La laïcité n'en finit décidément pas de faire débat. Deux regards s'affrontent à la Ligue de l'enseignement, organisme chargé de former les jeunes du SNU à ce principe.
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Selon nos informations, son vice-président délégué en charge de la laïcité, Jean-Paul Delahaye, par ailleurs ancien directeur général de l’enseignement scolaire et proche de Vincent Peillon, vient de démissionner. Lui se situe sur une ligne plus républicaine, « équilibrée », comme il la nomme, et s’oppose à l’orientation que tient son président, Joël Roman, tenant d’une laïcité plus communautariste.
Parmi leurs sujets de controverse, une note de la Ligue au sujet du service national universel (SNU) – dont les jeunes participants pourraient être encadrés par les membres de la fédération. Ce texte dit en substance : « Il ne faudrait pas qu’une approche trop interdictive nourrisse une nouvelle fois des logiques d’objection de conscience […]. Ceci aboutirait à des exclusions de fait de toute une partie de la jeunesse. » Une prise de position en désaccord avec les convictions de Delahaye, qu’il juge « complaisante à l’égard de revendications identitaires », et qu’il dénonce dans un mail adressé au président pour annoncer sa démission.
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- Nom du collectif : AC ! Angoulême
- Adresse :
Résidence DARRAS - Porte B - 75 bis avenue De Lattre de Tassigny - 16000 ANGOULÈME - Contacts :
par téléphone : Nicole au 06.19.88.83.31 ou Francis au 06.24.41.22.24. - Permanences :
le lundi de 16 h 30 à 18 h au centre Madeleine DELBREL - 3 rue Paul Claudel à Soyaux - bus N° 6 arrèt J.J. Rousseau.
le jeudi devant l’ANPE Wrésinsky de 13 h à 14 h. - Activités du collectif : campagne sur la Prime de Noël et contre le PARE.
Ndlr : page à jour ? ACT
50 minutes
Faut-il en finir avec l’obsession de la croissance ? L’objectif de l’ouvrage d'Eloi Laurent est de montrer que nous gouvernons aujourd’hui nos économies avec de mauvais indicateurs - la croissance et le PIB – qui détournent notre attention des véritables défis.
Sortir de la croissance © Getty / Carol Yepes
Invité du jour
Eloi Laurent est économiste à l’OFCE et professeur à Sciences-Po et à Stanford.
Il est auteur de Sortir de la croissance http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-Sortir_de_la_croissance,_mode_d%E2%80%99emploi-9791020907769-1-1-0-1.html, (éditions LLL) et a réalisé la préface et la traduction du Petit manuel de justice climatique à l’usage des citoyens de James Boyce (éditions LLL) http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-Petit_manuel_de_justice_climatique_%C3%A0_l_usage_des_citoyens-9791020908032-1-1-0-1.html.
D'après Eloi Laurent, l’économie actuelle impose une vision biaisée du monde social et déterminent des choix collectifs cruciaux qui sont à peine débattus dans l’espace public.
Les politiques publiques sont-elles orientées vers le #bienêtre ? "Le bien-être des personnes est la valeur cardinale à défendre. La santé est l'interface qui permet de comprendre le lien entre le bien-être et la question écologique." #EloiLaurent économiste pic.twitter.com/SB0GjJ3Fgp— La Terre au Carré (@LaTacfi) January 20, 2020
Transcription : ... un économiste qui s'intéresse à l'environnement : espècre râre ? Oui, quand on regarde
économiste sociale-écologie ... l'État joue CONTRE le système social = définition du néolibéralisme ... la décroissance n'est pas le sujet, viser directement le bien-être ...
L’emploi de ce concept pointe un mal que seules des solutions numériques seraient à même de soigner… alors que le problème se situe dans le rapport à l’école, à l’information ou dans la réduction des effectifs de la fonction publique.
Tribune. Popularisé en 1996 par Bill Clinton qui parle de «digital divide», le concept de «fracture numérique» est dès ses origines marqué par une forte empreinte idéologique et s’inscrit en France dans la lignée de la «fracture sociale». Bien que contestée par la plupart des chercheurs, la notion revient fréquemment dans le débat public. L’emploi abusif de cette expression est loin d’être sans conséquence. C’est ce que nous démontrons à l’issue de l’exploration Capital numérique, une étude qui s’est intéressée aux pratiques numériques d’habitants de quartiers prioritaires.
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ce n’est pas le numérique qui renforcera la confiance de Rémi et Makatouch en eux-mêmes, et encore moins à l’égard des institutions. Même constat avec des collégiens et collégiennes de 9 à 14 ans. Pour eux qui maîtrisent Wikipédia mais ne voient son utilité que dans un cadre scolaire (comme le dictionnaire), les difficultés ne sont pas d’ordre numérique. Elles tiennent d’abord au rapport à l’école et à l’information.
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Parler de fracture numérique, c’est donc essentialiser les difficultés et supposées lacunes des personnes sans interroger les mécanismes de leur (re) production. On place les dysfonctionnements du côté des utilisateurs, pour lesquels on déploie des programmes d’«inclusion» et de «pédagogie», sans s’intéresser à la façon dont les services, interfaces et dispositifs d’accompagnement numérique sont conçus. Prennent-ils en compte les situations des personnes ? Répondent-ils à leurs besoins ?
Prenons l’exemple de la dématérialisation. Loin de simplifier les démarches administratives, elle numérise leur complexité.
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recours de plus en plus fréquent à des volontaires en service civique, des travailleurs de courte durée et parfois même des bénévoles pour faire de la «médiation numérique» - au guichet ou lors de formations ad hoc. Sur le terrain, ces aidants viennent surtout en renfort des travailleurs sociaux débordés par la réduction des effectifs et l’envol de leur périmètre d’activité sur un volet «numérique» qu’ils maîtrisent peu. Mais sont-ils seulement armés pour ?
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C’est pourquoi nous demandons une politique ambitieuse de maillage du territoire par des lieux physiques avec un accueil par des professionnels, formés au métier. Car dans une société qui se numérise à marche forcée, l’accompagnement numérique ne peut pas s’improviser. Surtout, nous appelons à une véritable éducation aux enjeux de la société numérique tout au long de la vie, qui ne se limite pas à savoir utiliser quelques outils ou services numériques. Car comprendre les enjeux de la numérisation de la société, c’est avoir les clés pour moins la subir.
Ndlr : faut-il demander ou imposer ? Faut-il se soumettre à la politique actuelle ou que les médiateurs accompagnent les projets, les conflits et controverses en rapport avec cette problématique de manière globale et systémique DONC EN RÉSEAU ? cf pj mpt (réseau de médiateurs généralistes + réseaux de lieux d'accueil généraliste dans chaque quartier, chaque village, arcdev2) ACT
Les plus aisés jurent de tout faire pour réduire leur bilan carbone. Or ils font tourner le compteur à CO2 plus vite que les catégories modestes, comme l'analyse une *étude de la Fondation Jean-Jaurès dont "Marianne" a eu la primeur.
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les ménages les plus nantis émettent chaque année 40t de CO2 contre presque 2,4 fois moins soit 16,7t pour les plus modestes. ... Tout se passe en fait comme si les plus aisés suivaient sans trop barguigner les préceptes du développement durable pour les actes peu contraignants mais se refusaient à renoncer aux "vrais plaisirs" plus polluants, véritables attributs de leur richesse, comme le voyage en avion ou l'achat d'une voiture SUV, le nouveau "must" des cadres sup. La palme de l'hypocrisie revient à Leonardo di Caprio avec, sur les cinq premiers mois de 2019, ses 39 000 km en avion "compensés" par l'achat de droit à polluer.
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3 questions à Chloé Morin et Daniel Perron, experts associés à la Fondation Jean-Jaurès
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En 2018, le Credoc a montré que la sensibilité écologique croît avec le capital économique et culturel. Mais, à cet écart "de classe" dans la prise de conscience des uns et des autres s'ajoute celui qui sépare les déclarations de principe et les actes. C'est chez les catégories les plus riches que l'écart entre les intentions écologiques déclarées et les actes réels est le plus grand. Plus écolos dans les mots mais polluent en moyenne davantage dans les actes ... L'ensemble de nos modèles de production doivent être interrogés, au niveau individuel comme collectif. Les plus riches ont à la fois une responsabilité et une capacité à changer plus grande que celle des autres.
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Deux entreprises du même secteur d'activité avec le même résultat seraient traitées différemment selon leur empreinte écologique
1er Congrès International se déroulera au Centre de Congrès Jean Monnier. Il réunira plus de 500 experts, venus des 5 continents : médiateurs de tous bords, juristes, sociologues, anthropologues, dirigeants d’entreprises ou encore enseignants chercheurs et journalistes. Au-delà du très riche programme de conférences proposé, le Congrès Médiations 2020 s’apparentera avant tout à une plateforme d’échanges et entendra privilégier le débat contradictoire et le dialogue avec le public.
Principal objectif : construire l’avenir de la médiation, en partageant les bonnes pratiques, les expériences, les réseaux, les communications et les études scientifiques, et cela dans tous les secteurs où les médiateurs sont désormais appelés à intervenir ; l’initiative s’inscrivant dans une démarche de formation tant initiale que continue.
Organisateur : Destination Angers
Lieu : Centre de Congrès d'Angers
Contact : 02 41 96 32 32
Ahmed BEN TAHAR GALAI, Prix Nobel et défenseur des droits de l’Homme.
Hervé CARRE, président du congrès, médiateur de la Ville d'Angers et du Conseil Départemental de Maine-et-Loire, président de l'Association des Médiateurs des Collectivités Territoriales (AMCT)
Transcription :
Hervé Carre : d'abord, je veux saluer votre présence à vous tous ici. Aujourd'hui, vous avez décidé de consacrer du temps à un événement qui nous tient à coeur qui va lui-même se consacrer à la médiation. Et je pense que c'est un moment important pour que nous puissions vous convaincre que nous sommes dans une actualité très prégnante, en fait. Nous vivons dans un monde tellement incertain, tellement habité par des conflits qui sont exigeants, qui sont rugueux. Et il est incontestable que les médiateurs sont vraiment des témoins sensibles de ces mouvements de la société, inspirés par l'incertitude de l'avenir, du présent. Et c'est sûr que comme témoins sensibles, ils ont aussi conscience des potentialités qui sont contenues dans les conflits. Et c'est de cela que nous souhaitons parler aujourd'hui avec vous, à la faveur de la présentation du congrès de toutes les médiations, qui se tiendra à Angers du 5 au 7 février 2020, un congrès international.
Mais d'abord, je voudrais vous présenter les personnes qui sont à mes côtés. Et en premier lieu, j'ai l'honneur de vous présenter Ahmed GALAÏ qui est un ami tunisien qui a eu un rôle très important, mais qui le précisera lui-même tout à l'heure, dans la transition démocratique qui a eu lieu en Tunisie il y a maintenant quelques années - on s'habitue d'ailleurs à cet état d'esprit qui règne en Tunisie et il y a été pour quelque chose, c'est à ce titre qu'il a été nommé dans le cadre d'un quartet prix nobel de la paix en 2015. À côté de lui, Carole Chatelin ??? qui est rédactrice en chef de la revue science et avenir. Et enfin, Didier Morfoisse qui est le président de l'association nationale des médiateurs. Je vais tout de suite passer la parole à Ahmed pour qu'il nous dise pourquoi il a souhaité être présent à cette conférence de presse. Il est arrivé de Tunis hier soir pour être avec vous et nous dire pourquoi pour lui, la médiation, ça compte.
Ahmed Gailai, prix Nobel de la Paix et membre de la Ligue des Droits de l'Homme de Tunisie : Bonjour (en arabe puis en français), [large sourire] donc je suis entre les miens, entre des amis. Je suis très ravi de me trouver avec mes camarades, mes collègues, parce que j'étais journaliste dans mes premiers temps - j'ai fait une école de journalisme en Tunisie - Ravi d'être ici aussi parce que le thème m'est très cher. Nous sommes avant tout [2mn50] des militants des droits de l'Homme et des médiateurs. Médiation entre citoyens et droits, médiation entre autorités publiques, collectivités locales, et l'égalité. Je vais dire que le langage lui-même est une tension comme disent les linguistes. [3:06] Alors que dire des relations internationales ? Vous savez que maintenant, le monde, c'est comme la légende d'Atlas - la terre sur la tête d'un taureau - Lorsque le taureau commence à avoir mal dans un coin, il va tourner la tête puis la terre bascule d'une corde à l'autre. C'est un peu ça notre monde actuellement. Quand j'étais enfant, j'ai pensé que la guerre est finie, que la 2ème guerre mondiale, comme je dis dans les écoles, [3:32] ça y est, c'est du passé... Maintenant, le monde construit la paix, l'égalité, les ponts, l'interculturalité. Mais malheureusement, on a vu partout et ailleurs beaucoup de guerres que ce soit dans le pays lui-même ou bien des guerres civiles, ou bien entre les pays eux-mêmes. [3:49] Voyez maintenant autour de vous malheureusement ya beaucoup de canons qui tonnent, d'enfants qui meurent, beaucoup d'hommes et de femmes qui sont expatriés, pas de leur gré, ya beaucoup de dénis de droit, beaucoup de méconnaissances de l'égalité malgré l'impressionnant arsenal de droits et de textes internationaux - le droit international, de droit [4:12] humanitaire international. Malgré cela, malgré cet outillage que l'homme a bâti, que l'être humain a bâti pour aplatir et aplanir la guerre, au contraire, les guerres sont encore là. C'est pour cela que les médiations sont très importantes.
On a encore de la chance d'avoir des gens qui pensent à la médiation [4:26] parce que tout est équilibre, en fait, parce qu'il y a le noir et le blanc, le mal et le méchant ???, ya le médiateur et l'autre. Je suis ravi d'être associé à ces préparations et cette conférence de presse. Ça sera avec moi une occasion d'en parler parce que les conflits - et c'est ça aussi la chance de ce congrès là, il repose sur une annecdote africaine qui est très intéressante qui dit que le conflit est pour la cohabitation ce que la sauce est pour le bon plat. C'est-à-dire que le conflit n'est pas nécessairement mauvais ou bien méchant, déconstructif ou bien constructif. Ça dépend de la manière dont on gère ce conflit là. Ya du conflit intéressant parce qu'il réaffermissent les lois, le droit, les relations de chacun, ils donnent de nouveaux rôles aux protagonistes lorsqu'on sait s'en servir, lorsqu'on sait gérer ce conflit là. Donc il faut toujours être là. Puis en fait, le conflit, il est partout. Il est pas seulement entre les pays, il est entre nous-mêmes. Nous avons aussi des conflits intra-personnels, intra-groupes, et des conflits interpersonnels, qui intéressent les besoins pratiques de la personne, des conflits qui émanent de leur intérêt, de leurs croyances. Donc cette panoplie de conflits appelle une panoplie de médiations. Et je crois que le congrès de février, ça sera aussi son rôle -s'est vous qui l'avez organisé avec une bonne équipe - c'est de donner un modèle, en fait. Un modèle heuristique, un modèle même théorique pour ces diversités de médiations. Est-ce qu'il y a une ou des médiations ? Je crois qu'il faudrait y penser. beaucoup d'autres l'ont fait avant, on continuera ensemble. C'est faire accumulation de la pensée humaine, c'est ça le savoir, une accumulation. Comment créer un modèle de pensées, une chaîne de pensées sur la médiation ? Que chacun dans la famille, l'école - creuset de l'éducation et aussi creuset de conflits - la famille, l'entreprise, les syndicats, les autorités. Donc cette diversité de conflits avec cette diversité de médiations appelle à une unité aussi de réflexions. Unité et diversité ne sont pas antinomiques, ne sont pas contradictoires. On peut penser ensemble à un modèle unique pour sortir des conflits que chacun, à l'entreprise, à l'école, aux Nations unies, à la Ligue arabe, à la ligue??? française aussi, peuvent avoir des idées innovantes pour créer un monde meilleur. Et Aldous Huxley a dit [en français et italien ?] "Un monde meilleur est possible". [Sourire] [Ndlr : citation non trouvée en ligne]
[07:22]
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médiation ethno-clinique ... en rapport avec la souffrance ... a formé des interprêtes à la médiation ... on est dans une symétrie totale. Juste que le médiateur va extraire ... médiation entre pairs ...
Ndlr :
- le sous-titre de la conf est très MINORANT par rapport aux risques cataclysmiques auxquels notre génération est confrontée, en responsabilité pour les générations futures. En effet, la médiation, c'est d'abord et avant tout accueillir, écouter, et INFORMER : veiller à ce que la hiérarchie des informations qualifiées (par les scientifiques, experts, controverses documentées, etc) arrive jusqu'aux citoyens, c'est-à-dire assimilée par eux. Hervé Carre lui-même, dans son introduction insiste sur le "monde tellement incertain" !
L’urgence est aujourd’hui édifiée en culte. Elle est devenue en quelques décennies une modalité qui tend à régir de nombreux acteurs et institutions. La médiation familiale n’est pas épargnée. Elle est de plus en plus pressurisée par les personnes qui la sollicite et souhaite rapidement trouver une solution à leur conflit mais aussi, dans son application judiciaire, par les délais qu’imposent la justice.
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Dans cette course effrénée, la médiation familiale offre un espace tiers pour prendre le temps de penser l’urgence. Elle invite à une pause, qui permet de prendre de la distance. Face à une urgence qui disperse, elle propose de se recentrer sur l’essentiel qu’a tendance à sacrifier l’urgence 3.
Il apparait alors important de pouvoir se départir de toutes les pressions temporelles qui envahissent désormais l’espace de médiation familiale pour garantir un espace tiers fondateur au rétablissement d’un dialogue entre les
personnes.
3 Je fais ici référence à ce qu’écrit Edgar MORIN, sociologue et philosophe français, dans son ouvrage la méthode éthique par rapport à l’urgence : « A force de sacrifier l’essentiel pour l’urgence, on finit par oublier l’urgence de l’essentiel »
Ndlr : texte intéressant mais contrasté qui, selon moi, ne fait pas le tour de la question => le prouver ACT
Connu / https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?hB3YBw
dans la creuse ? ACT
Publié par Le Collectif pour une Transition Citoyenne, Paris, Janvier 2020
Rédigé par Julie Bideux, Aliette Lacroix, Théo Rougier, Marie Seiller
Remerciements
Nous tenons à remercier tous ceux et celles qui ont participé à la définition des mesures du Pacte pour la Transition, notamment Alice Autin, Christiane Bouchart, Lydia et Claude Bourguignon, Fanélie Carrey-Conte, Arnaud Chambat, Claire Choplin, Daniel Cueff, Elisabeth Dau, Grégory David, Alexandre Deprez, Geneviève Fontaine, Grégory Gendre, Alain Grandjean, Charlotte Izard, Zoé Lavocat, Emma Lebelle, Noël Lucia, Dominique Méda, Eric Monnoyer, Corinne Morel-Darleux, Julian Pedrigeat, Marion Perret-Blois, Elsa Pietrucci, François Pignet,
Marie-Hélène Pillot, Sarah Trichet-Allaire, Léa Vasa, Patrick Vassalo, et Rebecca Wangler pour leur participation à notre comité d’expert·es et les 1135 personnes qui ont participé à la consultation citoyenne de février 2019.
Nous remercions également toutes les autres personnes et organisations ayant contribué à la rédaction des fiches techniques : l’AITEC, Alternatiba, les Amis de la Terre, l'APF-France Handicap, l’APRIL, Artisans du Monde, la Bascule, Bioconsom’acteurs, le Centre francilien pour l'égalité femmes-hommes Hubertine Auclerc, le CLER, la Coalition Eau Ile de France, le Collectif des Associations Citoyennes, la Coopérative Tiers-Lieux, le CRID, Charline Ducottet, E-Graine,
Emmaüs, Energie Partagée, FAIR[e], la Fédération Française des Usagers de la Bicyclette (FUB), France Libertés, France Nature Environnement, Enercoop, Greenpeace, Greniers d’Abondance, Habitat Participatif France, le Laboratoire Écologique Ødéchet, Bruno Lamour, Mobicoop, le Mouvement Colibris, le Mouvement Utopia, le Mouvement Sol, la Nef, Noé, Anne-Sophie Olmos,
Sarah Poirier le REFER, le Réseau Action Climat, le Réseau Cocagne, le réseau des AMAP, Résistance à l’Agression Publicitaire, Jacques Sarda, Terre de Liens et Zero Waste France.
Nous remercions enfin la Fondation pour le Progrès de l’Homme, Open Society Initiative for Europe, la European Climate Foundation, la Fondation Un Monde par Tous, ainsi que certaines des associations et coopératives partenaires du Pacte pour la Transition pour leur soutien financier au projet du Pacte pour la Transition.
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P.126 Un témoignage d'élu : Paul Malville, maire de la Tour Blanche (Dordogne, 406 habitant-es) et la "Boîte à Bosse" (https://coop.tierslieux.net/wp-content/uploads/2014/08/PRD-Blabla24_47.pdf). Cette commune rurale œuvre pour le maintien de ses commerces et entreprises, l'initiative de travailleurs indépendants de la région de se réunir pour monter un tiers-lieu utilisable pour leurs besoins professionnels, mais aussi pour se retrouver et créer du lien sur le territoire, a été très bien accueillie par cet élu. La mairie a donc mis à disposition le bâtiment de la commune, et soutient la structuration du projet.
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Ndlr : - rien sur le suicide => suggérer ACT
- ET sur la médiation généraliste ? ACT
réalisé par la Coopérative Tiers-Lieux trouve que 57% des tiers lieux ont une gouvernance de type associative,
12% de type coopérative et 20% privées, les contributions bénévoles étant encore aujourd’hui très
importantes au sein des tiers-lieux. Ceux-ci sont auto-administré dans la plupart des cas, 12% étant
gérés par des collectivités locales.
Adopté par le Comité des ministres, le 19 septembre 2001, lors de la 765e réunion des délégués des ministres.
« Ce code s'applique aux forces ou services de police publics traditionnels, ou à d'autres organes autorisés et/ou contrôlés par les pouvoirs publics dont l'objectif premier consiste à assurer le maintien de l'ordre dans la société civile, et qui sont autorisés par l'État à utiliser la force et/ou des pouvoirs spéciaux pour atteindre cet objectif. »
I. Objectifs de la police
- Les principaux buts de la police consistent, dans une sciété démocratique régie par le principe de la prééminence du droit :
- à assurer le maintien de la tranquillité publique, le respect de la loi et de l'ordre dans société ;
- à protéger et à respecter les libertés et droits fondamentaux de l'individu tels qu'ils sont consacrés notamment par la Convention européenne des droits de l'Homme ;
- à prévenir et à combattre la criminalité,
- à dépister la criminalité,
- à fournir assistance et services à la population.
L'expression de « contrat open bar » utilisée par la presse pour définir le contrat passé entre le ministère des armées et Microsoft est erronée.
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L'attestation d'exclusivité fournie par Microsoft a montré que cette société est la seule capable à fournir les prestations demandées, dans le cadre d'une offre globale et intégrée.
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Quant à l'utilisation de logiciels libres, le ministère soutient la politique interministérielle de support des logiciels libres, publiée dans la continuité de la loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique (articles 2 et 16). Des actions ont été engagées en application des directives interministérielles, en particulier dans le domaine des serveurs et infrastructures puisqu'environ 60% des serveurs administrés par le ministère opèrent désormais avec un système d'exploitation libre. En revanche, la présence du logiciel libre dans la gestion des bases de données et dans les services aux utilisateurs est plus contrastée. Le ministère s'est donc engagé dans une politique logicielle (publiée en avril 2019 et accessible à tous) qui prône l'ouverture aux logiciels libres sous réserve d'un coût global de risques et d'efficacité comparables à ceux des grands éditeurs.
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favoriser l'interopérabilité par un recours aux standards, protocoles et formats d'échanges ouverts, de garantir la souveraineté (tant sur la confiance que la sécurisation) numérique, de maitriser et rationaliser les choix technologiques, de promouvoir le partage et la réutilisation des composants logiciels et d'exposer les ressources (données et services). Dans la continuité de ses directives pour le recours aux logiciels libres, le ministère mène actuellement une étude pour s'équiper d'un poste de travail entièrement libre (système d'exploitation et logiciels de bureautique), sur le périmètre de son réseau internet dédié. L'accès au code source des solutions numériques est effectivement un facteur facilitant la maîtrise de ces solutions, dans une optique tant de sécurité que de souveraineté numérique.
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Concentrer l'effort de maîtrise, y compris à travers l'accès au code source, sur quelques technologies-clé qui jouent un rôle prépondérant dans la sécurité et la maîtrise de l'emprise numérique de l'État. C'est par exemple le cas des technologies critiques pour la sécurité, telles que les moyens de chiffrement des données ou de détection des attaques, sur lesquelles l'effort de maîtrise passe en premier lieu par le recours à des solutions qualifiées par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI). le ministère des armées dispose, au même titre que l'ensemble des ministères, d'une licence libératoire permettant une utilisation sans limite de quantité de l'ensemble des outils de chiffrement de la société française Prim'X, qualifiées par l'ANSSI ...
Ndlr : connu / l'April