Transport. Ce train sans conducteur mis au point dans les Côtes-d'Armor pourrait devenir le taxi des usagers du rail en zone rurale.
Le Taxirail fonctionne sans conducteur, à l’hydrogène et à l'électricité. Il peut transporter jusqu’à ...
Connu / tg 22/3/22 à 7:04
Longtemps resté une simple idée de physicien, l’ordinateur quantique, qui promet de révolutionner le calcul, devient une réalité de plus en plus tangible. Dans quelques années, les premières machines capables de surpasser les ordinateurs classiques devraient faire leur apparition.
Mots-clés ordinateur quantique, intrication, superposition, Calcul, décohérence, Algorithmes, qubit
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Auteur Julien Bourdet
né en 1980, journaliste scientifique indépendant. A notamment travaillé pour Le Figaro et pour le magazine d’astronomie Ciel et Espace. Il collabore également régulièrement avec le magazine La Recherche.
Imaginé au début des années 1980 par le Prix Nobel de physique Richard Feynman, le concept d’un tel ordinateur devient aujourd’hui de plus en plus une réalité. « Nous vivons actuellement une époque charnière où les industriels, comme Google ou IBM, s'emparent du sujet qui était resté jusqu’ici l’apanage des laboratoires de recherche et cela promet de nous faire passer des caps technologiques majeurs », se réjouit Tristan Meunier, de l’Institut Néel1. Même son de cloche pour Eleni Diamanti, du Laboratoire d’informatique de Paris 62. « Dans les prochaines années, on disposera d’ordinateurs quantiques suffisamment performants pour battre nos ordinateurs traditionnels sur certains problèmes. »
La puissance de la superposition et de l’intrication
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La vitesse de calcul des algorithmes quantiques
... en 1994, le mathématicien américain Peter Shor, du MIT, présente un algorithme avec lequel il serait possible de factoriser n’importe quel nombre, c'est-à-dire le décomposer en un produit de nombres premiers, en un temps record. ... en 1997, Lov Grover, des laboratoires Bell, démontre avec son algorithme qu’un ordinateur quantique pourrait considérablement augmenter l’efficacité des algorithmes classiques utilisés pour la recherche d’informations sur une base de données. ...
L’accumulation de qubits
... en 2003, Rainer Blatt, de l’université d’Innsbruck, en Autriche, a réalisé la première porte logique à deux qubits en utilisant des ions calcium, un dispositif clé pour pouvoir effectuer des opérations en couplant les qubits entre eux. ... la plus belle prouesse calculatoire, elle a été accomplie en 2012 par une équipe de l’université de Bristol, en Angleterre, qui est parvenue à factoriser 21, soit à montrer que ce nombre se décompose en 3 fois 7, grâce à un dispositif photonique. Certes la performance est modeste, mais elle représente une démonstration de principe de l’algorithme de Shor, dont la puissance devrait se révéler pour des nombres beaucoup plus grands. ... « pour être performant et présenter un intérêt, un ordinateur quantique devra comporter un grand nombre de qubits. Pour les problèmes de factorisation par exemple, il faudra en coupler un millier, au bas mot », précise Simon Perdrix, du Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications3.
Le frein de la décohérence
... « Pour qu’un ordinateur quantique fonctionne, il faut que ses qubits conservent leurs propriétés quantiques le temps du calcul. Or, du fait des interactions avec l’environnement (champ magnétique, lumière, agitation thermique...), tout pousse un système quantique à perdre ses propriétés. Et cela est d’autant plus vrai que le système contient de qubits », explique Sébastien Tanzilli, de l’Institut de physique de Nice4 et qui représente la France au sein du Quantum Community Network, le comité chargé de piloter l’initiative européenne Quantum Technologies Flagship. ... Actuellement, le record du nombre de qubits intriqués est de 20. ...
Des implémentations prometteuses
... les ions piégés ... les circuits supraconducteurs ... les spins d’électrons dans le silicium ...
L’indispensable correction d’erreur
...
Ndlr: semble bien fragile... suivre ACT
L’organisme de formation – et aussi le cabinet conseil – que j’ai créé le 1er octobre 1995 intervient dans de très nombreux domaines liés à l’informatique.
Dès l’origine, cette structure avait une double vocation : assurer des missions de formation et de transferts de compétences auprès des utilisateurs, techniciens et responsables informatique d’une part et fournir de la prestation de services, du conseil et des audits que ce soit en matière de développement ou de mise en œuvre d’infrastructures LAMP, de base de données, de réseaux, de sécurité informatique.
Formation et transfert de compétences
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De 2004 à 2012, j’ai pu, dans le cadre de la société de services Winuxware – dont j’ai revendu les parts – travailler sur d’autres sujets comme la conception de sites Web avec WordPress, le SEO, le Community Management, le Web Analytics et la veille.
Un choix : le logiciel libre
Que ce soit sur les environnements Mac OS X ou Windows, le logiciel libre a su séduire de très nombreuses entreprises. Bon nombre d’entre elles ont compris tout le profit qu’elles pouvaient tirer de ce nouveau modèle économique : « Pour être riche, faites du gratuit !« . Quant à Linux, c’est un système particulièrement adapté à vos intranets et à vos sites Web. Son interopérabilité de plus en plus grande lui permet de cohabiter avec les autres systèmes, notamment, Windows.
Je suis à votre disposition pour vous conseiller dans vos choix à venir et pour vous accompagner dans votre conduite du changement.
L’équipe toulousaine 2018 est composée de neuf étudiants de l’INSA Toulouse et de l’Université Toulouse III - Paul Sabatier. Elle est encadrée par des chercheurs et des enseignants-chercheurs du Laboratoire d'Ingénierie des Systèmes Biologiques et des Procédés (LISBP), du Laboratoire de Biologie Moléculaire Eucaryote (LBME) et de l’Institut Gaston Berger (IGB) de Lyon.
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compétition internationale iGEM (international Genetically Engineered Machine - soit en français génie génétique international des machines ?)
... L’étape limitante reste la difficulté de fixer des molécules bioactives sur la cellulose (le matériau de base des fibres textiles). Pour contourner ce problème, l’équipe a conçu une protéine nommée Cerberus (en référence au chien mythologique). Cette protéine pourra fixer trois types de molécule à la fois grâce à ses trois « têtes » ainsi qu'une grande diversité de molécules organiques ou inorganiques.
Durant l’été, les étudiants produiront cette protéine en utilisant des approches de biotechnologie et démontreront ses différentes fonctionnalités en faisant produire par des levures de la cellulose fluorescente, magnétique, antibiotique ou conductrice.
Contacts presse :
Virginie Fernandez, relations presse, université Toulouse III - Paul Sabatier, virginie.fernandez@univ-tlse3.fr, 06 88 34 49 98
Gaëlle Bordes, équipe iGEM, igem.toulouse@gmail.com, 06 68 36 02 18
Véronique Desruelles, directrice du service communication INSA Toulouse, servicecom@insa-toulouse.fr, 06 80 58 47 72
Q. :
- quelle est la quantité d'énergie consommée dans ces processus biologiques ?
- Les études préalables sont-elles accessibles pour étayer l'argument "énorme besoin" ? Comprennent-elles un volet "étude concurrentielle" ?
ACT