L'ACRO, l'association pour le contrôle de la radioactivité dans l'ouest milite pour plus de transparence ...
Connu / TG le 22/10/24 à 10:49
Isotope radioactif de l'hydrogène, le tritium est très peu radiotoxique. Trois fois plus lourd que l'hydrogène ordinaire, il émet des électrons de très faible énergie ...
Seront insérés, dans le cœur des réacteurs, parmi le combustible habituel, des matériaux contenant du lithium. Ils resteront en place pour tout un cycle (16 mois environ), puis déchargés dans des conteneurs étanches à la radioactivité, et transférés au CEA en vue de produire du tritium. "C'est un gaz rare indispensable aux armes de la dissuasion"
Quelques précisions techniques:
- Le lithium doit être irradié pour se décomposer en donnant du tritium.
- Il est placé dans des barres identiques aux barres de contrôle. Les barres sont introduites dans des assemblages qui n'ont pas de barres de contrôle. Elles sont récupéreées au cours des arrêts de tranche, et expédiées à Valduc.
- Les barres sont très étanches (pas de cas de rupture signalés jusqu'à maintenant) = la pollution de Civaux ne sera pas afféctée par ce procédé. La pollution au tritium est donc délocalisée à Valduc.
L'aspect éthique de l'opération n'a pas été porté à l'ordre du jour, par manque de temps = tout reste à faire en ce domaine. Faut-il vraiment étendre la relance du nucléaire à la rénovation des bombes atomiques, à l' heure où la grande majorité des états signent le TIAN , traité pourtant largement insuffisant = la preuve: la France s'en bat les flancs pendant que Poutine nous menace si on n'est pas sages !
A réfléchir ...
Cordialement
Jacques Terracher
Connu / TG le 19/03/24 à 17:25
Ndlr : ne serait-ce pas la vraie raison de la relance du nucléaire ?
100 Pages Timothy Mousseau et Sarah A. Todd de University of South CArolina
Date Written: April 11, 2023
Abstract
Nuclear energy and its derivatives have long been the subject of considerable debate. Tritium, or H3, the lightest of all radionuclides, is usually the single largest radioactive substance emitted as a part of normal nuclear power plant operations. Because H3 is a low energy beta emitter it is often discounted as a threat to biological systems. Given the planned release of 1.3M tons of tritiated water to the Pacific Ocean at the Fukushima Daichi Nuclear Power Plant, there is great interest concerning what is known concerning its effects on biological systems, including humans.
As a first step towards addressing these concerns, we have generated a database of the scientific and grey literatures based on studies that might have some bearing on this issue. Using ISI’s Web of Science, Google Scholar, and EBSCO Academic Search Complete, we scanned over 700,000 references to tritium to arrive at about 250 studies that addressed some aspect of its biological consequences. The first conclusion from this review is that there is surprisingly sparce coverage of a topic of such great concern to so many. There are no published studies of tritium effects on human cancers, and very few of tritium effects in natural systems. The vast majority of studies of tritium effects have been conducted using laboratory organisms, making extrapolation to natural conditions tenuous. Our second conclusion is that contrary to some popular notions that tritium is a relatively benign radiation source, the vast majority of published studies indicate that exposures, especially those related to internal exposures, can have significant biological consequences including damage to DNA, impaired physiology and development, reduced fertility and longevity, and can lead to elevated risks of diseases including cancer. Our principal message is that tritium is a highly underrated environmental toxin that deserves much greater scrutiny.
Keywords: Tritium, HTO, H3, radiation, nuclear accidents, Fukushima
Connue / GPF
Traduction de la dernière phrase du résumé "Contrairement à la pensée courante que le tritium est une source de radiation relativement bénine, la majorité des publications indique qu'une exposition, particulièrement celles internes, peuvent avoir des conséquences biologiques significatives incluant des dommages à l'ADN, ???, réduction de la fertilité et de la longévité, et peuvent augmenter le risque de dégats incluant des cancers. Notre principal message est que le tritium est une toxine sévère dans l'environnement qui fait des dégats sévères dans l'environnement??"
Rejeter du tritium dans l’environnement, est-ce un problème ?
Sonia Marmottant Le tritium est l’élément radioactif le plus rejeté en fonctionnement
Connu / TG le 22/03/23 à 10:25
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résumé succin expliquant les méfaits du tritium, tiré du Livre Blanc du tritium.
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Tweet de Nucléaire-Sortie ACRO @ACRO · 7h
Les 310 Bq/l de #Tritium dans la Loire mesurés dans la Loire par l'@ACRO
à Saumur, en aval de Chinon, ont entraîné plusieurs notes de l'ASN et de l’IRSN, et une étude à 650 k€. Pensée émue pour les trolls qui avaient comparé ce niveau à des bananes!
acro.eu.org
Tritium dans la Loire : résultats de l'étude de l'IRSN à Saumur, en aval de Chinon - ACRO -...
L’IRSN a publié le rapport de son étude de la dispersion du tritium dans la Loire en aval de la centrale nucléaire de Chinon (lien direct). Voici les commentaires de l’ACRO publiés en annexe du...
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Rousselet Yannick a retweeté ACRO @ACRO · 28 déc.
#Nucléaire : nos centrales rejettent-elles trop de #tritium ? L'usine #Orano de #LaHague rejette en un mois l'équivalent des cuves de #Fukushima et les centrales françaises en rejettent plus dans les fleuves que les centrales japonaises dans l'océan.
lexpress.fr
Nucléaire : nos centrales rejettent-elles trop de tritium ?
Ce résidu de fusion reste peu radiotoxique. Mais les normes de rejet dans les cours d'eau sont plus permissives en France qu'au Japon.
5 - 41 - 33
Une énorme quantité de tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène, a été mesurée dans les eaux souterraines de l’unité de production d’électricité. EDF et l’autorité de sûreté assurent que la fuite est circonscrite. Mais les liquides contaminés de cette centrale, l’une des plus vieilles de France, se retrouvent inévitablement dans l’environnement.
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L’activité mesurée en décembre sous l’installation du Tricastin est donc au moins quatorze mille fois au-dessus du niveau normal. C’est exceptionnel. Et c’est d’autant plus impressionnant que la demi-vie du tritium est de 12,5 ans, durée nécessaire à cet élément pour perdre la moitié de sa radioactivité. Au bout de cette période, les 28 500 Bq/L deviennent 14 250 Bq/L, puis 7 125 Bq/L au bout de vingt-cinq ans, etc. Il faudra donc 175 ans pour que la radioactivité mesurée dans la fuite retrouve un niveau d’activité « naturel ».
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?i8rC9A
Temps de lecture : 2 min - 4 commentaires | Vu 21263 fois - Clés : Environnement Drôme
Une fuite de tritium a été détectée à la centrale nucléaire du Tricastin. EDF l’a révélée ce mardi 21 décembre après avoir déclaré quelques jours plus tôt, le 15 décembre, à l’autorité de sûreté nucléaire un « événement significatif pour l’environnement ».
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« 900 litres d’effluents », dont du tritium, ont fui pour se retrouver dans « une zone de collecte des eaux fluviales », avant d’atteindre, plusieurs jours plus tard, « les eaux souterraines de la nappe géotechnique interne ».
Des contrôles « quotidiens » ont indiqué qu’un pic de « l’activité en tritium » a atteint, le 12 décembre, pas moins de 28 900 becquerels par litre, unité qui mesure la radioactivité, en sachant que l’organisation mondiale de la santé fixe le seuil critique à 10 000 Bq/l lorsque du tritium se retrouve dans de l’eau potable, ce qui n’est pas le cas ici
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Ce n’est pas la première fois qu’une fuite de tritium est observée à la centrale du Tricastin. Cela avait été notamment le cas en novembre 2019, suite à une fuite sur la tuyauterie d’un réservoir d’effluents, mais aussi en juillet 2013.
Connu / https://twitter.com/RogerSpautz/status/1473364327444975624
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Tweet de Nucléaire-Sortie RogerSpautz @RogerSpautz · 21 déc.
A #Tricastin tout va bien. 40 ans ca suffit! - 1 - 15 - 14
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Sciences - Actualité Classé sous : fusion , deutérium , tritium
[EN VIDÉO] Un aimant pour faire du rêve de la fusion nucléaire une réalité Des chercheurs ont mis au point un aimant supraconducteur à haute température (HTS) qui leur a permis de produire un champ magnétique de 20 teslas. Du jamais vu sur Terre auparavant. Leur objectif : utiliser désormais cet aimant pour confiner le plasma qui sera produit au cœur des tokamaks du futur. Des dispositifs imaginés pour produire une électricité durable à partir de fusion nucléaire. (en anglais) © Commonwealth Fusion Systems
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Pour Maria Zuber, vice-présidente pour la recherche au Massachusetts Institute of Technology (MIT, États-Unis), « la fusion nucléaire -- celle qu'utilise notre Soleil pour briller -- est même, à bien des égards, la source d'énergie propre par excellence. La quantité d'énergie qu'elle rendrait disponible à partir d'une ressource presque illimitée -- comprenez l'eau -- changerait réellement la donne ». Seul bémol : il reste toujours à trouver le moyen de dompter cette énergie.
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Jusqu'alors, la plupart des tokamaks comptaient sur des électro-aimants conventionnels, en cuivre. Le projet Iter, lui, s'appuie sur des supraconducteurs à basse température -- des températures proches du zéro absolu, de l'ordre de -270 °C. Et les travaux du MIT, eux, se concentrent sur des supraconducteurs à haute température -- qui fonctionnent tout de même à quelque -250 °C. Les physiciens les appellent Rebco - pour rare-earth barium copper oxide. « Nous avons construit un aimant unique en son genre », explique Joy Dunn, responsable des opérations chez Commonwealth Fusion Systems, dans un communiqué du MIT. Le résultat de trois années de travail sur un aimant arrangé en forme de ruban plat. Un aimant constitué finalement de 16 plaques empilées dont chacune constituerait à elle seule, l'aimant supraconducteur à haute température le plus puissant du monde.
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l'élément qui manquait ... des performances égales à celles d'un supraconducteur à basse température, mais dans un système... 40 fois plus petit ! ... il ne reste plus qu'à construire un démonstrateur. ... baptisé Sparc. ... en service dès 2025. Pour tester, à petite échelle et seulement quelques secondes à la fois, la faisabilité d'une centrale électrique à fusion nucléaire que les ingénieurs envisagent à l'horizon 2033. Objectif : générer 50-100 MW de puissance thermique en comptant sur un champ magnétique de 12 teslas, mais surtout, avec un gain de 2 -- le dispositif devrait générer deux fois l'énergie nécessaire à le faire fonctionner --, sachant que le record actuel est de... 0,7 !
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Pour produire de l'électricité à l'échelle industrielle, il faudra en effet réussir à faire fonctionner un tokamak de manière continue, alors même que les conditions en son cœur seront dantesques. « Et sachant que le but ici est la commercialisation, un autre défi majeur sera économique. » Ainsi la fusion nucléaire ne devrait-elle pas prendre une part significative dans la production d'électricité avant plusieurs décennies encore. « Mais ce moment que nous venons de vivre, c'est un peu le moment "wow". Celui à partir duquel je commence à penser que nous pouvons vraiment y arriver », conclut Maria Zuber.
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Sur le même sujet
- https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/fusion-fusion-nucleaire-soleil-artificiel-chinois-bat-son-record-temperature-64846/
- https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/physique-iter-fusion-nucleaire-confinement-magnetique-923/
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- https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-fusion-nucleaire-cea-japon-preparent-apres-iter-10020/
- https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/fusion-fusion-nucleaire-assemblage-iter-poursuit-malgre-crise-sanitaire-82181/
Connu / mel [insoumis-energie] Fwd: Lien vers un article de Futura Sciences Date : Thu, 16 Sep 2021 23:37:08 +0200
Ndlr : cela change-t-il le fait que avec le changement climatique, c'est maintenant qu'il faut réduire drastiquement les émissions de GES ? Manifestement, non : trop tard, trop cher et trop lent... ?!
Rousselet Yannick a retweeté
ACRO @ACRO · 9h
Retrouvez l'@ACRO à Saint-Amand-en-Puisaye (58) samedi 26 septembre à propos du #tritium dans la #Loire et de l'entreposage des combustibles usés proche de la saturation. Détails
Flèche vers le bas
Rencontres : rejets radioactifs et piscine de combustibles (2020-09-26)
Pas de données
acro.eu.org - 0 - 2 - 4
État d'urgence - Écologie ; Nucléaire
" 40 ans ça suffit, débranchez la centrale nucléaire du Tricastin !" La formule claque sur les banderoles des anti-nucléaires rassemblés dans trois villes. A Lyon, Paris et Pierrelatte, à l'occasion de l'anniversaire du premier réacteur du Tricastin, des représentants des collectifs et associations écologistes sont venus protester contre un éventuel prolongement de son activité. Le Média était sur place.
Ils sont venus se rassembler simultanément, à Paris devant le siège d'EDF, à Lyon devant les locaux de la division territoriale de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) et à Pierrelatte devant la centrale nucléaire.
Une quinzaine de personnes, représentant chacune un collectif, une ONG ou une association, se retrouvent sur chaque site pour prendre de surprise les autorités et exiger l'arrêt du réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin. Vieille de 40 ans, elle est la première à avoir fait l'objet d'une quatrième visite décennale de l'ASN.
Ces rassemblements coïncident avec l'audition de l'ASN, qui présente à l'Assemblée Nationale les conclusions de son rapport annuel 2019. Le gendarme du nucléaire est revenu sur sa visite des installations du Tricastin et rappelle qu'il existe un risque spécifique lié aux tremblements de terre.
Ce risque, l'ASN l'exprimait déjà dans ses précédents documents, écrivant que "s'agissant de la digue protégeant la centrale nucléaire du Tricastin, EDF a mis en évidence, en 2017, un risque de rupture d’une de ses parties en cas de séisme de niveau SMS (Séisme Maximum de Sécurité) . L’inondation en résultant pouvait conduire à un accident de fusion du combustible nucléaire des quatre réacteurs de la centrale du Tricastin et aurait rendu particulièrement difficile la mise en œuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes." Des craintes qui poussent l'institution à exiger d'EDF le renforcement de la digue.
Sauf qu'il n'y a pas que les séismes qui menacent la sécurité du site nucléaire. La centrale du Tricastin, qui produit 5% de l'électricité du parc nucléaire français, est pointée du doigt pour sa vétusté et une mauvaise maintenance. Plusieurs enquêtes mettent en évidence des fuites, notamment du tritium. Des doses infimes de ce radio-élément sont présentes à l'état naturel. Or là, ce sont des doses plus importantes, reversées par la centrale, que détectent des experts de la radioécologie dans l'environnement Tricastin.
Autant d'éléments motivent les écologistes à exiger l'arrêt du plus vieux réacteur Tricastin. Mais leur revendications semblent inaudibles dans un climat tendu où les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) chargées de la protection des installations nucléaires sont intervenues lors du rassemblement devant la centrale.
Ces unités de contre-terrorisme sous contrôle tactique du GIGN ont même empêché les journalistes, dont Le Média, de réaliser des images de l'action ou des interviews sur place.
Contacté par Le Média, EDF n'a pas répondu à nos sollicitations.
Connu / https://twitter.com/RemikenzoPages/status/1272203744726462464
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Le Média a retweeté
Rémi-Kenzo @RemikenzoPages · 9h
Dernier reportage #etatdurgence de @LeMediaTV. Je suis parti dans le Tricastin, rencontrer différents acteurs de la filière nucléaire. J'ai couvert un rassemblement d'opposants au site nucléaire. Depuis longtemps je souhaite me pencher sur ce site décrié.
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Ndlr : /tritium cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?9MTgBQ
BlacK DooM il y a environ 2 jours #santé #écologie #sécurité #nucléaire https://www.lanceurdalerte.info/2020/01/25/tricastin-du-tritium-releve-dans-leau-de-la-centrale-nucleaire/
2 Julien Delalande yasuki_baba@pluspora.com
1 jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 22 heures
communiqué #CRIIRAD du 23 01(résumé par mes soins) -> https://diaspora-fr.org/posts/a37d46a0218601389fde0ee40d837481
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Dans un communiqué du 22 janvier 2020, EDF a révélé l’existence de nouvelles fuites de tritium dans la #nappe-phréatique. en cause «une tuyauterie défaillante ». L’entreprise ne précise pas s’il s’agit d’une tuyauterie usée par la corrosion, ce qui poserait d’autres questions quant à l’état général de la centrale. Ni pourquoi il n’y avait pas de dispositif de rétention sous ces tuyauteries? Dans tous les cas, cet évènement montre l’incapacité d’EDF à prévenir des fuites de substances radioactives dans l #environnement.
EDF a attendu 11 semaines avant de rendre l’information publique. Le niveau de contamination annoncé, 5300 Bq/l ,est plus de 2000 fois supérieur au niveau «normal» que l’on mesure en France dans les nappes non contaminées. En France, le rejet direct de substances radioactives dans les eaux souterraines est interdit…
EDF indique: «les valeurs en tritium relevées dans la nappe phréatique à l’extérieur de la centrale sont conformes aux valeurs habituellement observées» ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas de pollution, mais qu’elle est devenue chronique. (D’autre part, impossible de vérifier cette affirmation, en effet, les résultats de surveillance du tritium dans les eaux souterraines mis en ligne par EDF sont tous antérieurs au 30 octobre 2019.)
Les eaux contaminées par le tritium ont été pompées puis rejetées dans le canal de Donzère-Mondragon. Cela permet à EDF de transformer une fuite incontrôlée en un rejet «légal» puisqu’EDF dispose d’autorisations de rejets de tritium dans ce canal.
Ce type de fuite arrive malheureusement régulièrement sur le site du Tricastin… #eau #eau-potable #pollution #contamination #radioactivité
3 Jimmy Plusdeböhr - il y a environ 8 jours
A savoir : Tricastin a engagé ses travaux post-40-ans
Phil - il y a environ 8 jours
Au sujet des travaux et peut-être de la “nouvelle fuite de tritium” :
Depuis pas si longtemps que cela apparaît une question sur la délivrance de travaux à des sous-traitants (plus exactement la question est de plus en plus mise en évidence par le personnel des centrales)
C’est un fait que la démarche en elle-même (confier à des sous-traitants) représentait un cumule de pbs prévisibles et que l’origine de cette démarche était étroitement liée au principe d’une gestion d’activité par la dose (ce qui pourrait s’entendre) ou d’économie.
L’inconvénient ou la question, est que la perte de contrôle de l’efficacité de ces (ses) travaux ou maintenance, coupe le lien de confiance, entre le personnel et la (sa) centrale (qui petit à petit commence à douter de l’appareil de production). On parle là d’un lien organique, d’un pan de culture d’entreprise indispensable.
La confiance totale du personnel doit rester intact pour que sa réaction soit en concordance avec ce qui est attendu (ce qui est vrai dans toutes filières engageant la sûreté). Là, la condition première n’est plus vraie depuis quelques années.
jaune_lola@diaspora-fr.org
jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 8 jours
@Phil tout à fait !
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