LEROUX & LOTZ TECHNOLOGIES
Leader dans le domaine des chaudières biomasse et Waste to Energy. Leroux & Lotz Technologies (LLT) conçoit, réalise et met en service des solutions globales de production d’énergie de 1 à 150 MWth, adaptées à tous types de combustibles. Notre offre s’adresse aux installations neuves ainsi qu’au retrofit des installations existantes.
LEROUX & LOTZ INDUSTRY
Leroux & Lotz Industry (LLI) développe des usines modulaires dans le domaine de la production des huiles et des graisses, la régénération des huiles usagées ainsi que des équipements spéciaux pour les marché oil & gas, énergies marines renouvelables et nucléaire.
NOS MÉTIERS
HEAT & POWER
UNITÉS DE VALORISATION ÉNERGÉTIQUE
CENTRALE BIOMASSE
COMBUSTIBLES COMPLEXES
INDUSTRY
USINES MODULAIRES
MACHINES SPÉCIALES
NUCLÉAIRE
nos propres ateliers de production, à Nantes et en Pologne
Depuis 1946
Groupe Altawest
Société par Actions Simplifiée au capital de 2 538 291 euros, dont le siège sociale est située au 10, rue des Usines 44100 Nantes – France.
410 353 437 RCS Nantes
TVA intracommunautaire : FR 52410353437
Représentant légal : Leroux & Lotz Technologies
Pour toute question, vous pouvez nous contacter à l’adresse postale ci-dessus ou par mail : communication@lltcom.com
Le site Internet est développé et hébergé par Digital Expression, agence de communication web située au 5 rue de Charonne 75011 Paris
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Speaker : Marie Guillaumet
Comment la typographie web peut-elle améliorer l’accessibilité d’une interface ? Puisque le contenu est roi, penchons-nous sur le design du texte à l’écran, et sur sa capacité à améliorer l’expérience utilisateur des personnes en situation de handicap visuel et/ou cognitif.
Taille, couleur, espacement et alignement des caractères ; longueurs des lignes ; polices de caractères adaptées ; personnalisation de l’interface par les utilisateurs ; aides à la lecture… Cette conférence vous permettra de faire des choix typographiques éclairés en matière d’accessibilité, et de créer ainsi des interfaces plus accessibles et plus inclusives.
La typographie étant une composante majeure du design graphique, cette présentation s’adresse en premier lieu aux designers UI. Mais la problématique de la typographie accessible concerne également les designers UX, les intégratrices et intégrateurs web, ainsi que toute personne amenée à contribuer à un projet web et s’intéressant au sujet.
Catégorie
Organisations à but non lucratif
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ndlr :
- connue / https://twitter.com/access42net/status/1057557791114715136
"
Jean-Pierre Villain a retweeté
Access42
@access42net
8 hil y a 8 heures
🆘 Vous avez manqué le @devfestnantes et l'intervention passionnante de @kReEsTaL sur la typographie et l'accessibilité ?
📽 Pas de panique, la vidéo est désormais en ligne : https://youtu.be/iWNIxGQtg2k
Bon visionnage !
.#a11y #accessibilité #handicap #design #UXUI #inclusivedesign
0 réponse 6 Retweets 2 j'aime
"
Chargé de développement à l’association PiNG, Nantes
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Pourquoi est-ce nécessaire de s’approprier les technologies ?
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Notre vision du monde passe de plus en plus par le prisme du numérique, notre monde se transforme petit à petit en données binaires avec lesquelles nous sommes invités à interagir.
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La théorie de l’information de Claude Shannon [1]
[1] http://centenaire-shannon.cnrs.fr/
met en avant la « discrétisation » du vivant, une forme de simplification par la transformation de l’analogique en tranches de 0 et de 1, qui induit une transformation de notre paysage intellectuel et imaginaire. La suprématie d’une vision scientiste [2]
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Scientisme
, la représentation du monde à travers la science et la technique ainsi que l’efficacité de la preuve par l’expérience et la technique (en) « marche » s’imposent comme vision du monde au détriment d’une approche sensible et plus proche du fonctionnement de la nature. D’un point de vue logique, la question de la possibilité de s’approprier les techniques est première par rapport à celle de la nécessité. Il faut de la médiation. Ainsi la technique sans médiation n’est qu’un aspect du grand « bluff technologique [3]
[3] Charbonneau B., Ellul J., 1999, « Directives pour un...
», une sorte de culture technique industrielle-consumériste-marketing qui formate les usages et peut (doit) être combattue par une culture technique critique.
...
À qui profitent les lieux de… « médiation » ?
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Dans quelle mesure, à travers les lieux de médiation, sommes-nous des agents de promotion de ces objets techniques et méthodes ? De façon presque involontaire, nous sommes des facteurs de validation de ces progrès techniques, et ce malgré une posture critique. À travers les arts numériques notamment, nous sommes amenés à utiliser les « dernières technologies » et à en faire ainsi la promotion.
Nous sommes également parfois, contre notre volonté, complètement parties prenantes dans « l’écosystème » créatif et innovant : les labs (fablab, medialab, hacklab, etc.) comme avant-garde de l’innovation (avec, par exemple, la récupération des hackatons [5]
[5] Marathons informatiques pratiqués par des développeurs...
par les démarches entrepreneuriales), nous sommes parfois défricheurs de futurs terrains fertiles mais dont les légumes et les fruits seront récoltés par des start-up à la pointe de l’intégration capitaliste de ces dynamiques créatives et de partage.
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L’association PiNG
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Nous défendons, au-delà de l’usage des logiciels libres, une culture libre pour des raisons éthiques et pratiques et pour concilier le fond à la forme : si nous voulons ouvrir le capot des technologies (logiciel), encore faut-il avoir accès au moteur (code source). Cette démarche à présent appliquée au matériel électronique ou au design d’objet croise des problématiques politiques et économiques fortes (propriété industrielle, brevets, corps, etc.).
...
Les lieux de médiation sont donc des lieux de tension, de conflit entre des injonctions à l’innovation industrielle et des appels à un mouvement d’une culture critique. Ces lieux ne peuvent éviter (même placés sous le signe de la culture libre) d’être intégrés, à un degré ou à un autre, à l’économie de l’attention [6]
[6] Citton Y., 2014, Pour une écologie de l’attention,...
. Dans le modèle du double-sided market (ou marché à double face, façon Google), ils figurent sur le premier côté, parmi toutes sortes de têtes de gondole. Le conflit des attentions croise et renforce le conflit des cultures techniques.
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Cela ne signifie pas que les lieux de médiation soient condamnés à être instrumentalisés. Le seul fait d’ouvrir la question de la culture technique constitue un début de résistance (voire de sagesse).
Comment et où produire des éléments de médiation vecteurs de transformation sociale ?
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Tout en prenant en compte les éléments évoqués précédemment, il convient de faire œuvre de médiation pour aussi tenter de développer un esprit critique et distancié face à ces évolutions sociétales technologiques.
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Si l’on ne veut pas connaître le même échec que la décentralisation culturelle (fonds régionaux d’art contemporain [FRAC], scènes nationales dont le public s’est finalement cantonné à quelques catégories socioprofessionnelles, etc.), il convient de renouveler, de réinventer nos modes d’intervention, d’animation et de médiation.
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Pour cela, il est nécessaire d’appréhender au plus près les évolutions des pratiques, notamment chez les jeunes, afin de situer un point de départ pertinent pour cet échange de connaissances, de savoirs, de savoir-faire et de savoir penser. Le principe du « lieu de médiation » pose question : le « lieu » constitue une base arrière, socle au développement structurel d’un projet afin, notamment, de développer des formes d’intervention salariées ou bénévoles et d’assurer ainsi une certaine stabilité au projet. Néanmoins, il constitue également un facteur de conservatisme : une certaine inertie face à de potentielles évolutions dans les modes d’intervention, au cœur des « formes de vie [7]
[7] Agamben G., [1993] 2002, « Forme-de-vie », Moyens sans...
».
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Il pourrait s’agir d’articuler des modes d’intervention « hors les murs » et « dans les appareils » des gens à partir de cette base, d’un lieu physique, et donc de penser cette action de médiation pour développer le sens critique, le libre arbitre, l’autonomie face aux technologies, au plus près des usagers. Il pourrait s’agir de « s’intercaler » dans la vie numérique des gens afin de se donner plus de sens et de distance : on peut ainsi imaginer des moyens d’intervention mobiles qui se déplacent sur un territoire au gré des besoins. Il pourrait également s’agir de développer des applications qui contribuent à ces souhaits et qui s’intercalent dans le processus informationnel quotidien afin de mieux le gérer, voire le contrôler.
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En considérant le stade d’avancée de « l’économie de l’attention [8]
[8] Citton Y., 2014, op cit.
», il faut réussir à détourner, à capter une partie de cette attention pour créer des zones d’échange et de médiation. Pour ce faire, des démarches ludiques peuvent être déployées tout en tentant d’esquiver les travers de la « gamification » de nos existences, c’est-à-dire l’usage excessif de dispositifs propres aux jeux vidéo pour jouer avec nos quotidiens. Le hack, le canular, l’humour peuvent également être des leviers pour grignoter des bribes d’attention et opérer parfois des changements d’échelle.
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La palette des outils au service de la médiation critique vis-à-vis du numérique peut et doit donc s’étendre et se diversifier pour atteindre ses objectifs dans un monde qui glisse pour l’instant de façon inexorable vers une emprise hégémonique de ces entités numériques sur nos quotidiens.
Comment objectiver nos limites ?
...lister sous forme d’items les points à mettre en relation.
dehors/dedans - prévisible/désiré - transparence/alternative - économie/emploi - éducation/populaire - transmission/savoirs - institution/autonomie - Il s’agit de « s’auto-instituer [9] [9] Castoriadis C., 2003, « L’imaginaire radical », Revue... » - subjectif/objectif - limites/pluralité : si tout a lieu, il y a un point où nos démarches s’arrêtent. Nos limites sont, ici, plurielles : limite de territoire, limite d’échelle, limite d’action. Quelle alliance privilégier pour dépasser une fonction d’éclaireur ? Profiter d’une forme d’organisation prônant une pluralité radicale.
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conclusion
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se référer aux nombreux écrits sur « l’associationnisme » de Jean-Louis Laville qui décrit parfaitement cette irruption asynchrone, ces formes d’économie et de pratiques populaires.
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Cette recherche inductive, qui dessine des réponses à partir d’expériences vécues comme un pendule entre émancipation et transformation sociale, produit des connaissances situées, durables et soutenables, imagine une citoyenneté sociale dans un environnement numérique.
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