Connu / https://grandjardin.jardiniersdunous.org/content/perma?id=76121
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Myriam Livolant Salle commune · 23 nov. 2021 · Visible par tous les membres de l'espace
Education
école alternative en transition à la maison
je vous joins un lien si vous êtes intéressés par une méthode d’apprentissage scolaire :https://nous-solutions-education.learnybox.com/confirmation-d-inscription-conference-jeu-du-nouveau-monde-en-famille/
https://links.learnymail.fr/c/i5_/R2vL/infhUNVY9bcZZ7WTimDjYQ/c14/BRa/F/d54e9c5d
Confirmation d'inscription conférence jeu du nouveau monde en famille
https://nous-solutions-education.learnybox.com/confirmation-d-inscription-conference-jeu-du-nouveau-monde-en-famille/
· Commentaire (4) · dt Myriam Livolant · 29 nov. 2021
En effet Bruno, il n’y a que le 2ème lien qui te renvoie à une page que tu peux consulter. La promotion de la formation et le replay sont maintenant terminés. Je pense qu’il y a moyen de consulter le site de Satyanna Chris Luken pour voir ce qu’elle fait. Tu me diras…
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Tr.: valeur comme bienveillance,
Ndlr : refus de la différence, suggère un risque d'enfermement avec des "mêmes" = risque communautarisme + idéalisme ?
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.#coronavirus #reformedesretraites
Catégorie People et blogs 9 commentaires
Connue / https://twitter.com/LaLucioleM/status/1232958414218780672
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La Luciole Mélenchantée💫 @LaLucioleM
Excellent entretien avec Alexis Corbière #Coronavirus #COVIDー19 #reformesdesretraites #communautarisme
10:19 AM · 27 févr. 2020·Twitter Web App
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C’est nier que le communautarisme est l’enfermement des individus dans une supposée communauté uniforme et que, justement, le communautarisme nie les appartenances multiples et surtout changeantes.
... les mesures annoncées mardi par le Président de la République sont bonnes. Elles constituent un préalable à toute action de reconquête républicaine.
...
comment des élus de la République, comme Jean-Christophe Lagarde à Drancy, ont pu, pendant si longtemps, acheter la paix sociale en laissant des représentants d’une religion compenser le retrait de l’Etat et la destruction des services publics. ... jouer sur les mots pour ne fâcher personne. Quitte à oublier qu’il n’y aura pas de reconquête républicaine si l’on ne comprend pas ce qu’est la République et ce qui la menace. ... nier que le communautarisme est l’enfermement des individus dans une supposée communauté uniforme et que, justement, le communautarisme nie les appartenances multiples et surtout changeantes. La République, au contraire, oppose au « droit à la différence » le droit à être différent de sa différence, à n’être pas réduit à elle. ... Le séparatisme que le Président n’ose dire islamiste est celui des salafistes quiétistes dont une certaine gauche nous prétend qu’il n’est pas dangereux puisque, justement, ils sont quiétistes. Il n’est qu’une petite partie du problème. Le Président a raison de le refuser fermement, mais si l’objectif est de mettre tout le reste sous le tapis, il échouera. Quand des élèves expliquent à un professeur que le Coran contient des vérités scientifiques et que « lui croit ce qu’il veut » mais qu’eux garderont leur croyance, quand un sondage nous explique que 59% des 15-24 considèrent, façon Belloubet, qu’insulter une religion est une atteinte à la liberté de conscience, s’agit-il de séparatisme ? ... ceux qui défendent un Islam théologico-politique, pour lequel la religion a une emprise globale sur la vie des croyants, s’engouffrent dans les brèches creusées par le recul de la civilisation européenne en général et de la République en particulier. La République comme organisation de citoyens libres, guidés par leur seule raison et non par leurs déterminismes sociaux, identitaires ou religieux. La reconquête est donc plus vaste, parce qu’elle nécessite de retrouver et d’affirmer, par delà la diversité des croyances et des origines, une vision européenne de l’Homme et de sa liberté.
Lire aussi
Le président du CFCM sur l'affaire Mila : "Nous devons accepter que l'islam soit critiqué" https://www.marianne.net/debattons/tribunes/le-president-du-cfcm-sur-l-affaire-mila-nous-devons-accepter-que-l-islam-soit
Clés : islamisme - laïcité
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Le mardi 18 février, Jean-Luc Mélenchon répondra en direct à l'intervention d'Emmanuel Macron sur le communautarisme et le séparatisme. Participez avec le hashtag #JLMLaicite.
Catégorie Actualités et politique 199 commentaires
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Dans cette 106e Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur la bataille parlementaire qui a eu lieu en commission spéciale retraites de l’Assemblée nationale. Il explique notamment pourquoi la technique de dépôt de 19 000 amendements a permis de développer de nombreux arguments contre la réforme des retraites et de faire en sorte qu'un débat argumenté puisse avoir lieu tandis que les macronistes voulaient faire en sorte qu'il n'y en ait aucun.
Le député insoumis revient ensuite sur les deux diversions organisées par Macron pour parler d'un autre sujet que les retraites : son passage au Mont-Blanc et sa volonté de parler du communautarisme désormais renommé « séparatisme ».
Jean-Luc Mélenchon parle ensuite des deux victoires de Bernie Sanders dans l'Iowa et le New Hampshire aux primaires démocrates et explique les enseignements qu'on peut tirer, pour la France, de la campagne d'un candidat à la primaire démocrate se revendiquant clairement du socialisme. Il termine cette revue de la semaine par parler de la motion de censure qu'il est impossible de déposer sans le soutien des socialistes, qui pour l'instant ne veulent pas la signer.
SOMMAIRE
00:45 : La bataille des retraites à l'Assemblée : le bazar macroniste
11:16 : Communautarisme et Mont-Blanc : les diversions de Macron
16:27 : Bernie Sanders victorieux en Io
22:43 : La motion de censure bloquée par le PS
26:50 : La suite de la lutte contre la réforme des retraites
LES LIENS
- Comment protéger le mont Blanc et son écosystème ? La visite de Macron pour apporter des solutions : https://www.lemonde.fr/climat/article...
- Communautarisme : Macron prêt à abattre ses cartes : http://www.leparisien.fr/politique/co...
- Sanders a gagné en Iowa ! Une hirondelle et c’est le printemps : https://melenchon.fr/2020/02/06/sande...
- Primaires américaines : Bernie Sanders gagne une élection disputée dans le New Hampshire : https://www.lemonde.fr/international/...
- Le contre-projet retraites des insoumis : https://lafranceinsoumise.fr/2019/12/...
Catégorie Actualités et politique 282 commentaires
Propos recueillis par Natacha Polony, Hadrien Mathoux et Soazig Quéméner
A la veille d'un scrutin décisif pour le projet européen, le leader de La France insoumise détaille ses orientations sur l'UE, la laïcité ou l'écologie. En ligne de mire de Jean-Luc Mélenchon : 2022.
Marianne : En 2017, votre message était : « L'Europe, on la change ou on la quitte ». Désormais, vous dites : on discute et si les discussions n'aboutissent pas, on désobéit pour appliquer le programme…
Jean-Luc Mélenchon : Un paramètre est pour moi essentiel : je crois à la puissance de la France. Le point de départ de mon raisonnement est l'état du rapport de force entre Français et Allemands. Tout se joue là, entre deux visions de l'Europe construites au fil du temps. A chaque étape, les gouvernements allemands ont affirmé leur ordolibéralisme. Ils n'ont rencontré aucune résistance des gouvernements français, moitié par faiblesse, moitié par désinvolture. D'autant que régnait le mythe du « modèle allemand ». Et quand on a ouvert l'Europe à 10 pays de plus, les Français l'ont fait avec angélisme, sans mesurer le déséquilibre ainsi créé. Puis les traités successifs ont donné force de loi à l'imperium ordolibéral allemand. Sortir de ces traités est notre objectif.
Mais jusqu'où peut-on aller dans ce rapport de force ? Et avec quels alliés ? Faut-il sortir du cadre européen ?
Le rapport de force est en train de basculer : les fondamentaux de l'Allemagne, sa démographie et son industrie, vacillent. Vingt pour cent de sa production industrielle, ce sont des voitures, ce qui crée les conditions d'une fragilité particulière. Car, pour que les voitures allemandes se vendent bien, il faut que les Chinois soient d'accord, les Américains aussi. Elle s'est rendue dépendante de la mondialisation, c'est-à-dire exactement la logique inverse de ce pour quoi a été créée l'Union européenne. Ce contexte peut être porteur pour la France si elle mène une politique décomplexée.
Il fallait faire peur en 2017. C'est moins nécessaire aujourd'hui.