Charente-Maritime
Les échanges entre habitants et agriculteurs sur les pesticides en plaine d’Aunis n’ont pas abouti. L’Agglomération de La Rochelle (Charente-Maritime) souhaite poursuivre le dialogue.
Mercredi 29 mars, au Forum des Perthuis de La Rochelle (Charente-Maritime), agriculteurs et habitants du territoire, élus et membres associatifs ont clos une médiation initiée l'été dernier dans cinq communes de la plaine d'Aunis marquée par des cas de cancers pédiatriques inexpliqués et des pollutions à répétition au prosulfocarbe ou encore au chlortoluron, deux herbicides autorisés, mais sujets à controverse. LP/Fabien Paillot
« Le chemin est ardu », a reconnu Jean-François Fountaine, le président de l’Agglomération de La Rochelle ... : Bourgneuf, Clavette, Montroy, Périgny et Saint-Rogatien.
... Une centaine de personnes a participé à cet exercice inédit ... dans un climat de défiance envers le monde agricole ... l’attente citoyenne s’est cristallisée sur la seule interdiction des pesticides, et plus particulièrement des molécules classées CMR (cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction).
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Le monde agricole est prêt à la transition mais doit être accompagné dans sa prise de risque, et avec des solutions de remplacement », a plaidé Luc Servant, agriculteur en Charente-Maritime et président de la Chambre régionale d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine. ... absence de réels débouchés : « Pour l’agriculture biologique, il faut que les marchés existent
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Marc Maigné, élu de l’agglomération rochelaise chargé des politiques de santé environnementale, n’entend pas pour autant baisser les bras. Il appelle désormais les parties prenantes de cette médiation à former un « comité de pilotage » et à trouver le chemin d’un « accord quadripartite », entre riverains, agriculteurs, élus et membres associatifs. « Ce fossé, nous allons tout faire pour le combler avec un programme commun d’actions », a-t-il avancé avant d’évoquer un délai de « trois mois » pour aboutir à cet accord.
Connu / TG le 02/04/23 à 04:48
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Depuis 2017, Bouillons Terres d’Avenir, l’Héberge en Seine, le Réseau des Amap Rouen Métropole, Slow Food-Terres Normandes et Terre de Liens Normandie s’organisent au sein d’un collectif pour la préservation des terres agricoles. L’objet : limiter considérablement la consommation des terres agricoles par l’urbanisation en vue d’une alimentation locale et biologique.
2018 est une année importante pour la préservation des terres agricoles et naturelles de notre territoire. Les documents d’urbanisme des 71 communes de la Métropole Rouen Normandie font l’objet d’une importante révision, actuellement en discussion entre la Métropole et les communes. Ensemble, nous analysons la situation des terres agricoles et naturelles du territoire, et les ouvertures à l’urbanisation que prévoit d’autoriser la Métropole et les communes pour la prochaine décennie dans le projet de Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) en cours d’élaboration.
Nous contestons en particulier l’urbanisation de la ferme de la Basilique à Bonsecours, et le projet de création d’une double autoroute à péage à l’est de Rouen.
Le collectif est ouvert à toute personne ou association partageant nos objectifs de limiter la consommation future d’espaces agricoles et naturels et de promouvoir une alimentation locale et biologique.