Thierrée / Shechter / Pérez / Pite
119 min
Disponible du 10/01/2021 au 16/05/2021
Une soirée au palais Garnier placée sous le signe de la danse contemporaine avec quatre chorégraphes inventifs et puissants : le Suisse James Thierrée, l’Israélien Hofesh Shechter, l’Espagnol Iván Pérez et la Canadienne Crystal Pite.
Filmé par Cédric Klapisch et Miguel Octave, le ballet de l’Opéra de Paris prouve que sa place parmi les compagnies les plus polyvalentes au monde n’est pas usurpée. Avec Frôlons, sa nouvelle création, James Thierrée met frontalement en question la notion de spectacle, abolissant la frontière symbolique de la scène en faisant évoluer les danseurs parmi les spectateurs, dans les espaces publics, foyers ou escaliers, du palais Garnier. Lui succède The Art of Not Looking Back, de l’Israélien Hofesh Shechter, qui voit neuf danseuses entraînées dans une ronde primitive et affolée. Explorant les séquelles de traumatismes enfouis, la pièce manie tour à tour la violence et la solennité du cérémonial. L’Espagnol Iván Pérez, lui, crée une chorégraphie tout en finesse et contrastes sur le Stabat Mater d’Arvo Pärt : interprété uniquement par des hommes, The Male Dancer interroge la figure du danseur, objet à la fois de désir et de quolibets. La soirée se conclut par un intense déferlement d’énergie avec The Seasons’ Canon de la Canadienne Crystal Pite. Rythmé par The Four Seasons Recomposed, partition de Max Richter inspirée par Vivaldi, et porté par cinquante-quatre danseurs habités, ce ballet dédie aux forces et aux formes de la nature un hymne d’une puissance magnétique.
Ndlr : défi passionnant pour la médiation culturelle ? travail sur l'histoire de l'art et les présupposés culturels ? ACT
Créer de nouveaux modèles autour du partage et de la rencontre
L’éco lieu accueille des ateliers socioculturels ponctuels ou réguliers : la couture avec ArteFact, yoga, chorale, causeries, Radio Hapchot, hantiers collectifs…
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Des actions de médiation artistique ou culturelle menées tout au long de l’année permettent de renforcer le lien entres les habitants, les artistes invités et les autres associations du Pays Tarusate http://www.pays-tarusate.fr/.
Fête de l'été 2015 https://www.youtube.com/watch?v=VC3rv0qI6Po
Mercredi 5 décembre 2018, bassin minier
Jeudi 6 décembre, musée du Louvre-Lens
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Catherine BERTRAM, Directrice de la Mission Bassin Minier
Merci pour vos regards sur notre territoire. Il s’est dit des choses essentielles sur la notion de valeur : on peut trouver que ce paysage est « moche », mais on peut aussi se dire qu’il y a quelque chose à en faire. Vos impressions vont nous permettre de progresser.
Pour les résumer, il a été beaucoup question de la manière dont on a impliqué les habitants dès le départ, de l’importance du facteur humain et du lien social et de l’activité économique pour obtenir cette implication.
La façon dont on raconte l’histoire de ce site pose aussi la question de la médiation dans les projets urbains : comment transmettre un sens aux générations futures, une fierté retrouvée par rapport à ce patrimoine.
Enfin, en matière d’aménagement, des progrès restent à faire pour éviter que la voiture soit partout présente dans l’espace public, pour rendre donc plus visible l’« après-pétrole », au-delà du confort thermique des bâtiments.
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Catherine BERTRAM, Directrice de la Mission Bassin Minier
Le territoire du bassin minier est d’abord rural, puis a été façonné par la mine, par la guerre également.
La médiation vis-à-vis des publics est donc essentielle : elle intervient dans le cadre de projets artistiques et
culturels, comme c’est le cas avec les jardins des cités minières, où l’on met en place des collaborations entre
habitants et artistes. Elle permet aussi de construire sur notre territoire un tourisme culturel, sachant que le Louvre-Lens et le label patrimoine mondial de l’Unesco ont bien sûr été deux moteurs importants de notoriété.
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Éric BRUA, directeur Fédération des parcs naturels régionaux de
France ... Les PNR ont des missions vastes, qui dépassent très largement les questions d'écologie et d'environnement. Nous travaillons ainsi beaucoup sur les questions d'aménagement du territoire, en les ancrant sur les sujets qui touchent au paysage. Nous utilisons d'abord le paysage comme un outil de connaissance, puis comme un outil de médiation. En urbanisme, il est très utile de passer par des lectures paysagères : cela permet de comprendre la relation du bâti au territoire, à
ses ressources naturelles, à son climat... et pourquoi un village breton ne ressemble pas à un village alsacien. ... comprendre que chaque territoire est unique et que chaque trajectoire en matière d'urbanisme est liée à une histoire, à des contraintes, à des potentiels... Au-delà des typologies architecturelles, ce
qui est inquiétant selon moi, c’est qu’on a uniformisé et perdu les savoir-faire. On avait une vraie diversité dans le bâtiment. Un sociologue, se basant sur une étude qu’il avait réalisé, m'a dit
qu’en une génération et demie on avait perdu la technique des enduits à la chaux en Alsace. Cette technique constituait pourtant la base de la maçonnerie traditionnelle. C’est donc un des points
sur lesquels il va falloir travailler pour progresser en matière de rénovation du patrimoine bâti, d'urbanisme et d'architecture.
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décoration - mode - arts de la table...
De nombreux savoir-faire et matériaux seront représentés : bois tourné, mosaïque, céramique, émail, vannerie, gravure, maroquinerie, création de lingerie, reliure etc.
Le salon se positionne et affirme haut et fort que nous pouvons consommer autrement auprès des métiers d’art. Car acheter un objet métiers d’art c’est avant tout acheter beau, durable et éthique !
(variante brochure papier : ... Acheter un objet métiers d'art, c'est se faire plaisir tout en achetant durable et en soutenant les professionnels des métiers d'art et l'économie locale.) ...
Ndlr : qu'y a-t-il derrière le mot éthique ? ACT
Renseignements : 05-53-60-74-17 – contact@metiersdartperigord.fr - Directrice Sophie Rolin
Pour les expositions, l’administration et la boutique,
Château, avenue du Général Leclerc 24300 NONTRON
Ouvert du lundi au samedi, 10h-13h et 14h-18h,
ouvert tous les jours en juillet et août
Hors exposition : ouvert uniquement du mardi au vendredi,
la boutique reste ouverte du mardi au samedi.
ENTRÉE LIBRE ET GRATUITE, accès handicapés
Le paiement des ateliers et stages métiers d’art est éligible aux « Chèques-vacances ».
la boutique en direct :
05 53 60 50 77 – boutique@metiersdartperigord.fr
Pour la Science @PourlaScience 16 hil y a 16 heures
Cette découverte est étonnante, car elle prouve que l’art « naturaliste » a persisté pendant l’Azilien.
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La première bande dessinée à Angoulême date de 12 000 ans
Retrouvée sur un site préhistorique Azilien près de la gare, une plaque de grès montre des animaux gravés successivement dans...
pourlascience.fr
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.#Art #art numérique #culture #événement #Festival #Sciences
Sur le papier, le KIKK Festival de Namur en Belgique crée des ponts entre art, culture, sciences et technologies. Dans les faits, on y va et on revient un peu transformé. Sa 8ème édition, baptisée « Species and beyond », explorait les frontières entre le vivant et le non-vivant
Capitale de la Wallonie, ville natale de Benoît Poelvoorde, Namur accueillait du 1er au 4 novembre la 8ème édition du KIKK festival, un concentré de conférences, de speakers internationaux et de workshops interdisciplinaires gravitant autour des cultures numériques et créatives. Designers, ingénieurs, artistes, chercheurs, parents et enfants… en quatre jours, près de 25 000 visiteurs de tous horizons se sont réunis autour du thème « Species and beyond », une réflexion scientifique mais aussi citoyenne sur l’évolution de notre place dans le monde.
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Puis, direction la galerie du Beffroi où une dizaine d’artistes étaient exposés. Parmi eux, Luce Moreau et ses ruches labyrinthiques à la croisée entre construction humaine et instinct animal, ou encore le musée futuriste d’Histoire naturelle de Julian Charrière. Sous une cloche de verre, des composant électroniques fondus avec de la lave sont ramenés à leur condition géologique. Une réflexion sur l’utilisation des matières premières et sur l’artificialité de nos produits transformés… à l’ère de l’Anthropocène.
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https://www.kikk.be/2018/en/home
La musique est un art dominé par de grands monopoles imposant leur vision des choses. Ils participent à une organisation non-démocratique de la musique : la majorité des artistes est mise à l’écart par un système les dominant et ne rémunérant qu’une poignée d’entre eux lancés par une industrie de plus en plus frileuse. Mais même ceux qui arrivent à percer subissent les majors qui en position de force imposent des conditions leurs étant très favorables (partage inégal des marges sur les vente des CD, contrats d’exclusivité, etc.) et n’ayant pour objectif que la rentabilité. Ces entreprises cherchent aussi à contrôler Internet, mettant en danger la liberté d’expression.
Une alternative à un système injuste
Un système dominant inéquitable et anti-démocratique
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La grande majorité des sociétaires de la Sacem ne touche donc même pas un seul centime de la Sacem, tout en ayant payé les 121 euros de frais d’inscription 5.
La spoliation des artistes « rentables »
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On comprend dès lors bien l’intérêt qu’un artiste peut avoir à faire ses propres CD, et de se diffuser soi-même.
L’accord Creative Commons-Sacem, un danger pour la musique libre ?
La musique libre en phase avec son époque
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De plus, quand les industries du divertissement ont voulu « passer au numérique », elles l’ont très mal fait en voulant transposer leur ancien modèle sur ce nouveau monde « virtuel ». Ce qui a créé de très mauvaises expériences des clients. Les DRM, par exemple, sont des verrous artificiels qui vous empêchent d’utiliser votre musique comme vous le voulez (beaucoup se sont retrouvés ainsi à avoir acheté légalement des albums qu’ils ne peuvent pas écouter). La pauvreté de l’offre légale que proposent ces entreprises est à déplorer, surtout pour certains styles de musique, ou pour des groupes qui ne sont plus sur le devant de la scène. Le développement du partage illégal par Internet n’a donc rien d’étonnant.
C’est là que la musique libre entre en scène en apportant une solution.
Lire la suite :
https://framazic.org/sinformer-et-comprendre/que-vive-la-culture-et-lart-dans-le-partage/
Classé « fou » en 1923 par le Dr Prinzhorn, « brut » en 1945 par Dubuffet, « outsider » par Lucienne Peiry, « singulier » lors d’un salon en 1978, « modeste » par Hervé Di Rosa, « naïf » comme le Douanier-Rousseau voire « populaire » comme le facteur Cheval, l’art hors normes des créateurs préservés de tout conditionnement artistique, autodidactes ou internés d’hôpitaux psychiatriques forme un paysage composite difficile à typologiser. Stigmatisé par les nazis comme dégénéré, longtemps ignoré par l’establishment culturel, cet art irrécupérable, qu’il soit d’inspiration socialement marginale (Cheval ou Chaissac), médiumnique (Crépin ou Lesage) ou psychopathologique (Wölfli, Aloïse, Darger, Walla…), rencontre aujourd’hui un public de plus en plus large. Signe d’un temps où l’art contemporain s’essouffle souvent dans son surcodage, aussi transparent et bling bling qu’un crâne de diamants, les institutions lorgnent de plus en plus vers lui. Avec le musée de Lausanne pour Mecque, la Halle Saint-Pierre à Paris pour préfecture, les marges de l’art sont aujourd’hui de sortie à Lyon avec la BHN.
La vie et la beauté ne sont pas raisonnables
L’art brut n’est donc pas en premier lieu une remise en cause esthétique et psychanalytique, mais bien plutôt sociologique, politique et anthropologique.
Marc Uhry
Rédigé par Marco3 avril 2018 Chroniques zébrées, Expos, Théâtre & Danse, Non classé
Conférence-débat dans le cadre des rencontres de la médiations
du Lorraine Réseau Art contemporain (LoRA)
vendredi 19 mai 2017 9h30
à la Maison de la Culture et des Loisirs, 36 rue Saint-Marcel-57000 Metz
MATINÉE
Réservation conseillée (contact@lora.fr/ 06 43 83 65 50)
Hugues Bazin – chercheur indépendant en sciences sociales, fondateur du Laboratoire d’Innovation Sociale par la Recherche-Action, chercheur associé à la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord
« Tiers espace dans la médiation de la forme et de l’œuvre entre éducation populaire et action culturelle. Quel est le rapport entre culture et art dans une démarche d’émancipation et de transformation ? Quels sont les espaces où s’articulent action culturelle et éducation populaire ? »
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intégrer dans les recherches TdM ACT