «contrat d'engagement jeune». Il a dénoncé le fait que le président de la République proposait de fusionner deux allocations... tout en en diminuant le montant global. Le candidat de l'Union populaire a l'élection présidentielle a de son côté présenté sa proposition de mettre en place une allocation d'autonomie de 1.063 euros pour les jeunes qui étudient à la faculté et en lycée professionnel.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite appelé à sortir les gens de la précarité à l'heure où plus de 10 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté dans notre pays. Il a également expliqué que s'il était élu président, il mettrait en place une règle simple pour lutter contre la précarité : pas plus de 10% de CDD dans une petite entreprise et pas plus de 5% dans une grande. Il a également expliqué qu'il titulariserait les 800.000 contractuels de la fonction publique.
Concernant la COP 26, le député insoumis a dit son inquiétude issue de la COP 21 à Paris : d'un côté de belles promesses mais en réalité des engagements qui ne sont pas à la hauteur de l'enjeu climatique.
Jean-Luc Mélenchon a également annoncé la tenue d'un meeting de l'Union populaire à Paris le 5 décembre prochain (https://www.facebook.com/events/71868...).
Enfin, le candidat de l'Union populaire est revenu sur son débat avec Éric Zemmour. Il a expliqué que ce dernier bénéficiait d'une exposition médiatique permanente et sans contradiction et a dit qu'il avait voulu le combattre sur le terrain des idées pour relever le drapeau face à lui. Il a ainsi affirmé que des gens avaient peur de Zemmour et avaient besoin d'entendre une autre voix, qui s'oppose à lui. Jean-Luc Mélenchon est également revenu sur les accusations odieuses d'antisémitismes montées de toute pièce contre lui et a expliqué que des campagnes de ce genre avaient été menées partout dans le monde contre la gauche radicale.
terme juridique utilisé dans le cadre d'un contrat d'échange ou de partage.
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Dans le cadre d'une fusion, la soulte représente la somme que l'on verse aux associés de la société absorbée. La méthode1 de calcul de cette soulte demeure un mystère, nombreux sont les aventuriers qui ont tenté de la chercher, en vain.
Notes et références
Benjamin Soultman, Voyage au centre de la Soulte, Lieu de création: Noisy-sur-Soulte
Sibyle Veil, présidente-directrice générale de Radio France
Radio France, en finir avec une confiscation
Au bout de quatre semaines, la grève a été suspendue à Radio France. La direction n’a rien concédé sur son plan de 299 suppressions d’emplois. Pour la présidente de Radio France, Sibyle Veil, l’amie de promotion d’Emmanuel Macron lorsqu’ils étaient ensemble à l’ENA, cette agitation est vaine puisque il n’y a pas d’alternative. D’ailleurs, cette grève qui s’en soucie ? Dans le fracas social qui secoue le pays, cette mobilisation est passée au deuxième plan. Si les antennes furent silencieuses avec seulement quelques émissions assurées par des non-grévistes, tout cela aura eu peu d’échos. Quelques banderoles, une tribune dans Le Monde, une pétition en ligne. La routine en somme...
En écoutant d’un peu plus près, il se pourrait que cette grève ne ressemble pas aux autres et que la banquise commence à craquer sous les pieds des pingouins qui nous gouvernent.
Radio France ne cesse de pavoiser sur ses records d’audience et sur l’attachement de ses millions d’auditeurs quotidiens, dont plus de 6 millions chaque jour pour France Inter. On aurait pu en effet attendre un important soutien de leur part face à ce plan social qui s’accompagne d’une réduction de budget. Il ne s’agit pas là d’un simple ajustement comptable, mais bien de la même politique qui, depuis des années, démantèle systématiquement tout ce qui relève du secteur public afin de « baisser les impôts et assurer la relance ». Mais cette vieille entourloupe pour favoriser les privatisations trompe de moins en moins de monde. On connaît les résultats. Dans les récentes manifestations, on a vu fleurir une inscription : « on a compris ». Santé, éducation, transports, la détérioration des services publics est la préoccupation majeure du pays. Et même, pour la première fois, une majorité de Français disent préférer une amélioration des services publics quitte à payer davantage d’impôts.
Et c’est clairement contre ces mesures que le pays se dresse aujourd’hui. Au bout de plus de trente ans, la plaie est profonde. Fins de mois difficiles, précarité, inégalités, absence d’avenir, humiliations sociales face au mépris du pouvoir et de sa bourgeoisie. La pédagogie de la résignation a atteint ses limites, les palliatifs ne font plus d’effet. Pas besoin d’experts universitaires ni de savants économistes pour parler à la place de ceux qui encaissent quotidiennement. Ils le font eux-mêmes, à leur façon. Social et environnemental, le pourrissement du néolibéralisme s’étale sous nos fenêtres. Dos au mur le pouvoir n’a plus que la peur et le mensonge pour tenir. Matraquage et enfumage. Mais encore combien de temps ?
La résistance à la réforme des retraites mobilise jusque dans les replis de l’Hexagone, et d’autres secteurs sont liés à cette lutte, l’hôpital public, l’éducation nationale, les étudiants, les transports, les pompiers et d’autres encore dans une colère commune.
Or, tout se passe comme si jusque là, la grève de Radio France n’en faisait pas partie. Grève corporatiste ? Grève de nantis ? Les directions n’ont pas manqué de faire rappeler discrètement les avantages des journalistes en CDI avec leurs quatorze semaines de congés. Ce que les grévistes d’ailleurs reconnaissent : « Parmi nous, certains ont des rémunérations enviables », mais c’est sans évoquer la précarité organisée et les nombreux CDD parfaitement illégaux subis souvent pendant des années.
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Alexandre Benalla a été mis en détention pour violation de son contrôle judiciaire, tandis que la commission d'enquête sénatoriale a publié un rapport au vitriol sur les dysfonctionnements de l'exécutif. Nos journalistes Fabrice Arfi, Marine Turchi et Antton Rouget répondent aux questions des internautes.
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447 commentaires
G. Allix il y a 1 jour
Et dire que certains voudraient supprimer le Sénat!!!
*Transcription :
... contrats russes ... destruction de preuves (coffre fort) ... parjures ... port d'arme ... met en cause l'élysée
Le mouvement des gilets jaunes a mis en avant le besoin incompressible de concilier transition écologique et justice sociale. Sans justice sociale, il n’y aura pas de transition écologique. Sans transition, les impacts du dérèglement climatique, dont les populations les plus pauvres sont déjà les premières victimes, seront exacerbés.
Et les plus précaires risquent de rester piégés dans notre dépendance collective aux énergies fossiles.
Face à cette situation, le Réseau Action Climat appelle le Gouvernement à mettre en œuvre un nouveau contrat qui s’articule autour de 6 réformes fondamentales à engager pour faire émerger une société plus écologique et plus juste.
Pour toutes celles et ceux qui ont des difficultés à boucler leurs fins de mois, qui ne peuvent pas faire autrement que d’utiliser leur voiture ou se chauffer au fioul, ce contrat propose des solutions concrètes que le gouvernement pourrait adopter dès cette année.
Plusieurs de ces propositions ont déjà été portées auprès de ce Gouvernement et des précédents, mais ceux-ci ont préféré jusqu’à présent faire la sourde oreille. Pour que ce nouveau contrat se concrétise, nous appelons les Français à le soutenir massivement que ce soit à travers le débat officiel lancé par le Gouvernement ou en rejoignant les mobilisations qui s’organisent partout en France, pour exiger une action de l’Etat qui soit à la hauteur du défi climatique et qui ne se fasse pas au détriment de ceux qui ne peuvent pas faire autrement.
-> https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2019/02/nouveau_contrat_ecologique_juste.pdf