... met à disposition des enseignants des ressources pour la classe et la formation, ainsi que des aides variées pour mener des activités et des projets de science et de technologie à l’école et au collège.
Près de chez vous
... coordonne des réseaux de proximité sur tout le territoire qui fédèrent des partenaires publics et privés - autorités éducatives, universités, entreprises, associations, collectivités locales…– afin d’accompagner les professeurs du primaire et du secondaire et leurs élèves de diverses manières : formation, prêt de matériels, aide à la conduite de projets d’établissements, etc.
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Fondation La main à la pâte
43, rue de Rennes 75006 Paris - Tel : 01 85 08 71 79
Anthropologue et thérapeute familial, Serge Escots dirige l’Institut d’anthropologie clinique qu’il a créé en février 2008.
Après avoir développé des expériences de terrain, d’encadrement et de formation dans le champ médico-social, il exerce comme psychothérapeute en pratique privée et consultant dans le secteur médico-social. Plusieurs études concernant les usages de drogues ou leurs modes de traitement ont été menées sous sa responsabilité scientifique.
Il est aussi chargé d’enseignement à l’Université Toulouse – Jean Jaurès, où il coordonne le diplôme universitaire Thérapies familiales.
...
CONSULTATION EN PSYCHOTHÉRAPIE DE COUPLE ET DE FAMILLE
Serge Escots propose un espace de consultations en psychothérapie pour des couples et des familles, du lundi au samedi, sur rendez-vous.
Institut d’anthropologie clinique
29, chemin des Côtes de Pech David
31400 Toulouse / Tél. : 05 62 17 20 86
Nous contacter par mail : iac@i-ac.fr
En lien avec l’Université Toulouse – Jean Jaurès, dans le cadre du DU thérapie familiale, la consultation peut accueillir des étudiants.
Dans le cadre de leur formation continue, l’IAC propose aux professionnels des espaces de formation, de recherche et de supervision en lien avec les entretiens familiaux et les psychothérapies.
Ndlr : évaluer ACT
56 minutes
A l’occasion de l’Année internationale des langues des peuples autochtones décrétée par l’Unesco en 2019, le Muséum de Toulouse a choisi de mettre en avant l’Amazonie, sa biodiversité, ses populations, son patrimoine " bioculturel " grâce à l’exposition "Oka Amazonie, une forêt habitée".
Oka Amazonie © ©-Studio-Pastre-739x1024
L’expo Oka Amazonie, une forêt habitée" propose d'aller à la rencontre des peuples amérindiens qui vivent sur un territoire immense, l'Amazonie.
Avec 6 millions de km2 de forêt, l’Amazonie représente à elle seule 50% des forêts tropicales de la planète avec 390 milliards d’arbres qui appartiennent à 16 000 espèces. 20% de la forêt amazonienne a déjà été détruite et chaque année 2,27% de cette forêt disparaît. L’Amazonie c'est + de 50% de la biodiversité mondiale, soit une espèce sur 10 existantes sur Terre. C'est aussi 30 millions de personnes dont 350 groupes indigènes vivants en grande majorité des services rendus par la nature. La population des amérindiens dans la grande Amazonie est estimée à environ 1,3 millions de personnes avec 184 communautés. Neuf pays dont le Pérou, le Brésil et la Guyane française entre autres appartiennent à cette immense territoire.
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Sciences
Donnons du temps aux forêts tropicales pour se régénérer
La Guyane française est un DROM, un département /région d’Outre-Mer, qui possède la particularité d’être la seule région française (sans compter les Territoires d’Outre-Mer) où vivent des peuples autochtones. Les principaux peuples autochtones de Guyane sont les Arawak-Lokono, Teko, Kali’na, Pahikweneh ( Palikur), Wayapi, Wayana. La population amérindienne, Français du bout du monde et enfants de la République Française, est estimée à environ 10 000 personnes en Guyane française. La continuité entre les espèces végétales et animales et les sociétés humaines se trouve bien illustrée dans la manière dont les Amérindiens voient le monde. Les plantes médicinales sont une bonne porte d’entrée pour connaitre ces sociétés.
avec :
- Francis Duranthon, directeur du Muséum d’Histoire Naturelle-Toulouse Métropole et conservateur en chef pour l’exposition « OKA, Amazonie, une forêt habitée » à partir du 24 avril au Muséum D'Histoire Naturelle -Toulouse Métropole.
- et Guillaume Odonne, ethnobiologiste, chercheur et responsable de l’équipe Ethnoécologie et dynamiques culturelle au Laboratoire écologie, environnement, interaction des systèmes amazoniens (LEEISA) du Cnrs de Guyane française. Il est membre du conseil scientifique de l’expo « OKA, Amazonie, une forêt habitée »
Thèmes associés Sciences ressources naturelles Amazonie nature Guyane
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La Bibliothèque idéale de l'éco par Arjuna Andrade
le vendredi à 14h45 - 15 min
Prix Nobel d'économie en 2009 pour son développement sur la théorie des communs, Elinor Oström s'impose comme l'une des économistes les plus importantes de notre temps. Sa réflexion permet d'envisager d'autres modes de gouvernance dans la gestion de ressources environnementales cruciales.
Elinor Oström, lors du congrès "Challenge of Self Organizing to Govern Commons in India" à New Delhi le 5 Janvier 2011
Elinor Oström, lors du congrès "Challenge of Self Organizing to Govern Commons in India" à New Delhi le 5 Janvier 2011• Crédits : RAVEENDRAN - AFP
Nous nous intéressons aujourd’hui à l’économie des communs et aux théories d’Elinor Ostrom. L’économiste américaine s’est intéressée à l’élaboration de méthodes pour gérer au mieux des ressources, par nature, rares et altérables. Ostrom s’attache donc à développer des modèles capables de préserver ces communs reçus en partage.
Elle formule pour cela des théories pour le moins iconoclastes : Et si, au-delà des marchés, il existait d’autres espaces efficaces de coordination et de gestion ? Et s’il existait, en-deçà de l’échelon étatique, une manière optimale de gérer les ressources naturelles?
C’est à ces questions qu’a tenté de répondre la grande économiste Elinor Ostrom, dans son ouvrage Governing the commons, publié en 1990 et qui lui valut, ainsi que l’ensemble de son oeuvre, le prix de la banque de Suède en économie.
Bibliographie
La gouvernance des biens communs
Gouvernance des biens communs - Pour une nouvelle approche des ressources naturelles
Elinor OlstromDe Boeck, 2010
Vers une république des biens communs ?
Benjamin Coriat Les Liens qui Libèrent, 2018
Ce n’est qu’une question de décennies avant que l’Homme ne disparaisse complètement. Comme les Romains ou les Mayas, notre civilisation est elle aussi condamnée et pourrait ne pas voir la fin du siècle, selon la Nasa. L'agence spatiale américaine explique que la surexploitation des ressources et la répartition des richesses de plus en plus inégale seraient à l'origine de cet effondrement précipité.
Fin du monde apocalypse exploitation ressources famine Pixabay
Pour éviter ce scénarios catastrophes, l'étude souligne l'importance de réduire les inégalités économiques et la consommation de ressources non renouvelables.
@Pixabay
Le dernier rapport choc du Giec, publié début octobre, alertait sur l’imminence d’un monde en crise permanente. À cette occasion, une autre étude de la Nasa datant de 2014, passée alors un peu inaperçue, a refait surface. Il y a quatre ans, l’agence spatiale américaine estimait que l’effondrement de notre civilisation surviendrait dans quelques décennies seulement. En cause, la surexploitation des ressources naturelles et l’accroissement des inégalités. De quoi mobiliser de toute urgence la société.
Pour bâtir leur raisonnement, les scientifiques se sont appuyés sur l'histoire d'anciennes civilisations (Romains, Mésopotamiens, Mayas…) et ont comparé les données sur la population, le climat, l'agriculture, l'énergie ou encore la répartition des richesses des différents empires. Ils sont arrivés à la conclusion que, depuis 5 000 ans, les civilisations disparaissent lorsque les hommes surexploitent les ressources et organisent la société entre un petit nombre de riches et une masse de pauvres. La déforestation et la culture intensive du maïs auraient par exemple conduit à l’écroulement des Mayas.
La disparition des plus pauvres entraîne la disparition des élites
Selon les chercheurs, deux scénarios s’offrent à nous. Le premier décrit un monde dans lequel les plus riches, de moins en moins nombreux, s'accapareraient toutes les richesses, laissant les plus pauvres en proie à une famine mortelle. La disparition des travailleurs mènerait peu à peu à celle des élites, privées de main d’œuvre. Le second scénario repose sur une trop grande exploitation des ressources qui entraînerait là encore la disparition des plus pauvres d’abord, puis celle des plus riches.
Pour éviter ces scénarios catastrophes, l'étude souligne l'importance de réduire les inégalités économiques et la consommation de ressources non renouvelables. En 2015, une autre étude menée par l’université britannique Anglia Ruskin estimait qu’il restait seulement 25 ans à vivre à notre civilisation, en raison de pénuries alimentaires catastrophiques qui surviendraient si rien n’était fait pour changer la donne.
Concepcion Alvarez, @conce1
La Coredem cultive l’information partagée en tant que catalyseur d’initiatives, de réflexions critiques pour porter et élever des propositions au sein d’un large panel d’associations, de syndicats, de médias indépendants et d’instituts de recherche. Pour la Coredem, il importe de favoriser des liens privilégiés entre ces acteurs.
Lancé en mai 2009 à l’initiative de Ritimo et de la FPH (Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme), la Communauté des sites ressources pour une démocratie mondiale, la (Coredem) rassemble des organisations qui ont décidé de se fédérer, de mutualiser leurs informations et analyses et de faciliter l’accès à leurs ressources documentaires respectives.
Elles sont rassemblées par les constats communs :
- L’information est un bien commun ce qui, dans la tradition des logiciels libres, se traduit dans les concepts d’émancipation et de partage de la connaissance ;
- L’information est un bien stratégique qui se multiplie en se partageant ;
- Les techniques actuelles de l’information et de la communication multiplient l’accès aux connaissances ;
- Le partage des savoirs, l’échange d’expériences nées de l’action, la sélection d’informations pertinentes pour un changement social, tout ceci fait partie sont parties intégrantes des conditions de la démocratie.
Espace ouvert et multiple de partage des savoirs et de pratiques par et pour les acteurs de changement, ouvert aux organisations, réseaux, mouvements et médias qui font de leurs expériences, de leurs propositions et de leurs analyses, des outils libres au service de sociétés solidaires, durables et responsables.
+vidéo de présentation de Suzanne Humberset de RITIMO
Vous souhaitez vous faire un avis sur un débat donné ? Vous cherchez à connaître les différentes positions d'un débat sans passer des heures à rechercher des arguments éparpillés sur la toile ? Wikidébats sert justement à ce but.
Wikidébats est une encyclopédie de débats, c'est-à-dire de pages qui synthétisent les arguments « pour » et « contre » qui existent sur un sujet donné.
Alors que ces arguments se trouvent disséminés sur internet, dans les livres, dans les discours, Wikidébats permet justement de les rassembler.
Wikidébats est une ressource au service de la pensée critique, qui permet à chacun de se forger des opinions éclairées et rationnellement fondées.
Projet géré par l'association Le Laboratoire du débat méthodique.
servir à l'élaboration d'opinions éclairées et rationnellement fondées
contribue par là à former des citoyens éclairés
instrument d'accompagnement de débats de tout type
6 principes de base : synthèse, impartialité, vérité, impersonnalité, savoir-vivre et liberté du contenu.
En cas de litige, toute personne est apte à faire une réclamation auprès du Comité de veille éthique de l’association (défini à l’article 13 des statuts).
Le Laboratoire du débat méthodique est une association qui cherche à concevoir et expérimenter des méthodes de débats tendant à être neutres, exhaustifs, structurés, clairs et centrés sur des arguments.
Accompagnement de porteurs de projets et sensibilisation des habitants du territoire aux démarches de l’association dans des valeurs de respect de l’environnement naturel et humain.
...
la Marmite, une association créée en 2008 qui a accompagné ce foisonnement de projets avec un parcours d’installation intitulé « De l’idée au projet ». Elle fait aussi office de réseau social en diffusant les principales annonces du territoire (offres d’emplois, chantiers collectifs, événements, petites annonces) et en mettant en contact porteurs de projet et tuteurs. Tous les projets ne viennent pas de la Marmite, mais les principaux ont mijoté quelques mois dans son chaudron. Sham, un ancien coprésident de la Marmite et fondateur d’Échopaille, rappelle que l’association a été créée par des porteurs de projet pour des porteurs de projet, où chaque personne ayant reçu de l’aide aidera à son tour un porteur de projet à s’installer, créant ainsi une jolie chaîne d’entraide infinie.
...
Association la Marmite
Village de Bobéhec
56250 la Vraie-Croix
Tél : 02 97 67 28 06
Contact pour l’asso : Johanna Sakayo, Lili Courbon, Anne-Hélène Riou
Mel lamarmite.asso((a))yahoo.fr
~Vannes, Bretagne
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ndlr : carto google maps ! Leur proposer de passer à osm ? ACT