Résumé
Deux ancrages distincts sont à l’origine des initiatives de médiation sociale au Québec. Le premier provient de la mobilisation des organismes de justice alternative du Québec, le second, des politiques urbaines de la Ville de Montréal. Ces points d’ancrage, tout en s’interpénétrant occasionnellement, engendrent des pratiques de médiation portées par des fondements et des principes différents. Le premier favorise des pratiques sociales fondées sur les principes de démocratisation de la justice et du droit (principe de l’accès au droit) et sur la quête d’alternatives aux modes traditionnels de réaction sociale (en particulier celle de modalités non punitives de règlements des conflits). Il propose de favoriser un modèle de médiation non professionnalisé, c’est-à-dire intégrant des citoyens formés aux pratiques de la médiation. Le second émane des politiques publiques de la Ville de Montréal ; celles-ci fondent des pratiques de médiation fortement teintées par des enjeux de sécurisation, de pacification, d’inclusion sociale et de cohabitation sociale harmonieuse dans l’espace public et pour lesquelles le recours à des professionnels de la médiation est privilégié.
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Ndlr : la médiation généraliste aurait-elle la capacité à faire la synthèse entre ces deux approches antagonistes en prenant en compte les problématiques de l'ensemble des parties prenantes ? C'est ma conviction. Vérifier ACT
Un village situé au coeur de la vallée du Bandia
Ndlr :
- ce site semble "emballer" la seule réelle information publiée par Mathilde Menard à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?Di-eAw concernant la boîte de nuit. Et pour "faire sérieux" informe sur "demandes des actes" qui renvoie au nom TROMPEUR ? mairie-marthon.com
- La mairie est-elle au courant ? Si oui, qu'en pense-t-elle ?
Vérifications en cours :
https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?a1qyGA
... club discothèque le Galion, exploité depuis 2003, dépaysement total grâce à son cadre d’intérieur de bateau. 2 salles DJs qui mixent de la musique variée, Rap, R’N’B, Reggae, House, Techno, Pop Rock, Disco, Funk, Années 80, etc. ... boite de nuit fait l’exception face au nombre de clubs en milieu rural qui ont fermé ces dernières années. En effet, les clients qui se constituent essentiellement d’habitués apprécient avant tout sa convivialité ... Le club fête d’ailleurs ses anniversaires, en organisant des soirées complètement dingues, avec pleines de surprises et des shows sexy. ... Parmi les thématiques des soirées déjà vues dans la boite, on peut citer, les nuits cubaines, la soirée iapin coquin, la nuit des bronzés font du ski mais aussi, la soirée chic, détail choc, avec tenue chic en haut et choc en bas !
... prolongement des soirées réveillons, soldes et promotions / boissons alcoolisées ainsi que les gogos danseuses et les Chippendales.
Ndlr : visiter, dialoguer, questionner, découvrir ACT
début de vérif à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?NP797Q
Camille Beaurain et son mari Augustin étaient éleveurs de porcs dans la Somme. Criblé de dettes, épuisé physiquement et émotionnellement, l’agriculteur s’est donné la mort à l’âge de 31 ans, laissant Camille veuve à 24 ans. Aujourd’hui, la jeune femme raconte cette descente aux enfers dans le livre Tu m’as laissée en vie (cherche midi éditeur) et tente de lever le tabou sur le suicide paysan.
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Selon les statistiques, on compterait plus de deux suicides par jour chez les agriculteurs. En 2015, la MSA a ainsi dénombré 605 suicides. => VÉRIFIER ACT
Vidéo : découvrez le témoignage de Camille dans l’émission Sept à Huit ( m6 ? OU TF1 ?)
17 septembre 2019 à 08:43
durée : 00:23:55 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, est l'invité du grand entretien. Il publie "Préparer les petits à la maternelle" (sous sa direction), aux éditions Odile Jacob.
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Sur les enjeux du "parcours 1000 jours", qui peut réduire à terme les inégalités : "Quand l’État intervient, l’enveloppe sensorielle autour de l’enfant est plus stimulée, et son cerveau se développe mieux" #le79Inter
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Ndlr :
- indexer l'article en entier ACT
- téléverser ACT
- Nommé par Macron, mais reste centré sur son domaine d'expertise sans esprit partisan, vérifier ACT
... extrait de https://www.fondation-travailler-autrement.org/wp-content/uploads/2019/07/20190711_AMI-FT-FNT_V8-1.pdf " Dans ce contexte, le rôle de l’Etat consiste à accompagner et accélérer la dynamique en cours de création en garantissant la diversité de ces lieux et consolidant les projets existants par l’identification et le soutien de 300 projets structurants pour le rayonnement des tiers-lieux dans les territoires : les fabriques de territoire."
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Les acteurs n’ont pas vocation à faire à la place de l’État qui se mobilise activement. Mais de faire avec lui, en étant mieux structurés et coordonnés, pour être mieux entendus. Ce cadre de travail innovant et collectif doit permettre de progresser ensemble au service d’une ambition commune : renforcer ces lieux de vie, de travail, de collaboration, de création, d’inclusion partout sur le territoire, pour tous les citoyens.
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Ndlr :
- on retrouve tous les marqueurs de l'ultralibéralisme sauce macron : individualisme, compétitivisme, métropolisation, innovation, disruption, etc.
- Si l'état garantie la diversité, il doit financer les projets portés par les opposants politiques comme gilets jaunes, france insoumise, etc. Ce n'est pas ce qu'on observe. Duplicité ou sincérité / pour tous les citoyens ?
- Seule Marie-Laure Cuvelier emploie le mot "médiation" dans "« Renforcer la professionnalisation des acteurs est essentiel pour assurer la pérennité des tiers-lieux en territoires vulnérables. Ceux-ci activent des écosystèmes existants, d’habitants, d’associations, d’entreprises, de collectivités et d’institutions, pour en faire de véritables outils de dynamisation et d’aménagement des territoires. Cela passe par un travail de cartographie, de médiation, de projets stratégiques, et de management. »
Marie-Laure Cuvelier Coopérative des tiers-lieux de Nouvelle-Aquitaine "
ACT
Ce billet est le premier d’une série de cinq ou six que je publierai au rythme d’un par semaine au cours de ce mois de janvier. Le texte complet formera un essai à propos des relations entre les Communs et les Non-Humains, un sujet à mon sens absolument essentiel à prendre en compte pour la théorie des Communs.
Que serait un homme sans éléphant, sans plante, sans lion, sans céréale, sans océan, sans ozone et sans plancton, un homme seul, beaucoup plus seul encore que Robinson sur son île ? Moins qu’un homme. Certainement pas un homme.
Bruno Latour
La rivière Whanganui en Nouvelle Zélande, reconnue en 2017 légalement comme une entité vivante et un sujet de droit (Image par James Shook. CC-BY. Source : Wikimedia Commons)
Les Communs questionnés par l’émergence des « droits de la nature »
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plusieurs villes aux Etats-Unis ont d’ores et déjà adopté des régulations basées sur la reconnaissance des droits de la nature[7], en écho à des revendications formulées dès les années 70[8].
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à première vue, les finalités poursuivies semblent proches de celles qui se trouvent au fondement des Communs et des luttes séculaires menées aux quatre coins du Globe contre les phénomènes « d’enclosure »[9]. La notion de Communs (ou de biens communs) a fait ces dernières années un retour remarqué, depuis l’attribution en 2009 du prix de la Banque de Suède – dit « prix Nobel d’économie » – à la chercheuse américaine Elinor Ostrom pour ses travaux sur la gouvernance des « Commons Pool Resources » (CPR)[10]. Initialement appliquée à la gestion durable des ressources naturelles mises en partage, la notion de Communs s’est déployée depuis dans de nombreux autres champs (Communs de la Connaissance, Communs numériques, Communs sociaux, Communs urbains, etc.). En France, elle fait l’objet d’un intérêt croissant de la part du monde académique, attesté par la parution en 2017 aux Presses Universitaires de France d’un « Dictionnaire des biens communs[11] », regroupant les contributions de plusieurs dizaines de chercheurs issus d’une pluralité de disciplines.
La sphère militante n’est pas en reste et de nombreuses revendications, notamment en matière d’écologie, se font sous la bannière des Communs. On peut songer aux mouvements agissant pour la reconnaissance de l’eau comme bien commun, à des initiatives visant à instituer des forêts ou des bassins versants comme des Communs ou aux combats des paysans pour la préservation des droits d’usage sur les semences traditionnelles[12]. En France, le terme est récemment réapparu à Notre-Dame-des-Landes, dont les habitants ont revendiqué la qualité de « Laboratoire des Communs » pour légitimer la poursuite de l’occupation au-delà de l’abandon du projet d’aéroport[13]. Une tentative est d’ailleurs toujours en cours pour racheter une partie des terres de la ZAD afin de les ériger en propriété collective et poursuivre la « pratique des Communs » sur ce territoire[14]. La connexion avec les « droits de la nature » est ici évidente et elle s’exprime par exemple dans le célèbre mot d’ordre des Zadistes de Notre-Dame-des-Landes, qui en porte la trace : « Nous ne défendons pas la Nature ; nous sommes la Nature qui se défend ».
Pour autant – et de manière assez surprenante -, les analyses croisant explicitement la thématique des Communs avec celle des « droits de la nature » sont encore assez rares, alors même que leur mise en relation fait surgir des questions importantes et, dans une certaine mesure, perturbantes pour les Communs.
La théorie des Communs traversée par une « rupture ontique » entre Humains et Non-Humains
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des différences profondes du point de vue des « ontologies » ou des « visions du monde » sur lesquelles elles s’appuient[15]. La pensée des Communs n’est pas simple à saisir, car elle est partagée entre de nombreuses branches et courants ne renvoyant pas exactement aux mêmes réalités (d’où un flottement dans la terminologie employée selon les auteurs entre « Les Communs », « Le Commun », « Les Biens communs », « Le Bien commun », « Le Faire commun », « L’Agir commun », etc.)[16]. On peut néanmoins partir de la définition synthétique issue des travaux d’Elinor Ostrom et de l’école dite de Bloomington, telle que proposée notamment par l’économiste atterré Benjamin Coriat : « des ressources en accès partagé gouvernées par des règles émanant de la communauté des usagers, visant à en assurer l’intégrité ou le renouvellement[17] ». Dans cette optique, la caractérisation des Communs repose sur un triptyque « ressource-communauté-règles »
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Quand il est question de biens communs, il faut tenir compte des trois aspects suivants ; un groupe d’utilisateurs, généralement des « prosommateurs », des gens qui sont donc à la fois producteurs et consommateur. Ils prennent des décisions collectives concernant l’utilisation de ressources. Les ressources sont collectives également, en ce sens que leur utilisation dépend de la décision du groupe ; être membre du groupe vous confère des droits d’utilisation.
[…] C’est ainsi qu’émerge une nouvelle institution pour l’action collective. Sa conception et son fonctionnement sont sensiblement différents du marché et de l’État pris comme modèles de gouvernance dans la mesure où l’institution en question est basée sur l’auto-gouvernance, c’est-à-dire l’auto-régulation, l’auto-sanction et l’auto-gestion.
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cette définition attire aussi un certain nombre de critiques, soulignant que cette manière de conceptualiser les Communs reste ancrée dans une ontologie « dualiste » ou « naturaliste » par le maintien du postulat d’une séparation entre la ressource, d’un côté et la communauté, de l’autre. Cette opposition viendrait reconduire la thèse d’une « présumée continuité ontologique sous-jacente entre les humains » et d’une « discontinuité ontologique entre les humains et les non-humains », débouchant sur une « relation objectivant les non-humains en tant que ressources (naturelles)[20] ». Par Non-Humains, il faut entendre « tout ce avec quoi les humains sont en interaction constante[21] » : animaux, plantes, mais aussi les éléments comme l’eau, l’air, la terre, y compris parfois également les objets et artefacts produits par l’activité humaine. La notion est au cœur d’analyses cherchant à renouveler les approches en dépassant l’opposition traditionnelle entre Nature et Culture, sujets et objets, Humains et Non-Humains. Dans le champ de la sociologie, elle joue notamment un rôle central dans la théorie de l’acteur-réseau développée par Bruno Latour, Michel Callon et Madeleine Akrich qui, à travers une « sociologie de la traduction[22] », pense l’action comme partagée entre des Humains et des Non-Humains, également doués d’« agentivité » (agency)[23]. On la trouve aussi mobilisée par l’anthropologie, notamment dans les travaux de Philippe Descola visant à questionner les représentations occidentales pour donner à voir la diversité des « ontologies », c’est-à-dire des manières de « composer des mondes » à travers les continuités et les discontinuités établies entre humains et non-humains[24].
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la démarche d’Ostrom paraît en réalité reconduire la « rupture ontique » entre humains et non-humains caractérisant depuis des siècles la pensée occidentale et ayant acquis à l’époque moderne le statut de paradigme dominant[28]. Elle s’inscrirait encore dans ce que Bruno Latour[29] appelle un « processus de purification » visant à établir deux zones ontologiques absolument distinctes, alors même que les réalités observées par Ostrom sont composées de collectifs « d’hybrides » mêlant humains et non-humains. Or de telles accusations sont graves, car c’est précisément en s’appuyant sur cette thèse de « l’exceptionnalité de l’être humain » que l’Occident s’est doté d’un système de représentations et d’un appareillage idéologique favorisant un extractivisme forcené devenu incontrôlable depuis l’avènement de la révolution industrielle. Une telle dénonciation du dualisme de la pensée occidentale se retrouve notamment chez Arturo Escobar dans son ouvrage « Sentir-Penser avec la Terre[30] »
...Cette pensée dualiste qui sépare corps et esprit, émotion et raison, sauvage et civilisé, nature et culture, profane et spécialiste, indigène et savant, humain et non-humain en les hiérarchisant, nous empêche de nous concevoir comme faisant partie du monde, nous incitant plutôt à nous vivre dans un rapport d’extériorité instrumentale à ce qui nous entoure.
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Pour Bruno Latour, le recours à cette notion est en outre caractéristique d’une pensée envisageant les rapports de l’homme à son environnement sous la forme d’un système de production, là où les défis écologiques majeurs auxquels nous faisons face demanderaient de les repenser comme un système d’engendrement, afin de prendre en compte les liens d’interdépendance existants entre l’ensemble des vivants [31]
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Pour Patrick Bresnihan[32], la « rupture ontique » traverse en réalité toute la littérature sur les Communs et elle se manifeste notamment par la manière dont celle-ci distingue, d’un côté, des Communs qui seraient « naturels » ou « matériels » et de l’autre, des Communs « immatériels », que ceux-ci soient « numériques », « de la Connaissance », « culturels » ou « sociaux »
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Reformuler la théorie des Communs à partir d’une ontologie relationnelle ?
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gérer de manière durable des ressources naturelles par le biais d’arrangements institutionnels auto-produits par voie délibérative entre les personnes directement concernées. En recourant à la notion de faisceaux de droits (Bundle of Rights)[35], elle a aussi établi que la propriété exclusive et le marché n’étaient pas nécessairement le mode de gestion optimal des ressources, tout comme elle s’est montrée critique vis-à-vis de la centralisation bureaucratique lorsqu’elle conduit à étouffer la capacité des groupes à s’auto-organiser pour produire des règles adaptées à leur situation. ... engagement marqué sur la question du changement climatique qu’elle a intégré à ses analyses en essayant de proposer des leviers d’action articulant le global et le local[36].
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les évolutions citées au début de cet article, visant à reconnaître la qualité d’« entités vivantes» et de « sujets de droit » à des Non-Humains, sont des émanations des « cosmovisions » propres à des populations autochtones ayant reçu une « traduction » dans le système juridique de leurs États. Elles ont le potentiel d’ouvrir une voie pour dépasser l’ontologie dualiste en embrassant d’autres « manières de composer le monde » évitant de reconduire la « rupture ontique » traversant toujours les travaux d’Ostrom en dépit de ses apports...
...les communs sont ici conçus comme **des touts indissolubles** d’humains et de non-humains en développement constant[39].
...l’ontologie relationnelle repose sur l’idée que « les mondes biophysiques, humains et surnaturels ne sont pas considérés comme des entités séparées ». Dans une telle conception, « la division entre nature et culture n’existe pas et encore moins celle de l’individu et de la communauté : de fait, l’individu n’existe pas, il existe en revanche des personnes en lien permanent avec l’ensemble du monde humain et non-humain ».
...inclure les humains dans la notion de communs, en tant que contributeurs à un écosystème qui inclut aussi les non-humains. **Construire un programme politique** autour de cela va demander beaucoup de temps et d’imagination. Mais si on ignore le potentiel des communs, on est mal. J’espère que nos meilleurs penseurs vont s’en saisir à nouveau pour l’ouvrir à toutes les possibilités, notamment celle de faire entrer les non-humains dans l’équation. C’est le travail qu’il va falloir faire, si on veut continuer à évoluer dans un monde viable.
...les diverses tentatives de reformulations (Communs latents, Eco-Communs, Communs Plus-qu’Humains) paraissent prendre le parti de s’éloigner assez radicalement de la théorie des Communs formulée par d’Elinor Ostrom, sans toutefois toujours prendre le soin de se confronter directement et en profondeur à ses éléments. Je procèderai de mon côté en passant en revue les briques essentielles de la théorie des Communs (les notions de ressources, communauté, gouvernance, arrangements institutionnels, enclosures, faisceau de droits, propriété, etc.). L’objectif sera de déterminer si ces différents concepts – aujourd’hui marqués par une « asymétrie » entre humains et non-humains – peuvent être reformulés en suivant le « principe de symétrie[45] » issu de la théorie de l’acteur-réseau...
...Faire de l’**anthropologie symétrique**, de ce point de vue, cela ne signifie pas expliquer la vie des humains par l’influence des non-humains, mais rendre compte de la composition d’un monde où les uns comme les autres prennent part en tant qu’acteurs – actants dirait Latour – avec leurs propriétés et leurs modes d’action, et constituent donc des objets d’intérêt égal pour les sciences sociales[46].
Quatre étapes pour « symétriser » les éléments de la théorie des Communs
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PLAN
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Conclusion : le rôle des communs symétriques à l’heure du Capitalocène
ndlr :
- n'est-on pas ici en train de réinventer/retomber sur la termo-bio-sociologie de François Roddier ? ACT
(47 résultats au 14/12/2018 indexés à partir de fin octobre)
NDLR :
- Des choix partisans assumés, ce qui laisse transparaître une attitude de médiateur par moment tout de même ? => demander d'autres avis ACT
...*faire le lien entre vos compétences et les besoins des entreprises repérées.
Contactez-nous :
atoutcharenteemploi@lacharente.fr
05 16 09 69 52
ndlr :
créé d'abord sur Angoulême (en 2016 ?) puis généralisé à l'ensemble du département, ce service de placement détecte les besoins en emplois des entreprises et cherche à placer auprès d'elles des bénéficiaires du rSa. Les personnes sont orientées par les services sociaux, ce qui explique pourquoi le cd16 n'en a pas fait la publicité (vérifier).
Remarques :
- ce début de rapprochement entre offres et demandes d'emplois est unilatéral dans le sens où (sauf si non indiqué dans la brochure) il ne cherche pas AUSSI à faire adapter les postes de travail dans les entreprises.
- La présence de médiateurs holistes (dans une posture d'approche globale et intégratrice/intégrative? dans notre société, de la personne et des organisations), dans chaque quartier, chaque village, peut :
. faciliter le déploiement de ce service à toutes les entreprises et à toutes les personnes au rSa ;
. rééquilibrer le placement vers une médiation pleine et entière prenant en considération à égalité les parties prenantes (entreprises comme personnes) ;
. apporter les plus de la médiation indépendante, impartiale et maîtrisant la neutralité => avoir un lien qui l'explique
ACT
Connu / MEL
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Sujet : Flash info IESF N°81 : bilan PMIS de la campagne 2017-2018, une nouvelle représentante IESF à la Cti, fête de la science 2018…
Date : Thu, 6 Sep 2018 16:13:17 +0200
De : flashinfo@iesf.fr
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Les bioénergies : une alternative au pétrole ?
Pour présenter les technologies, enjeux et applications concernant la bioénergie, ASPROM vous propose de participer les 10 et 11 octobre à Paris à un séminaire rassemblant de nombreux experts français qui présenteront les derniers développements en matière de biomasse qui contribuent à la meilleure performance énergétique.
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10/10/2018 09:00 à 18:00 au 11/10/2018 09:00 à 18:00
La bioénergie s’appuie sur l’utilisation de la biomasse : cultures à vocation énergétique (miscanthus), déchets et sous-produits agricoles (paille de céréales) et forestiers, fumier et biomasse microbienne. Tous ces matériaux permettent la production d’une énergie renouvelable.
Solution d'avenir, la biomasse constitue la 1ère source d'énergies renouvelables produites en France, devant l'énergie hydraulique, éolienne et géothermique.
Pour présenter les technologies, enjeux et applications concernant la bioénergie, ASPROM vous propose de participer les 10 et 11 octobre 2018 à Paris à un séminaire rassemblant de nombreux experts.
Programme et Inscription
http://www.asprom.com/biotech/programme.pdf
ILS NOUS SOUTIENNENT dga - gifas - dge - GIM
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ndlr : 1ère enr biomasse ? vérifier ACT