Au moins 9,6 millions de personnes concernées. Le tritium est le principal produit radioactif rejeté dans l’environnement par l’industrie nucléaire.
Dès les années 1990, la Commission de Recherche et d'Information Independantes sur la Radioactivite révélait la contamination d’eaux potables autour des sites nucléaires de Marcoule (Gard) et Valduc (Côte d’Or).
Sa recherche devenue obligatoire depuis 2005, la CRIIRAD a décidé de mettre elle-même à disposition du public, sur la page www.criirad.org/tritium, les résultats qu’elle a extraits des bases de données officielles.
Détecté dans 2 392 communes entre dont Paris, Créteil, Versailles…, le tritium est surtout mesuré dans des agglomérations situées à proximité des cours d’eau dans lesquels les centrales nucléaires rejettent des effluents radioactifs.
Connu / TG le 10/12/24 à 15:29
L'ACRO, l'association pour le contrôle de la radioactivité dans l'ouest milite pour plus de transparence ...
Connu / TG le 22/10/24 à 10:49
Rejet des eaux radioactives de Fukushima : La CRIIRAD nous révèle les conclusions de son étude - 12 avr. 2024 / François Thiollet
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La délégation française du groupe des Verts/ALE au Parlement européen a sollicité la CRIIRAD pour effectuer effectuer une analyse critique sommaire du rejet des eaux radioactives de la centrale de Fukushima Daiichi, afin de répondre de manière synthétique à un certain nombre de questions régulièrement posées, et apporter clarification et mise en perspective.
Le 11 mars 2011, un séisme, puis un tsunami ont provoqué l’une des plus grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, entraînant la fusion de trois des six réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima Daiichi au Japon. 12 ans plus tard, le déversement des eaux de la centrale dans le Pacifique pose de nombreuses interrogations.
Pourquoi faut-il tant d’eau pour Fukushima ? Quels sont les éléments radioactifs rejetés par la centrale dans le Pacifique ? Quels en sont les impacts sur la biodiversité marine ? Quels sont les risques de la banalisation des pollutions radioactives des eaux, à Fukushima et ailleurs, en France notamment ? Tant de questions auxquelles tente de répondre cette étude.
Retrouvez l'étude dans son intégralité sur le site https://europeecologie.eu/etude-fukushima-eaux-radioactives
Plus d'infos sur le travail de la CRIIRAD sur leur site https://www.criirad.org
Retrouvez toute notre actualité sur nos sites internet
Tr.: françois ... Bruno ... Caroline ... 10 000 milliards de beckerels rejetés à La Hague ... iode 129, période de 7 millions d'années ... baisser les rejets ... augmeter la capacité de stockage des réservoirs pour diminuer la quantité de tritium rejeté ... du tritium dans l'eau du robinet en aval des centrales ... /changement climatique 2000 Mw de chaleur perdues ... 11% consommé par les centrales en france ... ex. Rhône, Loire ...
Douze ans après l’accident nucléaire de Fukushima, le Japon s'apprête à rejeter des millions de litres d'eau contaminée dans l'océan
Techniquement, tout est prêt, selon l’exploitant Tepco. L’Agence Internationale de l’Énergie atomique vient aussi d’assurer ...
Connu / TG le 27/07/23 à 16:23
Rejeter du tritium dans l’environnement, est-ce un problème ?
Sonia Marmottant Le tritium est l’élément radioactif le plus rejeté en fonctionnement
Connu / TG le 22/03/23 à 10:25
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résumé succin expliquant les méfaits du tritium, tiré du Livre Blanc du tritium.
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Podcast-fiction en 5 épisodes !
Le pitch ? Un accident se déclare dans l’une des plus vieilles centrales françaises, le Douvrey, près de Lyon. Julia Roch-Rivière, directrice de la centrale, va tout tenter pour protéger la population du nuage radioactif.
Connu / TG le 04/02/23 à 11:07
Tweet de Nucléaire-Sortie ACRO @ACRO · 7h
Les 310 Bq/l de #Tritium dans la Loire mesurés dans la Loire par l'@ACRO
à Saumur, en aval de Chinon, ont entraîné plusieurs notes de l'ASN et de l’IRSN, et une étude à 650 k€. Pensée émue pour les trolls qui avaient comparé ce niveau à des bananes!
acro.eu.org
Tritium dans la Loire : résultats de l'étude de l'IRSN à Saumur, en aval de Chinon - ACRO -...
L’IRSN a publié le rapport de son étude de la dispersion du tritium dans la Loire en aval de la centrale nucléaire de Chinon (lien direct). Voici les commentaires de l’ACRO publiés en annexe du...
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Rousselet Yannick a retweeté ACRO @ACRO · 28 déc.
#Nucléaire : nos centrales rejettent-elles trop de #tritium ? L'usine #Orano de #LaHague rejette en un mois l'équivalent des cuves de #Fukushima et les centrales françaises en rejettent plus dans les fleuves que les centrales japonaises dans l'océan.
lexpress.fr
Nucléaire : nos centrales rejettent-elles trop de tritium ?
Ce résidu de fusion reste peu radiotoxique. Mais les normes de rejet dans les cours d'eau sont plus permissives en France qu'au Japon.
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Une énorme quantité de tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène, a été mesurée dans les eaux souterraines de l’unité de production d’électricité. EDF et l’autorité de sûreté assurent que la fuite est circonscrite. Mais les liquides contaminés de cette centrale, l’une des plus vieilles de France, se retrouvent inévitablement dans l’environnement.
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L’activité mesurée en décembre sous l’installation du Tricastin est donc au moins quatorze mille fois au-dessus du niveau normal. C’est exceptionnel. Et c’est d’autant plus impressionnant que la demi-vie du tritium est de 12,5 ans, durée nécessaire à cet élément pour perdre la moitié de sa radioactivité. Au bout de cette période, les 28 500 Bq/L deviennent 14 250 Bq/L, puis 7 125 Bq/L au bout de vingt-cinq ans, etc. Il faudra donc 175 ans pour que la radioactivité mesurée dans la fuite retrouve un niveau d’activité « naturel ».
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?i8rC9A
Temps de lecture : 2 min - 4 commentaires | Vu 21263 fois - Clés : Environnement Drôme
Une fuite de tritium a été détectée à la centrale nucléaire du Tricastin. EDF l’a révélée ce mardi 21 décembre après avoir déclaré quelques jours plus tôt, le 15 décembre, à l’autorité de sûreté nucléaire un « événement significatif pour l’environnement ».
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« 900 litres d’effluents », dont du tritium, ont fui pour se retrouver dans « une zone de collecte des eaux fluviales », avant d’atteindre, plusieurs jours plus tard, « les eaux souterraines de la nappe géotechnique interne ».
Des contrôles « quotidiens » ont indiqué qu’un pic de « l’activité en tritium » a atteint, le 12 décembre, pas moins de 28 900 becquerels par litre, unité qui mesure la radioactivité, en sachant que l’organisation mondiale de la santé fixe le seuil critique à 10 000 Bq/l lorsque du tritium se retrouve dans de l’eau potable, ce qui n’est pas le cas ici
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Ce n’est pas la première fois qu’une fuite de tritium est observée à la centrale du Tricastin. Cela avait été notamment le cas en novembre 2019, suite à une fuite sur la tuyauterie d’un réservoir d’effluents, mais aussi en juillet 2013.
Connu / https://twitter.com/RogerSpautz/status/1473364327444975624
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Tweet de Nucléaire-Sortie RogerSpautz @RogerSpautz · 21 déc.
A #Tricastin tout va bien. 40 ans ca suffit! - 1 - 15 - 14
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Durée de lecture : 8 minutes Clés : Nucléaire Culture et idées Catastrophes nucléaires
Incendies, inondations, sécheresses à répétition. Malgré un monde instable dû au chaos climatique, l’État mise tout sur le nucléaire. Pas de panique, grâce à un « guide pratique pour les habitants d’un territoire contaminé », on surmontera en douceur tout accident. Une politique glaçante, estime notre chroniqueuse Celia Izoard.
Celia Izoard, journaliste et membre de la revue Z, a fait des études de philosophie et traduit des ouvrages critiques de la technologie moderne, dont 1984, de George Orwell (janvier 2021). Elle est aussi chroniqueuse pour Reporterre.
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Les canicules mettent en danger la possibilité même de contrôler ces installations dont une partie des équipements, notamment électriques et électroniques, ne doivent pas être soumis à une température de plus de 50 °C [2] : locaux des diesels de secours, locaux des pompes de traitement et de réfrigération des piscines abritant les combustibles irradiés [3]. C’est la raison pour laquelle on a dû arroser en urgence les murs de la centrale de Fessenheim au jet pendant l’été 2003. Enfin, plus de 1,6 millions de m3 de déchets radioactifs sont stockés en surface un peu partout sur les sites nucléaires du pays [4]. L’Agence de sûreté nucléaire (ASN) constate déjà que les opérateurs n’arrivent pas en temps normal à éviter qu’ils ne contaminent les milieux [5]. Qu’en sera-t-il en cas d’incendies ou d’inondations ?
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Par sa manière de démontrer qu’une catastrophe nucléaire n’est pas un drame, que tout est supportable « à condition de », ce manuel est glaçant
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Leur monde devient notre monde et l’impensable, notre vie quotidienne.
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Notes
[1] Depuis les canicules de 2003 et 2006, l’ASN autorise des rejets thermiques exceptionnels « si la sécurité du réseau électrique est en jeu ». Cf. Rapport de l’ASN sur l’état de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France en 2020, 2021, p. 302.
[2] « Pour éviter la surchauffe, EDF arrose un réacteur nucléaire en Alsace », AFP, 03/08/2003.
[3] L’Institut de radioprotection de sûreté nucléaire s’inquiète que « de nombreux matériels importants pour la sûreté présentent de faibles marges entre leur température maximale admissible et la température calculée dans les locaux qui les abritent », Avis n°2020-00010.
[4] Andra, Les Essentiels de l’Inventaire national des matières et déchets radioactifs, 2020, p. 14.
[5] Sur la gestion par Orano des déchets de la Hague, lire le Rapport de l’ASN sur l’état de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France en 2020, 2021, p. 302. À Cadarache, « des contaminations ont été mesurées dans le sol et les eaux souterraines » du fait de 28 000 m3 de déchets entreposés (CLI, n°43, mai-juin 2013).
Rousselet Yannick a retweeté
ACRO @ACRO · 6h
Les rejets radioactifs en mer d'#Orano #LaHague sont les plus forts d'Europe. L'@ACRO
les détecte jusqu'au Danemark. Ils auraient dû être fortement réduits en 2020, selon les engagements d'#OSPAR. Ce sera 2050, en toute discrétion.
acro.eu.org
La convention OSPAR pour la protection de l’Atlantique du Nord-Est reporte discrètement de 2020 à...
Suite à la réunion de Cascais de la convention OSPAR pour la protection de l’Atlantique du Nord-Est, qui s’est tenue le 1er octobre dernier, les ministres participant ont discrètement repoussé à 2050...
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Trente-cinq ans après l’accident nucléaire en Ukraine, des experts ont détecté un regain de radioactivité au cœur de la centrale en ruines de Tchernobyl. Ils s’y attendaient. On décrypte ce phénomène.
Clés : Nucléaire Monde Europe Environnement Énergie Ukraine
La nouvelle arche de confinement terminée en 2019 a rendu l’ancien sarcophage plus étanche. Les infiltrations d’eau, qui posaient problème ailleurs dans la centrale, manqueraient au corium. Il s’assèche et monte en température. En fusion, il peut percer le béton et engendrer une explosion.
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Faut-il s’alarmer ?
La situation est "préoccupante, mais pas alarmante", selon la plupart des observateurs. "Le phénomène est lent", indique le chercheur ukrainien Maxim Saveliev.
Cela laisse du temps pour trouver des solutions techniques afin de réduire la menace, comme l’injection de bore, une substance chimique qui absorbe les neutrons. Encore faut-il réussir à atteindre cette salle, jusqu’ici inaccessible. Tchernobyl est "un problème stabilisé, pas un problème résolu", rappelle le professeur Neil Hyatt, un expert nucléaire de l’Université de Sheffield.
Connu / https://twitter.com/LMarchand2/status/1394578768375726081
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Laurent Marchand @LMarchand2 · 12h
@ChristelleOF #Nucléaire #Monde via @ouestfrance
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Quelle est la quantité de tritium (1) dans les réservoirs de Fukushima ?
- L'activité était de 817 TBq de tritium (3) le 30/3/2013 (1 Térabecquerel = 1000 milliards de Becquerels ; 1 Bq c'est une désintégration par seconde) (2).
- Elle était de 760 TBq le 24/03/2016 (4)
- Elle était de 869 TBq le 12 mars 2020 (5)
Environ deux grammes de tritium à Fukushima sont à l’origine de cette activité, ces deux grammes sont dilués dans un million de m3, mais la dangerosité de ce produit est très sous-évaluée ! ... En prolongeant la courbe, le total actuel (fin mars 2021) ne devrait pas dépasser 900 Tbq.
À la Hague, le maximum du rejet autorisé de tritium dans l’eau est de 18 500 TBq / an, et le maximum de rejet autorisé de tritium gazeux est de 150 TBq/an (record de 71,6 TBq de rejet dans l’air en 2017, voir la très intéressante note sur le tritium (6).
Cependant, nous devons tenir compte du rejet liquide réel annuel qui était de 13 200 TBq en 2019.
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en un an, la Hague déverse dans la Manche au moins douze fois autant de tritium que tout ce qui se trouve dans les réservoirs de Fukushima !
Dans le cas du maximum autorisé, cela donnerait (900/18500)*365 = 17,8 jours.
Dans tous les cas, le rejet annuel de tritium "liquide" à la Hague est bien plus élevé que tout ce qui se trouve dans les réservoirs de Fukushima (10) !
Nous remercions l’ACRO pour sa collaboration.
(10) Nous ne comparons que les quantités de tritium. Il y a bien d’autres éléments radioactifs dans les rejets de l’usine de La Hague et dans les cuves d’eau contaminée de Fukushima. Pour ce qui concerne La Hague, les autres radionucléides sont les iodes, le carbone 14, le strontium 90, les césiums 134 et 137, le ruthénium 106, le cobalt 60 et plus de 60 autres émetteurs alpha, bêta et gamma (même source que la note 9, tableaux 8-1 à 8-5 p. 21 à 25 du volume 1).
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/le-monde-du-13-avril-2021-le-rejet-des-eaux-radiocatives
Niger : « A Arlit, les gens boivent de l’eau contaminée par la radioactivité...
Les gisements d’uranium exploités par Orano (ex-Areva) empoisonnent la population, explique Amina Weira, auteure d’un documentaire sur le sujet.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 31/10/20 à 08:11 de Elisa S. (livret espace/défense) (livret énergie de LFI)
État d'urgence - Écologie ; Nucléaire
" 40 ans ça suffit, débranchez la centrale nucléaire du Tricastin !" La formule claque sur les banderoles des anti-nucléaires rassemblés dans trois villes. A Lyon, Paris et Pierrelatte, à l'occasion de l'anniversaire du premier réacteur du Tricastin, des représentants des collectifs et associations écologistes sont venus protester contre un éventuel prolongement de son activité. Le Média était sur place.
Ils sont venus se rassembler simultanément, à Paris devant le siège d'EDF, à Lyon devant les locaux de la division territoriale de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) et à Pierrelatte devant la centrale nucléaire.
Une quinzaine de personnes, représentant chacune un collectif, une ONG ou une association, se retrouvent sur chaque site pour prendre de surprise les autorités et exiger l'arrêt du réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin. Vieille de 40 ans, elle est la première à avoir fait l'objet d'une quatrième visite décennale de l'ASN.
Ces rassemblements coïncident avec l'audition de l'ASN, qui présente à l'Assemblée Nationale les conclusions de son rapport annuel 2019. Le gendarme du nucléaire est revenu sur sa visite des installations du Tricastin et rappelle qu'il existe un risque spécifique lié aux tremblements de terre.
Ce risque, l'ASN l'exprimait déjà dans ses précédents documents, écrivant que "s'agissant de la digue protégeant la centrale nucléaire du Tricastin, EDF a mis en évidence, en 2017, un risque de rupture d’une de ses parties en cas de séisme de niveau SMS (Séisme Maximum de Sécurité) . L’inondation en résultant pouvait conduire à un accident de fusion du combustible nucléaire des quatre réacteurs de la centrale du Tricastin et aurait rendu particulièrement difficile la mise en œuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes." Des craintes qui poussent l'institution à exiger d'EDF le renforcement de la digue.
Sauf qu'il n'y a pas que les séismes qui menacent la sécurité du site nucléaire. La centrale du Tricastin, qui produit 5% de l'électricité du parc nucléaire français, est pointée du doigt pour sa vétusté et une mauvaise maintenance. Plusieurs enquêtes mettent en évidence des fuites, notamment du tritium. Des doses infimes de ce radio-élément sont présentes à l'état naturel. Or là, ce sont des doses plus importantes, reversées par la centrale, que détectent des experts de la radioécologie dans l'environnement Tricastin.
Autant d'éléments motivent les écologistes à exiger l'arrêt du plus vieux réacteur Tricastin. Mais leur revendications semblent inaudibles dans un climat tendu où les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) chargées de la protection des installations nucléaires sont intervenues lors du rassemblement devant la centrale.
Ces unités de contre-terrorisme sous contrôle tactique du GIGN ont même empêché les journalistes, dont Le Média, de réaliser des images de l'action ou des interviews sur place.
Contacté par Le Média, EDF n'a pas répondu à nos sollicitations.
Connu / https://twitter.com/RemikenzoPages/status/1272203744726462464
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Le Média a retweeté
Rémi-Kenzo @RemikenzoPages · 9h
Dernier reportage #etatdurgence de @LeMediaTV. Je suis parti dans le Tricastin, rencontrer différents acteurs de la filière nucléaire. J'ai couvert un rassemblement d'opposants au site nucléaire. Depuis longtemps je souhaite me pencher sur ce site décrié.
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Ndlr : /tritium cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?9MTgBQ