25 529 vues - 2,3 k - 29 - 404 k abonnés - 317 commentaires - #Radars #Scandale
En 2002, la sécurité routière était tout d’un coup devenue un des chevaux de bataille du Président Jacques Chirac et du gouvernement du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Le « plan radar » est alors mis sur la table dans le but, soit-disant, de « sauver des vies ». En 2018, ces fameux radars ont rapporté 860 millions d’euros à l’État. Un marché public juteux.
Comment ont-ils été attribués et a qui profitent-t-ils ? Comment ce plan, alors que Nicolas Sarkozy était encore ministre de l’Intérieur, s’est mis en place ? Qui gère la mise en place des radar, leur entretien et la gestion des PV ?
C’est le sujet du film enquête intitulé « Radar, machine à cash ». C’est pour en parler que notre journaliste Irving Magi a reçu les journalistes Stéphanie Fontaine et Antoine Champagne, qui ont participé à sa réalisation.
Pour visionner le film : https://reflets.info/articles/radar-la-machine-a-cash
Transcription : ... soupçons de prises illégales d'intérêts ...
Depuis le 1er septembre le cimentier Lafarge est de nouveau au cœur d’une polémique. Sur des images diffusées par Europe 1, on peut voir des eaux usées de son site de Bercy, s’écouler directement entre ses bassins et la Seine.
Économie - En germes
Trois fois ! C’est la troisième fois que la mesure permettant de vendre libres de droits et reproductibles, également appelées semences anciennes, paysannes ou traditionnelles, à des amateurs est stoppée. Trois fois que les députés et les sénateurs votent cette mesure, trois fois que leur vote est remis en cause.
Aujourd’hui, pour vendre une variété de semences, elle doit être inscrite au catalogue officiel. Et pour qu’une semence soit inscrite au catalogue officiel, il faut que la semence soit distincte, homogène et stable. Pour résumer, cela correspond aux variétés de semences industrielles créées et appartenant en grande majorité à des multinationales à travers le monde. Ces semences industrielles obtiennent de bons rendements si elles sont couplées à l’utilisation d’engrais et de pesticides chimiques. Toutes les semences transmises de générations en générations depuis des siècles - des milliers de variétés appartenant au patrimoine vital de l’humanité- ne peuvent pas être vendues, à quelques exceptions près.
Résultat : à cause de cette réglementation et de la généralisation de l’agriculture industrielle, 75% des variétés de semences ont disparu en un siècle. Depuis des années, des associations, des acteurs de la société civile essaient de modifier cette loi. En vain. Le seul fait d’ouvrir la commercialisation des variétés de semences du domaine public aux jardiniers amateurs relève du parcours du combattant.
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Cette fois-ci, l’article 10 de la loi relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires a été publié au journal officiel et est entrée en vigueur le 12 juin 2020. Mais à peine promulguée, le 23 juin, la Commission européenne s’est opposée à cette mesure au motif que toute commercialisation devrait être soumise aux directives européennes. “Son avis tient en un minuscule paragraphe, parfaitement lapidaire et non argumenté, rendant évident un parti-pris pour le moins suspect, explique Blanche Magarinos-Rey, avocate en droit à l’environnement, spécialiste de ce sujet. Surtout, il ne tient...
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Ndlr : le "scandale" se poursuit au service du productivisme...
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Transcription : ... licenciements, rémunération des actionnaires, risque de pénurie de médicaments ...
Un chercheur a montré que le fonctionnement technique de StopCovid n'était pas similaire à ce qui était annoncé par le gouvernement, ce qui est écrit dans le décret d'application et même ce qui a été validé par la Cnil.
C’est le dernier « scandale » en date autour de StopCovid, l’application française pour smartphone, censée servir à tracer le chemin de potentielles contaminations à travers les citoyens.
Médiapart a relayé le 15 juin 2020 les observations de Gaëtan Leurent, un chercheur en cryptographie à l’Inria, qui a mis en lumière le fait que l’application envoyait plus de données à un serveur que ce que l’on pensait. Ou plutôt, que ce que la version « officielle » disait, celle qui a été non seulement portée par le secrétaire d’État au numérique Cédric O (ici notamment ou ici), utilisée dans le décret d’application officiel, mais aussi, comme Numerama a pu le vérifier, telle qu’elle a été validée par la Cnil, le gendarme français des libertés individuelles.
Qu’avait annoncé le gouvernement ? En résumé simplifié : que si deux personnes se croisent avec StopCovid allumé, leurs informations remonteront au serveur central seulement si elles restent en contact à moins d’un mètre pendant plus de 15 minutes.
Ce qu’il se passe dans les faits est différent : si deux personnes se croisent à plusieurs mètres et pendant moins de 15 minutes, leurs informations remontent également au serveur central qui, ensuite, fait le tri.
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Un décalage entre les discours et les faits
Cette différence met en lumière quatre erreurs dans le lancement de StopCovid.
- La première est d’ordre politique ; le ministre partage un message qui est faux (en ayant conscience ou non), ce qui ne permet pas aux Français de se faire une opinion en ayant toutes les bonnes informations en main.
- La deuxième est d’ordre juridique ; le décret tel qu’il existe aujourd’hui ne correspond pas à la réalité technologique de l’application, il est donc mensonger.
- La troisième est d’ordre administratif : on a demandé a des organes de contrôle de se prononcer sur la validité d’une application sans que son fonctionnement technique n’ait été finalisé.
- La quatrième est d’ordre technique : dans les faits, les serveurs centraux disposent de bien plus d’informations sur les contacts des utilisateurs que ce qui était annoncé.
Cela ne veut pas dire qu’il y a plus de risques que ces serveurs aient des failles ou soient vulnérables aux attaques, mais cela veut dire que si ces faiblesses existaient, la quantité de données potentiellement vulnérables serait beaucoup plus grande.
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Climat-Énergie
A l’abri des regards, les projets gaziers sèment le chaos au nord du Mozambique et la France en est directement complice.
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En 2010 et 2013, d’immenses réserves de gaz ont été découvertes au large du Mozambique : les 9èmes plus grandes réserves gazières du monde. Il est prévu qu’au moins 60 milliards de dollars soient investis ces prochaines années pour exploiter ces réserves, les plus gros investissements jamais réalisés en Afrique subsaharienne.
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Au service des industriels du gaz et de l’armement, le gouvernement français n’a pas hésité à plonger le pays dans le piège des énergies fossiles, quitte aggraver la crise climatique, se rendre complice de violations des droits humains et de pratiques de corruption. Les Amis de la Terre France, Mozambique et International révèlent les détails de cette affaire dans un nouveau rapport alarmant https://www.amisdelaterre.org/wp-content/uploads/2020/06/rapport-mozambique-vf-fr.pdf.
Publication Rapport
De l’eldorado gazier au chaos, quand la France pousse le Mozambique dans le piège du gaz
SCANDALE DE CORRUPTION
... En 2013, le gouvernement mozambicain conclut un contrat douteux avec les Constructions Mécaniques de Normandie (CMN), appartenant au milliardaire et marchand d’armes franco-libanais Iskandar Safa, pour monter officiellement une flotte de pêche au thon. En réalité, le gouvernement mozambicain a illégalement contracté des dettes pour financer un programme de défense, censé lui permettre d’assurer sa souveraineté sur sa zone économique exclusive et les gisements d’hydrocarbures qu’elle contient. Au passage, des pots de vin ont été versés et plusieurs personnes ont été poursuivies pénalement pour fraude et corruption. Cette colossale dette maintient aujourd’hui le Mozambique dans une dépendance aux puissances et multinationales étrangères venues exploiter les réserves d’hydrocarbures ainsi qu’aux futurs revenus gaziers.
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L’objectif pour la France n’était pas seulement de sauver les chantiers de Cherbourg en difficulté économique, mais aussi d’exporter d’autres types d’armement et de renforcer la marine mozambicaine pour qu’elle soit en capacité de protéger les installations gazières. Déjà à cette époque, les grands groupes énergétiques français convoitaient les immenses réserves d’hydrocarbures.
LA FRANCE A LA MANOEUVRE
... Ces efforts diplomatiques se sont accentués depuis l’arrivée de Total en septembre 2019 comme principal opérateur du méga projet Mozambique LNG, suite au rachat des actifs africains d’Anadarko. Le gouvernement français a même choisi de soutenir financièrement l’un des trois projets gaziers en accordant une garantie à l’exportation de plus d’un demi milliard d’euros pour faciliter sa réalisation. De nouvelles aides financières publiques du même type pourraient être octroyées prochainement. Les quatre grandes banques privées françaises sont également omniprésentes sur ces nouveaux projets climaticides. Crédit Agricole et Société Générale sont des acteurs centraux, jouant un rôle clé de conseillers financiers auprès des opérateurs gaziers.
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CABO DELGADO, UNE PROVINCE QUI S’EMBRASE
Depuis octobre 2017, des groupes d’insurgés multiplient les attaques dans la province de Cabo Delgado. Les violences ont fait au moins 1100 morts, majoritairement chez les populations civiles. L’insurrection s’est construite sur un enchevêtrement de tensions sociales, religieuses et politiques, exacerbées par l’explosion des inégalités et les violations des droits humains liées aux projets gaziers. Face à cela, le gouvernement mozambicain, avec la complicité des puissances et multinationales occidentales, choisit la stratégie de la militarisation pour protéger en priorité les installations gazières, au détriment des communautés. Rien n’est fait pour s’attaquer aux racines politiques et sociales du conflit. Au contraire, la militarisation de la zone et les activités gazières contribuent à alimenter les tensions qui le nourrissent. Les violations de droits humains se multiplient sur les communautés, prises en étau entre les insurgés, les forces militaires et paramilitaires privées, les multinationales ou leur sous-traitants. Les impacts des déplacements de populations pour laisser place aux entreprises liées au boom gazier – plus de 550 familles sont privées de leurs terres, de leurs accès à la mer et de leurs moyens de subsistance – sont aggravés par la militarisation de la zone. Les personnes qui tentent de raconter ce qu’il s’y passe sont intimidées par les forces gouvernementales et certaines d’entre elles ont disparu.
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LE DOIGT SUR LE DÉTONATEUR D’UNE BOMBE CLIMATIQUE
Pourtant, en janvier 2020, Emmanuel Macron déclarait devant la Convention Citoyenne pour le Climat, que « la difficulté qu’on aura collectivement, c’est d’expliquer à des pays pauvres qui découvrent des gisements, comment il va falloir se passer de ces hydrocarbures. […] Par exemple, le Mozambique découvre qu’il a de formidables gisements dans ses eaux territoriales. […] Il va falloir trouver des compensations dans l’économie internationale pour les aider à en sortir et les rendre moins dépendants de cela. » [1]. De beaux discours qui contrastent avec la réalité des activités de la France au Mozambique.
L’exploitation du gaz au Mozambique est une véritable bombe climatique. Les premiers projets pourraient générer autant de gaz à effet de serre que sept années d’émissions de la France. Exploiter ces réserves est totalement irresponsable, dans un pays déjà fortement vulnérable aux effets du dérèglement climatique. Il n’y a pas plus tard qu’un an, le Mozambique était touché par deux cyclones ravageurs.
Les installations offshore auront également un terrible impact sur la remarquable biodiversité locale. Le parc national des Quirimbas reconnu par l’UNESCO, situé à quelques kilomètres des futures installations est en danger.
NOS DEMANDES
Les Amis de la Terre appellent le gouvernement français à mettre un point d’arrêt à la diplomatie du chaos, au service des industriels des énergies fossiles et de l’armement, en commençant par cesser de leur octroyer des aides publiques à l’exportation. Au vu de la gravité des violations des droits humains, des risques environnementaux et climatiques, ils somment les entreprises françaises impliquées – banques privées comme Crédit agricole et Société Générale, industriels de l’énergie comme Total – de se retirer des projets gaziers au large du Mozambique et de renoncer à tout développement de nouveaux projets.
Coronavirus ; Santé
Quand le physicien David Mendels, l’invité de Denis Robert du TPA de ce soir, est rentré de voyages en janvier dernier et qu’il a vu grimper les taux de contamination au Covid en Asie, il a compris vite que les tests sanguins individualisés seraient un des enjeux et une des solutions du problème. Directeur technique d’une start up française - Xrapid -, spécialisée en intelligence artificielle et microbiologie, forts de leur expérience avec les tests pour la malaria, lui et ses collègues ont rapidement mis au point un système pour mesurer la fiabilité des tests Covid. C’est ce qu’il nous explique ce soir : « Le Covid est un virus trop petit pour être vu en microscopie optique mais quand est arrivé la crise en France, on avait déjà deux ou trois mois de retard sur les Chinois et les Coréens qui avaient développé des tests de diagnostic rapide. »
Se basant sur un appel d’offres du Ministère de la défense pour aider à vaincre l’épidémie, profitant du confinement, l’équipe autour de David Mendels s’est mise au travail : « On s’est dit qu’on allait mettre en route notre projet. On a pu sortir un prototype en une semaine ». Un prototype de testeur de tests. Après les choses ont traîné un peu. Mais face à la quantité de laboratoires se mettant à fabriquer des tests dans un but pas uniquement humanitaire, des médecins parisiens de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, missionnés par l’Institut Pasteur, ont collaboré, leur envoyant 5 des 11 tests représentant plus de 2’000 dispositifs à tester. Le marché du test Covid - vendu en pharmacie autour de 40/50 euros et sur Internet entre 15 et 99 euros - est très lucratif.
Jusque-là, tout va bien. C’est ensuite que l’histoire défie l’entendement. Le Ministère de la santé a homologué une liste de 23 tests le 20 mai dernier, dont la plupart, selon les propres termes, du physicien sont « tout pourris ». Entendez par là qu’ils peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades du Covid. Et plus grave, des personnes malades, saines. Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère. « Je ne suis qu’un scientifique donc je ne sais pas s’il y a malveillance ou incompétence derrière cela » explique, sidéré, le docteur en physique « Mais quand les résultats se perdent à plusieurs niveaux comme c’est le cas ici, on est en droit de se poser la question de ceux qui contrôlent les contrôleurs. Et on est également en droit de nous demander si tout s’est passé de la sorte pour la gestion de la crise du Covid ? »
Cet entretien révèle un nouveau scandale de santé publique et montre que, pour des raisons troubles, des tests - remboursés par la sécurité sociale - dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. Plus précisément, cela signifie que depuis trois semaines maintenant, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu’elles ont été testés négatives, l’ont probablement…
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1270422912655331335
"
Le Média @LeMediaTV · 9h ... #Covid19 - 5 - 106 - 94
"
Transcription : ... pcr polymerase chain reaction ... tdr tests de diagnostic rapide lecteur de tests universel ...
Voir aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Pt5Gcg
Pédocriminalité
Pour sauver des vies, fabriquons des masques
☞ Signez la pétition https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?PxwZng
Après la crise sanitaire du coronavirus, il nous appartient toutes et tous ensemble d’inventer le monde d’après.
Dans cette perspective, nous soutenons la réalisation du projet de création de la SCIC « Fabrique de santé », où se trouvait l'ex-usine Honeywell/Spérian.
L’affaire Honeywell raconte le désinvestissement tragique de l’État dans la production de matériels de protection ainsi que la désindustrialisation du territoire dans un marché mondial de moins en moins régulé, où la recherche du profit maximum prime avant toute autre considération, en particulier sanitaire ou sociale.
Huit jours après le début du confinement décrété par Emmanuel Macron pour lutter contre la pandémie de coronavirus Sras-Cov-2, l’Union syndicale Solidaires des Côtes-d’Armor publie un communiqué « Que se cache-t-il derrière la fermeture de l’usine Honeywell de Plaintel ? Un scandale d’Etat ! » Elle propose de redémarrer une production locale et industrielle de masques respiratoires grâce aux compétences locales en créant une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). La proposition est rapidement défendue par l'intersyndicale CGT, FSU et Solidaires des Côtes-d'Armor.
Aujourd'hui, elle peut être appliquée.
Les collectivités locales (région Bretagne, département des Côtes-d’Armor, ville et agglomération de Saint-Brieuc) discutent du montage d’une Société coopérative d’intérêt collectif, dans laquelle d’ancien·nes salarié·es d’Honeywell Plaintel pourraient de nouveau exercer leurs compétences. La société coopérative d’intérêt collectif permet d’associer tou·tes les acteur·ics du territoire régional et de la filière. Salarié·es, collectivités locales, associations et groupements d’acheteurs siègent à son conseil d'administration.
Ces coopératives savent combiner de meilleures conditions de travail, la stabilité de l’emploi et la qualité de la production. Nous défendons l’idée d’emplois utiles, relocalisés et où les travailleuses et travailleurs ont leur mot à dire sur leur travail.
Dans ce cadre la concurrence faite au projet par un investisseur « classique », milliardaire qui cherche le profil et non l'intérêt général doit être repoussée.
La situation de la SCIC de Plaintel est un symbole de la situation et des choix de société que nous devons aujourd’hui mener.
Vous aussi soutenez la démarche en signant et relayant la pétition.
☞ Signez la pétition
Le comité de soutien :
Les Amis de la Terre, l'AITEC, ATTAC, la Confédération Paysanne, la FSU, l'Union syndicale Solidaires
Pour rejoindre le comité : contact@soutienscic22.org
Connu / https://twitter.com/cmoreldarleux/status/1264419084579504129
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corinne morel darleux @cmoreldarleux · 17h
Pour la création d'une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) de masques avec d’ancien·nes salarié·es d’Honeywell Plaintel
@Soutien22 et appel à soutiens de @amisdelaterre @attac_fr @AitecIPAM @ConfPaysanne @FsuNationale @UnionSolidaires 0 - 9 - 12
"
Le nombre d'utilisateurs de Zoom a été multiplié par 20 en trois mois. Depuis, les actualités s'enchainent sur les nombreux problèmes découverts, tous liés à la sécurité et à la vie privée. Retour sur une période aussi dorée que noire pour l'entreprise, qui semble saisir désormais l'ampleur de la situation.
...
Quant au chiffrement de bout en bout, il n’y aura pas de solution simple. Zoom a mis à jour sa page relative à la vie privée pour clarifier la situation et ne plus faire de fausse promesse. Il est probable que l’entreprise n’active pas de chiffrement E2E, car la simplicité d’utilisation reste son premier argument commercial. Cela ne doit pas empêcher les clients de respecter la vie privée des utilisateurs et de fournir un socle décent de sécurité.
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Qui ne connaît pas BlackRock ? Depuis le mouvement contre la réforme des retraites ce gestionnaire d'actif international présent sur le marché français depuis 2006 apparaît régulièrement dans l'actualité politique et économique française. BlackRock gère plus de 6 960 milliards de dollars d'actifs dans plus de 100 pays. Cette multinationale américaine fait à nouveau les gros titres depuis que la commission européenne leur a confié une étude sur la finance durable.
Pour en parler Le Média a interviewé Maxime Combes, économiste et porte parole de l'ONG Attac.
.#BlackRock #Finance #Europe
Catégorie Actualités et politique 621 commentaires
TR ... doutes /greendeal de la commission européenne, encore plus de doutes maintenant. repouser ! ... Pascal canfin et d'autres ont proposé à des pdg de soutenir la relance verte ! dont ils sont par ailleurs engagés dans du fossile ! P1 sauver le capitalisme avant le vert. Traiter les causes de cette crise multidimensionnelle. covid19 est une opportuné, levier formidable. Mais ya pas la volonté busines à usual. Exiger que la bce organise la solidarité financière. Elle s'y refuse. ex coronabonds La bce achète des titres sur les marchés financiers. Qu'elle cesse.Quelle finance l'écologique et le social. Sinon décomposition de l'europe. ... Interroger le contenu des production et leur impact / ressources.
Le monde d'après se construit now, comme parti, yen aura pas ! prologation des politiques néolibérales.
Faire drécroitre les flux, reprendre la main /populations
soignants, paysans, sont plus importants que les traiders donc basculer les valeurs, les rapports de force.
Transformation démocratique => changer les institutions et les pratiques. Que les populations reprennent la main.
La mondialisation révélateur. Etre habiles. Sinon trump-le pen NON on a resp historique.
C'est un "énorme scandale" que dénonce le cinéaste. Celui d'un système de santé publique abandonné par les gouvernements du Royaume-Uni, qui laissent les sujets de sa Majesté sans protection face au coronavirus. Mais Ken Loach veut croire que cette crise nous a rendus "plus responsables les uns des autres".
Ken Loach, double palme d'or Cannes, s'est toujours mobilisé contre le démantèlement du service public au profit d'entreprises privées. © AFP / Sébastien Berda
C'est un système de santé britannique "mal préparé" qui fait face au raz-de-marée du coronavirus, a estimé l'ex-leader travailliste Jeremy Corbyn. Le prix d'une décennie d'austérité, "des années de coupes sombres" qui se paient aujourd'hui, fustige de son côté l'association des directeurs de la santé publique.
La crise du Covid-19, qui a déjà fait plus de 14 000 morts au Royaume-Uni, met en lumière le sous-financement chronique du National Health Service (NHS). Ce système de santé universel et gratuit, auquel le Premier ministre Boris Johnson avait déjà promis des milliards pendant la campagne des dernières législatives.
...
Celui qui, dans Sorry We Missed You, dénonçait sans concession l’ubérisation de l’économie, estime que "cette crise a révélé un chaos absolu, qui devrait nous amener à exiger que, à l'avenir, [la santé] relève du service public" et pas de sociétés privées qui exploitent les salariés.
Olivier Poujade et Gilles Gallinaro, au Royaume-Uni pour la Rédaction internationale de Radio France, ont recueilli son sentiment sur la période exceptionnelle que vivent le monde et son pays.
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Thèmes associés Monde santé coronavirus Royaume-Uni Ken Loach hôpitaux
5 806 ont signé
collectif santé et social en lutte a lancé cette pétition adressée à Mme DOUEZ- directrice CH- Hautmont (directrice) et à
... scandalisés, par la mise à pied à effet immédiat d’une aide-soignante, militante SUD, intervenue ce samedi 4 avril à 6 h 30, à sa prise de poste à l’hôpital d’Hautmont dans le Nord de la France.
Il lui a été reproché publiquement devant ses collègues, d’être intervenue dans le cadre de son mandat pour d’une part exiger des masques et des test de dépistage pour les soignants.
Les soignants de l’Hôpital local d’Hautmont, comme tous les soignants de ce pays, exercent actuellement dans le dénuement matériel et malgré cela prennent en charge patients et personnes âgées face à la pandémie.
De façon scandaleuse, leur expression sur le contenu de leur travail, le droit légitime à réclamer une protection minimum, (qui concerne tout à la fois les soignants comme les patients face au coronavirus) et les libertés syndicales sont bafouées.
Nous exigeons la réintégration immédiate de Lætitia PUISSANT, l’abandon de toute sanction et la mise à disposition des moyens matériels face au coronavirus, parmi lesquels masques et test
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The government claims that the Great Debate was a success. Oh, really?
Yanis Mhamdi investigate the methods they used and you'll see there are at the veryleast...
Suspicious
Confidentialité Publique
Publié originellement 20 mars 2019
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : en marche ; Grand Débat ; LREM ; Macron ; République en Marche
Durée 10 min 53 sec
Transcription : ... c'est bien l'argent des contribuables qui finance les contributions au grand débat. Selon le service de presse du premier ministre le coût est entre 10 et 15 M€. ils ont pris en charge les frais de déplacement et d'hôtel. Cela est d'autant plus contestable que le CSA (conseil supérieur de l'audiovisuel) décompte les interventions d'Emmanuel Macron pour la campagne électorale des européennes.
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"On a arrêté de maintenir les stocks au motif que les entreprises chinoises étaient capables de produire des masques. Mirage de la mondialisation. Personne n’avait envisagé que ces entreprises ne puissent pas répondre à la demande."
Le gouvernement qui cherche à cacher ses responsabilités dans la pénurie de masques pour les soignants. On en parle tout de suite dans ce numéro 68 du P’tit coup de Bourbon.
.#Bourbon #Coronavirus #Masques
Catégorie Actualités et politique 1 022 commentaires
corinne morel darleux et 47 autres suivent
François Ruffin @Francois_Ruffin · 10h
En janvier, Emmanuel Macron signait le "New Deal Mobile", un énorme cadeau, 2,8 milliards d'euros pour Free, Orange, SFR, Bouygues. En échange, les quatre opérateurs mettraient fin aux "zones blanches sous deux ans".
Nous y sommes. Et 40% du territoire n'est toujours pas couvert.
11,8 k vues
Radio-Canada Info @RadioCanadaInfo · 28 janv.
Le plan jugé historique par Israël a été rejeté d'avance par les Palestiniens.
Entrevue avec Sami Aoun, politologue à l’Université de Sherbrooke.
7:59 / 7:59 De RC-Webdiffusions
929 votes Réalisé par : François-Xavier Drouet
Langues : (En) French - Durée : 103 mn - Année de production : 2018 - Pays : (En) France
Catégories : Biodiversité Economie Forêt Pollution
Synopsis
Symbole aux yeux des urbains d'une nature authentique, la forêt française vit une phase d'industrialisation sans précédent. Mécanisation lourde, monocultures, engrais et pesticides, la gestion forestière suit à vitesse accélérée le modèle agricole intensif. Du Limousin aux Landes, du Morvan aux Vosges, Le temps des forêts propose, à travers les témoignages passionnants de celles et ceux qui travaillent dans le secteur forestier, un voyage au cœur de la sylviculture industrielle et de ses alternatives. Forêt vivante ou désert boisé, les choix d'aujourd'hui dessineront le paysage de demain.
Le mot des réals
Je suis arrivé il y a dix ans sur le plateau de Millevaches en Limousin, une zone boisée à 70%. Je ne connaissais alors rien aux forêts. Ces grands massifs de résineux m’évoquaient le Canada et me semblaient tout ce qu’il y a de plus naturel. J’ai vite compris que ces monocultures n’avaient rien de spontané et que la biodiversité sous ces conifères était très pauvre. Au détour de chemins, j’ai découvert des dizaines d’hectares coupés à blanc, des paysages saccagés, des sols et des rivières dévastés par les machines... Quelques semaines après, on replantait sur ces champs de ruines des petits sapins gavés d’engrais et de pesticides. En faisant ce film, j’ai voulu comprendre ce système que personne ne semblait questionner, comme s’il était le seul modèle possible pour produire du bois. Comme le dit un intervenant dans le film, on a tendance à penser la menace qui pèse sur la forêt en termes de déforestation. Le problème qui se pose en France est plutôt celui de la « mal-forestation ». Quelle forêt voulons-nous pour demain ? Un champ d’arbres artificiel ou un espace naturel vivant ? C’est la question que pose Le temps des forêts.
Pourquoi ce choix ?
Un état des lieux plus qu’alarmant sur un sujet dont on parle encore trop peu : la destruction du patrimoine national forestier et la perte délibérée de biodiversité. A l’heure où le réchauffement climatique s’accélère, tout devrait être fait pour préserver la forêt et entretenir la santé des sols, grands capteurs de CO2. Pourtant en France, 84% des forêts ne contiennent qu’une ou deux espèces d’arbres et le gouvernement français a décidé d’augmenter de 30% la coupe des forêts, réduisant la captation et augmentant les émanations de CO2. Une décision en dépit du bon sens qui va contre l’intérêt général et menace les générations futures. Il est grand temps de faire connaître ce sujet et de combattre cette politique absurde. Ce film est le porte-parole de ce scandale.
Toute projection publique de ce film, qu’elle soit payante ou gratuite, ouverte à un public large ou à un public restreint, est interdite. Une projection de ce type nécessite une autorisation de la part des auteurs ou des ayants-droits.
il y a l'article de wikipedia qui à son paragraphe "Critiques", écrit, je cite :
"Aux États-Unis, en Allemagne et en Italie notamment, Change.org est un temps critiqué pour l'exploitation des données personnelles des signataires de pétitions sponsorisées : elles sont transmises contre paiement au commanditaire de la pétition^15 https://fr.wikipedia.org/wiki/Change.org#cite_note-lemonde.fr-15 ^, ^16 https://fr.wikipedia.org/wiki/Change.org#cite_note-16 . L'utilisation du nom de domaine .org https://fr.wikipedia.org/wiki/.org, généralement utilisé par les organisations à but non lucratif, fait également l'objet de critiques^15 https://fr.wikipedia.org/wiki/Change.org#cite_note-lemonde.fr-15 ."
la note 15 renvoyant à : "Audrey Fournier, « Change.org, des pétitions qui valent de l’or », /Le Monde https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Monde/, 9 décembre 2014 (lire en ligne https://lemonde.fr/pixels/article/2014/12/09/change-org-des-petitions-qui-valent-de-l-or_4537059_4408996.html [archive http://archive.wikiwix.com/cache/?url=https%3A%2F%2Flemonde.fr%2Fpixels%2Farticle%2F2014%2F12%2F09%2Fchange-org-des-petitions-qui-valent-de-l-or_4537059_4408996.html])"
Cet article du Monde m'avait alerté en son temps : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/12/09/change-org-des-petitions-qui-valent-de-l-or_4537059_4408996.html
Il faut lire également l'article de Framasoft : https://framablog.org/2019/10/25/framapetitions-est-mort-vive-pytition/ qui aborde le sujet.
Il faut citer aussi cet autre article, du Nouvel Obs : https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20131014.RUE9396/avec-change-org-la-petition-est-devenue-un-business.html
Cet article, très complaisant laisse deviner entre les lignes, "en creux" comme on dit des trucs pas bien clairs !
Il y a aussi encore à lire, cet article : https://coquelicausse.fr/appel-au-boycott-davaaz-et-de-change-org-ceci-nest-pas-une-petition/
et surtout à lire le document cité en intégralité : https://coquelicausse.fr/wp-content/uploads/2014/02/Avaaz-et-Change.org_.pdf bon, le problème, le doc fait 15 pages... mais on en apprend de belles !
Allez, un autre, pour la route : https://www.france24.com/fr/20170216-changeorg-mesopinionscom-implique-vraiment-le-fait-signer-une-petition-internet
Ndlr : sources APRIL
Culture et loisirs, Littérature
Olivier Truc, le plus suédois des Montpelliérains, enquête sur la crise d’une Académie.
Deux Nobel de littérature seront attribués ce jeudi après une année "blanche" en 2018. Déchirée par un scandale, l'Académie suédoise n'avait pas été en mesure de décerner son prix l'an dernier. Dans "L'affaire Nobel", Olivier Truc, journaliste originaire de Montpellier, installé en Suède depuis 25 ans, raconte un séisme qui a fait trembler tout un pays et suscité un étonnement planétaire. Comment une institution centenaire si bien huilée, consacrant les papes et papesses de la littérature, s'est-elle retrouvée au bord de l'effondrement ?