Rejeter du tritium dans l’environnement, est-ce un problème ?
Sonia Marmottant Le tritium est l’élément radioactif le plus rejeté en fonctionnement
Connu / TG le 22/03/23 à 10:25
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résumé succin expliquant les méfaits du tritium, tiré du Livre Blanc du tritium.
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À l’occasion de l’examen en Conseil des ministres du projet de loi sur l’accélération des ...
Connu / TG 10/01/23 à 17:21
Connu / https://twitter.com/MonsieurRelou/status/1338814317760802816
François BOCQUET a retweeté Monsieur Relou @MonsieurRelou · 15 déc.
Plusieurs remarques sur ce document. Thread de lecture ci-dessous.
Citer le Tweet Inria @Inria · 10 déc.
Page enroulée @Inria présente son nouveau livre blanc consacré aux #EdTechs « Éducation et Numérique : enjeux et défis » !
Une analyse de l’impact du numérique comme vecteur de transformation éducative.
Consultation et téléchargement Flèche vers la droite Image
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En réponse à @MonsieurRelou
- Dès l'introduction, plusieurs affirmations discutables concernant la protection des "données scolaires" : pour commencer, les auteurs semblent les limiter aux seuls learning analytics. Définition beaucoup trop restrictive (partiale ?)...
12:57 PM · 15 déc. 2020·Twitter Web App - Les outils hors UE sont présentés comme des menaces, car non respectueux des DCP des élèves-utilisateurs. Ici comme souvent, confusion entre modèles B2B et B2C, qui n'ont rien à voir.
- Méconnaissance ? Raccourci hasardeux ? C'est tout de même gênant dans un rapport qui a vocation à faire autorité sur le sujet...
- Ensuite, partie 5 sur les enjeux, où la réflexion sur les données se poursuit. On y parle de portabilité des données, et d'interopérabilité des formats. Justement.
- Concernant l'interopérabilité, on ne va pas se mentir, les chiffres sont visibles de tous : le SILL n'est pas respecté par l'institution éducative elle-même, qui (hormis qqs académies à cheval sur le sujet) ventile docx et autres ppt à tout va.
- Concernant la portabilité, cette notion ne semble pas pertinente en milieu scolaire, où le critère de licéité des traitements à privilégier semblerait plutôt l'accomplissement d'une mission de service public. Cette notion n'est pas à sa place ici.
- Sur l'interopérabilité comme sur la portabilité, on reste donc avec la désagréable impression d'arguments hors de propos, instrumentalisés au service d'une vision qui se dévoile un peu plus loin.
- Donc : les grands opérateurs "privateurs" se rémunèreraient sur les DCP éducatives de nos élèves, en monétisant des "profils d'apprenants" construits sur les traces de leurs apprentissages : faux. Encore une fois, confusion B2B et B2C (décidément...).
- L'épouvantail de la perte de souveraineté et de l'espionnage industriel brandis en page 81 : sérieusement... des entreprises opérant dans des secteurs bien plus stratégiques (Airbus, Air Liquide) ont pourtant opté pour Gsuite ou O365... sont-ils alors dans l'erreur ?
- Bref, beaucoup de raccourcis, d'approximations, à la limite du biais sophistique, avec une invocation un peu légère de grands principes (RGPD, interopérabilité, souveraineté) au service d'une vision très particulière du système public d'éducation."
Ndlr : approfondir, questionner ACT
Faux procès, vrais enjeux et idées concrètes pour passer à l’action : ce livre blanc donne les clés pour que les entreprises se lancent dans une vraie démarche d’amélioration de la qualité de vie et du bien-être au travail.
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Connu / https://www.preventica.com/actu-enbref-bien-etre-travail-discipline-scientifique-280120.php
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Le bien-être au travail, une discipline scientifique ?
sante-qvt - Risques psychosociaux - 28/01/2020 - Magali Rossignol
bien-être au travail
Dans un livre blanc, deux start-ups défendent l'idée que 5 leviers suffisent pour offrir à tous les collaborateurs les conditions de leur épanouissement au travail.
Aujourd'hui, le bien-être au travail fait polémique entre les enthousiastes d'un côté, et les cyniques de l'autre. Ces derniers dénoncent une caricature, une tyrannie du bonheur où un « responsable du bonheur » - le fameux Chief Happiness Officer - serait chargé de veiller sur les collaborateurs à coup de corbeilles de fruits bio, de cours de yoga et de locaux façon loft. Cette injonction au bonheur, disent-ils, n'a pas sa place dans l'entreprise, et si celle-ci s'en préoccupe c'est uniquement dans le seul but jamais avoué d'accroître son profit. Ce serait d'ailleurs une idéologie réservée aux entreprises qui peuvent se le permettre.
" Aujourd'hui ce débat est stérile, tristement réduit à une lutte entre croyants et non croyants. Le bien-être au travail n'est pourtant pas une idéologie mais un levier de performance, et fait l'objet de nombreux travaux économiques et scientifiques depuis des décennies. Les gens heureux travaillent mieux, c'est tout." explique Cyril Vart, Executive Vice-Président, Fabernovel.
Aujourd'hui les entreprises n'ont plus le choix, elles doivent se transformer et le développement d'initiatives de bien-être au travail devrait constituer une priorité des Comex.
En effet, pour les Directeurs Généraux, c'est une rare source de compétitivité inexploitée. Les salariés heureux au travail ont ainsi une productivité supérieure de 43% aux autres.
Dans un contexte de guerre des talents, c'est pour les DRH un critère clé d'attraction et de fidélisation des équipes. Pour les salariés français, le bien-être au travail apparaît même comme l'enjeu prioritaire dans le monde du travail.
Pour les directeurs des opérations ensuite, les initiatives de bien-être au travail sont indissociables des efforts de transformation numérique. Il est par exemple inimaginable d'adopter des méthodes agiles avec succès sans qu'une solide culture du feedback ait été établie.
Enfin, il s'agit aussi d'une importante source d'économies pour les directeurs financiers : car le mal-être au travail, silencieusement, coûte déjà très cher 12.600 € par salarié et par an en France du fait des absences et des rotations d'effectif.
"Après plusieurs années passées à accompagner des organisations de toutes tailles et de tous secteurs sur leurs sujets d'engagement ou l'évolution de leur culture, nous avons acquis la conviction que la voie du pragmatisme constitue la seule approche pertinente pour le bien-être au travail " analyse Julie Chane-Ching, Co-fondatrice de Bloom At Work.
En partant de l'histoire, du contexte et des aspirations spécifiques de son entreprise, il est possible de construire une organisation qui offre à tous les collaborateurs les conditions de leur épanouissement en se reposant sur 5 leviers :
Identifier les quick wins : pour lancer la dynamique, faire appel à l'intelligence collective de ses équipes et débuter par les idées économes en ressources mais avec un impact significatif.
Commencer par une preuve de concept délimitée, au sein d'une équipe enthousiaste qui saura tester les initiatives puis se faire l'ambassadrice des bonnes pratiques dégagées.
Mesurer régulièrement les résultats pour mieux itérer, par exemple via des sondages en ligne, simples et rapides.
Privilégier les initiatives à iso-budget : les idées impactantes nécessitant aucun budget ne manquent pas, par exemple l'absence de réunions un jour de la semaine pour laisser à chacun le temps de se concentrer.
Déléguer au terrain pour propager le mouvement : à terme, donner à chacun les moyens d'agir à son niveau, par exemple en subventionnant des cours en ligne ou des activités sportives choisies librement.
En savoir plus : Télécharger le livre blanc "Le bien-être au travail expliqué à votre Comex"
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