Publié le 18/12/2024 à 16h05 / Par Jean-Denis Renard - 87 Commentaires
La Cour administrative d’appel de Bordeaux annule les autorisations de quatre réserves sur les bassins de la Sèvre Niortaise et du Mignon. Parmi elles, celle de Sainte-Soline, théâtre de violents affrontements en mars 2023
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Durée 29:37
"L'IMMIGRATION A BON DOS" PORCHER DÉZINGUE LA RESPONSABILITÉ DU GOUVERNEMENT DANS LE DRAME À MAYOTTE
Publié Il y a 2 heures • 5 vues - 2+ Par lemediatv
Mayotte a été dévastée par le passage du cyclone Chido. Le premier bilan officiel faisait état de 31 morts. Mais le bilan pourrait être en fait bien plus lourd pour un territoire français déjà en grande difficulté dont les habitants dénoncent l’abandon par la métropole depuis des dizaines d’années.
L'archipel a été déclaré “en état de calamité naturelle exceptionnel”. Le président de la République a décrété qu'une journée de deuil national aura lieu ce lundi 23 décembre.
Sur place, Emmanuel Macron s’énerve face aux habitants qui tentent de le sensibiliser sur leur détresse…
Avons-nous affaire à une catastrophe naturelle et un drame humain malheureux, ou à une situation prévisible ?
D’un côté, le dérèglement climatique n’est pas un secret. Et ce sont les plus pauvres qui en pâtissent alors que ce sont ceux qui polluent le moins.
De l’autre, les mahorais alertent depuis des années sur le manque d'infrastructures et de services publics sur leur territoire.
Les bidonvilles jonchent les rues avec de nombreuses personnes migrantes venant des Comores. Ce manque d’infrastructures a rendu très vulnérables les plus pauvres au cyclone. Ces quartiers précaires ont été les plus durement touchés. A Mayotte, la part des constructions fragiles est massive.
Et la politique de l'Etat, ce sont les expulsions. Les corps encore chauds, Bruno Retailleau puis Emmanuel Macron ont pointé du doigt l’immigration et souhaitent une politique plus dure d’expulsions.
Depuis bien avant le cyclone, Mayotte manquait déjà cruellement d'infrastructures de base, notamment en matière d'accès à l'eau potable, d'assainissement, d'écoles, d'hôpitaux, de routes, etc. Reflet du retard important par rapport aux autres départements français et du manque d’anticipation de toute crise de la part de l’Etat.
Un sujet dont on parle peu : les plans sociaux. Après toute la campagne autour de la “réindustrialisation” d’Emmanuel Macron le bilan est là : la CGT estimait à 130 le nombre de plan de licenciements en France en mai. En novembre, cette estimation grimpe à 250.
Ce n’est pas une surprise : entre les industries automobile, le textile, ou encore récemment Auchan, tout le monde est de près ou de loin touché par ces menaces ou annonces de suppression d’emplois. On en a couvert pas mal au Média comme le cas des salariés de MA France, sous traitant du géant Stellantis et dernière usine auto du 93 liquidée, laissant 300 familles sur le bas côté.
Pourtant, dans le cas d’Auchan par exemple, 2300 postes vont être supprimés quand la maison mère, la famille Mulliez, verse 1 milliard d’euros de dividendes.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
Visibilité Publique
Publié originellement23/12 /2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 29min 38sec 0 Commentaires
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23 décembre 2024 Catégories Syrie
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- Une ONG déclare que 800 femmes et filles yézidies sont emprisonnées à Idlib
L’association d’HAbitants de Logements Ephémères ou Mobiles a été créée afin de répondre aux besoins de la population qui choisit ce mode d’habiter, quelle qu’en soit la raison.
HALEM c’est quoi ? C’est une association d’habitants et de sympathisants qui participe et qui s’active pour défendre les droits de ces habitants et de leurs modes de vie. C’est la force de penser et de faire ensemble.
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Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?CrnCbQ
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« Il y a de plus en plus de personnes en difficulté pour trouver un logement ou pour échapper à des formes indignes d’habitat qui trouvent refuge dans l’habitat léger, confirme Paul Lacoste, porte-parole de l’association Halem qui défend les habitants de logements éphémères ou mobiles. Le problème, c’est qu’elles subissent une répression continuelle. »
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L’administration est peuplée de gens de la génération des Trente Glorieuses qui ont grandi avec l’idée que le désirable, c’est le pavillon en parpaing. Geneviève Pruvost, directrice de recherche au CNRS
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La préfecture propose donc un guide pratique à destination des élus pour « sanctionner » et « obtenir la démolition » des habitats légers, semblant les mettre sur le même plan que n’importe quelle construction illégale.
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Que les préfectures s’enquièrent des risques de feu ou de pollution, c’est bien leur rôle, mais il y a, pour lui, « beaucoup de mauvaise foi dans ces arguments. Derrière, il y a des pressions très fortes de la spéculation foncière, les lobbys de la construction ou du tourisme de plein air », précise le porte-parole d’Halem.
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Dans un contexte où les élus opposent souvent leurs besoins de nouveaux logements et la loi sur le zéro artificialisation nette (ZAN), l’habitat léger est un modèle précieux
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la sociologue Geneviève Pruvost, qui vient de publier une enquête très fouillée sur les habitants d’une yourte, La Subsistance au quotidien (Seuil, 2024). « On ne réussira pas non plus à faire des ceintures maraîchères autour des villes sans l’habitat léger », plaide-t-elle, en référence à l’objectif également affiché par les pouvoirs publics de relocaliser la production agricole.
Pour elle, les blocages sont fortement culturels. « L’administration est peuplée de gens de la génération des Trente Glorieuses qui ont grandi avec l’idée que le désirable, c’est le pavillon en parpaing. Ils ont une conception complètement misérabiliste de ces habitats », regrette-t-elle.
Au pays de Galles, lorsque les habitants de ce type de constructions éphémères font la preuve que leur installation produit une empreinte carbone réduite, ils sont régularisés.
La France semble encore très loin de prendre ce chemin.
Lucie Delaporte
transmission d'un tiers lieu dans le 36
/ Damien Carême ++
Connu / TG le 8/02/24 à 19:02
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Venez nombreuses et nombreux !
Email : stop.aux.demolitions.anru@gmail.com
Tr.: ANRU ... DAL ... CNL ... NON aux démolitions !
OUI aux réhabilitations !
Connu / TG le 22/12/24 à 10:22
Connu / TG le 18/12/24 à 19:47
Connu / TG le 18/12/24 à 16:09
Au début de ce siècle, la découverte de ce qu’on appelle le « microbiote » a révélé, à la surprise générale, que nos corps sont pour une grande part constitués de micro-organismes : on y trouve des bactéries, des virus, des champignons, des levures. Plus récemment, les biologistes ont mis en évidence quelque chose d’encore plus étonnant : ils ont montré que nous possédons tous, à l’intérieur de nous-mêmes, à doses infinitésimales, des cellules provenant… d’autrui ! Ces cellules « étrangères » migrent dans nos corps, peuvent atterrir dans nos organes et participer à leur fonctionnement, pour le meilleur et pour le pire.
Ce phénomène est ce qu’on appelle le « micro-chimérisme ».
Comment ces cellules venues d’ailleurs furent-elles identifiées ? D’où proviennent-elles ? Comment expliquer qu’elles ne soient pas rejetées illico presto et manu militari par nos systèmes immunitaires ? Telles sont les questions qui jaillissent spontanément dans nos esprits. Puis en surgit rapidement une autre, plus métaphysique : ce que nous appelons le « Je » serait-il pour partie un « nous » ? Faudrait-il plutôt parler d’un « je-nous » ?
Avec Lise Barnéoud, journaliste scientifique, auteur de Les Cellules buissonnières (Premier parallèle, 2024).
Clés : Sciences et Savoirs Sciences
L'équipe Etienne Klein, Production etc
*Tr.: ... Fernando Pessoa ... nombreux sont ceux qui vivent en nous. Si je pense, si je ressens, j'ignore celui qui pense, qui ressent. Je suis seulement le lieu où l'on pense, où l'on ressent. ... il avait intuité l'idée qu'on est des holobionts, des écosystèmes, qu'on est juste un lieu où le collectif cellulaire va s'exprimer finalement...
Pour atteindre la neutralité carbone en 2050 en France, la production d’électricité renouvelable devra connaître un essor massif. Ce développement n’est pas sans conséquence sur la biodiversité, notamment sur la faune volante (oiseaux et chauves-souris1). La recherche peut aider à résoudre cette problématique.
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1 Les chauves-souris sont aussi appelées les chiroptères.
2 Évaluation des impacts cumulés des éoliennes sur l’état de conservation des chiroptères et l’avifaune MNHN, laboratoire CESCO.
3 Perception visuelle des éoliennes par les oiseaux, CNRS, laboratoire CEFE.
Publié le samedi 21 décembre 2024 à 12:04
Guénaëlle Gault, directrice générale de l’ObSoCo (L’Observatoire Société et Consommation), spécialiste de l’analyse des modes de vie, du changement social et de la consommation, co-auteure de “Penser sans entraves. Ces concepts qui nous empêchent de réfléchir” (L’Aube)
Le grand face à face snegaroff
Provenant du podcast Le Grand Face-à-face
L'invitée du Grand face à face sera Guénaëlle Gault, directrice générale de l’ObSoCo (L’Observatoire Société et Consommation), co-auteure de “Penser sans entraves. Ces concepts qui nous empêchent de réfléchir” (L’Aube).
Avec Guénaëlle Gault Directrice générale de l’ObSoCo, l’Observatoire société et consommation
1 638 signatures - il y a 1 mois - Catégorie : Biodiversité
Destinataire(s) : Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les conseillers, et élus communautaires de Plaine Limagne
STOP au projet d'une déchetterie de 10 000 m² sur des terres agricoles à St Clément de Régnat !
Campagne lancée par Préservons Saint-Clément
Le SBA (Syndicat du Bois de l’Aumône) cherche à implanter sur notre commune rurale de 500 habitants un pôle de valorisation des déchets. Ce projet se situe sur des terres agricoles cultivées, à moins de 300m des habitations les plus proches, et en surplomb d'un ruisseau (le Biolet, affluant du Buron).
Nous demandons l'abandon de ce projet pour les raisons suivantes :
- Bétonnisation de 10 000 m² de terres agricoles cultivées
- Risque de pollution du ruisseau (absence d'assainissement collectif sur la commune)
- Dégradation de la biodiversité (haies à proximité)
- Nuisances sonores, visuelles, olfactives
- Risque routier accru
- Dégradation de la qualité de l'air
- Risque de déchets et de dépots sauvages sur la voie publique, les champs et chemins communaux
- Impact sur le paysage.
1 639 signatures - il y a 2 semaines - Catégorie Transports & Urbanisme
Destinataire(s) : M. ESTROSI, Maire de NICE et M. NOFRI, délégué aux transports et à la mobilité
Sauvons la piste cyclable Carabacel-Désambrois qui relie le Sud-Est au Nord de NICE
Campagne lancée par Groupe local de Greenpeace Nice
Sauver la piste cyclable sécurisée "Carabacel-Désambrois" qui est prévue depuis 2019 dans le Plan Local d’Urbanisme de la ville de Nice mais menacée d'abandon dans le "plan vélo 2025"
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