COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
Médecine & Bio - ·2 min de lecture
COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude / Kareen Fontaine & J. Paiano·7 janvier 2025
En France, près de deux millions de personnes, soit 4 % de la population, sont concernées par le Covid long. En cause, la persistance d’une infection latente par le SARS-CoV-2. Une récente étude a exploré la persistance de la protéine Spike du SARS-CoV-2 dans l’axe crâne-méninges-cerveau et son rôle dans les séquelles neurologiques. Les résultats montrent que cette protéine pourrait persister dans les tissus protecteurs du cerveau jusqu’à quatre ans après l’infection, provoquant une inflammation chronique et des maladies neurodégénératives. Ces découvertes pourraient aboutir au développement de traitements ciblés.
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Vaccins à ARNm : un espoir contre la persistance de la protéine Spike ?
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Les souris vaccinées présentaient une concentration de Spike réduite de moitié dans l’axe crâne-méninges-cerveau par rapport aux souris non vaccinées.
« Cette réduction représente une étape importante », estime Ertürk. Cependant, il précise que des recherches complémentaires sont nécessaires pour évaluer la pertinence de ces résultats chez les patients humains atteints de Covid long. « Nos travaux ouvrent de nouvelles voies de recherche pour le diagnostic et le traitement des séquelles neurologiques de la Covid-19 », conclut-il.
Source : Cell Host & Microbe
Connu / https://diaspora-fr.org/posts/10752469
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Laurent Espitallier - il y a environ un jour
COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
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#étude #santé #covid19 #sarscov2 #protéinespike
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COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
Des chercheurs ont découvert que la protéine Spike du SARS-CoV-2 peut persister jusqu’à quatre ans dans les tissus protecteurs du cerveau, contribuant à des séquelles neurologiques. Ces résultats pourraient guider le développement de traitements ...
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Ndlr: semble fidèle à l'étude https://www.cell.com/cell-host-microbe/fulltext/S1931-3128(24)00438-4?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS1931312824004384%3Fshowall%3Dtrue
L'essentiel :
- Depuis près de trois ans, Alexandra Henrion Caude, ancienne chercheuse de l’Inserm, est devenue une des cautions scientifiques des opposants à la vaccination contre le Covid-19.
- Elle vient de publier un livre sur la vaccination anti-Covid-19 utilisant la technologie à ARN messager. Albin Michel avance que ce livre, dont la sortie a été notamment accueillie par Florian Philippot, « ne doit pas être considéré comme une incitation au refus de la vaccination ». Pourtant, Alexandra Henrion Caude y évoque la possibilité que l’ARN vienne modifier l’ADN. Un scénario écarté par les scientifiques.
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En déroulant la liste des publications scientifiques d’Alexandra Henrion Caude, il n’y en a effet pas de publications sur l’ARN messager. Pour un chercheur, quel que soit son domaine de recherche, ce sont en effet les travaux publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture qui attestent de son travail
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En 2011, c’était une autre cause qu’Alexandra Henrion Caude défendait : l’embryon humain. En plein débat sur la loi bioéthique, comme d’autres chercheurs elle s’oppose à la recherche sur des cellules souches issues d’embryons humains.
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En 2018, elle donne une conférence sur la PMA avec l’association Cosette et Gavroche, qui a été créée « pour lutter contre le projet de loi Taubira sur le mariage pour tous », selon le site internet de cette association.
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Clés : Société ; Covid 19
Ndlr : dérive scientifique ? ACT
Alimentation, santé globale - 13 min
ARTICLE REDIGE AVEC THE CONVERSATION - ARNm : quatre lettres qui ont fait le tour de la planète et désignent ce qui s'avère déjà être une avancée majeure dans le domaine de la vaccination. Mais de quoi parle-t-on exactement ?
Les ARN (pour Acides RiboNucléique) sont des molécules dont la structure est proche de celle des molécules d’ADN (Acide DésoxyriboNucléique). Beaucoup moins stables que ces dernières, ce qui signifie qu’elles sont plus facilement détruites, les molécules d’ARN jouent toutefois de nombreux rôles dans les cellules. Ceux-ci varient selon la classe d’ARN considérée : ARN de transfert ou ARN ribosomique qui interviennent dans l’assemblage des protéines, ARN guides qui aident à positionner certaines enzymes au bon endroit… Aujourd’hui encore, de nouvelles classes d’ARN possédant diverses fonctions biologiques sont découvertes.
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connues depuis les années 1960, époque à laquelle François Jacob et Jacques Monod, deux éminents scientifiques français, ont joué un rôle prépondérant dans leur découverte ... cytoplasme ... ribosomes ... injecter dans des cellules du tissu musculaire l’information leur permettant de produire une protéine soigneusement sélectionnée et modifiée de l’agent infectieux contre lequel on souhaite obtenir une immunité –en l'occurrence la protéine Spike du SARS-CoV-2. Les cellules de l’individu vacciné fabriqueront elles-mêmes transitoirement le constituant viral en question, qui sera reconnu comme étranger à l’organisme et déclenchera une réponse immunitaire spécifique.
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approche vaccinale encore plus sûre dans toutes ses étapes, de la conception à l’utilisation, car aucun être vivant n’est manipulé ... relativement faciles à produire et peu onéreux, leur adaptation à l’évolution des agents pathogènes peut se faire rapidement ... génèrent des réponses immunes larges, incluant les composantes cellulaire (lymphocytes) et humorale (anticorps). Or, ces réponses larges sont plus efficaces pour lutter contre les virus.
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es désavantages de ces molécules d’ARNm sont essentiellement liés à leur stabilité plutôt faible ... ils peuvent aussi activer des réponses interférons de types 1 et 3 (les interférons sont des protéines produites notamment en réaction à des infections virales). Ces réponses mènent finalement à leur dégradation et peuvent réduire l’induction de la réponse immune souhaitée lors de la vaccination. Toutefois l’optimisation des séquences d’ARNm selon diverses approches permet de pallier cet inconvénient.
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Les ARNm des vaccins développés contre la COVID-19 ne sont aucunement des organismes génétiquement modifiés (OGM) et ne constituent pas une approche de thérapie génique. En effet, ce sont juste de petits morceaux d’acides nucléiques inspirés des génomes viraux, qui n’ont pas la capacité de modifier nos gènes.
Rappelons que les ARNm restent dans le cytoplasme des cellules et n’ont pas vocation à gagner le noyau ... l’ARN ne peut pas s’intégrer dans notre génome sans être transformé en ADN (on parle de rétrotranscription), ce qui nécessite des enzymes très particulières, appelées transcriptases inverses ... les ARNm vaccinaux menant à la production de la protéine Spike modifiée lors d’une vaccination sont infiniment moins nombreux que les ARNm produisant la même protéine Spike lors d’une infection naturelle. Dès lors le risque, si tant est qu’il soit avéré, se situe clairement du côté de l’infection naturelle et non pas de la vaccination.
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Nous courrons des risques nettement plus élevés dès lors que nous prenons une aspirine, notre voiture ou que nous montons dans un avion… ou que nous nous faisons infecter par le SARS-CoV-2.
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histoire déjà ancienne (les premières tentatives d’utiliser l’ARNm pour la vaccination remontent au début des années 1990).
De très nombreuses publications précliniques relatives à cette approche chez l’animal (rongeurs, porcs, bovins et macaques…) ont été publiées et n’ont pas montré d’effets secondaires majeurs à court, moyen et long terme. Par ailleurs, les essais cliniques chez l’être humain (de phases 1, 2 et 3) ont démontré une excellente efficacité vaccinale et pas plus d’effets secondaires qu’avec les vaccins conventionnels. Signalons au passage que même dans les groupes placebos (c’est-à-dire dans lesquels aucun principe actif n’a été injecté), des effets secondaires sont rapportés. Cela signifie que lesdits effets secondaires sont en partie liés à l’injection en elle-même.
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Clés : ARN messager vaccin COVID-19 épidémie Coronavirus biologie moléculaire
Contacts François Meurens, Professeur en Immuno-VirologieUMR Biologie, épidémiologie et analyse de risque en santé animale (Oniris, INRAE)
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Lb-O8g
Les humains face aux microbes ©Getty - SERGII IAREMENKO/SCIENCE PHOTO LIBRARY
Les humains face aux microbes - Jeudi 2 mai 2024 / La terre au carré
Maladies émergentes, bactéries, virus et autres pathogènes… Depuis toujours l'espèce humaine a été confrontée aux microbes de toute sortes. Comment a-t-elle appris à les comprendre et à s'en protéger ? Quel est notre rapport aux microbes aujourd'hui ?
Ancien professeur à l'Institut Pasteur et au Collège de France, Philippe Sansonetti est un spécialiste internationalement reconnu des vaccins et des bactéries pathogènes. Dans son livre Microbes sans frontières (éditions Odile Jacob) il retrace l'histoire des connaissances actuelles sur les microbes et sur les moyens de nous en défendre.
Il nous rappelle que notre modèle de santé publique fondé sur l'hygiène, les vaccins, antibiotiques, et l'épidémiologie est relativement récent. En effet, si les virus, bactéries, champignons, parasites nous accompagnent depuis la nuit des temps, ce n’est que depuis un siècle et demi que la science et la médecine ont permis de pouvoir lutter contre les maladies infectieuses....
Or depuis quelques années, certaines maladies infectieuses et épidémies font leur retour en raison de l'antibiorésistance, la défiance vaccinale, l'émergence de nouveaux pathogènes, mais aussi du réchauffement climatique.... Philippe Sansonetti recense et analyse ces menaces qui ignorent les frontières nationales, géographiques, sociales et même les frontières entre espèces humaine et animales.
Les humains entretiennent avec les microbes une relation complexe, et il est urgent d'en comprendre les mécanismes et de développer de nouvelles stratégies face aux risques pandémiques.
Avec :
Philippe Sansonetti, professeur émérite à l’Institut Pasteur et au Collège de France, où il a été titulaire de la chaire « Microbiologie et maladies infectieuses », membre de l’Académie des sciences. Il publie Microbes sans frontières aux éditions Odile Jacob.
À écouter : Génie du vivant : microbes et virus avec Patrice Debré, médecin immunologiste Les Savanturiers 56 min
S’en défendre et préserver les microbes
Les virus, bactéries ou champignons et les microbes ignorent les frontières géographiques et sociales, mais aussi les frontières entre espèces humaine et animales. La pandémie de Covid nous a rappelé qu'à tout moment des micro-organismes peuvent menacer la santé des populations et bouleverser l'organisation de nos sociétés modernes. Cette menace potentielle, avec l'émergence de nouvelles maladies infectieuses, est un sujet de préoccupation majeure, amplifié par la mondialisation, les échanges environnementaux, et l'évolution des pratiques médicales et agricoles. Comment faire face à cette réalité microbienne pour protéger efficacement la santé humaine à l'échelle de la planète ? C'est l'objet d'un livre, Microbes sans frontières qui paraît chez Odile Jacob et dont l’invité de cette émission, Philippe Sansonetti, en est l’auteur. Dans cet ouvrage, il montre comment se défendre des microbes, mais aussi comment les préserver pour maintenir les équilibres de notre planète.
Quatre ans depuis l’apparition du Covid-19
... tournant dans la communauté scientifique : « Pour beaucoup, il a fallu se mettre à la virologie de manière à ne pas dire de bêtises. Ça a été une sorte d’aspiration dans la mesure où il devenait urgent, dans une atmosphère qui était hystérique, de mettre de l'ordre, de la sagesse et du rationnel scientifique dans ce qui se disait. On était en présence de quelque chose qui se transmettait de manière très efficace par voie aérienne. Et nous n’avons d’ailleurs pas tout de suite très bien perçus le danger alors qu'il était connu depuis la grippe espagnole et le SRAS de 2003. Clairement, la perception du danger de la transmission aérienne n'était pas au rendez-vous lors de l'émergence du Covid-19. »
À écouter : Philippe Sansonetti, titulaire de la chaire « Microbiologie et maladies infectieuses » au Collège de France
Une semaine en France
37 min
Des efforts considérables depuis la moitié du XXe siècle
Cet ouvrage de Philippe Sansonetti, c’est aussi une histoire des maladies infectieuses, des virus avec les pères fondateurs de la microbiologie. Ce qu'on constate, c'est que malgré le progrès, nous n’avons pas pour autant arrêté l'apparition de nouvelles maladies infectieuses : « Le thème de ce livre, c'est de dire qu'on a mis en place au XXᵉ siècle, sur la base des découvertes de nos pères fondateurs, un paradigme de santé publique miraculeux. Quand on regarde en particulier dans les pays à haut niveau de vie, on a éradiqué, ou éliminé, un certain nombre de maladies qui étaient la plaie des populations et qui pesaient très lourd, pas uniquement en mortalité, mais aussi en poids psychologique, ce qui était un quotidien en particulier avec la mortalité infantile. Il y a eu aussi un effort considérable à partir du milieu du XXᵉ siècle pour partager avec les pays à bas revenus, un programme élargi de vaccination et l'amélioration des soins primaires. »
Les antivax, une très vieille histoire
Dans son ouvrage, Philippe Sansonetti évoque aussi la défiance vaccinale à l’heure du Covid. Il rappelle que les antivax sont nés avec les vaccins : « Les premières ligues anti-vaccinales sont apparues au Royaume-Uni au milieu du XIXᵉ siècle, après la mise en place du Vaccin Act du parlement anglais, c'est-à-dire l'obligation vaccinale pour la variole pour tous les enfants de moins de trois ans. Dès cette époque, on a vu naître les ligues anti-vaccinale au Royaume-Uni. Ce qui est intéressant, c'est qu'elles ne sont pas nées à Londres, mais dans les villes du Nord comme Manchester, Liverpool, des zones loin du pouvoir avec une population prolétarisée par la révolution industrielle, et on a l'impression que, très vite, ce réflexe antivax est né à la fois sur une peur du vaccin parce qu’il avait aussi des effets secondaires, mais aussi un malaise social. Avec le Covid et le refus vaccinal du personnel hospitalier dans certaines régions, j'ai l'impression d'avoir retrouvé cette fusion du malaise social et du vaccin. L’anti-vaccination est quelque chose de beaucoup plus complexe qu'on ne le pense. »
Pour en savoir plus, écoutez l'émission...
À écouter : Exploration du système immunitaire avec l'immunologiste Yasmine Belkaid
15' de plus
12 min
Chroniques Camille passe au vert 4 min Les poules rougissantes Comme nous et tous les animaux, les poules ressentent des émotions. Mais comment les expriment-elles physiquement ? Une équipe d’Inrae a mené des recherches et établi que les poules domestiques rougissent, oui, elles piquent des fards, dans certaines situation de stress, ou de joie !
Clés : Environnement Écologie Biodiversité Coronavirus – Covid-19 Virus Philippe Sansonetti Collège de France
L'équipe Mathieu Vidard Production, etc
Tr: ... appauvrissement de la diversité du monde microbien ... les thérapeutiques sont de plus en plus ciblées ... système immunitaire ... variants des virus ... depuis 2010, panne des antibiotiques ... antibiorésistance ... H5N1, virus de la grippe aviaire, doute sur sa transmissibilité entre humain ... est-t-on prêts à ce que ça arrive ? Pas tout à fait, mais grace à l'arn messager, ça devrait faciliter la production de vaccins, on le voit avec les animaux ... tests au chevet du malade ... cistite ... éviter ou faire plus attention à la prescription ... donner le temps de guérir ... action collective pour sauver les antibiotiques ... mauvaises pratiques en élevage / antibiotique se retrouve dans les écosystèmes ... rejets des usines d'antibiotiques ... la moitié dans antibiotiques non dégradés part dans les eaux usées ... faire entrer ça dans la législation et chercher des solutions, dégrader les antibiotiques ... ex inde ... le réchauffement climatique facteur défavorable ... +10% infections anthériques ... les vecteurs des microbes comme les moustiques, premier tueur de la planète ... dingue, paludisme, épidémies possibles ... on va avoir des vaccins ... le risque est là ... réduction de la biodiversité ... épidémie de ?? porc et chauve-souris ... anthropocène ... alimentation moderne responsable par moins de fibres, etc liens de causalité microbiote ... biodiversité aussi pour les microbes ...
Association entre les vaccins COVID-19 à ARN messager et la survenue de myocardite et péricardite chez les personnes de 12 à 50 ans en France - Nouvelle étude basée sur les données actualisées au 31 octobre 2021
... fabriquer à la fois des vaccins à base d'ARNm (comme le Comirnaty de Pfizer), de protéines recombinantes (comme le Nuvaxovid de Novavax) et d’adénovirus (dit par vecteur, tel le Vaxzevria d’AstraZeneca).
L'accord garantit que les laboratoires soient prêts à répondre à une éventuelle crise sanitaire en maintenant leurs installations à jour et en surveillant leurs chaînes d'approvisionnement
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Manque de transparence
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#GénétiquementModifié #Myocardites #BénéficeRisques 9 836 commentaires
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Une technologie inconnue de la plupart des gens est utilisée depuis quelques mois pour vacciner... des milliards de personnes. Cela suscite des questions légitimes, des rumeurs, des élucubrations, et au final des doutes qui ne sont pas signe de bêtise. Avons-nous, oui ou non, assez de recul sur les vaccins à ARNm ?
Le script de cette vidéo est entièrement disponible, avec toutes les SOURCES, à cette adresse : https://menace-theoriste.fr/pas-assez-de-recul-pour-se-fier-aux-vaccins-arnm/
00:00 Intro et générique
01:00 18 000 morts du vaccin ?!
4:37 Un génocide ??
6:21 Les Bénéfices
11:33 Les Risques
12:00 Génocide (bis)
13:40 Modification de l'ADN ?
16:50 Risque de Myocardite (là c'est sérieux)
18:01 Contrôlés par la 5G (Boutry)
19:40 Génocide (encore)
21:04 Manquons-nous de Recul ? Les faits.
24:55 Le cas Maxime Beltra
25:42 C'est quoi avoir du recul ? (chloroquine ivermectine...)
27:50 Risque Zéro
29:10 Bilan
Tr : voir le script dont :
Thomas C. Durand, Dr en biologie – Vulgarisateur scientifique.
Directeur de la rédaction de l’Association pour la Science et la Transmission de l’Esprit Critique.
L’ASTEC est une association loi 1901 sans aucun lien d’intérêt avec aucune industrie ni entreprise. C’est VOUS qui la financez via des plateformes comme Hello Asso, Tipeee ou Utip.
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Jean-Jacques Crèvecœur est un gourou bien connu des gens qui travaillent sur les dérives sectaires ... pas de graphène dans les vaccins en réalité
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On a besoin de vaccins efficaces parce que malgré le travail acharnés des professionnels de santé, malgré les mesures barrières et deux confinements, l’année 2020 a enregistré en France une surmortalité confirmée par une publication officielle de l’INSEE (2020 : Une hausse des décès inédite depuis 70 ans https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347349). Aujourd’hui, je pense que ceux qui ont dit en 2020 que c’était une grippette, qui étaient sûrs que ça allait passer, qu’il n‘y avait pas de deuxième vague et qui ont encouragé tout le monde a refuser les mesures de précaution comme le masque, ne sont pas des gens fiables. Parce que les faits leur ont donné tort ! Ils devraient se taire, ou en tout cas on devrait cesser de les écouter.
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les vaccins à ARN on n’a pas assez de recul ... Christian Schaller ... es prédictions de monsieur Schaller ne se vérifient pas
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il s’avère que ces vaccins sont super efficaces ... Ce n’est pas une modification génétique, et madame Henrion Caude le sait, puisque le génome est dans le noyaux tandis que l’ARN, qui appartient au transcriptome n’est pas dans le noyau.
Si vous avez peur que l’ARN viral contenu dans le vaccin modifie votre ADN, j’ai une très mauvaise nouvelle. Dans l’hypothèse où, évitant le vaccin, vous êtes infecté par le virus et que votre système immunitaire n’est pas efficace immédiatement, le virus va se multiplier et votre corps contiendra beaucoup plus de matériel génétique viral que le corps d’une personne vaccinée. ... chacun d’entre nous a, dans chaque cellule de son corps, 8% de son génome qui provient d’anciens virus qui se sont logés dans nos chromosomes ... étude qui a cherché à voir si l’ARN du virus de notre chère pandémie avait des chances de s’intégrer dans le génome humain… Et les chercheurs répondent NON ... Christian Tal Schaller
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risque de myocardite ... vraie question ... pharmacovigilance a montré une incidence inattendue de myocardite chez les vaccinés, surtout chez les hommes jeunes ... nombre de cas très réduit et aucun décès rapporté ... également lorsque l’on est infecté par le virus. Une étude vient de montrer qu’elles sont alors 6 fois plus fréquentes que les myocardites vaccinales
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Contrôlé par la 5G ?
Richard Boutry délire sur la 5G, Bill Gates, les démons et un génocide. AUCUN FONDEMENT
3. On manque de recul
... 225 ans de recul sur le principe de vaccination ... presque jamais vu d’effets secondaires liés à un vaccin au-delà de 2 mois après l’injection ... L’ARN messager est connu depuis 1961 ... cette molécule fait partie des ingrédients qui composent un virus ... La composition des vaccins est connue, elle est publiée en libre accès (source). Vous pouvez allez vérifier si on y trouve du mercure, de l’aluminium ou du graphène. Spoiler : non.
Les recherches sur les vaccins à ARN ont commencé dans les années 1980. Une publication de 1993 par une équipe de l’APHP montre une technique très proche des vaccins actuels utilisée alors contre le virus de la grippe (source). ... En 2018 la revue Nature nous expliquait à quel point cette technologie était déjà bien avancée. Autrement dit : On a du recul !
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Plus de quatre milliards de doses de vaccin ont été administrées depuis décembre 2020 (source). Il y a des rapports faisant état de dizaines de milliers d’accidents de santé survenus après l’injection, mais ces rapports ne sont pas des enquêtes, ce sont des alertes. Et les problèmes relevés ne sont pas forcément liés au vaccin. Aux Etats-Unis ou 164 Millions de personnes sont pleinement vaccinés, on compte un total de 3 morts que les experts peuvent lier directement au vaccin de chez Janssen, il s’agit de trois thromboses (source).
En France, le 22 juillet 2021 on en était à 23 018 cas d’effets indésirables analysés. La grande majorité sont des syndromes pseudo-grippaux (fièvre élevée, courbatures, céphalées). [Mise à jour 05/08 :] Le rapport de l’ANSM fait état de 13 décès liés à la vaccination ; En rapport avec le vaccin Vaxzevria de chez Astrazeneca, il s’agit de 13 thromboses, médiane d’âge 62 ans (source).
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On manquait de recul sur le protocole Raoult, à base de chloroquine dont les effets cardiaques connus combinés aux effets cardiaques du covid qu’on découvrait, représentaient un risque potentiel. Il a fallu attendre quelques mois pour que des études bien faites nous apportent une réponse sur le rapport bénéfice-risque de ce traitement. Et maintenant qu’on a le recul, il faut accepter le verdict de la science : La chloroquine n’est pas efficace contre le covid19 et son utilisation fait plus de mal que de bien aux malades (1ère source ; 2ème source).
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Bilan
... il reste des incertitudes, mais on peut dire en toute confiance la chose suivante : À moins d’avoir une allergie connue au Polyéthylène Glycol il n’existe pas une seule situation où il préférable pour vous d’être en contact avec le virus plutôt que d’être vacciné.
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vous améliorez vos chances de rester en bonne santé en vous faisant vacciner. Et en plus, vous devenez acteur de la couverture vaccinale qui protège tous ceux que leur santé n’autorise pas à être vaccinés ou qui ont reçu le vaccin mais qui n’ont pas développé pour autant une immunité efficace.
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Merci à Muriel Leal pour son aide dans la collecte d’informations pour préparer cet article. Merci également pour leur aide à Pac Abenakis, le collectif Covid 19 Fédération et à ComplotistDeleter.
https://twitter.com/bloginfo/status/1423503038808010759
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Denis Szalkowski @bloginfo · 18h
"L'ARN ne s'intègre pas dans le génome humain.", dites-vous. Pas d'insertion directe de l'ADN dans l'ARN. Mais vous oubliez la transcriptase inverse par enzyme ou rétrovirus. @ladepeche31 - 0 - 0 - 1
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Connu / https://twitter.com/RemiSalomon/status/1422862863027294209
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Nicolas Voisin a aimé
Rémi Salomon @RemiSalomon · 10h
Quand vous avez la covid votre organisme est envahi par le virus et ce faisant par des milliards d'ARN, infiniment plus qu'avec le vaccin sans compter que l'ARN seul ne peut que produire la protéine qui déclenche l'immunité, le virus lui peut vous tuer ou laisser des séquelles.
Citer le Tweet
Patrick Paiva Trazzi @patricktrazzi · 13 juil. En réponse à @RemiSalomon
5 - 56 - 104
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— SOURCE : Dr Joseph Mercola, 21 juin 2021 https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2021/06/21/mrna-inventor-interviewed-about-injection-dangers.aspx
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Xerfi Canal a reçu Alain Bauer, professeur de criminologie du Conservatoire National des Arts et métiers (CNAM), pour parler de la vie avec le Coronavirus. Une interview menée par Jean-Philippe Denis.
Tr.: ... ouvrage "Comment vivre au temps du coronavirus" écrit avec Roger Dachez, "un manuel pour comprendre et résister". Tout avait bien fonctionné jusqu'à 2011. Depuis nous avons patiemment et avec détermination liquidé un dispositif remarquable de gestion, d'anticipation, et de résolution des pandémies pour nous trouver totalement dépourvus quand la bise fût venue ! (c'est l'année Lafontaine). Ouvrage anti-amnésie. ...
Ndlr :* Paru le 9 octobre 2020 ?! https://castbox.fm/episode/LPC---7---%C2%AB-Comment-vivre-au-temps-du-coronavirus---%C2%BB---Roger-Dachez---2-juillet-2020-id397667-id302893545?country=fr -> médecin pathologiste, historien ?
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histoire d'une pandémie attendue et qui n'arriva pas et d'une inattendue qui arriva. ... leur habitat naturel forestier est détruit, ce qui rapproche les animaux infectés avec l'homme ... la grippe espagnole, la grippe asiatique, la grippe de hong-Kong en 1968 (40 000 morts estimés en France, on en avait à peine parlé).
TERMINER >35 mn ACT
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Covid-19, guerre des vaccins : ce qu'il faut savoir - 6 janvier 2021 - 19H30 / Par Théophile Kouamouo
En 2021, nous allons encore entendre parler du COVID-19. Sur ce terrain, l’actualité n’a pas respecté la fameuse “trêve des confiseurs”. On a entendu parler d’une mutation du virus qui a poussé de nombreux pays dont la France à fermer leurs frontières avec le Royaume-Uni. Une mutation baptisée le variant anglais et qui nous guette désormais.
Mais la grande affaire de ce début d’année, ce sont les vaccins. Faut-il en avoir peur ? Qu’est-ce qu’ils contiennent vraiment ? Après avoir été en dessous de tout concernant l’anticipation de la crise, notamment en ce qui concerne les masques et les tests, l’exécutif français nous couvrira t'il de honte avec une stratégie vaccinale catastrophique ? Y a-t-il une guerre des vaccins à l’échelle géopolitique, entre les différentes puissances mondiales ?
Pour parler de ces deux sujets, à la fois scientifiques et politiques, deux invités :
Nathan Peiffer-Smadja, médecin infectiologue, chef de clinique à l’hôpital Bichat. Ensemble, on évoquera les préoccupations scientifiques au sujet du variant anglais et du vaccin à ARN messager, mais aussi l’étrange stratégie vaccinale française.
Jean-Joseph Boillot, économiste, bon connaisseur de la géopolitique mondiale, notamment des interactions entre les puissances historiques et les émergents. Ensemble, on parlera de ce qu’on pourrait considérer comme “la guerre mondiale des vaccins”, et de l’étrange défaite française sur ce front là.
Tr.: ... plus de recherche en lien étroit avec les entreprises en France. ... à la différence de l'allemagne pas de pme à cause d'une structure archéo-impériale (expression de François Sérac ?) ... /économie de la santé Pasteur confronté à "la santé pour qui" médecine de pays riche pour les riches, compétition entre ceux qui poussent la recherche au maximum. Et l'inde, à l'inverse de la Chine, l'inde est globalisée mais ouverte. La crise du modèle fr inquiète car il y aura d'autres pandémies. ...
"La pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle pourrait devenir le baptême du feu des thérapies à base d’ARN messager (ARNm) synthétique. C’est cette technique, en développement depuis les années 1970 sous l'impulsion de la chercheuse d'origine hongroise Katalin Karikó, qui a été utilisée par Moderna et BioNTech/Pfizer pour mettre au point leurs réponses au Covid-19.
C’est le message qui compte
Cette technique est très différente de celle utilisée pour les vaccins traditionnels, comme ceux contre la grippe par exemple. D’habitude, on injecte des bouts du virus inactivé ou une de ses protéines afin de déclencher une réaction du système immunitaire qui va se défendre en fabriquant des anticorps, protégeant ainsi la personne contre la maladie.
Mais avec les vaccins de Moderna et BioNTech/Pfizer, "on n’injecte pas une protéine du Sars-CoV-2, mais un message qui va diriger la synthèse d’une de ses protéines dans le corps", explique Bertrand Séraphin, directeur de recherche à l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC) du CNRS, contacté par France 24. L’ARN messager est en effet un vecteur qui transporte des informations jusqu’aux cellules afin de leur dire quelle protéine fabriquer. Dans le corps, "chaque gène va faire un ARN messager différent pour une protéine spécifique. C’est le dogme central de la biologie moléculaire", résume ce spécialiste."