Date limite de transmission des dossiers 18 mars 2020 à 17h
Contact : emploi@fdf.org
Contexte
L’accès pour tous aux moyens d’une vie décente est une question universelle. Nos sociétés contemporaines y ont répondu en faisant du travail la source essentielle du revenu. La déclaration universelle des droits de l’homme établit d’ailleurs que « toute personne a droit au travail […] et à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine ».
Le monde du travail est aujourd’hui confronté à de profondes mutations ...
Objectif
Alors que la digitalisation croissante de la société peut favoriser l’isolement, il est nécessaire de soutenir des projets intégrateurs qui créent de la solidarité.
Dans ce contexte, le programme emploi soutiendra des démarches innovantes qui lèvent des obstacles (liés à la personne, au territoire ou au secteur d’activité) pour l’accès à un revenu lié à un travail :
- Par l’insertion de personnes éloignées de l’activité professionnelle dans les tiers-lieux
- Par le développement d’une économie collaborative d’utilité sociale
- Par l’acquisition de compétences numériques professionnelles.
Pour plus de détails sur nos priorités d’intervention, il est impératif de prendre connaissance de l’intégralité de l’appel à projets. https://www.fondationdefrance.org/sites/default/files/atoms/files/emploi20v2.pdf
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Angoulême : présentation du programme de la liste citoyenne soutenue par la France Insoumise.
https://www.facebook.com/pg/AngoulêmeEn-Commun-108350490711196/posts/
Catégorie Actualités et politique 3 commentaires
Jean-Michel Pascal il y a 2 jours
Bravo les copain ! Félicitations sincères de tous les membres de Notre Territoire en Commun pour votre campagne et cet excellent document ! On vous souhaite le meilleur.
1
Christian Boutin il y a 2 jours
Un programme réfléchi et bien expliqué. Une belle vision pour demain à Angoulême. Bravo à toute l'équipe
1
Extraits : ... Angoulême (42000 habitants, 22 km2) - Communauté du Grand Angoulême (106 000 habitants, 193 km2) - Grand Angoulême (142 000 habitants, 643 km2) Sources INSEE ...
grand_angoulême-agglomération-métropole
Les travaux des membres de la Convention sont suivis et observés par des chercheurs-observateurs.
Le Comité de gouvernance a proposé à des chercheuses et chercheurs de toutes disciplines de suivre la Convention citoyenne, à cet effet un appel public a été lancé en septembre.
Une trentaine de personnes ont ainsi exprimé leur intérêt pour la Convention citoyenne pour le climat, qui touche à la fois à son objet même, ses modalités et à ses résultats en termes de politiques climatiques ou d’exercice démocratique, aux conditions sociopolitiques de son émergence et de prise en compte de ses résultats, à la capacité de citoyens de juger d’arbitrages qui sont aujourd’hui difficiles à réaliser et aux modalités de leur délibération sur des changements de grande ampleur.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à écrire à recherche@conventioncitoyennepourleclimat.fr
Liste des observatrices et observateurs accrédités :
- 9 du CRESPPA : Laurent Jeanpierre ; Boris Gobille ; Damien De Blic ; Paolo Stuppia ; Cyprien Tasset ; Maxime Gaborit ; Romane Rozencwajg; Myriem Auger ; Yves Sintomer ;
- 6 de l'Observatoire des débats : Philippe Begout ; Mélanie Carrère ; Sylvain Mounier ; Emma Lebelle ; Cécile Cale ;
- 6 du CEVIPOF : Bernard Reber ; Florence Faucher ; Simon Baeckelandt ; Eric Buge; Hazem ArabF ; Théophile Penigaud ;
- 5 de Dauphine : Dominique Meda ; Lorraine Vinel ; Matthieu Lelong ; Stéphanie Monjon ; Hippolyte Regnault ;
- 4 de Choros : Jacques Lévy ; Ana Povoas ; Jean-Nicolas Fauchille ; Shin Koseki ;
- 4 du PSE : Jean-François Laslier ; Bénédicte Apouey ; Jérôme Lang, PSE-Lamsade ; Antonin Mace ;
- 3 du CAK : Amy Dahan ; Hélène Guillemot ; Selma Tilikete ;
- 2 du LPED : Marie Jacqué, ; Chantal Aspe ;
- 2 de Dyname : Laurence Granchamp ; Celia Gissinger-Bosse ;
- 1 des organismes suivants : Hélène Landemore, Yale ; Julien Vrydagh, UC Louvain ;
Dimitri Courant, UNIL Lausanne ; Claire Mellier Wilson, GB (de quoi ?) ; Philippe Stamenkovic, Sphere ; Louis-Gaëtan Giraudet, Cired ; Nicolas Berghmans, IDDRI ; Anne Davidan, Fondation Evens Gregory Castera, Council Luc Châles, Sciences Po Saint-Germaint-en-Laye Nathalie Blanc, Directrice de recherche au CNRS, Directrice du Centre des Politiques de la Terre
Chercheuses et chercheurs à la Convention -> https://www.youtube.com/watch?v=tQAyvVjExPM
Ndlr :
- fiche disponible sur chaque proposition de recherche ?
- pas de résumé des domaines d'étude couverts, ni des méthodes d'observation ?
- y a-t-il autre chose que des représentants de la recherche "académique" ?
- Pas de "fou du roi" ?
- pas de bilan intermédiaire public ?
ACT
53 minutes
On s’intéresse notamment aux dilemmes moraux que posent l’intelligence artificielle quand par exemple les voitures sans conducteurs décideront de sauver ou non un individu sur leur chemin. Vous verrez que les algorithmes posent des questions éthiques vertigineuses.
...
Mais le vrai danger c’est peut-être les biais algorithmiques, l’équivalent des biais cognitifs pour les humains. Des biais algorithmiques qui peuvent conduire à des erreurs et des discriminations. Quand par exemple les premiers outils de reconnaissance faciale ne prenaient pas en compte les peaux noires.
On s’intéressera également aux vertigineux dilemmes moraux que posent les algorithmes des voitures sans conducteurs qui devront privilégier la sécurité des passagers ou celles des piétons ?
Avec
- Aurélie Jean, docteure en sciences et entrepreneure formée à l'ENS, Mines Tech et au MIT, auteure de "De l’autre côté de la machine (édition L'observatoire)
- Jean-François Bonnefon, docteur en psychologie cognitive et directeur de recherche à TSE, auteur de "La voiture qui en savait trop" (édition HumenSciences)
...
Connu / l'April transcription https://wiki.april.org/w/Faut-il_avoir_peur_des_algorithmes_-_Grand_bien_vous_fasse_-_France_Inter#15.E2.80.9938
dont
"
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La psychologie morale c’est comprendre comment les gens décident de ce qui est bien ou ce qui est mal. C’est très différent, par exemple, de la philosophie morale qui essaie de déterminer ce qui est bien et ce qui est mal. La psychologie morale c’est une description de comment les gens arrivent à ce genre de jugement.
...
"
Les solutions hydro-alcooliques (encore nommées par acronymie SHA ou SHAL) sont des solutions aseptisantes cutanées. Elles sont employées afin d'assurer l'hygiène des mains. Elles agissent par contact direct et mécanique (en friction) et s'utilisent sans eau.
...
usage recommandé par l'OMS
...
La formule de la solution hydro-alcoolique retenue par l'Organisation mondiale de la santé a été développée par Didier Pittet http://www.who.int/gpsc/5may/tools/system_change/guide_production_locale_produit_hydro_alcoolique.pdf
...
C'est pas sorcier
A la croisée de la science, de la pédagogie et des médias, le vulgarisateur Léo Grasset spécialisé dans la vulgarisation de la biologie, qui tient la chaîne Youtube DirtyBiology, revient pour Marianne sur la question de la culture scientifique des populations, mise sur le devant de la scène par l'épidémie de coronavirus.
Transcription :
.... 1:18 La forêt amazonienne fatigue.
... un TGV déraille à cause d'un glissement de terrain
... 4:18 Le coronavirus ... Christophe Bouillon maire de Barentin 15000 habitants, pdt de l'association de petites villes de france, ... autant on ne demande pas le report des élections municipales, autant on a des questions concrètes en ce qui concerne les foyers d'épidémie ... comment exercer son droit de vote ? ... si candidat confiné chez lui, pb le jour du vote, risque de faire peur aux assesseurs ... précautions à prendre ... si faible participation, quelle légitimité du vote ? ... Qui va fournir stylo, désinfectant
... 26:42 Un ami précieux qui nous aide et qui fatigue au bout d'un moment -les forêts tropicales- qui absorbent une grande partie du carbone émis par les activités humaines. Mais elles sont en train de perdre leur capacité à stocker du co2. Leur sol, c'est environ 40% des capacités de stockage mondial du carbone terrestre. Une plante, un arbre utile le gaz carbonique pour fabriquer son végétal via la photosynthèse. Lorsque ses feuilles, son tronc, retombent au sol à la mort, son carbone retourne au sol.
Depuis quatre ans, les études convergent. Il y a d'abord eu l'épisode el nigno de 2015-2016 qui avait provoqué un épisode marqué de sécheresse et un déficit d'eau pour les racines des arbres.
Les forêts tropicales africaines ne s'en étaient pas remises. Cette nouvelle étude parue dans Nature prend une période de temps encore plus longue - un demi siècle. Les chercheurs ont mesuré la croissance des arbres et leur mortalité. Si certaines forêts ont été dopées par l'excès de co2 émis dans l'atmosphère, à partir de 2000, le dérèglement climatique a inversé la tendance. Les gains ont été effacés.
Dans les forêts africaines, la perte de carbone est apparue à partir de 2010. En amazonie, à partir de 1990. peut-être avancent les scientifiques parce que en amazonie, les arbres poussent plus vite, le cycle de carbone est donc plus court. Peut-être aussi parce qu'en afrique, les forêts sont à une altitude un peu plus élevées, l'air y est un peu plus frais. Les chercheurs ont extrapollé leurs résultats sur les vingt prochaines années. D'ici 2030, la capacité des forêts africaines à absorber le carbone va décliner de 14%. Celle de l'amazonie ateindra zéro avant 3035.
...
Fait suite à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?72UfYg
Pour Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, les intercommunalités sont au cœur de la tension française entre le besoin de démocratie, de proximité, et la logique budgétaire.
Cet article est à retrouver dans le magazine n°1199 à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?KFLqBg
"
... un système très complexe de coopération intercommunale s'est constituté à partir des années 1970 création d'un échelon supérieur à compétences très larges ... loi Notre de 2015 ... instances de gestion assez opaques ... vue comme le symbole d'une reprise en main des communes par l'État ... dépossession ... mixité sociale forte ... des administrés de plus en plus consuméristes ... la crise des gilets jaunes déclenchée par une rupture de la chaîne de solidarité. ... démocratie de proximité tournait à vide. Avec un pouvoir qui s'était bureaucratisé, éloigné. On était au coeur de la fracture dans l'anthropologie politique française, une anomie qui crée la violence, la colère, la peur.
Comment remédier à cette perte de sens ?
contradiction entre deux logique de décentralisation. Des maires compétents sinon hiérarchise les collectivités. ... logique budgétaire mais pas achevée ... pb des départements explosif ... sentiment de gâchis ... rééquilibrer cette tension ... /GJ contre logique purement économique au profit démocratie de proximité.
"
Ndlr : pas d'allusion au fait que le citoyen n'élit pas de réprésentants à l'interco. Terme "démocratie de proximité" qui évite d'évoquer la "démocratie directe" ? ACT
1 réf. de ind1ju le 5/3/20
L'intercommunalité, c'est l'union qui fait la force, a-t-on promis aux petites communes. Un discours démenti par Pierre-Emmanuel Bégny, maire de Saâcy-sur-Marne (77). Excédé par la complexité et l'opacité démocratique de ces structures, il ne se représente pas cette année. Rencontre.
...
« Je ne voulais plus de cette lutte quotidienne, pris en étau entre les exigences toujours plus grandes des administrés et le désengagement notoire de l'Etat », écrit-il dans un livre où il raconte tout ce qui l'a découragé : la violence, la solitude, la complexité de la tâche, l'absence de reconnaissance…
Les dégâts de la loi Notre
Et puis il y a, aussi, cette désagréable propension de l'Etat à compliquer la vie des « petits » maires. Assis dans son bureau à l'étage de la mairie, avec vue sur l'église, Pierre-Emmanuel Bégny raconte comment il a pris de plein fouet, en 2015, la loi Notre : loi portant nouvelle organisation territoriale de...
Cet article est reservé aux abonnés
Il vous reste 86% à lire dans le magazine n°1199
loi_NOTRe-nouvelle_organisation_territoriale_de_la_République
Lien court : https://frama.link/JLP_candidat_municipales2020
Et surtout sur mastodon avec le fichier formaté joint :
https://framapiaf.org/@JLPM/103774920765208669
et son propre raccourci : https://link.infini.fr/jlp_candidat +court
2 réf. le 5/3/20
disponible jusqu'au 02.04.20
politique - 37 min - tous publics
présenté par : Marina Carrère d'Encausse
Après la diffusion du documentaire «Le temps des arbres» indexé à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?IU9vbw, Marina Carrère d'Encausse poursuit le débat avec ses invités. A l'heure où l'humanité est à la croisée des chemins, les hommes redécouvrent les infinies richesses et vertus des arbres avec pour devise : humus, humain et humanité. Du bûcheron au simple citoyen en passant par l'agriculteur, tous ont tissé un lien intime avec l'arbre et oeuvrent pour qu'il retrouve pleinement sa place dans les villes comme dans les campagnes.
Invités :
- Marie-France Barrier, réalisatrice
- Jonathan Guyot, président et co-fondateur de ALL 4 TREES
- Yann Laurans, directeur du programme biodiversité - IDDRI
- Cécile Leuba, chargée de campagne forêts - Greenpeace
disponible jusqu'au 02.04.20
animaux & nature - 67 min - 2019 - tous publics
La réalisatrice Marie-France Barrier est partie à la rencontre de forestiers, d’éleveurs, de vignerons, d’institutrices, de médecins ou de simples citoyens qui ont mis l’arbre au cœur de leur vie et de leurs métiers. Ils nous en racontent tous les bienfaits.
Nathalie et Clément est un couple d’agriculteurs bio de la région de Castre qui a décidé d’auto-construire sa maison en bois.
Un projet qu’ils mènent en circuit court c'est à dire en utilisant la matière première venue de la plaine et de la forêt voisines.
Xavier comptable devenu propriétaire forestier s’attache à réconcilier besoins économiques et écologiques.
Delphine et Benoit ont planté plus de 500 arbres pour faire revenir la biodiversité au cœur de leur vignoble. Grâce au retour de l’arbre, les insectes, les chauves souris et les oiseaux sont devenus des partenaires de production pour ces vignerons qui travaillent avec eux et non plus contre eux.
Et, il y a aussi des professeurs qui éduquent et des médecins qui soignent les enfants aux bienfaits des arbres.
A l’heure où le climat se réchauffe dangereusement, l'arbre est sans doute notre meilleur partenaire pour faire éclore un avenir fertile, optimiste et résilient.
réalisé par : Marie-France Barrier
Suivi du débat indexé à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?OcTGgA
La plate-forme HelloAsso a le vent en poupe, et touche de plus en plus d’associations. Elle se présente comme pouvant simplifier l’organisation de vos conférences – festivals – boutiques – voyages – soirées – cours – compétitions – tournois – ateliers – stages – cotisations – courses – financements – projets… au travers d’outils tels que la gestion des dons, la mise en place de crowdfunding, la gestion des adhésions ou la billetterie.
L’équipe de HelloAsso c’est actuellement 65 salarié⋅es : des directeurs⋅trices, des chargé·es d’accompagnement, de communication, de développement, une équipe de développeurs·ses… Elle connaît une expansion très forte : en un an, le nombre de salarié⋅es a doublé. 100 000 associations seraient inscrites sur la plate-forme, et fin 2019, ce sont 210 millions d’euros qui ont été collectés pour les associations !
L’usage du numérique et des données
Disons-le d’emblée : les services proposés sont sympas, HelloAsso est experte dans le paiement en ligne. C’est beau, c’est moderne, modulable, ergonomique, facile à intégrer, à utiliser…
Mais… les logiciels développés par HelloAsso sont privateurs. À l’inverse des logiciels libres, nous n’avons pas connaissance de ce qu’ils font ni comment. Nous ne pouvons pas non plus les installer ni les exécuter sur notre ordinateur, ou mettre en place un HelloAsso bis, que l’on administrerait. La notion de logiciel est d’ailleurs rendue archaïque, puisque l’utilisateur·trice n’a plus à s’en soucier : désormais, tout passe par des services en ligne, dans le « cloud » [1]. Nous voilà donc privé⋅es de toute liberté sur ces services et logiciels, seuls leurs propriétaires (les dirigeants de HelloAsso, donc) en ont le contrôle. Par ailleurs, HelloAsso choisit d’héberger ses applicatifs chez Microsoft.
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La récupération des émotions
Il convient de s’interroger sur le modèle de « pourboires » – rebaptisé « contributions volontaires » depuis – appliqués aux paiements, et sur lequel repose HelloAsso.
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Statuts, vertu et perspectives
HelloAsso, contrairement à ce que présupposent la plupart des associations utilisatrices, n’est elle-même pas une association. C’est une société par actions simplifiée (SAS), détenue jusque-là pour l’essentiel par une personne.
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L’influence de l’entreprise sur le monde associatif serait alors indéniable, en le modelant au travers de leur activité déployée. Des plateformes comme BlaBlaCar, détenue par la société Comuto, ont par exemple mené avec succès une stratégie d’enfermement commercial d’un service qui se présentait comme communautaire, en le rendant payant après quelques années.
En guise de conclusion…
... un regard critique sur la réalité du système HelloAsso ... des outils numériques utilisés par les associations souvent considérés et présentés comme neutres et sans enjeux. Or, cette fausse neutralité recouvre à la fois de réelles considérations marchandes, et de forts enjeux en matière de sécurité et de confidentialité.
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nous appelons le monde associatif à définir lui-même ses besoins, et à s’auto-organiser, le cas échéant, pour se doter d’un éco-système numérique de confiance, contrôlé et maîtrisé par les associations elles-mêmes.
Enfin, nous appelons le monde associatif à se questionner sur ce recours aveugle aux outils numériques : n’est-il plus possible de s’associer sans avoir recours à ces géants de la technologie ? Ne pouvons-nous pas simplement se voir, échanger, tisser du lien social ? C’est moins « rapide » et plus « exigeant », mais, à minima, cela renforce le projet associatif.
- Texte au format PDF* (PDF - 191.7 ko) http://www.cliss21.com/site/IMG/pdf/aubonheurdesassociations_150dpi.pdf
Ces liens qui nous font vivre par Shankland
Rébecca Shankland
Christophe André
ISBN : 2738148816
Éditeur : Odile Jacob (22/01/2020)
Note moyenne : 4.33/5 (sur 3 notes)
Résumé :
Nous avons plus que jamais besoin les uns des autres. Avancer ensemble nous rend plus heureux et plus à même de faire face aux difficultés de la vie.
Recevoir et accorder du soutien sont autant d’occasions de resserrer les liens et cet échange est bénéfique tant à celui qui donne qu’à celui qui reçoit. L’interdépendance positive contribue à donner du sens à notre existence et favorise la relation avec les autres.
La conscience d’être interdépendants facilite l’engagement et rend la vie sur cette planète plus belle.
Un livre qui nous aide à nous rapprocher les uns des autres, à resserrer nos liens.
Un livre utile et concret pour le couple, l’éducation de nos enfants, les relations amicales et professionnelles.
Rébecca Shankland est psychologue, maître de conférences à l’université Grenoble-Alpes, spécialiste des compétences socio-émotionnelles. Elle est auteure de nombreux ouvrages, dont Les Pouvoirs de la gratitude.
Christophe André est psychiatre et psychothérapeute, spécialiste des troubles émotionnels, et auteur notamment d’Imparfaits, libres et heureux ou de L’Estime de soi. Ses ouvrages sont lus dans le monde entier.
Clés : drogue indépendance solidarité écrivain femme relations humaines interdépendance psychologie famille couple developpement personnel
Critiques, Analyses et Avis (2)
Faisant le constat de l’inaction des gouvernements face à l’urgence écologique et climatique, plus de 1000 scientifiques de toutes disciplines appellent les citoyens à la désobéissance civile et au développement d’alternatives. Ils exhortent les responsables politiques à changer radicalement notre modèle économique et productif et à prendre au sérieux les propositions de la Convention citoyenne sur le climat.
Cet appel s’inspire de tribunes similaires dans The Guardian et Le Temps.
Formulaire de signature ici https://framaforms.org/signature-tribune-1579446832. Plus de 1000 signataires à ce jour. Signez et faites signer !
depuis des décennies, les gouvernements successifs ont été incapables de mettre en place des actions fortes et rapides pour faire face à la crise climatique et environnementale dont l’urgence croît tous les jours. Cette inertie ne peut plus être tolérée.
Les observations scientifiques sont incontestables et les catastrophes se déroulent sous nos yeux. Nous sommes en train de vivre la 6e extinction de masse, plusieurs dizaines d’espèces disparaissent chaque jour, et les niveaux de pollution sont alarmants à tous points de vue (plastiques, pesticides, nitrates, métaux lourds…).
Pour ne parler que du climat, nous avons déjà dépassé le 1°C de température supplémentaire par rapport à l’ère préindustrielle, et la concentration de CO2 dans l’atmosphère n’a jamais été aussi élevée depuis plusieurs millions d’années. Selon le rapport de suivi des émissions 2019 du Programme des Nations unies pour l’environnement et le développement (PNUE), les engagements pris par les pays dans le cadre de l’accord de Paris de 2015 nous placent sur une trajectoire d’au moins +3°C d’ici 2100, et ce à supposer qu’ils soient respectés. L’objectif de limiter le réchauffement sous les +1,5°C est désormais hors d’atteinte à moins de diminuer les émissions mondiales de 7,6% par an, alors qu’elles ont augmenté de 1,5% par an au cours des dix dernières années. Chaque degré supplémentaire renforce le risque de dépasser des points de basculement provoquant une cascade de conséquences irréversibles (effondrement de la banquise, dégel du pergélisol, ralentissement des courants océaniques…). Les études préparatoires au prochain rapport du GIEC (CNRS-CEA-Météo France) suggèrent que les rapports précédents ont sous-estimé l’ampleur des changements déjà enclenchés. Un réchauffement global de plus de 5°C ne peut plus être exclu si l’emballement actuel des émissions de gaz à effet de serre se poursuit. À ces niveaux de température, l’habitabilité de la France serait remise en question par des niveaux de température et d’humidité provoquant le décès par hyperthermie.
...
Notre gouvernement se rend complice de cette situation en négligeant le principe de précaution et en ne reconnaissant pas qu’une croissance infinie sur une planète aux ressources finies est tout simplement une impasse.
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nous appelons à participer aux actions de désobéissance civile ... Nous demandons par ailleurs aux pouvoirs publics de dire la vérité concernant la gravité et l’urgence de la situation : notre mode de vie actuel et la croissance économique ne sont pas compatibles avec la limitation du dérèglement climatique à des niveaux acceptables. Nous appelons les responsables politiques nationaux comme locaux à prendre des mesures immédiates pour réduire véritablement l’empreinte carbone de la France et stopper l’érosion de la biodiversité. Nous exhortons également l’exécutif et le Parlement à faire passer les enjeux environnementaux avant les intérêts privés en appliquant de manière ambitieuse les propositions issues de la Convention citoyenne pour le climat et en prolongeant son mandat pour lui donner un pouvoir de suivi de leur mise en œuvre.
Tribune initiée par :
Joana Beigbeder, Enseignant-chercheur en science des matériaux, Institut Mines-Télecom – Mines Alès (IMT Mines Alès)
Frédéric Boone, Chercheur en astrophysique, Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP)
Milan Bouchet-Valat, Chercheur en sociologie, Institut national d’études démographiques (Ined)
Julian Carrey, Enseignant-chercheur en physique, Institut national des sciences appliquées de Toulouse (INSA Toulouse)
Agnès Ducharne, Chercheuse en climatologie, CNRS – Institut Pierre-Simon-Laplace (IPSL)
Tanguy Fardet, Chercheur post-doctorant en neurosciences computationnelles, Max Planck Institute for Biological Cybernetics – Université de Tübingen
Kévin Jean, Enseignant-chercheur en épidémiologie, Conservatoire national des arts et métiers (Cnam)
Jérôme Mariette, Ingénieur d’études en bioinformatique, Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE)
Françoise Roques, Chercheuse en astrophysique, Observatoire de Paris
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Éditeur: [S.l.] : [s.n.] Parution: 1999 Notes: Bibliogr. f. 347-355 Thèse de doctorat : Sciences de l'éducation : Lyon 2 : 1999
La "médiation cognitive" apparaît aujourd'hui comme liée à une intention d'éducation cognitive : la médiation vient caractériser le rôle décisif de l'enseignant (dit médiateur) dans le développement des processus cognitifs de l'élève. D' "apprendre à penser" à "penser pour connaître"... cette étude propose une nouvelle orientation objectivante de la médiation cognitive au sein de situations d'enseignement où la mise en présence des élèves avec un objet de savoir sera le but principal du travail cognitif. Une incursion au sein des théories philosophique et psychologique (voire psychanalytique) de la médiation fait ressortir que ce concept renvoie à un processus conjoint : la médiation n'est de l'enseignant que parce qu'elle est de l'élève.
i/2x le 3/10/11
Th(é)(è)s(ard)(ist)(e)(s) Edu(ca)(t)(q)(e)(u)(é)(r)(i)(c)(f)(v)(e)(on)(s) Cogniti(f)(on)(v)(is)(m)(t)(e)(s) (E)(S)col(a)(i)(e)(è)(r)(i)(sa)(t)(i)(o)(n)(é)(e)(s) -(a)(i)tion(s) Médi(a)(é)(t)(eu)(i)(o)(n)(r)(ic)(t)(e)(s) Cherche(u)(r)(s)(e)(s) R(a)(e)(é)(i)(c)(m)(n)(p)(s)(t) appr(en)(an)(t)(i)(s)(sag)(e)(s) Pens(a)(bl)(nt)(é)(e)(u)(r)(s) Conn(aissanc)(u)(e)(s) 1999 Phil(o)(soph)(i)(e)(s) Psy(ch)(i)(a)(tr)(é)(i)(o)(qu)(e)(s) (-)Log(i)(c)(s)(m)(o)(q)(t)(u)(e)(s) Psy(ch)(i)(a)(tr)(é)(i)(o)(qu)(e)(s) Analy(s)(t)(iqu)(é)(e)(s) Concept(ion)(uel)(le)(s) Proc(ess)(é)(è)d)(é)(e)(u)(r)(e)(s)
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L'exposition de l'être humain aux champs électromagnétiques (CEM) ne cesse d'augmenter. Certains individus déclarent présenter des troubles atypiques qu'ils attribuent aux CEM. Brahim Selmaoui, responsable de recherche au sein de l'unité Toxicologie expérimentale de l'Ineris, a mené des travaux pour rechercher des marqueurs et indices physiologiques objectifs. C'est le programme Sensi-RF.
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Transcription : ... Une piste de marqueur biologique pour les électrosensibles :
l'alpha-amylase
La moyenne d’âge de la liste est de 47 ans.
Repro CL - 1
Maire depuis 1995, Patrick Borie est encore d’attaque pour un cinquième mandat. Seuls deux élus sortants l’accompagnent. Aucune autre liste ne s’est déclarée.
Trois sortants pour douze nouveaux venus. Jamais de liste présentée par Patrick Borie n’a été autant renouvelée. Maire de Marthon depuis 1995, le sexagénaire en a vu défiler des campagnes. Seuls Lionel Lachaud, élu depuis 2014, et Jean-François Laurençon, élu depuis 1995, repartent à ses côtés. Ce dernier avait 20 ans lors de sa première élection, sur une liste concurrente à Patrick Borie.
« On a appris à se connaître…
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