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Cette technologie peut authentifier les textes véridiques
Le numérique a passablement ébranlé le milieu journalistique. Déjà, il a fallu revoir les façons de faire avec, entre autres, les revenus puisque les internautes préféraient l’information gratuite. Certains ont donc opté pour plus de publicités, d’autres pour un nombre limité d’articles accessibles gratuitement par mois. En plus de ces gros changements arrive désormais la menace de fausses nouvelles. En effet, sur les réseaux sociaux pullulent des médias alternatifs qui prétendent dire la vérité tout en livrant une vision biaisée du monde. Des informations et montages que les gens partagent ensuite en masse.
Références
Kunova, Marcela. « Blockchain Tech Has the Power to Fight Censorship ? but It Can Help Fake News Stay Forever. » Journalism.co.uk. Dernière mise à jour : 20 août 2018.
https://www.journalism.co.uk/news/blockchain-tech-has-the-power-to-fight-censorship-but-it-can-help-fake-news-stay-forever/s2/a726431/.
« La Blockchain, Un Remède Aux Fake News ? » Comarketing-News. Dernière mise à jour : 13 juin 2018.
https://comarketing-news.fr/la-blockchain-un-remede-aux-fake-news/.
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Scherer, Éric. « La Blockchain Sauvera-t-elle Journalisme et Médias D’information ? » Meta-media. Dernière mise à jour : 17 septembre 2018.
https://www.meta-media.fr/2018/09/16/la-blockchain-sauvera-t-elle-journalisme-et-medias-dinformation.html.
Clés : Authenticité Authentification Blockchain fausses nouvelles Journalisme - Reportage Journaliste Médias - Communication Médias de masse - Télévision - Radio Réseaux sociaux Technologies
Les hauts dominants n’ont pas eu aussi peur depuis 1968.
L’heure est historique, tout semble possible, à portée de main.
Qu’est-ce qui manque? Des objectifs clairs et partagés.
Le Référendum d’Initiative Citoyenne est un excellant objectif, mais l’obtenir suppose que le sommet de la pyramide y consente, cet espoir est illusoire. Nous n’instituerons le RIC que si nous rebattons entièrement les cartes, en écrivant nous-mêmes, en pleine lumière, une nouvelle constitution. C’est tout à fait à notre portée vu l’ampleur de l’insurrection, à condition d’organiser un solide RÉSEAU d'Assemblées locales autogérées.
Manifester ne suffit pas, arrêtons de demander à être "entendu", nous n’obtiendrons la justice sociale que si nous la mettrons en œuvre nous-mêmes. Pour que la pyramide s’effondre il faut lui tourner le dos, lui dénier toute légitimité.
Pacifique ou non, toute révolution nécessite une mobilisation massive, sans laquelle rien n’est possible. Mais il ne suffit pas de faire tomber le régime, il faut savoir par quoi le remplacer, avoir une idée claire de la façon dont nous comptons défaire l’oligarchie et empêcher qu’elle se reconstitue ensuite. Nous savons depuis 1789 que la tyrannie sait changer de forme pour se maintenir.
Selon moi voici la liste, ci-dessous, de nos objectifs :
- Sortir de l’oligarchie pour parvenir enfin à la démocratie (encore jamais réalisée) ce qui suppose d’écrire de nouvelles règles du jeu, selon un processus constituant horizontal, incluant et transparent. Placer la DÉCENTRALISATION du pays au cœur du processus constituant.
- Limiter les écarts de richesses et de revenus, interdire les accumulations excessives, abolir le Monopoly, partager équitablement les richesses pour améliorer les conditions d’existence de chacun.
- Développer les services publiques (hôpitaux, écoles…) en augmentant massivement leurs budgets pour recruter et augmenter notamment les salaires des profs, des infirmières et autres "personnels de santé". Cet objectif nécessite de sortir du cercle vicieux de la dette artificielle, donc de RÉVOLUTIONNER LES MÉCANISMES DE CRÉATION MONÉTAIRE en retirant aux banques le pouvoir de créer l’argent, définanciariser l’économie.
- Abandonner le dogme de la croissance, qui n’est nécessaire que pour alimenter le cercle vicieux de l’argent-dette. Mettre en oeuvre une décroissance sélective pour faire atterrir en douceur notre système fou et destructeur.
- Cesser nos pollutions (de l’eau, de l’air, des sols et des corps) et renoncer à la logique "extractiviste" pour ne plus saccager les écosystèmes ni gaspiller les ressources planétaires. Réorganiser l'économie pour la rendre circulaire en recyclant systématiquement toutes les matériaux déjà extraits, s’interdire tout nouveau prélèvement, toute nouvelle destruction, renoncer aux grands projets inutiles. Dépolluer tout ce qui doit l’être, lancer une "économie de la dépollution".
- Changer progressivement les règles de la propriété : abolir les loyers?
- A long terme, envisager la sortie du salariat, cet esclavage moderne.
- A très long terme, philosophiquement, viser l’abolition de l’argent et la GRATUITÉ.
Pour l’heure, la priorité est à mon avis de créer une chaîne de télévision (d’abord sur le web) dédiée au processus constituant, cette chaîne servira à fédérer toutes les Assemblées locales (régionales, municipales…) qui sont en train de naître. La gestion transparente et démocratique de cette chaîne est la condition primordiale de son utilité, car l’audiovisuel est aujourd’hui LE pouvoir, très convoité et donc très disputé.
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...Russia Today France, où j'étais invité hier soir par Frédéric Taddei, en compagnie d'Emmanuel Todd, à parler des Gilets jaunes. D'après mes informations exclusives, j'ai dû combler au dernier moment le trou creusé par le désistement du philosophe Alain Badiou, sollicité par Taddei pour faire "l'anti Gilets jaunes", et dont l'argumentaire n'était, semble-t-il, pas encore au point.
Le quartier général du soft-power russe occupe la moitié du premier étage d'un bâtiment de bureaux du Front de Seine, à Boulogne-Billancourt, à quelques dizaines de mètres de la tour de TF1. L'autre moitié du premier étage est occupée par un autre mal-aimé des Français, le téléphoniste chinois Huawei (cette alliance géopolitique n'a pas été assez soulignée), l'ensemble donnant l'impression d'une datcha mélancolique pour parias, noyant leur relégation dans une débauche de marbres, et d'open spaces surdimensionnés.
...
sensationnalisme des images tournées par RT France, sensationnalisme dont nous avons souvent analysé ici les finalités. J'en suis sorti avec la ferme résolution de ne plus jamais accepter d'invitation pour parler d'autre chose que de journalisme et de médias, seuls sujets sur lesquels je suis vaguement compétent. Décidément, ma transformation en toutologue sera pour une autre vie.
Le plus intéressant de l'émission s'est situé à la fin. Taddei m'ayant (enfin !) branché sur les médias, je suis parti dans une courte envolée (à partir de 51' 50") sur notre sort commun de rejetés des médias d'Etat français, où transpirait la nostalgie de l'époque où il pouvait encore me recevoir au coeur de ce système, sur France 2 et France 3 (il était d'ailleurs le seul à m'inviter). Et alors Taddei, très corporate : ""et pourtant, ça se passe aussi bien ici !""
Comment dire, Frédéric ? Non, ça ne se passe pas ""aussi bien"". Ca s'est très bien passé hier soir, ta jeune équipe est très sympathique, on peut dire tout ce qu'on veut sur ton plateau, comme naguère, comme chez nous, mais tout ce qui peut se dire sur ton plateau, sera une fois pour toutes marqué du "tampon Poutine" disqualifiant. Cette mécanique de la disqualification d'emblée m'a rappelé mes recherches sur la presse de l'année 1938 (toutes les vidéos sont ici) ou pour mon livre, Berlin, 1933. En plongeant dans le traitement du nazisme par la presse grand public de l'époque, j'ai immanquablement découvert, à ma grande surprise, que les seules analyses sur l'hitlérisme finalement validées par l'Histoire, les seules à appeler par son nom la barbarie hitlérienne, en 33 comme en 38, étaient celles de "L'Humanité".
ARTE
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La ministre de la Culture Françoise Nyssen confirme vouloir appliquer une redevance TV pour les autres écrans capables de recevoir la télévision, comme les smartphones et les ordinateurs. La réforme doit être débattue 2019 et appliquée en 2020.
En déplacement au Festival de la fiction audiovisuelle de La Rochelle, qui se tient du 12 au 16 septembre, la ministre de la Culture et de la Communication est brièvement revenue sur la réforme de la contribution à l’audiovisuel public. À cette occasion, une petite phrase glissée par Françoise Nyssen a donné une indication de la nature de la remise à plat à laquelle le gouvernement entend procéder.
La ministre a en effet déclaré que « la redevance TV doit être déconnectée de la détention d’un téléviseur en 2020 », ouvrant la voie à une réforme consistant à élargir l’assiette de la contribution à l’ensemble des dispositifs pouvant recevoir la télévision (les ordinateurs, les smartphones, les tablettes, etc.). C’est un enjeu « de rendement et d’équité », qu’il faut aborder « sans tabou ».
Dans les mois qui ont suivi l’élection d’Emmanuel Macron, Françoise Nyssen avait déjà fait savoir son intention de rouvrir le dossier de la redevance TV, expliquant que les « usages ont changé » et qu’il faut désormais en tenir compte pour financer France Télévisions, Radio France, Arte, France Médias Monde (France 24, RFI, Monte Carlo Doualiya), TV5 Monde et l’Institut national de l’audiovisuel.
Peu avant l’été, la ministre a néanmoins précisé que la réforme n’arriverait pas avant 2019. L’objectif est qu’elle soit adoptée à travers le projet de lois de finances pour 2020, qui sera présenté l’an prochain et voté dans la foulée. Il reste désormais à voir si ce dossier ira jusqu’à son terme : tous les ministres avant elle se sont emparés du sujet sans toutefois aboutir à quoi que soit.
Dans le dispositif actuel, la contribution des téléspectateurs s’élève à 139 euros par an en métropole et 89 euros en outre-mer. L’audiovisuel public peut aussi compter sur la taxe TOCE — celle-ci servant à financer la suppression de la publicité sur France Télévisions. La taxe s’applique une seule fois par foyer : elle ne dépend pas du nombre de téléviseurs dans le domicile et les éventuelles autres résidences.
Crédit photo de la une : Mathieu Delmestre
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Clés : France Télévisions Redevance Service public Téléviseur Télévision
ndlr :
- après avoir relevé le pouvoir d'achat des français modestes, cela aurait en effet du sens car la redevance fr est trop faible pour avoir des programmes de qualité et /autres pays, et cela serait équitable que tous les terminaux soient maintenant traités à égalité.
Google, Apple, Facebook, les nouveaux maîtres du monde
diffusé le jeu. 01.11.18 à 21h10
de : Yannick Adam de Villiers
société | 112min | 2018 | tous publics
Ils s'appellent Bill Gates, Mark Zuckerberg, Sergey Brin ou encore Larry Page : ces Américains, dont certains n'ont pas encore 40 ans, comptent parmi les hommes les plus riches et les plus puissants de la planète. Leur point commun ? Ils ont créé le monde d'aujourd'hui grâce à une révolution technologique sans précédent : Internet et les réseaux sociaux. Anciens ados visionnaires devenus les dirigeants des plus grandes entreprises du secteur – Google, Facebook, Apple, Microsoft –, ils possèdent aujourd'hui un pouvoir d'un genre nouveau. Celui de contrôler les communications de toute la planète et de stocker les informations privées de tout un chacun. Un pouvoir très convoité, qui a pu les entraîner parfois dans des liaisons dangereuses avec les services secrets ou les gouvernements, notamment américains.
Logiciel gratuit, mais pas libre. Nécessite Microsoft Windows avec Microsoft .NET Framework 4. Peut également fonctionner sous Linux et Mac OS X.
Principe de fonctionnement et aspect juridique du logiciel.
Captvty interroge les sites Web des chaînes et propose une liste des vidéos qui sont en libre accès sur ces sites, exactement comme le feraient Edge, Internet Explorer, Firefox, Chrome, Safari, Opera ou n’importe quel autre navigateur. Lorsque l’utilisateur exécute le programme sur son ordinateur et choisit de visionner ou de télécharger une vidéo, l’utilisateur se connecte par l’intermédiaire du programme au site de la chaîne sélectionnée et télécharge le fichier correspondant sur son ordinateur, en suivant simplement le lien d’accès à la vidéo proposé par ledit site.
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Comment faire pour utiliser Captvty sous Linux ?
Captvty a été conçu avec Microsoft .NET Framework, ce qui est incompatible avec Linux. Néanmoins, une solution, bien qu’expérimentale, reposant sur Wine 2.0.2, permet de contourner ce problème. La procédure suivante a été réalisée en février 2018 avec Ubuntu 17.10.1 (disponible sur le miroir OVH).