Connu / https://twitter.com/aris_officiel/status/1215524235264905216
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Bldine a retweeté Aris~ @aris_officiel · 10 janv.
L’énorme collection de carnets de notes de Léonard de Vinci, le “Codex Forster”, est désormais numérisée en haute résolution... Et c’est en #LibreAccès sur le site du Victoria & Albert Museum (Grande Bretagne)
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Maison de retraite MARTHON (Charente) Note ehpad.fr 5/10
Ehpad –tablissement privé à but lucratif, maison de retraite située à Marthon, Lieu-dit Gd Plantier-Garenne (Commerces à proximité), ne dispose pas d’unité Alzheimer. Il n’est pas habilité à l’aide sociale ni à l’APL et propose des hébergements permanents mais aucun hébergement temporaire, aucun accueil de jour ni de nuit n’est mis à disposition. La résidence gère la restauration en direct et les menus sont accommodés par un diététicien , les résidents pourront profiter de leur famille lors des repas.
La capacité de la résidence est de 40 lits répartis dans 34 chambres simples (environ 18m²/chambre) et 3 chambres doubles (environ 22m²/chambre). Ehpad – Residence Vallee Du Bandiat dispose d’une climatisation.
Soins spécifiques accessibles aux résidents
ne dispose d’aucune unité spécialisée type unité de soins longue durée, pôle d’activités et de soins adaptés, unité d’hébergement renforcée ou unité pour personnes handicapées vieillissantes.
Vie sociale des résidents au sein de l’établissement
Afin de garder la forme, des activités de loisirs sont régulièrement proposées, l’ehpad dispose d’un équipement multimédias. Les animaux sont acceptés.
Prendre soin de soi c’est important !
Pour être toujours sur son 31 un espace coiffeur est présent au sein de la résidence. Le soin des pieds est lui aussi très important, comme une majorité d’ehpad cet établissement propose des soins des pieds. Aussi, un centre esthétique est mis à disposition dans la résidence.
Equipe soignante
L’équipe médicale et soignante se compose ainsi : Un médecin Un kinésithérapeute Des aides soignants de nuit Un ergothérapeute Un psychologue
Ndlr :*
- fiche de questionnement sur l'intermédiaire à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?8t7K8Q
- note de 5/10 : que signifie-t-elle ? ACT
ndlr :
i / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?y0ldTQ
50 minutes - #débatdemidi
Source de vexation, de discrimination, la note est souvent mal vécue par les élèves, voire par une partie des enseignants et des pédagogues. Quels sont les exemples de systèmes scolaires ayant abandonné l’évaluation sous cette forme ? Pour quels résultats ?
Les notes sont-elles sources de stress et d'angoisse pour les élèves ou peuvent-elles leur permettre d'être confronté à leurs capacités réelles ?
Les notes sont-elles sources de stress et d'angoisse pour les élèves ou peuvent-elles leur permettre d'être confronté à leurs capacités réelles ? © Getty / Imgorthand
Faut-il envisager son existence sous le règne de l'évaluation permanente ?
Dans notre vie professionnelle, nous pouvons être amenés à voir notre travail, nos compétences, jugés par d'autres, ou à juger ceux des autres. Sur nos téléphones, nous avons la possibilité, avec des étoiles, avec une note, d'évaluer la qualité du service que nous avons utilisé, du bien que nous avons acheté et même de partager notre avis sur les réseaux sociaux. Des réseaux sur lesquels nous sommes également invités à évaluer ce que publient nos amis, nos relations ; le nombre de J'aime étant souverain en la matière.
9 adultes sur 10 favorables à l'évaluation traditionnelle des élèves
Et pour cause : nous avons été conditionnés tout au long de notre scolarité, univers dans lequel nous sommes constamment évalués. Une évaluation qui s'exprime par la note, généralement de 1 à 20.
La notation est un système créé au XVIème siècle par les collèges jésuites tournés vers la sélection des élites, et institué officiellement sous la IIIème République en 1890. Si beaucoup ont grandi avec l'angoisse de la note, rares sont ceux qui s'y montrent défavorables. A chaque tentative de réforme de la notation, les défenseurs de cette institution se font entendre : 9 adultes sur 10 interrogées dans les enquêtes se déclarant favorables à l'évaluation traditionnelle des élèves.
Pourtant, de nombreuses études et recherches menées dans ce domaine démontrent le caractère souvent subjectif et inégalitaire de la notation, qui bénéficie généralement aux catégories socio-professionnelles favorisées. La note est souvent source de dilemme entre enfants et parents, parfois entre parents et enseignants, et plutôt synonyme de découragement que d'encouragement pour ceux qui sont mal notés.
Devons-nous persévérer dans ce système dont on connaît les limites ? Ou devons-nous envisager sa modification, sinon sa suppression ?
Les invité·e·s du Débat de midi
Pierre Merle, professeur de sociologie à l'École supérieure du professorat et de l'Education (ESPE) de Bretagne, auteur de Les pratiques d'évaluation scolaire (PUF) (en duplex depuis les studios de France Bleu Breizh Izel à Rennes)
Laetitia Ferrari, professeure de lettres en collège privé sous contrat en Seine-et-Marne, coach, formatrice d'enseignants, membre de l'équipe de Sciences cognitives appliquées à l'apprentissage et à la formation dirigée par Jean-Luc Berthier.
Loys Bonod, professeur de lettres classiques en lycée à Paris, blogueur sur laviemoderne.net
Et par téléphone, Raphael Pasquini, professeur formateur spécialisé en évaluation certificative des apprentissages, en évaluation formative et dans les processus d’orientation scolaire, Haute École Pédagogique du canton de Vaud (Lausanne, Suisse).
Programmation musicale
Halo MAUD - Wherever
JUNGLE - Happy man
ARTHUR H - J'ai dix ans
L'équipe
Didier Si Ammour Chroniqueur
Frédéric Milano Réalisateur
Martin Broyer Attaché de production
Fanny Cohen Moreau Attachée de production
Nathan Gallo Attaché de production
Gaétan Lévy Stagiaire
Aurore Mancip Stagiaire
Mots-clés :
Idées éducation école enfants
article remarquable écrit par un historien, Stéphane Trayaud (université de Limoges) sur l'activité de médiation des notaires au XVIIIe siècle. La médiation a une histoire et nous espérons que les historiens s’empareront de ce champ de recherche comme l’ont fait Anne Bozon, (Université Paris 8) en analysant la fonction de médiation du clergé catholique dans « Les curés médiateurs sociaux : genèse et diffusion d’un modèle dans la France du XVIIe siècle », Revue d’Histoire de l’Église de France, 2011, t. 97, n°238, p. 35-56 et Christian Grosse (université de Lausanne) pour les consistoires dans « Pour bien de paix”. La régulation des conflits par les consistoires en Suisse romande (XVIe-XVIIe siècles) », in Jean-Luc Chabot, Stéphane Gal, Christophe Tournu (éds.), Figures de la médiation et lien social, Paris, L’Harmattan, 2006, pp. 85-107
A noter que Christian Grosse a présenté son travail sur la régulation des conflits dans le « séminaire médiation » du Groupe d’Etude Médiation (http://25images.ish-lyon.cnrs.fr/Portails/mediation/fr)