Le médiateur national de l'énergie est une autorité publique indépendante qui propose des solutions amiables aux litiges avec les entreprises du secteur de l'énergie et informe les consommateurs d'énergie de leur droit. Il propose aussi un comparateur d'offres d'électricité et de gaz naturel, un baromètre énergie-info et un guide des recommandations de bonnes pratiques.
... autorité publique indépendante, créé par la loi n° 2006-1537 du 7 décembre 2006 relative au secteur de l'énergie. Son activité est en hausse continue depuis ...
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Le médiateur aide à la résolution des problèmes avec les entreprises du secteur de l'énergie. Vous pouvez le saisir en ligne ou par courrier. Il met également à la disposition des consommateurs et des professionnels son savoir-faire en rendant accessibles ses recommandations publiées et les jurisprudences liées à l'énergie.
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Analyse de l’Association négaWatt, sur la base des travaux du GIEC
La France fête cette semaine le cinquième anniversaire des Objectifs de développement durable (ODD) instaurés par les Nations Unies. Alors que le gouvernement intensifie depuis plusieurs mois ses efforts à Bruxelles pour que le nucléaire soit reconnu comme une « énergie durable », il est légitime de se poser la question de la soutenabilité de cette source d’énergie, et plus largement de l’ensemble des options possibles.
Sur ces sujets, en dépassant certaines interprétations hâtives, l’analyse détaillée du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C publié par le GIEC en 2018 apporte de nouveaux enseignements que l’Association négaWatt présente dans cette note d’analyse.
Résumé de la note
De multiples leviers existent pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). Pour le CO2 (qui représente environ deux-tiers des émissions), les principales actions envisageables sont : la réduction de la consommation d’énergie, le déploiement des énergies renouvelables - électriques ou issues de la biomasse -, et l’utilisation d’autres moyens décarbonés comme le nucléaire ou la capture et séquestration de carbone associées à la combustion d’énergies fossiles.
Ces différentes options ne présentent pas toutes le même niveau de soutenabilité au regard de l’ensemble des 17 objectifs de développement durable (ODD) - parmi lesquels figure la lutte contre le changement climatique, la protection de l’environnement, l’éradication de la faim et de la pauvreté, la protection de l’environnement, etc. - adoptés par l’ONU en octobre 2015, quelques semaines avant l’Accord de Paris. C’est ce qui ressort d’une évaluation de 23 actions de réduction des émissions de GES menée par le GIEC dans son Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C :
- arrivent en tête les actions visant à réduire la demande d’énergie (sobriété et efficacité énergétique), à remplacer des énergies fossiles par des énergies renouvelables électriques ou encore à améliorer la gestion du bétail et du fumier ;
- viennent ensuite celles visant à renforcer l’usage de la biomasse, avec toutefois une très forte sensibilité aux conditions de mise en œuvre (environnement local, choix des espèces, modes de culture, usages, etc.) ;
- viennent en dernier celles recourant à la capture et séquestration du carbone (CSC), à la géo-ingénierie océanique et au nucléaire - cette dernière option étant même la moins bien notée parmi les 23.
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Si le nucléaire apparaît ici comme étant le levier de décarbonation le moins soutenable, il reste tout de même présent dans les quatre trajectoires proposées par le GIEC dans le résumé pour décideurs du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf.
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Si les quatre trajectoires principales proposées par le GIEC comportent toutes une part de nucléaire, d’autres options existent et permettraient de rester en-dessous des 1,5°C sans utiliser ni cette technologie ni la capture-séquestration de carbone. Comment ? En combinant à la fois une réduction de la consommation et un recours ambitieux aux énergies renouvelables (électriques et bioénergies). Le recours même modeste au nucléaire ou à la capture et séquestration du carbone - options clairement identifiées par le GIEC comme étant les moins soutenables - n’est donc pas indispensable pour atteindre l’objectif 1,5°C.
Document(s) téléchargés note nW, Communiqué de presse (pdf)
vidéo aussi à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?bGYkHQ
Le 8 juillet 2020, Île-de-France Énergies et Dorémi ont témoigné de leur expérience en matière d’accompagnement à la rénovation énergétique globale, lors d’un web-séminaire du CLER – Réseau pour la transition énergétique, organisé avec le soutien de l’ADEME.
Les structures du réseau FAIRE font actuellement face à un contexte mouvant, notamment avec le déploiement du programme SARE (Service d’Accompagnement pour la Rénovation Énergétique), qui implique des évolutions de leur métier, de leurs compétences et de leur organisation. Il est ainsi nécessaire de mettre les structures en capacité de s’organiser et de monter en compétences sur des thématiques données, sur lesquelles elles pourraient être amenées à se positionner dans le contexte actuel.
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Présentation IDF ENERGIES https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-IDF-ENERGIES.pdf
Présentation Dorémi https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-Dore%CC%81mi.pdf
Avec la participation de :
- Raphaël Claustre, Directeur général d’Île-de-France Énergies ;
- Léana Msika, Chargée de projets chez Dorémi.
Animation : Etienne Charbit, Responsable de projets Efficacité énergétique
etienne.charbit[arobase]cler.org
Le programme SLIME (Service Local d’Intervention pour la Maîtrise de l’Energie) est un programme d’action de maîtrise de l'énergie en faveur des ménages modestes et destiné aux collectivités locales. Il permet d'organiser les actions de lutte contre la précarité énergétique en massifiant le repérage des ménages en précarité énergétique et de les financer grâce aux certificats d'économie d'énergie.
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Extrait de la conférence de Jean-Marc Jancovici à AgroParisTech le 24 septembre 2019
Vidéo entière de la conférence (avec minutage des questions dans la description) : https://youtu.be/j48hBShnfB0 i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?o8gZYw
Le poids de cette vidéo a été réduit, pour diminuer sa consommation énergétique et donc les émissions de gaz à effet de serre induites, grâce à un tutoriel mis à disposition par le think tank The Shift Project :
https://theshiftproject.org/guide-reduire-poids-video-5-minutes/
Site de Jancovici : https://jancovici.com
Page Facebook : https://www.facebook.com/jeanmarc.jan...
Catégorie Science et technologie 113 commentaires
Ndlr : exemple de vidéo que l'on peut projeter pour illustrer un débat sur l'urgence car il montre bien en quoi urgence climatique et urgence politique sont intimement intriquées => avoir la transcription ACT
arrêté, publié le 8 septembre 2019, lève le voile sur le « Service d’accompagnement pour la rénovation énergétique » (Sare), lancé par Elisabeth Borne, Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE).
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porté par l’Ademe vient compléter l’arsenal des mesures déjà en place pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Il vise à vise à mieux informer les particuliers, les professionnels et les propriétaires de petits locaux tertiaires privés. Il disposera de 200 millions d’euros sur 5 ans, et « pourra couvrir jusqu’à 50% des coûts, le reste étant cofinancé par les collectivités«
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trois types de missions :
- déploiement d’un service d’accompagnement des particuliers. « Dans ce cadre, des audits énergétiques pourront notamment être réalisés pour poser les bons diagnostics avant d’engager les travaux de rénovation des logements«
Fourniture d'un premier niveau d'information NEUTRE, gratuit, adapté / tél ou entretien ; technique, financier, juridique.
Conseil perso / audit, assistance à maître d'ouvrage, maîtrise d’œuvre. - Créer une dynamique territoriale autour de la rénovation et soutenir une information à destination des professionnels.
- Déployer un service de conseil aux petits locaux tertiaires privés.
Tél. 0808 800 700 (serv gratuit+prix appel) ... entraîner les Français vers la rénovation énergétique, le ministère de la Transition écologique et solidaire, le ministère de la Cohésion des territoires et l’ADEME mettent en place une nouvelle signature, FAIRE. Tous éco-confortables.
FAIRE a pour objectif de rassembler l’ensemble des acteurs publics et privés de la rénovation énergétique et des énergies renouvelables et rendre lisible leur offre.
Le « service public » d’information et de conseil sur la rénovation énergétique de l’habitat est mis en place par l’ADEME, l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat), l’ANIL (Agence Nationale pour l’Information sur le Logement) et les collectivités.
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Particuliers
- Les conseillers FAIRE vous aident à réaliser gratuitement un bilan de votre consommation énergétique et à trouver les solutions de rénovation adaptées à vos besoins.
- Ils peuvent aussi identifier les aides financières dont vous pouvez bénéficier.
- Les artisans RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) et les professionnels recommandés par FAIRE vous aident à améliorer le confort de votre logement.
Professionnels
- FAIRE vous aide à trouver des formations pour devenir RGE et vous recommande quand un particulier cherche un professionnel qualifié.
Collectivités
- FAIRE vous donne accès aux initiatives locales et aux exemples des collectivités qui ont su bien faire
Contacter
https://www.faire.fr/trouver-un-conseiller
CAUE 1631 boulevard Besson Bey
16000, Angoulême
Horaires d'accueil et Permanence téléphonique :
Du lundi au vendredi : 8h30 à 12h30 ; 13h30 à 17h30
05 45 92 95 93 - infoenergie.caue16@orange.fr
https://www.eie-na.org/caue-charente
L’Observatoire climat-énergie est un projet du Réseau Action Climat et du CLER – Réseau pour la transition énergétique, en partenariat avec le Ministère de la transition écologique et solidaire, l’ADEME, Entreprises pour l’Environnement et l’IDDRI. Il s’appuie sur les indicateurs définis dans la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Il compare les résultats chiffrés avec les trajectoires prévues. Ils s’appuient sur les objectifs de la SNBC de 2015 et de la PPE de 2016. Une révision de ces documents est prévue suivant les évolutions de nos objectifs nationaux, et prendra en compte les évolutions définitives du projet de loi sur l’énergie et le climat.
Lancé en 2016, l'Observatoire climat-énergie dresse le bilan des efforts réalisés par la France pour mener la transition énergétique et climatique. Les chiffres de l'année 2018 sont rendus publics aujourd'hui. Un état des lieux nécessaire, alors que la première période de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) touche à sa fin.
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Pour Jean-Baptiste Lebrun, directeur du CLER – Réseau pour la transition énergétique :
« L’observatoire énergie-climat montre, à partir de données officielles, que la France est très en retard sur ses objectifs climatiques et en matière de transition énergétique. ... https://www.observatoire-climat-energie.fr/
Clés : Économies d’énergie ; Territoires et démocratie ; Transition ; Association ; Efficacité énergétique ; Emploi ; Rénovation ; RéseauEIE ; Système énergétique
Le « Service d'accompagnement pour la rénovation énergétique » vient de sortir du tiroir de la Ministre de la transition écologique et solidaire. Quatre ans après l'inscription d’un service public de la performance énergétique de l’habitat (SPPEH) dans la loi de transition énergétique et à quatre mois de l’extinction programmée du soutien de l’Ademe pour les Espaces info-énergie, voici enfin un financement pour l’accompagnement local ! Permettra-t-il de faire perdurer les missions essentielles de centaines de conseillers FAIRE qui orientent quotidiennement les citoyens au cours de leurs projets de travaux ? Rien n'est moins sûr... Sur le terrain, l'inquiétude règne.
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Lire aussi – Rénovation énergétique : le conseil personnalisé aux usagers est la clé de réussite https://cler.org/renovation-energetique-le-conseil-personnalise-aux-usagers-est-la-cle-de-reussite/
1 – Un mécanisme de marché pour financer des missions de service public ?
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Faute d’avoir prévu le financement de ce service dans ses propres trajectoires budgétaires, l’Etat propose aujourd’hui un programme qui repose sur les Certificats d’économies d’énergie, un mécanisme de marché impliquant les acteurs privés producteurs d’énergies. Pour le CLER qui observe de nombreuses failles dans ce dispositif, il paraît dangereux, en l’absence des « garde-fous » permettant d’améliorer le fonctionnement de ce système de CEE, de choisir cet outil pour financer dans de bonnes conditions, sur l’ensemble des territoires et dans la durée, un service public aussi déterminant pour la transition énergétique !
Lire aussi – « Le dispositif des CEE souffre de défauts importants à corriger » https://cler.org/le-dispositif-des-cee-souffre-de-defauts-importants-a-corriger/
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2 – De la qualité, vraiment ?
De nombreuses expériences réussies montrent qu’il est possible de réaliser des travaux performants pour gagner en confort et faire baisser ses factures. Mais, faute d’exigences et de contrôles suffisants dans les dispositifs d’aides publiques, les abus et arnaques se multiplient (voir par exemple l’alerte de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes du Ministère de l’économie) https://www2.economie.gouv.fr/dgccrf/offres-disolation-a-1-euro-soyez-vigilants. Dans ce contexte, il est plus que jamais essentiel de financer le travail des structures d’accompagnement sur le terrain. Celles-ci doivent continuer à faciliter la mise en œuvre de projets de rénovation les plus ambitieux possible. Elles incarnent en outre les principes de neutralité et d’indépendance vis-à-vis d’intérêts économiques privés liés à la réalisation de travaux, d’équipements ou de fourniture de services énergétiques. Le programme CEE, dont les contours n’ont pas encore été précisés, les encouragera-t-il dans cette logique fidèle à l’esprit de la loi de transition énergétique et aux principes et convictions de ces professionnel·les de terrain ?
Pour le CLER, le programme doit se déployer dans l’intérêt général et garantir l’atteinte d’objectifs de long terme définis par la loi en matière de transition énergétique : il s’agit notamment de viser pour les travaux de rénovation énergétique, autant que possible, l’atteinte d’un niveau de performance équivalent au niveau BBC en 2050, selon le parcours optimal (en général en passant par une rénovation complète et performante) !
3 – Pas d’investissement neuf de la part de l’Etat et un montant global de crédits insuffisants
La communication du gouvernement présente le programme comme un engagement financier substantiel et inédit. Il s’agit pourtant essentiellement de compenser le désengagement de l’Etat du soutien aux Espaces info-énergie et aux plateformes territoriales de la rénovation en passant par le mécanisme des CEE, c’est-à-dire en faisant porter la charge aux fournisseurs d’énergie et in fine sur la facture énergétique des citoyens.
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toutes les enquêtes, études, expériences de terrain et avis d’expert attestent l’importance d’un tiers de confiance pour l’accompagnement des ménages dans leurs projets de maîtrise de l’énergie.
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Lire aussi : « Il faut remettre du service public dans le secteur de l’énergie » https://cler.org/il-faut-remettre-du-service-public-dans-le-secteur-de-lenergie/
Contact
Jean-Baptiste Lebrun Directeur du CLER – Réseau pour la transition énergétique jeanbaptiste.lebrun[arobase]cler.org
La vidéo représente 80 % du flux de données mondial, et nécessite une consommation énergétique importante, produisant ainsi de plus en plus de gaz à effet de serre.
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En comptabilisant la vidéo originale, le post publicitaire qui se lance au milieu du visionnage et la vidéo qui se charge automatiquement à la fin, nous sommes assaillis. Or, ce type de contenu est particulièrement polluant comme le révèle un rapport du think tank Shift Project, dont le titre résume tout l’enjeu : « Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne » https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/2019-01.pdf.
Un secteur énergivore
Son auteur, Maxime Efoui-Hess, rappelle l’ampleur de l’empreinte carbone du secteur numérique, qui représente d’ores et déjà 3,7 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Au vu de sa croissance exponentielle, elle pourrait même atteindre 8 % en 2025. Ces émissions sont engendrées par la consommation énergétique, d’origine principalement électrique, nécessaire pour produire et utiliser les technologies numériques. Or à l’échelle mondiale, le mix électrique fait encore la part belle aux énergies fossiles et principalement au charbon.
Contact : PK FLUVIAL
Peniche "Femmy", chemin de l'ancienne ecluse, Port de Charenton 94220 Charenton le Pont
- FRANCE
Tel. : 01.48.72.28.54
- mail: contact@energy-online.fr
Horaires d'ouverture :
Lundi à Vendredi 9.00 - 18.00 h
Sarl au capital de : 7.620 €
Siret : 41186913400014
N° TVA Intracommunautaire : FR74411869134
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Peter Kroonenberg Fluvial
95 RUE LA BOETIE
75008 Paris
Machine à bois, PVC, alu et outillage (fabrication, négoce)
nDLR : le solaire est-elle une activité complémentaire ? ACT
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nous n’exigeons pas « davantage d’énergies renouvelables », mais la décroissance énergétique. Nous exigeons qu’un plan contraignant soit mis en place immédiatement avec pour objectif de diviser au minimum par quatre notre consommation énergétique d’ici à 2050 [1]. Dans ce cadre seulement, une transition vers 100 % d’énergies renouvelables, produites de manière décentralisée, les plus propres en fonction des territoires est un objectif à poursuivre. Enfin, ce plan signera aussi la fin du nucléaire pour 2030 [2], avec un calendrier rapide pour fermer les centrales nucléaires. Le nucléaire est une énergie infecte, depuis le pillage colonialiste de l’uranium, au Niger notamment, jusqu’à la production de millions de tonnes de déchets que devront gérer les générations futures pour plusieurs millénaires, en passant par le risque de prolifération nucléaire. Nous ne voulons pas de ces centrales, qui représentent un danger intolérable pour la société, comme le rappelle tristement la situation actuelle au Japon depuis Fukushima et les innombrables incidents techniques en France. Nous ne voulons pas du pharaonique projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure, qui a été imposé sans véritable débat démocratique, et dont la sûreté est mise à mal par les économies réalisées sur le coût du stockage.
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Face à la catastrophe, l’échec n’est donc pas une option. Nous saurons vous le rappeler incessamment. En l’absence de réponse satisfaisante du gouvernement dans les délais convenus d’ici au prochain jour de grève, vendredi 22 février, nous, la jeunesse, rejoindrons massivement la marche pour l’environnement du 22 février, qui sera aussi le jour de la venue en France de Greta Thunberg, et y poursuivrons nos actions de désobéissance.
Parce qu’elle garantit leurs revenus, les éleveurs qui le peuvent se laissent tenter par la production de biogaz et installent des méthaniseurs. Mais cette pratique, notamment à partir d’une certaine taille, comporte des risques pour les sols autant que pour l’avenir du monde agricole. Reporterre a mené l’enquête, dont voici les trois volets.
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La méthanisation, l’usine à gaz qui séduit les gros agriculteurs
Lire l’article ici https://reporterre.net/la-methanisation-l-usine-a-gaz-qui-seduit-les-gros-agriculteurs
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Méthanisation : un digestat bien indigeste pour les sols et les eaux
Lire l’article ici https://reporterre.net/methanisation-un-digestat-bien-indigeste-pour-les-sols-et-les-eaux
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La méthanisation risque d’accélérer la concentration des fermes
Lire l’article ici https://reporterre.net/La-methanisation-risque-d-accelerer-la-concentration-des-fermes
Source : Julie Lallouët-Geffroy pour Reporterre
Dessin : © Red !/Reporterre
Photos : © Julie Lallouët-Geffroy/Reporterre
DOSSIER Animaux Agriculture et climat
THEMATIQUE Agriculture Energie
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- Consolider son accompagnement (mission d’AMO) dans le développement de projet de production « classique » ou « citoyen » utilisant les mécanismes de soutien public
(autoconsommation, vente totale à l’OA, etc..). - Développer et acquérir ses propres projets de production en investissant son capital social dans des projets citoyens et innovants, hors mécanismes de soutien public (250 kWc au sol, toiture PV, achat de centrale existante (PV, Hydro, Eolien)).
- Faciliter une valorisation locale de l’énergie produite (recherche d’opportunités et de partenariats).
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Missions
Porter la Co-construction de la stratégie Energie au sein d’Enercoop Aquitaine - Co-construire la stratégie et le modèle économique Energie (en lien avec la direction, le Conseil d’Administration, les collaborateurs du service et le réseau Enercoop).
- Décliner la stratégie en plan d’actions.
- Élaborer et suivre le budget du service en lien avec la direction et autres membres du service.
- Animer l’équipe Énergie (composée de 2 personnes à fin 2019). Prendre en charge le développement de projets de production
- Identifier et qualifier des opportunités de développement de projets de production.
- Gérer la prise de risque dans le développement (juridique, technique et économique).
- Instruire les lancements de projet, les organiser et les suivre (investissements, coûts, délais, coordination, pilotage, reporting).
- Organiser et fédérer des partenariats techniques et économiques (acteurs et partenaires
locaux, collectivités, collectifs citoyens, CIRENA). - Suivre la réflexion stratégique du réseau Enercoop et alimenter la réflexion stratégique locale en lien avec la direction et le CA. Assurer la représentation de la coopérative
- Assurer le suivi et la gestion des participations de la coopérative dans des sociétés de projets.
- Organiser la représentation d’Enercoop Aquitaine dans les différents réseaux locaux
partenaires dédiés à l’Energie. - Participer à la commission Production du réseau Enercoop et à différents groupes de travail internes au réseau.
Profil recherché :
• Formation : niveau Bac + 5 (Master ou École d’ingénieur)
• Expérience professionnelle : au minimum 5 ans dans le secteurs des EnR
• Aisance relationnelle et appétence pour la démarche commerciale
• Capacité à fédérer et mobiliser des acteurs et des partenaires
• Capacité à gérer de projets (planification, suivi, coordination, budget)
• Capacité à manager dans la concertation
• Connaissance des étapes de développement des projets EnR (a minima PV)
• Maîtriser le modèle économique des EnR et de leur financement
• Connaissance ou curiosité du fonctionnement en réseau & Intérêt pour la
gouvernance innovante
Enercoop Aquitaine - SCIC SA à capital variable – RCS Bordeaux 788 775 242
Darwin Ecosystème – 87 Quai des Queyries, 33100 Bordeaux
recrutement.aqui@enercoop.org - 05.47.50.05.92
Connue /
https://twitter.com/EnercoopAqui/status/1084841731886059520
Le gouvernement s’entête dans la défense du nucléaire en arguant notamment que les énergies renouvelables sont intermittentes et insuffisantes, explique l’auteur de cette tribune. Pourtant, des possibilités efficaces de stockage de ces dernières existent.
Olivier Daniélo est rédacteur énergie. Il a fondé l’antenne française du think tank Desertec (Club de Rome) qu’il a ensuite quitté : vouloir importer de l’électricité solaire africaine pour répondre aux besoins énergétiques des gloutons européens lui posait un problème d’ordre éthique.
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Des dogmes nucléocratiques obsolètes
Non seulement la vision macronienne est productiviste, et donc par essence anti-écologique, mais en plus elle repose sur des dogmes nucléocratiques obsolètes. Macron a en effet déclaré le 27 novembre 2018 qu’il était « faux de dire que le nucléaire pourrait être remplacé par les énergies renouvelables, ces dernières étant intermittentes ». Son Premier ministre, Édouard Philippe, ancien lobbyiste d’Areva, en a ajouté une couche le lendemain en affirmant que « tant qu’on ne sait pas stocker l’électricité, on a besoin d’un mix équilibré. On a besoin du nucléaire et des énergies renouvelables ».
Donc, pour Macron et Philippe les 200 GW de Step (stations de transfert d’énergie par pompage) qui fonctionnent dans le monde (dont 5 GW en France) n’existent pas. On peut pourtant les faire fonctionner avec de l’eau de mer, comme l’a si bien expliqué l’association Hydrocoop. La batterie Tesla géante que le groupe français Neoen a installée en Australie pour assister un parc éolien ? Elle non plus n’existe pas. L’île Tesla qui fonctionne au solaire + stockage batterie dans les Samoa étasuniennes ? Idem. Tout comme le système batterie + hydrogène qu’installe le groupe français HdF (Hydrogène de France) en Guyane pour délivrer de l’électricité solaire 24 heures sur 24 et toute l’année. Et puis les études réalisées par le cabinet d’étude Artelys grâce à des outils informatiques sophistiqués et qui démontrent par A + B que les énergies renouvelables peuvent remplacer des réacteurs nucléaires en France sont ignorées. Artelys a pourtant été fondé par des anciens d’EDF. Étrange. Le gouvernement espagnol, qui annonce 70 % d’électricité renouvelable dès 2030 ? Une farce. 95 % de l’électricité en Uruguay est renouvelable ? De la science-fiction. Le PDG du groupe Neoen qui annonce que la France peut passer à 30 % de solaire + éolien en cinq ans, et donc à 50 % de renouvelables en intégrant l’hydroélectricité déjà en place et les autres énergies renouvelables ? Du pipeau. L’atome, il n’y a que ça de vrai. Et comme il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé, et bien nous ne sommes pas sortis de l’auberge. Ou plutôt de la piscine à déchets radioactifs.
Soutenue par les gouvernements successifs, la sortie du nucléaire est engagée en Allemagne depuis le début des années 2000, et doit se conclure en 2022, date prévue de l’arrêt de la dernière centrale. La fermeture de ces centrales nucléaires entraîne-t-elle une hausse des émissions de CO2 du secteur électrique allemand en favorisant un retour au charbon ?
En quelques mots
Depuis 35 ans, les émissions de CO2 du secteur électrique allemand sont globalement en diminution. Ces 10 dernières années, elles ont baissé de 20 % alors même que la production nucléaire allemande a chuté de 55 % depuis 2006 et que les exportations d’électricité ont considérablement augmenté.
La hausse de l’utilisation du charbon constatée entre 2009 et 2013 en Allemagne est souvent associée – à tort – à la diminution de la production nucléaire. Ce recours au charbon est en réalité venu compenser une baisse de l’approvisionnement en gaz naturel fossile, devenu moins compétitif sur cette période.
La stabilisation de la consommation d’électricité allemande depuis plus de 10 ans ainsi que l’essor des énergies renouvelables électriques – éolien et photovoltaïque en tête – contribuent favorablement à la transition énergétique de l’Allemagne ainsi qu’à la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
Les efforts doivent désormais être poursuivis et amplifiés, aussi bien dans l’installation d’énergies renouvelables que dans la sobriété et l’efficacité énergétique, pour que l’Allemagne puisse rester sur la trajectoire ambitieuse de réduction de ses émissions qu’elle s’est fixée.
Clés: Allemagne energiewende nucléaire charbon CO₂
Mobilités
Territoires et démocratie
Covoiturage
Développement local
Tepos
Train
Transports en commun
Vélo
Il est désormais nécessaire d'aborder la mobilité comme thème majeur de la transition énergétique, et surtout de traduire cette approche du point de vue de l'action locale. Le CLER propose une nouvelle approche de la mobilité durable locale, illustrée de 9 exemples de terrain.
La transition énergétique peut être abordée sous différents angles. Certaines thématiques sont largement traitées par les acteurs des territoires : la maîtrise de l’énergie dans le bâtiment, la précarité énergétique, les énergies renouvelables… A juste titre, celles-ci font l’objet de politiques locales de plus en plus abouties et transversales.
En revanche, la mobilité n’est pas systématiquement considérée comme composante centrale de la transition énergétique. C’est un véritable paradoxe, puisque c’est pour nous déplacer que nous utilisons l’essentiel du pétrole consommé en France.
Le transport représente un tiers de la consommation d’énergie française, presque uniquement des produits pétroliers.
Il est désormais nécessaire d’aborder la mobilité comme thème majeur de la transition énergétique, et surtout de traduire cette approche du point de vue de l’action locale.
Car comme pour le bâtiment, le gisement d’économies d’énergie dans la mobilité est diffus : il dépend de multiples paramètres comme les politiques d’aménagement, l’accompagnement au changement, la logistique… Il en est de même du potentiel de production de carburants alternatifs.
Pourquoi les acteurs locaux ont intérêt à s’emparer du sujet au plus vite ?
Comment penser une mobilité soutenable du point de vue de la transition énergétique ?
Quelles pratiques dans les territoires pour une mobilité plus sobre, plus efficace et basée sur les énergies renouvelables ?
Pour explorer ces questions, cette publication « Mobilité, énergie et développement local » du CLER – Réseau pour la transition énergétique développe une vision d’une mobilité à la fois soutenable du point de vue de la transition énergétique, et positive en terme de développement local.
Cette approche est illustrée par 9 retours d’expériences d’acteurs locaux qui mettent en œuvre des projets structurants en matière de mobilité durable, y compris en milieu périurbain et rural.
Bonne lecture !
Publication
Mobilité, énergie et développement local
Quelle mobilité pour des territoires à énergie positive ? Dans cette nouvelle publication, le CLER – Réseau pour la transition énergétique développe une vision d’une mobilité soutenable du point de vue de la transition énergétique, illustrée de 9 retours d’expériences de terrain, proposant de nouveaux modèles d’action locale en matière de mobilité durable.
Consulter la publication
https://cler.org/wp-content/uploads/2018/02/mobilite2017_CLER_WEB.pdf
ndlr :
- ont pris le parti de l'anthropocène en privilégiant la sobriété dans une approche holistique, en s'appuyant sur le scénario négawatt mais n'amènent pas de garanties en matière de gaz renouvelable (risque d'instrumentalisation par les gaziers d'écouler du gaz fossile sans possibilité de le détecter => questionner ACT
LEROUX & LOTZ TECHNOLOGIES
Leader dans le domaine des chaudières biomasse et Waste to Energy. Leroux & Lotz Technologies (LLT) conçoit, réalise et met en service des solutions globales de production d’énergie de 1 à 150 MWth, adaptées à tous types de combustibles. Notre offre s’adresse aux installations neuves ainsi qu’au retrofit des installations existantes.
LEROUX & LOTZ INDUSTRY
Leroux & Lotz Industry (LLI) développe des usines modulaires dans le domaine de la production des huiles et des graisses, la régénération des huiles usagées ainsi que des équipements spéciaux pour les marché oil & gas, énergies marines renouvelables et nucléaire.
NOS MÉTIERS
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Des engagements au cœur de la stratégie
L’ECOLOGIE INDUSTRIELLE
Les industriels du Gimélec se positionnent aujourd’hui comme les fers de lance de l’écologie industrielle.
A ce titre, le Gimélec souhaite promouvoir le progrès environnemental tout au long du cycle de vie des équipements. Il œuvre ainsi en faveur de l’écoconception des produits, de la minimisation de l’empreinte environnementale durant la vie des projets ou encore du développement de filières de collecte et de traitement des produits en fin de vie…
En outre il apporte son concours aux travaux européens qui visent à assurer la sécurité de l’approvisionnement en Terres Rares (groupe de 17 métaux indispensables à la production de nombreux équipements électriques), un sujet de plus en plus critique pour les industries françaises et européennes car le prix des Terres Rares a subi une inflation moyenne de 300% de 2010 à 2011.
PROMOUVOIR LA RESPONSABILITE SOCIALE D’ENTREPRISE
Les entreprises du Gimélec ont décidé de profiter de l’opportunité de la nouvelle législation française concernant la transparence en matière sociale et environnementale pour mettre en commun leurs compétences et meilleures pratiques sur le sujet. En effet, elles participent toutes, quelle que soit leur taille, d’un écosystème construit sur plus d’un siècle autour de l’électrotechnique, ses métiers comme ses normes, ses innovations comme ses révolutions.
La Commission Développement Durable du Gimélec, créée en mars 2009, a mis en place de nombreuses actions à destination de ses entreprises adhérentes, comme la signature du Pacte Mondial en juin 2010, la création d’un référentiel RSE commun, la diffusion de la norme ISO 26000 ou la mise en œuvre des approches « éthique et conformité » dans les entreprises.
LUTTER CONTRE LES PRODUITS DANGEREUX ET LA CONTREFACON
L’impact de la contrefaçon représente entre 3 et 5 % de l’activité mondiale du secteur matériel électrique, soit une perte de chiffre d’affaires d’environ 1 milliard de dollars pour les fabricants européens : imitation servile, concurrence déloyale, copie de l’image de marque, contrefaçon de brevets. Pour le Gimélec, au-delà du préjudice économique et du manque à gagner fiscal, les équipements électriques contrefaits ou non conformes aux normes et réglementations en vigueur présentent un risque vital pour les usagers comme pour l’environnement.
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