magazine de presse médicale (in)attendu, digital et print bimestriel sur abonnement... est aujourd'hui le seul média santé qui s'est spécialisé sur tous les sujets qui touchent les nouvelles générations de médecins... tous les sujets concernant le quotidien des jeunes médecins : exercice, installation, politiques de santé, e-santé, carrière médicale, formations initiales et continue… Créé en 2012 par un groupe de médecins convaincus du besoin de communiquer différemment sur les sujets qui touchent la profession médicale. Il est aujourd’hui lu par plus de 96 000 visiteurs uniques sur le site web tous les mois et adressé à plus de 18 000 exemplaires tous les deux mois.
Ces temps troubles en France, après les attentats successifs de Paris, de Nice et l’assassinat d’un prêtre, près de Rouen, voient une partie de notre jeunesse, répondre aux clairons de dogmatismes qui veulent la mort de nos démocraties et attisent la haine entre communautés. Face à ces évènements qui cherchent à diviser, nous pensons dans le cadre des outils à disposition de la protection de l’enfance (sous mandat administratif ou judiciaire), que le déplacement, et le détour par l’expérience commune avec les professionnels, à l’étranger, créent de l’instabilité pour que le jeune puisse entendre un contre discours de l’adulte.
Par la médiation entre les arts et la culture, le dialogue peut se renouer, le lien devient possible. Cette médiation culturelle permet aux jeunes de mieux appréhender les différences et évite le communautarisme. La « pratique éducative par ricochet » dans le quotidien en partage, chère au psychologue lyonnais, Paul Fustier[1], nous invitait à de tels détours : démontrer ainsi que travailler les questions de processus identificatoire par les enjeux culturels sont des démarches fondamentales au processus d’intervention clinique et éducatif en contexte de protection administrative ou judiciaire.
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L’expertise issue de notre pratique éducative et formative nous indique que nous souffrons de trop de cloisonnement dans nos pratiques d’accompagnement. Ce modèle cloisonné n’assume pas pleinement l’importance de la conjonction des volets cliniques avec l’expérimentation d’engagement citoyen pour le vivre ensemble. Nous considérons ainsi à l’appui des travaux contemporains en psychiatrie et psychosociologie que les troubles psychiques et souffrances sociales contemporains sont autant « d’empêchements d’accomplissements » et de réalisation de soi.
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faire entendre que la culture dont certains sont issus, reste plus que jamais, estimable, et qu’elle a sa place pour le guider dans la construction positive de son parcours de vie, loin de tout regret haineux.
[1] Paul Fustier, les corridors du quotidien, Dunod, 2014 (1ère édition 1993). Paul Fustier (1937-2016), professeur émérite de psychologie à l’Université de Lyon. Il joua un rôle central dans la structuration de la clinique du champ social et médico-social. L’intégralité de son oeuvre est éditée chez Dunod.
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Yohann il y a 2 jours
Chapeau les mecs de ne pas céder à la haine ! Le zèle des forces de l'ordre, c'est toute la société française qui commence à s'en rendre compte !
wirtzbill.com
Bill Wirtz habite au Luxembourg, Il s'intéresse à la politique, plus particulièrement à la promotion des libertés individuelles et économiques.
Le jour où ils auront réalisé ce qu’impliquent leurs prescriptions politiques, ces marcheurs du climat mettront leur gilet jaune.
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Ces jeunes gens voudront commencer doucement, en exigeant simplement que toutes les émissions de carbone cessent immédiatement. Un exemple ? Annuler l’expansion vitale de l’aéroport de Copenhague, que la jeune fille suédoise évoque dans un tweet.
L’erreur la plus dangereuse que l’on puisse faire quant à la crise climatique est peut-être de penser que nous devons réduire nos émissions. Parce que c’est loin de suffire. Nos émissions doivent cesser si nous voulons rester sous les 1,5/2° de réchauffement. Cela exclut la plupart des politiques actuelles. Y compris l’extension d’un aéroport.
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ndlr:
- intéressant avis libéral. Ils ne se rendent pas compte que c'est déjà fait, questionner, argumenter ACT
... Victor et Mickaël sont relaxés sur toute la ligne. C’est le fruit d’une mobilisation très forte, menée par les étudiant-e-s de la fac, avec une très large solidarité à l’extérieur du campus. Le rassemblement regroupant plus de 300 personnes l’a clairement exprimé. Des soutiens de Rennes, Lille, Le Mans, des syndicalistes de la CGT Geodis, de SUD Poste 92, de Sud Rail Saint-Lazare, d’Info’Com CGT, de Sud Education, de la FSU, et de plein d’autres secteurs sont venus exprimer leur soutien inconditionnel à Victor et Micka. Merci à elles et eux, cette victoire est une victoire pour tout notre camp social ! ... poursuivons la mobilisation, contre la politique antisociale de ce gouvernement et pour la relaxe de tous les poursuivis et condamnés. A commencer par Victor et Roga , étudiants à Nanterre, condamnés en octobre à 4 mois de prison avec sursis et à 6 mois de prison ferme ! Leur procès en appel aura lieu dans les prochains mois.
Des camarades de l’IEP de Rennes passeront en section disciplinaire bientôt pour des faits similaires. On viendra depuis Nanterre les soutenir pour exiger leur relaxe. Jamais on n’acceptera que des camarades se retrouvent isolé-e-s face à la répression.
Partout, plein d’autres camarades poursuivent des condamnations disciplinaires ou judiciaires. Il est temps que notre camp social s’organise pour exiger la relaxe pour tous les poursuivis et pour stopper le gouvernement des riches. Cette victoire est la première d’une longue liste, poursuivons le combat de manière unitaire et déterminée !
C’est pour cela que nous invitons tous les étudiants et salariés mobilisés à participer à l’AG interpro qui se tiendra à la Bourse du Travail, métro République, salle Ambroise Croizat à 19h30, pour discuter des perspectives de luttes !
Des militants de l’UNEF Nanterre
Mots-clés Université de Nanterre / Sélection à l’université / UNEF / Université / Répression / Jeunesse
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Urgence climatique : nous ne voulons pas grandir sur une planète en ruine
En Europe, 400 000 personnes meurent de la pollution par an, et rien n’est fait pour inverser la tendance. L’inaction climatique de l’Union européenne et des États ne passe plus. Repousser sans cesse l’état d’urgence social et climatique n’est pas une solution. Il faut rompre le plus vite possible avec les énergies fossiles pour investir massivement dans les énergies renouvelables.
Les jeunes ont pris conscience de manière radicale de l’ampleur de la crise écologique et, pour ce faire, nous manifestons depuis plusieurs mois dans toute l’Union européenne pour demander un changement de politique.
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Urgence sociale : la précarité est notre présent, nous n’en voulons pas comme avenir
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Urgence démocratique : notre futur ne peut se construire sans nous
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Pour déjouer le duo En Marche, Rassemblement National, et parce que nous préférons construire une Europe de la Paix qu’une Europe de la concurrence, nous voterons pour la France insoumise. Parce qu’elle est la seule à proposer de résoudre en même temps la crise écologique et la crise sociale par la planification écologique, nous permettant ainsi de croire en un avenir meilleur, nous voterons Manon Aubry le 26 mai.
Vous aussi, signez la tribune de soutien !
Premiers signataires :
Aurélien Le Coq, 22 ans, Lille 2
Elisa Revillon, 21 ans, Bordeaux
Malou Duhamel, Rennes, Etudiant en Histoire
Emma Fourreau, Rennes, Etudiante à Sciences Po Rennes
Alexandra Mouton, 20 ans, Lille, Syndicaliste Etudiante
Antoine Bertrand, Toulouse
Fanny Picuira, Toulouse
Pierre Leroux, 19 ans, Marseille, Etudiant à la Faculté de Pharmacie du Campus santé de la Timone
Pierrick Colpin, 21 ans, Valenciennes, Syndicaliste étudiant et associatif sportif
Camille Magois, 20 ans, Paris, Syndicaliste étudiante
Julian Calfuquir, Nanterre, Syndicaliste étudiant
Naïm Shili, 21 ans, Saint-Quentin-en-Yvelines
Vidal Schwartz, 23 ans, Saint-Quentin-en-Yvelines
Andréa Diaz, 30 ans, Perpignan
Clara Guadagni, 19 ans, Perpignan, Membre du Collectif des Jeunes pour le Climat
Rémi Saint-Pé, 23 ans, Blanquefort
Marin Lagny, 19 ans, Brest, Prépa Littéraire
Pauline Lesquivit, 30 ans, Brest, Infirmière en reprise d’études dans un Master en Psychologie
Mehdi Ait Bahou, Caen
Pierre Gaubert, Valence
Anais Lacarte, Valence
Gaspard Fontaine, 17 ans, Lille, Lycéen
Hugo Prevost, 19 ans, Grenoble
Laura Pfister, 19 ans, Grenoble
Thomas Mandroux, 22 ans, Grenoble
Tomek Skomski, Paris 1
Leila Di’giacomo, Paris
Arnaud Grangeret, Paris, Syndicaliste Etudiant
Emma Salley, Sciences Po Paris, Syndicaliste Etudiante
Samuel Budimir, Laval, Syndicaliste Etudiant
Giuseppe Alviges, Paris, Etudiant en Droit à Paris 8, Président du BDE de Droit
Aurélien Petitfils, Arras, Professeur d’Histoire
Céline Delmont, Arras, Infirmière
Yohan Pavec, Guingamp
Betsy Bescher, Guingamp
Bertrand Renaud, 27 ans, Tours
Sherly Bornil, 21 ans, Tours
Mato Lootah, 26 ans, Bourg-en-Bresse
Ronan Galinier, Strasbourg
Lydie Bichet, Strasbourg
Nicolas Pellegrini, 19 ans, Nîmes, Etudiant en Droit
Naomi Ayme, 18 ans, Nîmes, Etudiante en Musicologie
Matthieu Barberis, Clermont-Ferrand, Autoentrepreneur
Louise Douay, Clermont-Ferrand, syndicaliste étudiante
Lila Neila Osmani, 24 ans, Clermont-Ferrand
Isaac Henoque, 18 ans, Clermont-Ferrand
Valentin Minette, Nancy
Camille Brandard, Nancy
Dahman Richter, 21 ans, Nancy
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Au programme de l'Autre 20h ce soir présenté par Romain Mahdoud :
⏩ SAINT-NAZAIRE : LES GILETS JAUNES CONSTRUISENT L'AVENIR
Ce week-end, à Saint-Nazaire, se tenait l’assemblée des assemblées des gilets jaunes. Plus de 300 délégations de toute la France se sont réunis pour débattre, voter et faire avancer le mouvement.
⏩ JEUNES MAJEURS : LES SDF NOUVELLE GÉNÉRATION
L'association Repaires et le collectif la rue à 18ans, ont mobilisé des figures politiques et associatives à la Bourse du travail le 12 mars dernier sur les problématiques de jeunes SDF.
⏩ FACEBOOK EST-IL VOTRE PROCHAINE BANQUE ?
Facebook serait en passe d'émettre sa propre monnaie privée. Théophile Kouamouo vous explique tout dans son fond de l'info.
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nonizzz @nonizzz 3 hil y a 3 heures
C’est pas bien de mentir sur #linkedin Hugo Viel, tu te dis ingénieur, mais t’es juste étudiant 😕#onpc #ecolo #mensonge
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Hugo VIEL ingénieur en énergie et environnement - Coordinateur du Collectif Jeune du Pacte Finance Climat - énergies renouvelables
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Pourquoi devrions nous travailler sur notre avenir
s'il n'y a pas d'avenir ?
Le 15 mars faisons grève pour le climat !
Collégien·nes, lycéen·nes, étudiant·es, nous appelons à faire grève pour le climat le 15 mars
Depuis des années notre planète vit une crise sans précédent. La biodiversité s'effondre, les catastrophes liées au climat sont de plus en plus nombreuses, des millions de personnes sont obligées de migrer vers d'autres territoires et dans le même temps la température atteint -48°C à Chicago et +49°C en Australie...
L'humanité court à sa perte. Depuis plus de 50 ans, les scientifiques alertent sur la catastrophe qui nous guette mais les puissants de ce monde, pouvoirs publics et multinationales, continuent leur course à la croissance, agissant comme si l’urgence climatique ne les concernait pas. Aujourd’hui nous assistons à ce qui s'annonce comme étant la sixième extinction de masse.
→ Lire la suite https://docs.google.com/document/d/1CTSAWqX2wwWPRlWjCxzCsgpjgsGUqO93eOFeh_ZXrLM/edit
... « Pourquoi devrions-nous étudier pour un futur qui n'existera bientôt plus, alors que personne ne fait rien pour le sauver ? » (Greta Thunberg)
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Ils et elles lancent l’appel
Clervie Guyard, lycéenne 17 ans, 1ère L, Ancenis
“J’appelle à la grève car je voudrais que moi ainsi que les millions d’autres enfants nous puissions vivre.”
Gabrielle Jossaud, 17 ans, Terminale L, Poitiers
“J’appelle les lycéen.ne.s et les étudiant.e.s à faire la grève le 15 mars car je veux que tous les jeunes se montrent concernés par le dérèglement climatique, et que ce sujet prenne une place centrale dans les médias et les débats politiques.”
Idris BENSARI,18 ans, 1ère année de Bachelor en Gestion et Valorisation de la Nature, Alfortville
“Dans l’idée de réveiller les consciences des plus jeunes comme des plus vieux, j’appelle à faire grève parce que l’avenir c’est nous et que nous n’allons pas céder pour la croissance du PIB et l’exploitation infinie d’une nature finie.”
Instagram : mobilisation_lycenne_dalf
Mail : mobilisation.alf@gmail.com
Johan Rivière, 17 ans, Terminale S, Bayonne
“J’ai fait le choix d’appeler à la grève pour le climat pour ne pas céder à l’indifférence face à une catastrophe climatique qui touchera les générations futures.”
Instagram : fridaysforfuture.paysbasque
Mail : lyceensclimatpaysbasque@gmail.com
Lucie Fortanier, 16 ans élève de première, Nantes
«J’appelle à faire grève pour ne pas regretter plus tard de n’avoir rien fait »
Instagram: lesenfantsduclimat
Lunell Oudelin-Toussaint, Terminale Scientifique, Marseille
“J’ai décidée d'appeler à faire grève pour le climat car si nous perdons ce combat aucun autre ne pourra avoir lieu”
Maël Gauduchon, 19 ans élève de Terminale, Nancy
“Je soutiens la grève pour le climat car j’en suis arrivé au triste constat que nos dirigeants n’agiront que sous la contrainte”
Facebook “YouthForClimate Nancy” : https://www.facebook.com/groups/2712744822070748/
Marin Bisson, 15 ans, élève de Seconde, Lyon
“J’appelle à faire grève, car si nos dirigeants ne sont pas capables de prendre les mesures nécessaires, alors c’est à nous de leur faire comprendre l’urgence de la situation.”
Facebook : https://www.facebook.com/grevescolaireclimatlyon/
Pimprenelle Pouillot-Chevara, 19 ans, L1 de Biologie et Géosciences à Sorbonne Université, Paris “Protéger notre environnement c’est protéger chacun d’entre nous.”
Solenn Marc, 20 ans, L2 de psychologie à l’UBO, Brest
“J’appelle à faire grève car l’urgence climatique n’est plus un risque mais un fait dont nous devons tous prendre conscience.”
Facebook “Youth For Climate Brest”: https://www.facebook.com/groups/256625768598320/
Instagram : youthforclimatebrest
Les 18/24 sont les plus pauvres en France. "On prend un plaisir malsain à maltraiter nos jeunes, considérant qu'au fond, ça leur apprend la vie."
- Thimotée Duverger, maître de conférence à Sciences Po Bordeaux, auteur de "l'invention du Revenu de Base", avec La Clé Des Ondes.
10 jeunes venant de 10 villes différentes répondent à l’initiative de Greta Thunberg et lancent un appel à la grève pour le climat vendredi 15 mars 2019.
Collégien.ne.s, lycéen.ne.s, étudiant.e.s, nous appelons à faire grève pour le climat le 15 mars
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-> https://ilestencoretemps.fr/youthforclimate/
-> https://docs.google.com/document/d/1CTSAWqX2wwWPRlWjCxzCsgpjgsGUqO93eOFeh_ZXrLM/edit
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Idris BENSARI,18 ans, 1ère année de Bachelor en Gestion et Valorisation de la Nature, Alfortville
“Dans l’idée de réveiller les consciences des plus jeunes comme des plus vieux, j’appelle à faire grève parce que l’avenir c’est nous et que nous n’allons pas céder pour la croissance du PIB et l’exploitation infinie d’une nature finie.”
Instagram : mobilisation_lycenne_dalf
Mail : mobilisation.alf@gmail.com
Johan Rivière, 17 ans, Terminale S, Bayonne
“J’ai fait le choix d’appeler à la grève pour le climat pour ne pas céder à l’indifférence face à une catastrophe climatique qui touchera les générations futures.”
Instagram : fridaysforfuture.paysbasque
Mail : lyceensclimatpaysbasque@gmail.com
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La grève de l’école de la jeune Suédoise Greta Thunberg connaît une notoriété internationale et lui vaut un certain nombre de critiques. Dans cette tribune, elle défend l’honnêteté de son engagement.
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Et si vous avez d’autres préoccupations ou doutes à mon sujet, vous pouvez écouter mon exposé TED dans lequel je raconte comment mon intérêt pour le climat et l’environnement a commencé.
https://www.ted.com/talks/greta_thunberg_the_disarming_case_to_act_right_now_on_climate
indexé par https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?6jyFcA
977 ont signé
Des jeunes de partout au Québec entameront dans les prochains mois la toute première grève pour lutter contre les changements climatiques. Le groupe Environnement Jeunesse s’apprête à exercer une action collective au nom des jeunes Québécois.e.s, en poursuivant le gouvernement fédéral pour « violation des droits fondamentaux » et « du droit à la vie et à la sécurité » des jeunes.
Nous, enseignant.e.s, avons une responsabilité majeure : ce que disent ces jeunes sur l’urgence absolue d’agir face à une crise écologique et humanitaire sans précédent, nous le savons. Dans nos salles de classe, nous avons accepté trop longtemps l’idée du « développement durable », entretenant chez les élèves l’illusion que la situation était sous contrôle et prise au sérieux par les gouvernements du monde.
Nous déclarons que nous ne voulons plus être les instruments d’une propagande rassurante, qui rend invisible la catastrophe écologique. Nous déclarons qu’il y a urgence d’agir et que notre rôle de pédagogues est d’accompagner les jeunes du Québec à comprendre, dénoncer et se mobiliser face à la crise climatique.
Le printemps 2019 doit être historique
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Merci à Enseignant.e.s Pour la Planète (France) pour l’idée et le texte initial. https://enseignantspourlaplanete.com
Grozeille @grozeille_co 30 janv.
Deux dates, deux grèves. A partir du 5 février : grève des gilets jaunes et de la CGT. Le 15 mars : grève mondiale de la jeunesse pour le climat. Entre ces deux dates, les écologistes risquent de s’ennuyer, et surtout, il...
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accélérer la jonction GJ-GV+appel à GG ACT
"Sois jeune et tais-toi"
Porte-parole des gilets jaunes : “Ma vie a complètement changé”
Par Florent Vairet | 28/11/2018 à 18:12, mis à jour le 28/11/2018
Jason Herbert jongle avec ces trois emplois et ses nouvelles responsabilités au sein du mouvement des gilets jaunes. @Image BFMTV
Les jeunes se sont imposés dans la représentation des gilets jaunes. Jason Herbert, 26 ans, fait partie des huit porte-parole désignés. Il nous explique les raisons de son engagement, et l’impact que la surmédiatisation a eu dans sur sa vie depuis lundi, jour de son élection.
Samedi prochain, les gilets jaunes appellent de nouveau à descendre dans la rue. Samedi dernier, ils étaient plus de 280.000 à travers la France. Parmi les mécontents, des jeunes, des hommes, des femmes, des retraités. Tous les sexes, tous les âges semblent être représentés dans ce mouvement hétéroclite. Pourtant, parmi les huit porte-parole nationaux désignés par un collège de 30 porte-parole régionaux, seuls des jeunes de moins de 33 ans ont été élus.
Parmi eux, Jason Herbert. A 26 ans, ce Charentais cumule déjà trois jobs : conseiller prud’homal, rédacteur web pour un journal local et chargé de communication à l’intercommunalité du GrandAngoulême. Pour ce jeune “slasheur”, l’engagement était inévitable.
“Faire avancer le mouvement”
“Je travaille et je n’arrive pas à vivre dignement alors que je n’ai aucun crédit”, explique-t-il. Poussé par la cherté des loyers dans le centre ville d’Angoulême, Jason Herbert est parti vivre à 30 km de son lieu de travail. “C’était aussi une envie de fuir la bétonisation du centre, une envie de vert, je voulais respirer !”
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Résultat : il débourse environ 250 euros par mois pour son carburant. “Aucune solution alternative ne me permettrait de me rendre à mon travail”. Et ne lui parlez pas de véhicule électrique. “J’aurais adoré mais je n’en ai pas les moyens. Et je n’ai aucune envie de m’endetter”, assène-t-il.
Le mouvement des gilets jaunes est né à la suite de la décision d’augmenter les taxes sur les carburants. Le 10 octobre, un appel est lancé sur Facebook. Tout au long du mois de novembre, la contestation prend de l’ampleur sur internet. Le 17 novembre, 280.000 personnes défilent à travers la France, selon le ministère de l’Intérieur.
Alors quand les organisateurs lui proposent d’être sur la liste des candidats au porte-parolat du mouvement, il hésite un peu, avant de franchir le pas. “J’étais convaincu que j’y avais toute ma place”. Il dit qu’on est venu le chercher pour ses capacités en communication qui pouvaient aider le mouvement. “Après plusieurs jours de blocages, de blessés et même de morts, je voyais la situation s’enliser et le capital sympathie des automobilistes se réduire à néant, alors j’ai voulu aider à faire avancer les choses”, confie-t-il. “Autrement, je l’aurais regretté.”
Plus de 80 demandes de médias
A 26 ans, il ne craint pas la pression qu’implique ses nouvelles responsabilités. Jason ne s’attarde pas non plus sur la polémique qui monte sur le mode de désignation des porte-parole par une trentaine de leaders régionaux réunis en visio-conférence. Il dit s’en tenir à son rôle de porte-parole et faire simplement remonter les revendications du terrain.
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Il n’empêche, depuis lundi, jour de son élection, sa vie a “totalement changé”. “En une fraction de secondes, ma vie privée a été décortiquée dans les moindres détails. J’ai reçu des centaines de menaces”. Y compris physiques, lors d’échanges parfois musclés avec des passants dans sa ville Angoulême, où désormais tout le monde le reconnaît.
Il s’attendait à l’emballement médiatique, mais avait-il conscience de l’ampleur de la vague ? Sur son téléphone portable, il compte plus de 83 interlocuteurs différents depuis lundi 13h. “Ce sont à 99% des médias”. “Hier, j’ai commencé à 7h du matin avec BFM, j’ai terminé le soir à 23h avec RMC.” Et ce matin, il retrouvait cette même radio au micro de Jean-Jacques Bourdin qui l’a interviewé, juste avant le Premier ministre. Il dit ne plus avoir le temps de déjeuner car toutes les pauses sont dédiées aux médias.
Comme lui, ils sont huit jeunes porte-parole à avoir été élus. Le plus vieux est âgé de 33 ans. Il s’agit de Eric Drouet, chauffeur routier à Melun et l’instigateur de la manifestation du 17 novembre. Julien Terrier, 31 ans, gère en tant qu’auto-entrepreneur une société de rénovation près d’Annecy. Priscillia Ludosky, 32 ans, habitant la région parisienne est à l’origine de la pétition "pour une baisse des prix du carburant à la pompe" qui a réuni près d’un million de signatures. Mais il y a aussi Maxime Nicolle, 31 ans, intérimaire dans les Côtes-d’Armor, et Mathieu Blavier, 22 ans, étudiant dans les Bouches-du-Rhône.
La jeunesse impliquée dans le mouvement
Comment expliquer cette représentation du mouvement exclusivement par des jeunes? “C’est un mouvement qui est né et qui s’organise sur les réseaux sociaux. Même si les personnes de tous âges y sont présentes, les jeunes sont inévitablement plus actifs et plus agiles”, analyse Jason Herbert. “Les jeunes manifestent en même temps qu’ils relaient les événements sur internet”, ce qui leur donne une plus grande visibilité.
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Une analyse partagée par la sociologue et spécialiste de la culture du web Monique Dagnaud. Concernant l’engagement de la jeunesse dans le mouvement, cette directrice de recherche au CNRS identifie quelques raisons. “Globalement, les jeunes de ce mouvement habitent les petites villes ou les campagnes, et nombre d’entre eux sont auto-entrepreneurs et d’indépendants”, observe la spécialiste.
“Ces populations connaissent plus souvent la précarité économique que les jeunes actifs des grandes métropoles. Le statut auto-entrepreneur est plus une façon de se créer un emploi, à défaut de de devenir un premier de cordée en lançant une startup à succès. Le mouvement des gilets jaunes apparaît pour cette jeunesse qui se sent délaissée, et dont la mobilité repose exclusivement sur la voiture, comme un bon moyen d’exprimer leur colère”, conclut-elle.
8 novembre 2018 dans Mathilde Panot, Nos parlementaires
Question N° 13909 publiée au Journal Officiel le 06/11/2018 page : 9874
Mme Mathilde Panot alerte M. le Premier ministre sur la fusion des missions locales au sein de Pôle Emploi.
Suite au communiqué de Matignon du 18 juillet 2018 proposant aux collectivités locales volontaires de « participer à des expérimentations visant à fusionner les structures de la mission locale au sein de Pôle emploi avec une gouvernance adaptée », l’Union nationale des missions locales a émis de fortes inquiétudes. Le 3 septembre 2018, M. Jean-Patrick Gille, son président, a demandé au Premier ministre de clarifier les intentions du Gouvernement. Mme la députée souhaiterait également les connaître.
Le Comité action publique 2022, qui s’est réuni à la demande du Premier ministre à partir d’octobre 2017, réfléchit à des modifications importantes des missions de l’État. À l’issue d’une de ses réunions, le Premier ministre a proposé, sans concertation des acteurs du réseau, d’expérimenter la fusion des missions locales au sein de Pôle emploi, jugeant qu’elle permettra une meilleure articulation entre les acteurs du service public de l’emploi.
Cette proposition, absente du rapport du Comité d’action publique 2022, a énormément surpris le réseau des 436 missions locales qui luttent contre le chômage des jeunes et accompagnent chaque année plus de 1,3 million de jeunes, dans leur parcours d’accès à l’emploi et à l’autonomie. Les résultats des missions locales ne sont plus à démontrer. Près de 600 000 jeunes accèdent chaque année à l’emploi, 250 000 entrent en formation, 140 000 bénéficient d’une immersion en entreprise, 16 000 s’engagent dans des missions de service civique. D’ailleurs, lors d’une enquête récente, les jeunes eux-mêmes ont plébiscité la qualité de leurs relations avec les conseillers des missions locales et de leurs actions avec et pour eux.
Les missions locales s’appuient sur la diversité des dispositifs publics dans les domaines de l’emploi, de la formation, de la santé, de la mobilité, du logement, de l’accès à la citoyenneté parce que l’accompagnement des jeunes n’est pas uniquement une mise en relation à l’emploi mais nécessite des services personnalisés notamment pour les plus éloignés de l’emploi. Les études montrent que plus de 30 % des jeunes accompagnés par le réseau des missions locales ne sont pas inscrits à Pôle emploi dont les modes d’accompagnement ne sont pas adaptés, voire les en excluent.
Elle lui demande donc s’il ne pense pas qu’une fusion entraînera une disparition de l’accompagnement spécifique fourni par les missions locales, dommageable pour l’emploi de certains jeunes. Elle lui demande également de préciser les intentions de son Gouvernement sur ce projet de fusion.
En septembre, vous vous en souvenez peut-être, nous sommes allé-e-s en Finlande pour faire acte de solidarité avec les Samis, des peuples autochtones qui vivent dans la forêt boréale finlandaise.
Deviens le meilleur de toi-même...
Au service d'un monde meilleur !
NOTRE VISION
Offrir un tremplin vers la citoyenneté dont les seuls critères sont l'âge et l'envie de s'ouvrir au monde
Become signifie "devenir" en anglais.
En français, selon le dictionnaire, devenir signifie passer d'un état à un autre, c'est à dire commencer à être ce que l'on n'était pas...
BECOME veut permettre à la jeunesse de devenir plus confiante, plus capable, plus concernée.
Le programme donne toute sa place à la jeunesse en permettant à chacun de comprendre qu'il est possible d'être acteur de sa vie et du changement de la société. Il s'agit d'impulser chez les participants l'envie d'entreprendre, de réaliser leur potentiel et de contribuer à une société plus juste par des actions solidaires concrètes.
NOTRE INSPIRATION
Une success story britannique hors des murs de l'école
BECOME est directement inspiré du service citoyen britannique, le National Citizen Service (NCS), un programme à échelle national au Royaume-Uni qui a déjà mobilisé plus de 300 000 jeunes. Au fil des ans, le modèle a progressivement grandi et il rassemble désormais près de 100 000 adolescents chaque année en Grande-Bretagne.
Le succès de ce parcours éducatif et citoyen hors des murs de l'école est à l'origine de notre ambition d'adapter ce modèle au contexte français. Nous proposons avec BECOME un parcours pour des jeunes de 14/15 ans, généralement en transition entre le collège et le lycée pour qui il n'existe que peu de dispositifs aujourd'hui.
Notre programme s'inscrit en amont et en complément du Service Civique français existant, destiné quant à lui aux jeunes de 16 à 25 ans.
NOTRE AMBITION
Donner confiance et permettre l'acquisition de compétences utiles
BECOME représente un premier pas vers l'engagement social.
C'est aussi un parcours unique pour apprendre en mode projet et acquérir des compétences essentielles au monde de demain, à savoir la créativité, l'esprit critique, la capacité à travailler en groupe, la communication et la confiance en soi.
Nous souhaitons à la fois incarner et transmettre les valeurs que nous prônons dans un esprit positif et authentique :
Curiosité : Attiser l’esprit critique en permettant l’exploration et l’expérimentation
Confiance : Apprendre à faire et donner confiance afin de révéler le potentiel de chacun
Respect : Favoriser l’écoute et la bienveillance pour se considérer les uns les autres
NOTRE ÉQUIPE
Favoriser l'engagement bénévole des jeunes
Avant de lancer cette nouvelle initiative, l'équipe de CitizenCorps, via le programme RockCorps, a impliqué près de 35 000 jeunes dans plus de 600 projets associatifs ponctuels partout en France.
EN SAVOIR PLUS
SE PRE-INSCRIRE
ndlr : doutes sur l'idéologie sous-jascente (anglicismes, bienveillantisme, positivisme, compétivisme, etc), risque de détection de talents formatés ? => questionner ACT
- DANS LA VIDÉO https://vimeo.com/260733580
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.#ados, #jeunes, #become, #citoyen, #séjour, #citoyenneté, #parcoursbecome, #solidaire, #programme become, #citizencorps, #marion chapulut,
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: "créér des liens, créer un projet, mener un projet citoyen, ~scootisme? se découvrir, découvrir les autres, pas censé être déjà fait au collège ? formatage ? /injonction du lien ? authenticité, congruence ? ACT