Sept militants de Greenpeace ont été jugés pour avoir bloqué un camion de déchets radioactifs d'Orano près du site du Tricastin en novembre 2021. Ils devront payer entre 500 et 800 euros d'amende.
Connu / TG le 26/02/23 à 04:05
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Dans ce portrait-vidéo, nous vous proposons de découvrir le candidat de la 2e circonscription de la Drôme : Gilles Reynaud !
Il s'engage contre le nucléaire et se battra pour une convention collective pour ces salariés.
12 commentaires
emmanuelle legrand il y a 7 heures
Félicitations Gilles pour votre candidature✌Parfait et atout précieux, cette expertise sur la filière nucléaire et sur les conditions de travail effectives dans ces métiers👏🙏
Votons massivement pour la NUPES aux législatives
Durée de lecture : 13 minutes - Clés : Nucléaire
Un ancien membre de la direction de la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme) dénonce une « politique de dissimulation et de minimisation » des incidents de sûreté. Et assure qu’on l’a forcé à se taire.
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faire de la sûreté la priorité absolue afin de garantir la protection du public et de l’environnement.
Connu / tg 6/2/22 22:24
La centrale nucléaire de Tricastin, située dans la Drôme, fait partie des plus anciennes du parc nucléaire français. Nombreuses sont les inquiétudes la concernant, que ce soit dans les rangs des écologistes
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Connu / tg 30/01/22 à 9h06
Une énorme quantité de tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène, a été mesurée dans les eaux souterraines de l’unité de production d’électricité. EDF et l’autorité de sûreté assurent que la fuite est circonscrite. Mais les liquides contaminés de cette centrale, l’une des plus vieilles de France, se retrouvent inévitablement dans l’environnement.
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L’activité mesurée en décembre sous l’installation du Tricastin est donc au moins quatorze mille fois au-dessus du niveau normal. C’est exceptionnel. Et c’est d’autant plus impressionnant que la demi-vie du tritium est de 12,5 ans, durée nécessaire à cet élément pour perdre la moitié de sa radioactivité. Au bout de cette période, les 28 500 Bq/L deviennent 14 250 Bq/L, puis 7 125 Bq/L au bout de vingt-cinq ans, etc. Il faudra donc 175 ans pour que la radioactivité mesurée dans la fuite retrouve un niveau d’activité « naturel ».
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?i8rC9A
Temps de lecture : 2 min - 4 commentaires | Vu 21263 fois - Clés : Environnement Drôme
Une fuite de tritium a été détectée à la centrale nucléaire du Tricastin. EDF l’a révélée ce mardi 21 décembre après avoir déclaré quelques jours plus tôt, le 15 décembre, à l’autorité de sûreté nucléaire un « événement significatif pour l’environnement ».
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« 900 litres d’effluents », dont du tritium, ont fui pour se retrouver dans « une zone de collecte des eaux fluviales », avant d’atteindre, plusieurs jours plus tard, « les eaux souterraines de la nappe géotechnique interne ».
Des contrôles « quotidiens » ont indiqué qu’un pic de « l’activité en tritium » a atteint, le 12 décembre, pas moins de 28 900 becquerels par litre, unité qui mesure la radioactivité, en sachant que l’organisation mondiale de la santé fixe le seuil critique à 10 000 Bq/l lorsque du tritium se retrouve dans de l’eau potable, ce qui n’est pas le cas ici
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Ce n’est pas la première fois qu’une fuite de tritium est observée à la centrale du Tricastin. Cela avait été notamment le cas en novembre 2019, suite à une fuite sur la tuyauterie d’un réservoir d’effluents, mais aussi en juillet 2013.
Connu / https://twitter.com/RogerSpautz/status/1473364327444975624
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Tweet de Nucléaire-Sortie RogerSpautz @RogerSpautz · 21 déc.
A #Tricastin tout va bien. 40 ans ca suffit! - 1 - 15 - 14
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... cadre de la centrale nucléaire du Tricastin sollicite le statut de lanceur d’alerte ...
Connu / https://wegreen.fr/group/9876/home/publication/des-incidents-de-surete-dissimules-tricastin
"Christian ACKER • 12 Novembre 2021 • Public dans le groupe Nucléaire & Renouvelables - 2 commentaires - 2 j'aime - 43 vues"
Communiqué commun du Réseau "Sortir du nucléaire" et de Stop Tricastin
Ce 12 novembre 2021, Le Monde a dévoilé la plainte déposée par un cadre d’EDF au sujet d’une grave affaire de dissimulation d’informations et d’intimidation pour l’empêcher d’en faire état. Les faits évoqués dans cet article, qui traduisent le décalage entre la réalité du nucléaire et la communication lénifiante de cette industrie s’autoproclamant propre et sûre, ne doivent pas être considérés comme des cas isolés. Faisant écho à d’autres événements déjà survenus sur le parc nucléaire français, ils confirment l’impasse d’un système de contrôle de la sûreté reposant sur le postulat de la bonne foi de l’exploitant. Cette situation doit mener à s’interroger sur l’état réel des centrales françaises, alors qu’EDF entend les pousser coûte que coûte au-delà de leur durée de fonctionnement prévue.
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Notes
[1] Ainsi, en 2017, EDF a mis plus de 4 mois pour déclarer à l’ASN un défaut de tenue au séisme majoré de sécurité de la digue du Tricastin (Plus d’informations ici). Autre exemple plus récent : en septembre 2021, EDF a découvert "par hasard" à la centrale de Cruas (Ardèche) l’existence de rejets non autorisés d’acide sulfurique et de monochloramine dans des cours d’eau, qui avaient lieu depuis 2013. Les faits n’ont été déclarés que sous la pression de l’ASN. Plus d’informations ici
[2] Mentionnons les faits survenus en octobre 2019 à Golfech, où une négligence avait mené à une situation périlleuse lors de la vidange du circuit primaire
[3] Citons ainsi l’exemple de la cuve de l’EPR de Flamanville, au sujet de laquelle le président de l’ASN lui-même avait déclaré devant le Sénat le 30 novembre 2017 « Quand on fait les calculs, ça passe encore, pour faire simple, mais de manière relativement limite » ...
[4] C’est notamment dans ce cadre que notre association a publié en 2017 l’ouvrage La farce cachée du nucléaire, rédigé sous pseudonyme par un ancien travailleur de la filière, dévoilant un certain nombre d’incidents et malfaçons affectant le parc
Greenpeace France @greenpeacefr · 26 juin
[MOBILISATION] Tricastin, Cruas, Chinon, Gravelines, St-Laurent, Dampierre et le Blayais. Leur point commun ? Leurs réacteurs ont pour la plupart dépassés les 40 ans de fonctionnement. Désormais, les conséquences de leur vieillissement sont imprévisibles
Thread à dérouler Flèche vers le bas GIF via Poitiers
Citer le Tweet Greenpeace France @greenpeacefr · 23 juin Image
Le parc nucléaire Drapeau de la France a vieilli. D'ici 2025, ⅔ des réacteurs auront atteint l’âge de 40 ans, soit la durée de fonctionnement maximale pour laquelle ils ont été prévus et conçus. Voici 5 raisons de ne pas prolonger leur durée de vie Flèche vers la droite avec pointe vers le bas
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4 - 29 - 37
Signée par 42 255 pers.
Destinataire(s) : Madame Barbara Pompili (Ministre de la Transition écologique et solidaire) et Monsieur Bernard Doroszczuk (Président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire)
Tricastin est une centrale nucléaire à haut risque. Ensemble, exigeons du gouvernement et de l'Autorité de sûrété nucléaire une date de fermeture du réacteur n°1 de la centrale de Tricastin.
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après cet avis générique, un avis spécifique sera rendu réacteur par réacteur. Pour le réacteur N°1 de Tricastin, il sera rendu avant fin 2022 après une nouvelle enquête publique.
Le réacteur n°1 de Tricastin présente de graves déficits en matière de sûreté au regard des exigences françaises et internationales appliquées à l’heure actuelle et les conséquences d'un accident seraient considérables, mettant en péril les riverains, l'environnement et l'économie locale.
Au vu des défauts de sa cuve, des incertitudes et des risques, le réacteur n°1 de Tricastin ne doit pas recevoir l’autorisation de fonctionner au-delà de la quatrième visite décennale.
RESUME
Les 32 réacteurs nucléaires de 900 MW de puissance électrique qui équipent 8 des 18 centrales en fonctionnement d'EDF vont atteindre 40 ans de durée de fonctionnement sur la période 2019-2027 et auraient dû, selon les prévisions du début des années 2000, connaître alors leur arrêt définitif. Mais EDF a annoncé en 2008 son intention de prolonger cette durée de 10 ans, voire 20 ans.
... La quatrième visite décennale revêt une importance particulière car l'autorisation de la poursuite au-delà de 40 ans ne sera possible que si chaque réacteur respecte les exigences de l'ASN : assurer la conformité du réacteur au référentiel de sûreté, assurer la mise en œuvre complète des mesures « post-Fukushima » définies après la troisième visite décennale et apporter des améliorations au dispositif de sûreté afin de le rapprocher de celui de l'EPR.
Par rapport à ces enjeux, la présente note étudie le cas de la centrale du Tricastin dont le réacteur n°1 a été le premier à effectuer sa quatrième visite décennale (VD4) de juillet à décembre 2019.
Afin de permettre un jugement sur « l'état de santé » des réacteurs du Tricastin avant le « saut dans l'inconnu » que représenterait la poursuite du fonctionnement au-delà de 40 ans, la note dresse un inventaire des incidents de niveau 1 et 2 sur l'échelle INES advenus sur la période 2010-2020 et procède à leur analyse : 84 incidents ont été recensés, dont 2 de niveau 2, avec une pointe de 15 incidents en 2019. Un incident de niveau 2 est grave car il peut aboutir à une fusion du cœur et par conséquent à un accident grave ou majeur. La prise en compte du fait que certains incidents sont communs à plusieurs réacteurs porte le décompte total à 147 couples « incident-réacteur », dont l'incident de niveau 2 de 2011 pour les réacteurs 3 et 4 et celui de 2017 pour les 4 réacteurs. Le réacteur le plus touché est Tricastin 1, avec 43 incidents.
Les incidents sont de natures diverses et sont classés en cinq catégories : exploitation, maintenance, incident de radioactivité pour des travailleurs, équipements défaillants sans agression extérieure et équipements défaillants en cas de séisme. Les incidents d'exploitation sont les plus nombreux, chacun relatif à un seul réacteur et d'une régularité inquiétante, 3,5 en moyenne chaque année, la cause étant très généralement le non respect des règles d'exploitation. Viennent ensuite les incidents sans agression extérieure, les incidents de maintenance, de radioactivité et de défaillance d'équipements.
La note met en évidence l'importance particulière pour la centrale du Tricastin du risque d'accident en cas de séisme, révélé par des incidents répétés touchant un large éventail de dispositifs vitaux pour la sûreté des réacteurs : défaillance des diesels de secours (incident de niveau 2 en 2011 sur les réacteurs 3 et 4), de vannes, pompes, tuyauteries, ancrages, alimentation en eau et en électricité et même des matériels de contrôle-commande. En septembre 2017, un incident particulièrement grave de niveau 2, le risque de rupture de la digue du canal de Donzère-Mondragon, a conduit l'ASN à imposer l'arrêt des 4 réacteurs, le temps de réaliser les travaux nécessaires. L'ASN a imposé à EDF en septembre 2019 de nouveaux travaux de renforcement de la digue.
Les risques liés au séisme constituent une vulnérabilité inacceptable de la centrale du Tricastin d'autant plus que depuis le séisme du Teil en novembre 2019, de fortes incertitudes pèsent sur le niveau du séisme de référence sur lequel élaborer les exigences de sûreté.
La conjonction d'un mauvais état des réacteurs confirmé par l'analyse des incidents sur les dix dernières années, de la complexité technique et organisationnelle des quatrièmes visites décennales et d'un risque sismique majeur conduit à la conclusion que la centrale du Tricastin devrait être arrêtée après 40 ans de fonctionnement.
Connu / https://www.stop-tricastin.fr/actions-actus/ et https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?1KsOug
Ndlr : lire et valo ACT
Voir aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?vrEOsQ
Et
transcription dans index racine perso
Le procès du nucléaire : déconstruire une fausse solution, soutenir celles et ceux qui lancent l’alerte
=>
https://twitter.com/search?q=proc%C3%A8s%20du%20nucl%C3%A9aire&src=typed_query&f=live
&
https://www.facebook.com/events/1239470703084190/
&
https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/evenement/proces-du-nucleaire-dimanche-15-novembre-en-direct-live
&
https://www.greenpeace.fr/le-proces-du-nucleaire/
État d'urgence - Écologie ; Nucléaire
" 40 ans ça suffit, débranchez la centrale nucléaire du Tricastin !" La formule claque sur les banderoles des anti-nucléaires rassemblés dans trois villes. A Lyon, Paris et Pierrelatte, à l'occasion de l'anniversaire du premier réacteur du Tricastin, des représentants des collectifs et associations écologistes sont venus protester contre un éventuel prolongement de son activité. Le Média était sur place.
Ils sont venus se rassembler simultanément, à Paris devant le siège d'EDF, à Lyon devant les locaux de la division territoriale de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) et à Pierrelatte devant la centrale nucléaire.
Une quinzaine de personnes, représentant chacune un collectif, une ONG ou une association, se retrouvent sur chaque site pour prendre de surprise les autorités et exiger l'arrêt du réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin. Vieille de 40 ans, elle est la première à avoir fait l'objet d'une quatrième visite décennale de l'ASN.
Ces rassemblements coïncident avec l'audition de l'ASN, qui présente à l'Assemblée Nationale les conclusions de son rapport annuel 2019. Le gendarme du nucléaire est revenu sur sa visite des installations du Tricastin et rappelle qu'il existe un risque spécifique lié aux tremblements de terre.
Ce risque, l'ASN l'exprimait déjà dans ses précédents documents, écrivant que "s'agissant de la digue protégeant la centrale nucléaire du Tricastin, EDF a mis en évidence, en 2017, un risque de rupture d’une de ses parties en cas de séisme de niveau SMS (Séisme Maximum de Sécurité) . L’inondation en résultant pouvait conduire à un accident de fusion du combustible nucléaire des quatre réacteurs de la centrale du Tricastin et aurait rendu particulièrement difficile la mise en œuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes." Des craintes qui poussent l'institution à exiger d'EDF le renforcement de la digue.
Sauf qu'il n'y a pas que les séismes qui menacent la sécurité du site nucléaire. La centrale du Tricastin, qui produit 5% de l'électricité du parc nucléaire français, est pointée du doigt pour sa vétusté et une mauvaise maintenance. Plusieurs enquêtes mettent en évidence des fuites, notamment du tritium. Des doses infimes de ce radio-élément sont présentes à l'état naturel. Or là, ce sont des doses plus importantes, reversées par la centrale, que détectent des experts de la radioécologie dans l'environnement Tricastin.
Autant d'éléments motivent les écologistes à exiger l'arrêt du plus vieux réacteur Tricastin. Mais leur revendications semblent inaudibles dans un climat tendu où les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) chargées de la protection des installations nucléaires sont intervenues lors du rassemblement devant la centrale.
Ces unités de contre-terrorisme sous contrôle tactique du GIGN ont même empêché les journalistes, dont Le Média, de réaliser des images de l'action ou des interviews sur place.
Contacté par Le Média, EDF n'a pas répondu à nos sollicitations.
Connu / https://twitter.com/RemikenzoPages/status/1272203744726462464
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Le Média a retweeté
Rémi-Kenzo @RemikenzoPages · 9h
Dernier reportage #etatdurgence de @LeMediaTV. Je suis parti dans le Tricastin, rencontrer différents acteurs de la filière nucléaire. J'ai couvert un rassemblement d'opposants au site nucléaire. Depuis longtemps je souhaite me pencher sur ce site décrié.
1 - 18 - 21
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Ndlr : /tritium cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?9MTgBQ
BlacK DooM il y a environ 2 jours #santé #écologie #sécurité #nucléaire https://www.lanceurdalerte.info/2020/01/25/tricastin-du-tritium-releve-dans-leau-de-la-centrale-nucleaire/
2 Julien Delalande yasuki_baba@pluspora.com
1 jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 22 heures
communiqué #CRIIRAD du 23 01(résumé par mes soins) -> https://diaspora-fr.org/posts/a37d46a0218601389fde0ee40d837481
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Dans un communiqué du 22 janvier 2020, EDF a révélé l’existence de nouvelles fuites de tritium dans la #nappe-phréatique. en cause «une tuyauterie défaillante ». L’entreprise ne précise pas s’il s’agit d’une tuyauterie usée par la corrosion, ce qui poserait d’autres questions quant à l’état général de la centrale. Ni pourquoi il n’y avait pas de dispositif de rétention sous ces tuyauteries? Dans tous les cas, cet évènement montre l’incapacité d’EDF à prévenir des fuites de substances radioactives dans l #environnement.
EDF a attendu 11 semaines avant de rendre l’information publique. Le niveau de contamination annoncé, 5300 Bq/l ,est plus de 2000 fois supérieur au niveau «normal» que l’on mesure en France dans les nappes non contaminées. En France, le rejet direct de substances radioactives dans les eaux souterraines est interdit…
EDF indique: «les valeurs en tritium relevées dans la nappe phréatique à l’extérieur de la centrale sont conformes aux valeurs habituellement observées» ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas de pollution, mais qu’elle est devenue chronique. (D’autre part, impossible de vérifier cette affirmation, en effet, les résultats de surveillance du tritium dans les eaux souterraines mis en ligne par EDF sont tous antérieurs au 30 octobre 2019.)
Les eaux contaminées par le tritium ont été pompées puis rejetées dans le canal de Donzère-Mondragon. Cela permet à EDF de transformer une fuite incontrôlée en un rejet «légal» puisqu’EDF dispose d’autorisations de rejets de tritium dans ce canal.
Ce type de fuite arrive malheureusement régulièrement sur le site du Tricastin… #eau #eau-potable #pollution #contamination #radioactivité
3 Jimmy Plusdeböhr - il y a environ 8 jours
A savoir : Tricastin a engagé ses travaux post-40-ans
Phil - il y a environ 8 jours
Au sujet des travaux et peut-être de la “nouvelle fuite de tritium” :
Depuis pas si longtemps que cela apparaît une question sur la délivrance de travaux à des sous-traitants (plus exactement la question est de plus en plus mise en évidence par le personnel des centrales)
C’est un fait que la démarche en elle-même (confier à des sous-traitants) représentait un cumule de pbs prévisibles et que l’origine de cette démarche était étroitement liée au principe d’une gestion d’activité par la dose (ce qui pourrait s’entendre) ou d’économie.
L’inconvénient ou la question, est que la perte de contrôle de l’efficacité de ces (ses) travaux ou maintenance, coupe le lien de confiance, entre le personnel et la (sa) centrale (qui petit à petit commence à douter de l’appareil de production). On parle là d’un lien organique, d’un pan de culture d’entreprise indispensable.
La confiance totale du personnel doit rester intact pour que sa réaction soit en concordance avec ce qui est attendu (ce qui est vrai dans toutes filières engageant la sûreté). Là, la condition première n’est plus vraie depuis quelques années.
jaune_lola@diaspora-fr.org
jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 8 jours
@Phil tout à fait !
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