Association et Editions IMAGINE UN COLIBRI
980 chemin de l'évêché
16570 MARSAC - FRANCE
tél : +33 - 05 45 21 41 89
@email : commandes@imagine-un-colibri.com
Site de notre écolieu : http://aupetitcolibri.free.fr
Notre Ferme
Un Ecolieu en Charente
Écologie Pratique – Recherche/Transmission – Entraide
Nature – Agriculture – Animaux – Environnement Naturel – Environnement Social
Habitat – Eau – Energie – Santé – Sobriété – Autonomie – Accueil – Repos – Beauté – Education
Des objectifs à long terme ...
... l'engagement d'une vie
Les trois premiers sur lesquels nous porterons d'abord notre énergie :
¤ Contribuer au développement d'une agriculture saine et viable ¤
création d'une petite ferme biologique ( 9 hect, 1 ou 2 salariés à terme ? ) :
~ conception du site dans une démarche de Permaculture
~ réalisation d'une vidéo documentaire pour suivre l'évolution
polyculture sur de petites surfaces :
~ maraîchage, plantes aromatiques, céréales, légumineuses, fruits et petits fruits
~ + production d'oeufs, de plants et d'arbres fruitiers ( variétés anciennes et locales )
pluriactivité associée : complémentarité, dynamisme et stabilité financière
~ produits transformés : huiles, confitures, pain, soupes, ...
~ semis, greffage d'arbres chez le particulier
~ sensibilisations et formations (enfants et adultes) : "jardinage bio", "création d'une
mare", "abris pour petits animaux sauvages", "le circuit de l'eau", "les écosystèmes", ...
~ accueil à la ferme
~ et nos activités actuelles peuvent s'intégrer au projet : développement personnel
auprès d'enfants, journalisme, massages de relaxation, aide aux personnes âgées
vente locale :
~ directe par paniers livrés à domicile (rayon de 10Km) ou pris sur place
~ au détail au « magasin » de l'exploitation
~ en cueillette « libre » sur l'exploitation
~ à des revendeurs locaux
~ en été sur les « marchés de pays » ( marchés festifs en juillet et août )
¤ Contribuer au développement d'une écologie pratique et accessible ¤
~ constructions écologiques ( notre maison, les hangars, ... ) en recherchant des solutions
peu onéreuses, dans un juste équilibre avec les autres dimensions ( confort, entretien, durée, ... )
~ plus d'autonomie et d'économie en eau et énergie : récupération d'eau de pluie, toilettes à compost, recyclage écologique des eaux usées, énergies écologiques, ...
~ recherche d'amélioration des solutions existantes et en expérimenter de nouvelles
~ inscription du projet dans une démarche « HQE « et « permaculturelle »
( HQE : critères de Haute Qualité Environnementale ; Permaculture : ensemble d'outils et de réflexions pour une
conception écologique durable, harmonieuse et efficace d'un site – elle peut aussi être utile pour d'autres domaines – elle
s'accompagne aussi de différentes techniques agricoles)
¤ Contribuer au développement d'une alimentation saine, autonome et responsable ¤
~ légumes du jardin, céréales en petites cultures, fruits au verger, oeufs au poulailler, miel
des ruches,... bio évidemment ! Et recherche des plantes sauvages comestibles.
~ poursuite de l'expérience d'alimentation végétarienne et des fabrications "maison"
~ recherche sur "santé et alimentation"
~ recherche d'échanges d'expériences et d'informations avec d'autres personnes
~ compostage des déchets de cuisine
Et par la suite, en adaptant aux évolutions :
¤ Témoigner et transmettre ses connaissances, un mode de vie respectueux et le sens du partage
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Catégorie Éducation 327 commentaires
FMR il y a 1 an
Vous n'avez jamais pensé à vous rapprocher d'un éditeur de jeux vidéos, éventuellement en passant par L'INRA pour vous seconder dans cette démarche ? Quand je vous écoute dans cette vidéo, j'ai l'impression d'avoir un SIM City version PERMACULTURE. Ca serait très didactique et une excellente sensibilisation pour les plus jeunes. S'il est proche d'un simulateur, il pourrait devenir un logiciel de type Serious Gaming, c'est à dire pour l'apprentissage.
65
Croq' Nature il y a 4 ans
L'intelligence humaine au service de la vie. quelle belle note d'espoir.
19
jipe4509 il y a 2 ans
Je crois bien que c'est la première vidéo véritablement intéressante sur la permaculture. Merci pour ces explications claires et passionnantes. Ça donne vraiment envie de se lancer dans un projet similaire.
Brève description
Nos sociétés et nos entreprises sont devenues ingouvernables par les méthodes traditionnelles (autocratie ou démocratie représentative) parce qu'elles sont :
- trop complexes : les différents composants d'une organisation ont aujourd'hui atteint un si haut niveau de complexité et nécessitent une telle réactivité qu'aucun pouvoir central ne peut les gérer de manière efficiente et que les décisions gagnent à être prises de manière autonome au plus près du terrain ;
- trop hétérogènes : la multiplicité des cultures et des systèmes de valeur, parfois au sein d'une même équipe, a sonné sans doute définitivement le glas des méthodes de participation, d'expression et/ou de management censées s'appliquer à tous.
- trop éduquées : le nombre d'individus ayant un niveau de compétence et d'expertise élevé croît sans cesse et avec lui le refus des décisions imposées et de l'arrogance des arguments d'autorité ;
- trop individualistes : le besoin de prise en compte des intérêts individuels et bien souvent leur prééminence sur l'intérêt collectif engendrent une méfiance envers les décisions prises par des personnes perçues comme trop lointaines et peu conscientes des besoins de chacun.
À la fin des années 1960, Gerard Endenburg, un ingénieur hollandais qui dirigeait une société d'électrotechnique, a voulu diriger son entreprise de manière humaine, tout en conservant, voire développant, son efficacité et sa compétitivité. En se basant sur les idées du pédagogue Kees Boeke, son compatriote et son contemporain, et en y intégrant ses connaissances en théorie des systèmes, en cybernétique et en biofeedback, Gerard Endenburg a créé, au début des années 1970, un nouveau style de gouvernance qu'il a appelé sociocratie, un mot créé par le philosophe français Auguste Comte.
Les quatre règles de la sociocratie
Bien qu'elle soit fondée sur des principes scientifiques complexes et que sa mise en œuvre soit subtile, la sociocratie utilise des règles de fonctionnement suffisamment simples pour qu'elles soient comprises par tous, indépendamment de l'âge, du niveau d'éducation, de l'origine sociale ou culturelle, etc. : ainsi elle a pu être utilisée avec la même efficacité par des cadres d'entreprise de haute technologie, des enfants dans des écoles hollandaises, des villageois dans des parlements de voisinage en Inde, etc.
- Le consentement En sociocratie, une décision est prise par consentement s'il n'y a aucune objection importante et argumentée qui lui est opposée. Toutes les décisions ne sont pas forcément prises par consentement, notamment pour la gestion courante des affaires. Cependant, il est décidé par consentement quelles décisions peuvent échapper à la règle, comment et par qui elles sont prises et pour quelle durée il est possible de procéder autrement que par consentement.
- Les cercles
La structure de décision de l'organisation est parallèle à sa structure fonctionnelle. À chaque élément de celle-ci correspond un cercle. Les cercles sont connectés entre eux et organisent leur fonctionnement en utilisant la règle du consentement. Tous les membres de l'organisation appartiennent à au moins un cercle.
Chaque cercle est notamment responsable de la définition de sa mission, sa vision et ses objectifs, de l'organisation de son fonctionnement et de la mise en œuvre des objectifs définis par le cercle de niveau supérieur. - Le double lien
Un cercle est relié au cercle de niveau immédiatement supérieur par deux personnes distinctes qui participent pleinement aux deux cercles. L'une est élue par le cercle et le représente ; l'autre est désignée par le cercle de niveau supérieur et est le leader fonctionnel du cercle. - L'élection sans candidat
Quand il s'agit de choisir une personne pour occuper une fonction, un cercle sociocratique procède à une discussion ouverte et argumentée aboutissant à une nomination par consentement. L'absence de candidat garantit qu'il n'y a pas de perdant, et le consentement que chacun est convaincu que le meilleur choix possible a été fait.
Connu / https://twitter.com/CGET_gouv/status/1117412188128514049
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☰ Sylvain Brothier a retweeté CGET Compte certifié @CGET_gouv 14 avr.
Emploi, inactivité, #chômage... 💼Quelle est la situation des #femmes ♀️ sur votre territoire ?
Découvrez l'application Sofie : une carte interactive pour comparer l'accès à l'#emploi des femmes à l'échelle des intercommunalités !
2 réponses 39 Retweets 23 j'aime
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1 230 € Collectés sur 6 000 € le 27/4/19 - 11 Jours restants
29 Participations
Jean-Marie est éleveur de chèvres alpines, à l'ancienne. Il a exploité pendant plus de 20 ans une ferme de 35 Ha en Charente Maritime, produisant lait et fromages de chèvres bio. Suite à un divorce, la ferme a été liquidée, Jean-Marie a dû partir, et ça a été le début d'une descente aux enfers.
Très attaché à ses 50 bêtes et gardant l'espoir de reprendre une activité laitière et fromagère, Jean-Marie, courageux et travailleur, a tout fait pour remonter la pente. Mais c'était sans compter sur les aléas de la vie et les malveillances de certains qui l'ont fait tomber dans la grande précarité où il se trouve actuellement, sans possibilité d'exploitation comme c'était prévu au départ.
Son premier souci a été de préserver son troupeau et de bien nourrir ses chèvres. Là encore, on lui a livré du vieux foin pourri inutilisable au prix de bon foin frais. Nous l'avons accompagné au tribunal, mais contre toute attente, c'est encore le pot de fer qui a gagné contre le pot de terre.
A ce jour, le propriétaire le somme de quitter le hangar bâché où il vit depuis deux ans avec ses chèvres, qui sont maintenant condamnées à rester enfermées, son propriétaire lui interdisant de les sortir car il a loué les terrains à un autre exploitant. Jean-Marie est acculé car il n'a plus les revenus suffisants pour envisager un départ avec son troupeau. Le travail qu'il avait trouvé a pris fin ; il survit à grand'peine de petits boulots.
Au fond du trou, sans famille, il ne peut s'en sortir sans aide.
6000€ lui permettrait de payer son loyer, ses charges, le foin, la paille, le vétérinaire, c'est-à-dire éponger ses dettes et voir venir un peu.
Ensuite, il lui faut trouver un point de chute. Un bâtiment de 200 M2 environ, sur un terrain de 5 à 6 Ha pour que ses chèvres puissent gambader en liberté pour l'aider à relancer l'exploitation laitière et fromagère.
Le collectif de soutien à Jean-Marie compte sur votre générosité et vous en remercie chaleureusement d'avance. Danièle C., Catherine M., Bruno M. et Jean-Marie B.
ndlr :
- JM n'est éligible à aucun dispositif de soutien ou de solidarité même solidarité paysans :-( => poser AUSSI la question politique de pourquoi et comment faire émerger des structures de solidarité et d'accompagnement à la hauteur des enjeux puisqu'à l'ère de l'anthropocène, il faut relocaliser l'économie dont l'alimentation et donc recréer des exploitations, réinstaller massivement des paysans ?
- Autre piste : offrir des services de nettoyage d'espaces en friche ou à entretenir avec des chèvres ? ACT
De la mémoire génétique à la mémoire cognitive, de la mémoire des matériaux à celle des plantes et des animaux, de la mémoire de la terre à celle de l’univers, de la mémoire des individus humains à celle des sociétés, de la mémoire des fossiles à celle des cartes, de la mémoire des collections à celle des données informatiques, les types de mémoire sont multiples et leurs définitions diverses.
Artificielle ou naturelle, la mémoire n'est pas seulement conservation du passé ; elle est aussi prospective ; elle permet de construire l’avenir et peut devenir un enjeu politique, économique et social essentiel. Elle irrigue toutes les sciences et structure les sociétés modernes tout en suscitant d’innombrables interrogations.
Au-delà de la diversité, trois aspects semblent la structurer quelles que soient ses conjugaisons : les supports mis en œuvre, les fonctions développées, les dynamiques subies ou provoquées.
Le colloque qui se tiendra à Lyon en juin 2019 tentera d’explorer mémoire et mémoires dans toutes leurs dimensions. Y participeront des spécialistes de toutes les disciplines, membres de l’IUF ainsi que des scientifique français et étrangers internationalement reconnus. Y seront associés des représentants d’institutions publiques (bibliothèques, musées), des professionnels (hôpitaux, laboratoires pharmaceutiques, industrie informatiques ou robotiques) afin de souligner les liens entre recherche et application.
Comité scientifique IUF-Lyon : Alexandre Arbey (physique, physique des hautes énergies, Université Lyon 1), Pascal Arnaud (histoire antique, Université Lyon 2), Éric Baratay (histoire, histoire des animaux, Université Lyon 3), Philippe Boisse (physique, matériaux composites, INSA Lyon), Isabelle Compagnon (physique, spectroscopie moléculaire, Université Lyon 1), Natacha Coquery (histoire moderne, Université Lyon 2), Christine Delprat (immunologie, Université Lyon 1), Christophe Donnet (chimie, surfaces, couches minces, tribologie, Université de Saint-Etienne), Hugues Fulchiron (droit, Université Lyon 3), Thierry Gontier (philosophe, Université Lyon 3), Pierre Joly (biologie, médecine, santé, Université Lyon 1), Sylvain Joubaud (physique, ENS Lyon), Hervé Liebgott (sciences et technologies de l'information et de la communication, INSA Lyon), Karine Masenelli-Varlot (physique, microscopie électronique, INSA Lyon).
Le 9 octobre 2018, la médiation de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur fêtait ses 20 ans, l’occasion de faire le point sur l’évolution du rôle de la médiation dans la gestion des litiges entre l'administration et ses usagers ou ses personnels et dans la prévention des violences en établissement scolaire. Entretien avec Catherine Becchetti-Bizot, médiatrice de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur.
...
Le médiateur est d’abord un tiers de confiance, un tiers en qui le système éducatif a placé sa confiance pour favoriser le dialogue et permettre une meilleure compréhension entre deux personnes en situation de litige, qu’il s’agisse d’usagers, de personnels ou d’un autre acteur de la communauté éducative comme les familles, par exemple. Lorsqu’il y a un litige, le médiateur a pour mission d’aider, de manière neutre et impartiale, chacune des parties à renouer le dialogue et à trouver une issue à leur désaccord. En principe, le médiateur n’intervient qu’en deuxième instance lorsqu’un premier recours gracieux a été déposé auprès de l’administration ou du supérieur hiérarchique. Si la démarche n’a pas abouti, le médiateur peut être contacté. La solution trouvée par l’intermédiaire du médiateur doit convenir aux deux parties, il ne doit pas y avoir de perdant dans l’affaire. Le souci du médiateur est ainsi de faire en sorte que la solution soit construite et acceptée par les deux protagonistes du conflit. Cette solution doit être pérenne, stable et doit respecter le droit.
...
En quoi consiste la médiation ?
Notre instance n’a pas de pouvoir de décision, mais un pouvoir d’influence et de persuasion.
...
Je suis heureuse que la culture de la médiation ainsi que l’accompagnement des personnels soient développés au sein de votre fédération. Nos médiateurs, comme les membres de votre réseau sont d’anciens acteurs de l’Education nationale. C’est important, parce que cela apporte une écoute ainsi qu’une attention particulière envers les personnels et cela témoigne d’un attachement fort au service public de l’Education.
ndlr :
- revendiquer un pouvoir d'influence et de persuasion est clairement NON NEUTRE !!! CONTRADICTION... ACT
« Notre mode de vie actuel est-il compatible avec la lutte contre le réchauffement climatique ? »
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Nous publions ici une tribune émanant de plusieurs chercheurs participant à un Atelier d’écologique politique, communauté pluridisciplinaire de scientifiques travaillant ou réfléchissant aux multiples aspects liés aux bouleversements écologiques. https://atecopol.hypotheses.org/
...
Puisque nous partageons avec Extinction Rebellion cette envie de parler vrai, nous plaidons pour que, tous ensemble, nous ayons une discussion honnête et franche sur ce que nous souhaitons vraiment pour nous et pour le reste de l’humanité présente et future, à la lumière de ce qu’il est vraiment possible de faire. Souhaitons-nous maximiser notre bien-être présent sans trop nous soucier du long terme et de celui de nos descendants ? Quel degré d’inégalité à l’échelle d’un pays ou du monde sommes-nous capables de tolérer ? Que souhaitons-nous garder ? Notre espérance de vie ? Nos capacités à voyager loin et rapidement ? La société numérique ? L’alimentation carnée ? De vastes lieux d’habitation chauffés ? Les denrées exotiques ? Des piscines individuelles ? Vous le voyez, ces questions sont complexes car elles bousculent le confort qui nous semble avoir été acquis après des décennies de progrès. Elles sont en tout cas bien éloignées des questions faussement naïves auxquelles on nous propose de répondre dans le Grand Débat
...
pour permettre à chaque Français.e de faire un voyage long-courrier par an en avion, il faudrait consacrer 16 départements français à la culture de l’agro-carburant !
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les avions ne sont pas près de s’arrêter de voler au kérosène, alors que c’est maintenant qu’il faut diminuer nos émissions. Prendre l’avion est donc un luxe incompatible avec la sauvegarde de la planète sur le long terme
...
passer à un mode de production par autorisation des citoyens, en considérant tous les aspects que l’introduction d’un nouveau produit a sur l’ensemble de la société et sur les sociétés à venir. Le second principe est que tout produit ou service vendu au grand public doit impérativement pouvoir être acheté par le plus grand monde. Ce faisant, l’accumulation de richesses perdra tout son sens, puisque la richesse ne servira plus
...
Ce sont les ennemis du vivant qui veulent faire croire que sobriété rime avec tristesse
...
Signataires :
Frédéric Boone, astronome adjoint, Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie (IRAP), UMR CNRS – UT3.
Guillaume Carbou, maître de conférences en sciences de la communication, Laboratoire Sciences, Philosophie, Humanités (SPH), Université de Bordeaux ; associé au Laboratoire d’études et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales (LéRASS), UT3.
Julian Carrey, professeur en physique, Laboratoire de Physique et Chimie des Nano- Objets (LPCNO), UMR CNRS – INSA – UT3.
Jean-Michel Hupé, CR CNRS en sciences cognitives, Centre de Recherche Cerveau et Cognition (CerCo), UMR CNRS – UT3.
Vanessa Léa, CR CNRS en archéologie, laboratoire TRACES, UMR CNRS – Université Toulouse Jean-Jaurès & Laboratoire d’écologie fonctionnelle et environnement (écoLab), UMR CNRS – INP – UT3.
Sébastien Rozeaux, maître de conférences en histoire contemporaine, laboratoire France, Amérique, Espagne – sociétés, pouvoirs, acteurs (FRAMESPA), UMR CNRS – UT2.
9Milliards
Nouveau look, rubriques inédites… Alternatives Economiques se fait moins austère, mais conserve sa rigueur et son ambition pédagogique.
...
Pour conforter le projet de Denis Clerc, lorsqu’il a créé Alternatives Economiques il y a près de quarante ans. Une ambition que l’on peut résumer ainsi : pour changer le monde, il faut d’abord le comprendre.
Journalisme d’explication
Débat d’idées
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Entretien avec Jacques Salzer, enseignant-chercheur et médiateur.
Quelle méthode la médiation met-elle en place pour parvenir à faire s'entendre des parties que tout oppose, jusqu'à aboutir à un accord dans 70% des cas ? Par l'intervention d'un tiers extérieur, la médiation permet non seulement d'interroger les causes du désaccord mais aussi de dégager des solutions créatives à même de satisfaire tout le monde. Pour cela, la médiation doit répondre à un processus bien précis, que notre expert se propose de vous exposer...
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Catégorie Actualités et politique 11 commentaires
ndlr : pertinent mais simpliste et rationaliste ? => questionner ACT
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Tout juste 10 jours après avoir débuté le chantier de notre QG éphémère à Pontivy, nous avons reçu la visite en voisin de Nicolas Hulot qui voulait comprendre ce que nous manigançons.
Nous lui avons expliqué le pari que nous nous apprêtons à relever : créer les conditions idéales pour faire travailler ensemble des volontaires (étudiants, chômeurs, retraités,...) et des organisations engagées dans la transition.
Chaque groupe de travail réunira ainsi des personnes/structures référentes sur un domaine (voir liste des GT plus bas) et des bénévoles de la Bascule prêts à donner de leur temps pour catalyser les actions existantes, les démultiplier, leur donner vie(s) sur les territoires.
Vous avez envie de changer le monde mais ne savez pas par où commencer ?
On a plein d'idées, et si vous avez un mois ou plus devant vous, venez participer à un groupe de travail...on vous nourrit et on vous loge à Pontivy, the place to be.
Si vous n'êtes pas disponible avant août...no stress, on n'a pas prévu de s'arrêter en si bon chemin : nous avons déjà d'autres pistes de lieux prêts à nous accueillir le temps qu'il faudra pour faire émerger demain.
Une césure d'un an dans une vie pour participer à la transition démocratique, ça ressemble presque à un service universel d'intérêt général, et si c'était ce genre d'idées concrètes et applicables dont la République avait besoin pour se remettre dans le bon sens ?
On vous attend.
Groupes de Travail
[Politique] Propositions politiques - Chiffrage - Lobbying législatif - Municipales 2020
[Nouveau récit] Cellules territoriales - Outils numériques - Entreprises de demain - Après août 2019 - International
[Gestion] Coordination - Gouvernance - Financement - Gestion des bénévoles - Logistique
[Rassemblements] Campagnes d'actions et de mobilisation - Evenementiel
[Communication]
Catégorie Actualités et politique 0 commentaire
Il est l'heure de Basculer
Ça y est : un mouvement de lobby réellement citoyen se met en place !
Un collectif de volontaires se met au service de l'intérêt général en coopérant avec de nombreuses organisations engagées pour un monde meilleur.
Organisés en différents groupes de travail, une centaine de bénévoles s'emploie dès aujourd'hui à accélérer la transition démocratique, écologique et sociale qui s'impose : définition d'un corpus de propositions politiques par la voie d'assemblées citoyennes, formation de citoyens pour les élections municipales, organisation de campagnes d'actions et de mobilisation, accompagnement de projets de territoires, financement d'entreprises à impact.
Vidéos de présentation
https://www.youtube.com/watch?v=f9RVZTDy7tQ
et
https://www.youtube.com/watch?v=PDRX1YJS7Ro
LE PROJET http://6moispourlabascule.fr/le-projet/
Cagnotte solidaire https://www.lepotcommun.fr/pot/2bepdlkw
Jeudi 12 juillet
Publiée il y a 8 mois - 237 vues
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Tournoi de foot à trois côtés - soirée zombies
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Journée spéciale, le plastique, non merci! sur France Inter. Donnez nous toutes vos recettes et astuces pour nous libérer du plastique!
Comment réduire notre production et notre consommation de plastique?
Comment réduire notre production et notre consommation de plastique? © AFP / Chris STOWERS
Une journée normale c'est donc une journée plastique!
La votre, la mienne, ça ressemble à quoi ? Tous les jours?
Pour la douche, j'adore le savon. Donc tout va bien! Au passage il parait que c'est pas forcément bon pour la peau. Sinon, le Shampoing est dans un bouteille plastique. -1 point.
Le dentifrice. Dans un Tube en plastique. -2 points
Le déodorant. Personnellement. J'ai un truc à bille. En plastique. -3 points.
Le petit déjeuner. Quand vous achetez du pain frais la veille, ça va. + 1 point.
En revanche, le pain de mie pour les jours où vous n'avez eu le temps de rien. Dans du plastique. -4 points
Un yaourt. En plastique. -5 points.
Un café. Une dosette. -6 points. Si on ajoute un peu de lait dans le café: la bouteille. -7 points
S'habiller avant de partir : le synthétique c'est du plastique. -8 points
Au boulot. Encore un café. Chez nous c'est encore une dosette. Et on est 5. - 9 points.
Heureusement on a des verres et des tasses en verre quand même . +1 points
A midi, pour ceux qui vont à la cantine, on veut pas savoir ce qui se passe dans les cuisines et les contenants des produits. Mais si on va en face dans un magasin dont on ne dira pas le nom, les sandwich sont sous plastique. - 10 points
Le bar à salade a des récipients en carton depuis très peu de temps. Sinon, plastique. -11 points. D'ailleurs les couverts aussi ! -12 points
D'ailleurs les sacs en papier ont aussi un peu de plastique pour qu'on voit ce qu'il y a à l'intérieur, ce qui est quand même un comble. -13 points!
Et le soir. Rebelote. Là dedans, il y a beaucoup chose dont on peut se passer, si on fait un peu d'effort. Sans pour autant aller jusqu'à des sacrifices et des fabrication de produits chronophages. Et c'est pour ça qu'on est là ce soir.
Pour partager nos solutions simples. Le plastique, non merci!
Les invités
Muriel Papin Déléguée générale de l’association No plastic in my sea
Jean Reverault Vice-président de l’association Amorce
Christophe Viant Président de la FEDEREC Plastique
->
un des interlocuteurs : "l'écoconception est la base de tout"...
"
Je ne suis pas d'accord. Si on n'utilise QUE des produits bruts, le concept d'écoconception n'existe pas. D'autre part, sans nier la nécessité d'écoconception pour les produits industriels, ce qui me semble tout autant nécessaire, c'est un service de déconstruction de micro-proximité (dans chaque quartier, chaque village) en poussant l'expérimentation zéro chômeurs de longue durée TZCLD et en l'association à un projet que je porte : la maison des humanités, qui intègre les métiers de l'accompagnement et de la médiation.
Déjà été expérimenté en région havraise pendant 13 ans et qu'il suffit de pousser afin de viser le zéro déchet non recyclé ou réemployé. Je suis ingénieur, médiateur et au rSa alors que j'ai un projet d'intérêt général.
Merci de m'aider pour mieux nous aider ENSEMBLE.
"
Rép donnée ? ACT
Quelles sont les points communs entre cerveau et univers ? Deux scientifiques mettent en avant les ressemblances de structure, mais aussi de fonctionnement,entre leurs domaines de recherche.
100 milliards de neurones dans le cerveau humain, et 100 milliards de galaxies dans l’univers.... En science, c'est parfois en faisant des analogies que l'on change nos paradigmes... Et si l’analogie entre le cerveau et l’univers conduisait elle aussi à une fécondité scientifique ?
C'est que proposent de faire l'astrophysicien David Elbaz et le neurobiologiste Alain Destexhe, en mettant en parallèle l’organisation du cerveau et celle de l’Univers.
Tout a commencé avec la découverte d’un bruit de fond, celui de l’Univers et celui de l’électro-encéphalogramme d’un cerveau. ... dialogue prometteur qui nous conduira à écouter la musique des neurones.
Les invités
David Elbaz Astrophysicien et chef de laboratoire au CEA
Alain Destexhe chercheur en neurosciences intégratives et computationnelles à l’Institut NeuroPsi de Paris Saclay
Les références A la recherche de l’univers invisible, matière noire, énergie noire, trous noirs écrit par David Elbaz (Odile Jacob)
Mots-clés :* Sciences fonctionnement du corps humain espace neurosciences
Clés : climat GIEC changement climatique modélisation atmosphère CO2
Auteurs
Camille Risi Chercheuse CNRS en météorologie dynamique - LMD Sorbonne Université, Institut Pierre-Simon Laplace
Sandrine Bony Directrice de recherche CNRS au Laboratoire de météorologie dynamique (LMD - Sorbonne université), Institut Pierre-Simon Laplace
Déclaration d’intérêts
Camille Risi a reçu des financements de l'ANR (Agence Nationale de la Recherche).
Sandrine Bony a reçu des financements de l'European Research Council.
Les nuages jouent un rôle crucial sur le climat. D’une part, ils refroidissent la Terre, en faisant de l’ombre au rayonnement solaire. D’autre part, les nuages hauts la réchauffent, en contribuant à l’effet de serre. Mais les nuages, de nature très variables et soumis à la circulation atmosphérique, s’avèrent particulièrement difficiles à modéliser.
...
Le réchauffement simulé par un modèle peut être décomposé en différentes composantes. Il y a d’abord l’effet direct du CO2 : plus sa concentration atmosphérique augmente, plus le rayonnement infrarouge émis par la Terre a du mal à s’échapper vers l’espace, et plus la Terre se réchauffe : c’est l’effet de serre.
Mais cet effet direct du CO2 est modulé par des rétroactions climatiques : ce sont des « cercles vicieux » qui amplifient, ou atténuent, le réchauffement lié au CO2. La principale rétroaction est liée à la vapeur d’eau, autre gaz à effet de serre : plus la Terre chauffe, plus son atmosphère se charge en vapeur d’eau. Ainsi, l’effet de serre augmente et la Terre se réchauffe d’autant plus.
Cette rétroaction double quasiment le réchauffement par rapport à l’effet direct du CO2. Sur ce phénomène, les différents modèles se rejoignent.
La deuxième rétroaction la plus importante concerne les nuages. En moyenne sur tous les modèles, celle-ci accroît le réchauffement de 50 % par rapport à l’effet direct du CO2. Mais cette rétroaction affecte le réchauffement entre -1 à +1,5 °C selon les modèles pour un doublement de CO2.
...
L’impact complexe des nuages bas tropicaux
... plus la mer est chaude, plus le brassage vertical de l’air assèche efficacement les basses couches, diminuant la couverture nuageuse et donc amplifiant le réchauffement.
Mais à l’opposé, on s’attend à un affaiblissement de la circulation atmosphérique avec le changement climatique, ce qui conduirait à des couches nuageuses plus épaisses, et donc atténuerait le réchauffement.
... Pour mieux comprendre les processus en jeu, des campagnes de terrain sont organisées pour observer les propriétés nuageuses et les conditions atmosphériques associées, de manière de plus en plus détaillée.
Ce samedi marque le 19e « acte » du mouvement des Gilets jaunes. Le gouvernement a pris une posture terroriste après les dégradations du samedi 16 mars, assumant dorénavant le risque de mort. Elsa Dorlin, dans cet entretien, revient sur la place de la violence et du corps en politique.
Elsa Dorlin est professeure de philosophie sociale et politique et chercheuse au Columbia Institute for Ideas & Imagination. Elle est l’autrice de Se défendre. Une philosophie de la violence (La Découverte).
La médiation de l’urgence climatique avait rapidement fait apparaître la nécessité de traiter préalablement comme condition nécessaire, la médiation de l’urgence politique.
Après quelques semaines de tests et d’expérimentation, il s’avère nécessaire de généraliser pour les raisons suivantes :
simplifier, maintenir le sens, aller à l’essentiel, être utile.