Connu / TG le 16/05/24 à 14:20
Nucléaire : neuf réacteurs pourraient être particulièrement difficiles à prolonger jusqu’à 60 ans
Dans un avis préliminaire, l’Autorité de sûreté nucléaire appelle EDF à étudier « deux sujets techniques prioritaires »
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Connu / TG le 16/06/23 à 15:04
Nucléaire : l'ASN juge prématuré d'envisager un fonctionnement des réacteurs français jusqu'à 60 ans
Il est trop tôt pour envisager un prolongement à soixante ans du parc nucléaire. D'autant que certaines pièces présentent des faiblesses (cinq réacteurs sont déjà sur la sellette). La centrale de Cruas est, pour sa part, menacée par le risque sismique.
Energie | 15.06.2023 | P. Collet
Connu / TG le 16/06/23 à 10:05
56 d’entre eux présentaient des traces de contamination, à des niveaux bien en deçà de la limite réglementaire, fixée à 20 millisieverts. (incident 01/2023) ...
Le 17 janvier 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Civaux a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN)
Connu / TG le 14/06/23 à 20:42
La demande d'autorisation, par EDF, de la mise en service du réacteur à eau pressurisée (EPR2) constituant la troisième ...
Connu / TG le 05/06/23 à 16:39
La participation du public pour le projet de mise en service du réacteur EPR de Flamanville, avec mise à ...
Connu / TG le 05/06/23 à 17:40
ndlr : répondu CONTRE / anthropocène : coopération, sobriété, pas énergie abondante et bon marché etc
Connu / https://savoie-antinucleaire.fr/2023/05/18/civaux-detection-tardive-de-limplantation-de-parametres-errones-dans-le-systeme-de-mesure-de-la-puissance-nucleaire-du-coeur-rpn/
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Mai 18 Classé dans Nouvelles de France
Le 11 mai 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Civaux a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif à la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans les systèmes RPN, cumulée à un défaut sur un capteur de pression d’un générateur de vapeur. En application des règles générales d’exploitation, cette situation a conduit EDF à replier le réacteur 2 le temps de corriger ces défauts.
Le système de mesure de la puissance nucléaire (RPN) permet d’assurer la surveillance permanente de la puissance du réacteur. En cas d’anomalie, ce système peut déclencher des alarmes en salle de commande ou l’arrêt automatique du réacteur.
Le 31 janvier 2023, une modification de paramètres informatiques a entraîné une erreur de calibration du système RPN. Cette erreur a été détectée par l’exploitant le 9 mai 2023.
Le même jour, de manière indépendante mais concomitante, le signal d’un capteur de pression d’un générateur de vapeur a été mis en défaut. L’exploitant a engagé le repli du réacteur conformément à la conduite à tenir prévue par les règles générales d’exploitation (RGE) en cas de cumul d’événements de ce type, pour corriger les défauts rencontrés.
Cet événement n’a pas eu de conséquence sur les personnes et l’environnement. Toutefois, il a affecté la fonction de sûreté liée à la maîtrise de la réactivité. En raison de la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans le système de mesure de la puissance nucléaire du cœur, cet événement a été classé au niveau 1 de l’échelle INES (échelle internationale des événements nucléaires et radiologiques, graduée de 0 à 7 par ordre croissant de gravité).
Le jour même, l’exploitant a implanté temporairement un facteur de pénalisation dans le calcul des marges de pilotage et il a basculé le suivi de la pression du générateur de vapeur vers des capteurs redondants, puis il a repris la production d’électricité. Le 12 mai, l’exploitant a implanté les paramètres corrects de calibration du système RPN.
Par ASN, publié le 17 mai 2023
Clés calibration, Civaux, cœur, détection tardive, erreur, erronés, implantation, mesure, niveau 1, nucléaire, paramètres, puissance, réacteur
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Réuni par l’ASN entre 2017 et 2021, le groupe de travail du Comité d’orientation sur les facteurs sociaux, organisationnels et humains (COFSOH) sur les ...
Connu / TG le 04/04/23 à 11:34
6781 ont interpelé leur député
Lundi 6 mars 23h, les députés de la Commission des Affaires économiques ont adopté à la va-vite deux amendements conduisant à fusionner l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN). En séparant la recherche et l’expertise qui incombait à l’IRSN de la décision administrative prise par l’ASN, ce dispositif institutionnel limitait les pressions du contrôlé, EDF, sur le contrôleur, l’IRSN.
Cette décision irréfléchie, prise dans le cadre d’un projet de loi de relance du nucléaire cherche à diminuer les exigences en matière de sécurité afin d’accélérer la construction des centrales atomiques programmées par le Gouvernement.
La dualité de l’IRSN et de l’ASN est un système qui a fait ses preuves au cours du temps. Une nouvelle fissure a été découverte à la centrale nucléaire de Penly le mardi 7 mars. Celle-ci serait de 1500mm de large et de 23mm de profondeur, bien plus grande que les micros-fissures découvertes détectées sur d’autres réacteurs plus tôt. C’est à partir de cette expertise que l’ASN a sommé EDF de « réviser sa stratégie de contrôle » car cette fissure affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur.
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Nous appelons les députés à revenir sur la décision de fusionner l’IRSN et l’ASN, qui risquerait de causer un affaiblissement de l’expertise, ce qui mettrait en péril la robustesse, l’indépendance et la transparence nécessaires à la prise de décisions solides en matière de sûreté et de sécurité. Dès lundi 13 mars, les députés auront à voter définitivement cette fusion en séance plénière.
Sans une mobilisation citoyenne d’ampleur, les députés vont fragiliser notre système de sûreté nucléaire au détour d’une loi de relance du nucléaire.
Le 6 mars 2023, EDF a transmis à l’Autorité de sûreté nucléaire une mise à jour de sa déclaration ...
Connu / TG le 07/03/23 à 22:09
Autorité de sûreté nucléaire (ASN) EDF Réservé aux abonnés - 1 min. de lecture
Une importante fissure par corrosion sous contrainte a été détectée sur le circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly. Dans une note publiée mardi 7 mars, l’Autorité de sûreté nucléaire ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» en matière de contrôle et de réparation.
La fissure s’étend sur 155 mm et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm, explique l'ASN.
Nouveau coup dur pour EDF. L’énergéticien a décelé une fissure par corrosion sous contrainte sur un circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly, située en Seine-Maritime, a-t-on appris dans une note d’information publiée sur le site web de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) mardi 7 mars.
«La fissure s’étend sur 155 mm, soit environ le quart de la circonférence de la tuyauterie, et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm», détaille l’ASN qui ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» de contrôle et de réparation. L’autorité classe au niveau 2 sur l’échelle de l’INES (qui comporte 8 niveaux de gravité, de 0 à 7) cet incident qui «affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur» et augmente «la probabilité d’une rupture».
Une double réparation jugée responsable
Le gendarme du nucléaire explique que la ligne située en branche chaude du système d’injection de sécurité près de laquelle se trouve la fissure était considérée par EDF comme non sensible à la fissuration par corrosion sous contrainte. Toutefois, l’ASN note que la double réparation de la soudure subie lors de la construction du réacteur est de nature à «modifier ses propriétés mécaniques et les contraintes internes du métal au niveau de cette zone».
EDF explique, dans une note publiée sur son site internet le 24 février, que le défaut a été détecté lors d’une expertise qui visait à contrôler cette soudure. La fissure aurait été générée, selon le fournisseur d’électricité, lors des «opérations ciblées de «double réparation» lors du premier montage des tuyauteries».
Ce nouveau défaut représente une très mauvaise nouvelle pour le parc nucléaire français et son gestionnaire qui a accusé une perte financière record en 2022. L'année a été marquée par les mises à l’arrêt de nombreux réacteurs (dont Penly 1) en raison du phénomène de corrosion sous contrainte qui a forcé EDF à réaliser des opérations de contrôle et de réparations de grande ampleur, menaçant l'approvisionnement électrique français.
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Le gouvernement a annoncé son intention de fusionner l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), son bureau d’expertise technique, dans une ...
Connu / TG le 26/02/23 à 03:57
Electricité Autorité de sûreté nucléaire (ASN) - 1 min. de lecture
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L’Autorité de sûreté nucléaire considère les résultats des premières analyses effectuées par EDF pour mieux cerner le phénomène de corrosion sous contrainte affectant ses réacteurs «encourageants». Mais reste vigilante face à des connaissances qui restent «évolutives».
Réservé aux abonnés
L'Autorité de sûreté nucléaire rend ses conclusions sur la gestion des déchets radioactifs
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a publié lundi son avis sur les déchets les plus radioactifs, relativisant l'intérêt de l'entreposage temporaire à faible profondeur et jugeant pas crédible la piste de la possible transmutation des déchets.
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Ndlr : parle plus bas de "transmutation" : encore une solution magique ?
Durée de lecture : 4 minutes - Clés : Nucléaire, Déchets nucléaires
Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a décrit le 19 janvier les « fragilités du cycle du combustible et du parc nucléaire ». Il a ouvert l’hypothèse d’arrêter à terme le retraitement des combustibles usés, une particularité de l’industrie française.
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Bernard Doroszczuk ... la France est le seul pays, avec la Russie, à retraiter les combustibles usés sortis des réacteurs nucléaires. Lancé dans les années 1960, cette série très lourde d’opérations visait à isoler le plutonium, matière indispensable à la fabrication des bombes atomiques. Depuis, le besoin est devenu moins pressant. Mais alors que presque tous les autres pays recourant au nucléaire ont arrêté le retraitement (États-Unis, Royaume-Uni) ou ne l’ont jamais mis en œuvre (Allemagne, Japon, Belgique, Suède, Finlande, etc.), la France a continué. Résultat : au lieu d’avoir une seule catégorie de déchets radioactifs, les combustibles usés, elle a en toute une série. Chacun pose un difficile problème de gestion : plutonium (on n’arrive pas à utiliser tout le stock), actinides mineurs, uranium de retraitement, Mox usé, etc. En évoquant la fin du retraitement, M. Doroszczuk s’attaque donc à une vache sacrée des nucléaristes français.
...
plusieurs de ses maillons sont engorgés :
• la piscine de l’usine de La Hague (Manche), dans laquelle sont stockés pour l’instant les combustibles usés, arrive à saturation ;
• l’usine Melox d’Orano, dans laquelle on recycle une partie du plutonium pour en faire du combustible, dit Mox, marche très mal : « Nous avons trop de pannes. L’an dernier, nous avons produit entre 50 et 60 tonnes alors que le carnet de commandes affiche 120 tonnes par an », a dit à Usine Nouvelle Régis Faure, porte-parole du site Orano Melox ...
• enfin, a révélé le président de l’ASN, « la corrosion plus rapide que prévu des évaporateurs de l’usine d’Orano La Hague fragilise les capacités de retraitement ».
Il recommande donc d’anticiper la crise, et soit de choisir la poursuite du retraitement, soit son arrêt. Dans les deux cas, cela impliquera des investissements très conséquents, auxquels il faut réfléchir dès maintenant.
« Un accident nucléaire est toujours possible »
... il n’est pas du tout acquis que les réacteurs pourront fonctionner au-delà de cinquante ans, a indiqué M. Doroszczuk. Et la filière manque de compétences, tant pour gérer le parc actuel et son démantèlement à venir que la gestion des déchets : il faudrait « former 4 000 ingénieurs par an ». On en est loin.
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de l’anticipation. »
Connu/ TG 21/1/22 17h52
... Sur les 56 réacteurs de notre parc, 40 produisent actuellement du courant et 16 sont en maintenance. L’énergie nucléaire se révèle capricieuse, difficile à gérer, en plus de ses tares fondamentales : chère, dangereuse et polluante.
...
De source EDF, ASN (autorité de sûreté nucléaire), IRSN (institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), on sait que :
Sur la tranche n°1 de Civaux, en visite décennale, les inspections de routine aux ultra-sons ont révélé la présence de fissures sur des soudures de coudes. Il s’agit de tuyaux de refroidissement connectés au circuit primaire. En cas de rupture, une brèche pourrait se produire et provoquer un manque de refroidissement du cœur…et au pire un accident majeur. Pour pallier ce dysfonctionnement, EDF entreprend le remplacement de 4 coudes, ce qui va repousser le redémarrage de la tranche à fin avril 22.
Sur la tranche n°2 de Civaux, inspectée en urgence, les mêmes défauts sont apparus. Le cœur du réacteur a été déchargé pour permettre le dépannage qui doit se terminer fin mars 22.
La centrale de Chooz vient d’être stoppée pour vérifier les mêmes soudures. On saura prochainement si le défaut est véritablement générique.
Pourquoi des fissures sur ces soudures spécifiques ?
... corrosion sous contrainte
...
questionnement indispensable pour évaluer la gravité de l’incident avec justesse et son impact sur la sûreté des installations. Il a été soumis à EDF. On attend les réponses avec impatience et intérêt.
guide très complet établi par les ingénieurs de l'ASN selon mel [insoumis-energie] Inondation des centrales nucléaires en bord du Wed, 20 Oct 2021 14:45:18 +0200
Ndlr : date ? ACT
Temps de lecture : 3 min | | Vu 414 fois
Le physicien Thierry de Larochelambert a présenté, ce mardi devant la Clis, son projet de recherche sur le vieillissement des aciers du réacteur n°1 de Fessenheim. Pas indispensable, estime l’Autorité de sûreté.
Rousselet Yannick @plutonyck · 16 juil.
asn.fr - 0 - 2 - 2
État d'urgence - Écologie ; Nucléaire
" 40 ans ça suffit, débranchez la centrale nucléaire du Tricastin !" La formule claque sur les banderoles des anti-nucléaires rassemblés dans trois villes. A Lyon, Paris et Pierrelatte, à l'occasion de l'anniversaire du premier réacteur du Tricastin, des représentants des collectifs et associations écologistes sont venus protester contre un éventuel prolongement de son activité. Le Média était sur place.
Ils sont venus se rassembler simultanément, à Paris devant le siège d'EDF, à Lyon devant les locaux de la division territoriale de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) et à Pierrelatte devant la centrale nucléaire.
Une quinzaine de personnes, représentant chacune un collectif, une ONG ou une association, se retrouvent sur chaque site pour prendre de surprise les autorités et exiger l'arrêt du réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin. Vieille de 40 ans, elle est la première à avoir fait l'objet d'une quatrième visite décennale de l'ASN.
Ces rassemblements coïncident avec l'audition de l'ASN, qui présente à l'Assemblée Nationale les conclusions de son rapport annuel 2019. Le gendarme du nucléaire est revenu sur sa visite des installations du Tricastin et rappelle qu'il existe un risque spécifique lié aux tremblements de terre.
Ce risque, l'ASN l'exprimait déjà dans ses précédents documents, écrivant que "s'agissant de la digue protégeant la centrale nucléaire du Tricastin, EDF a mis en évidence, en 2017, un risque de rupture d’une de ses parties en cas de séisme de niveau SMS (Séisme Maximum de Sécurité) . L’inondation en résultant pouvait conduire à un accident de fusion du combustible nucléaire des quatre réacteurs de la centrale du Tricastin et aurait rendu particulièrement difficile la mise en œuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes." Des craintes qui poussent l'institution à exiger d'EDF le renforcement de la digue.
Sauf qu'il n'y a pas que les séismes qui menacent la sécurité du site nucléaire. La centrale du Tricastin, qui produit 5% de l'électricité du parc nucléaire français, est pointée du doigt pour sa vétusté et une mauvaise maintenance. Plusieurs enquêtes mettent en évidence des fuites, notamment du tritium. Des doses infimes de ce radio-élément sont présentes à l'état naturel. Or là, ce sont des doses plus importantes, reversées par la centrale, que détectent des experts de la radioécologie dans l'environnement Tricastin.
Autant d'éléments motivent les écologistes à exiger l'arrêt du plus vieux réacteur Tricastin. Mais leur revendications semblent inaudibles dans un climat tendu où les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) chargées de la protection des installations nucléaires sont intervenues lors du rassemblement devant la centrale.
Ces unités de contre-terrorisme sous contrôle tactique du GIGN ont même empêché les journalistes, dont Le Média, de réaliser des images de l'action ou des interviews sur place.
Contacté par Le Média, EDF n'a pas répondu à nos sollicitations.
Connu / https://twitter.com/RemikenzoPages/status/1272203744726462464
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Le Média a retweeté
Rémi-Kenzo @RemikenzoPages · 9h
Dernier reportage #etatdurgence de @LeMediaTV. Je suis parti dans le Tricastin, rencontrer différents acteurs de la filière nucléaire. J'ai couvert un rassemblement d'opposants au site nucléaire. Depuis longtemps je souhaite me pencher sur ce site décrié.
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Ndlr : /tritium cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?9MTgBQ