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18 h Petimiti @petimiti
Le juge saisi des viols à Betharram : « En 1998, j’ai confirmé à François Bayrou que les faits étaient patents et établis »
Mediapart · 19 h
Le juge saisi des viols à Bétharram : « En 1998, j’ai confirmé à François Bayrou que les faits étaient patents et établis »
Par David Perrotin
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modifié à 7h42.
Justice
En poste à Angoulême depuis un an, Sébastien Filhouse est chargé du suivi des condamnés. Photo Phil Messelet
Juge d'application des peines, chargé du suivi des condamnés, Sébastien Filhouse participera ce soir à un débat sur la récidive.
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D'un côté on exhorte les magistrats à être plus sévères et à prononcer des peines plancher. De l'autre, on leur demande d'aménager les peines au maximum jusqu'à deux ans d'emprisonnement. C'est de la schizophrénie?
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le Spip [Service pénitentiaire d'insertion et de probation, NDLR] qui le suivait, le médecin coordinateur. On l'a maintenu sous pression et pendant un an, il n'a commis aucune infraction grave. On ne se contente pas d'octroyer des aménagements. On révoque des sursis aussi. Chaque mois, j'en révoque 25 en moyenne parce que le condamné n'a pas respecté ses obligations.
À vos yeux, quels sont les meilleurs outils pour prévenir la récidive?
La rapidité du traitement de l'infraction et la rapidité de l'application de la peine. Si on met six mois à traiter une infraction, ça perd de son sens.
Quelle est l'efficacité des initiatives prises en milieu carcéral, comme la volonté de permettre aux détenus de passer le code en maison d'arrêt ou celle de mettre en place des bourses pour qu'ils retournent à l'école au lieu de privilégier les ateliers rémunérés?
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Le tribunal correctionnel de Niort est placé sous haute surveillance depuis ce vendredi matin. Neuf ...
Connu / TG le 08/09/23 à 23:27
1 829 ont signé
karine TRAPP a lancé cette pétition adressée à Juge des Enfants à Nîmes Mme LALANDE (Gard - 30) et à 9 autres
Pour suivre l’évolution de notre situation depuis la mise en ligne de cette pétition en janvier 2020: Chaîne Youtube : Karine Trapp / Facebook profil « Karine Trapp Noah Samuel » et groupe « Samuel 5 ans Noah 10 ans » / Contacter 06 21 92 69 62 ou karinetrapp48@gmail.com et samuel3ansnoah8ans.fr
Concernant les placements abusifs d'enfants voir: Sur francesoir.fr tribune "Enfance : Un Collectif de professionnels dénonce la maltraitance de la justice" publiée en novembre 2020 / Site internet " lenfanceaucoeur.org " / Chaines Youtube :"Grain d’Sable" et " Non, pas ça " luttant contre les placements abusifs et la pédocriminalité
Texte la pétition de janvier 2020:
Pétition mise en ligne pour tenter de rétablir la situation inhumaine et illégale de mes 2 enfants et moi
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Connue / mel de dgr
*sÉRIEUX ? Approfondir ACT
Clés : Coronavirus ; Justice
L’histoire retiendra-t-elle que l’épidémie de COVID-19 a été un moment-clé dans un processus de basculement autoritaire de la société française ? De fait, ces dernière semaines, l’attention de l’opinion publique française a surtout été captée sur la crise sanitaire, et sur la sordide comptabilité des morts. Certes, les images de violences policières “radicales” continuaient de se propager sur les réseaux sociaux en plein confinement. Mais ce n’était manifestement que la face émergée de l’iceberg. C’est en tout cas ce que pense Raphaël Kempf.
Raphaël Kempf est avocat au barreau de Paris, spécialisé en droit pénal, auteur du livre “Ennemis d’état” paru aux Editions La Fabrique. Il est aussi auteur d’un article intitulé "Et le gouvernement décida de confiner les libertés", paru dans la dernière édition du Monde Diplomatique. Pour lui, le choix du gouvernement, qui a été celui d’installer un état d’urgence, comme après des attentats terroristes, ne s’imposait pas. Et ce choix a accouché de nombreuses violations de nos droits fondamentaux. Il pointe notamment la prolongation administrative de la détention provisoire pour les prévenus. Pendant le confinement, explique Raphaël Kempf, la police a été mise en situation de fabriquer la loi et d’exercer la justice. Un confinement qui est en train d’être progressivement levé, alors que l’état d’urgence sanitaire demeure. Pour éviter une seconde vague, le gouvernement a mis en place des dispositifs de traçage du virus, comme l’application StopCovid et les bridages sanitaires. Pour Raphaël Kempf, ces dispositifs sont de vraies menaces pour les libertés publiques.
Aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Gh1n-A
prolong(ation)(é)(e)(ment)(s) arbitr(a)(g)(é)(ir)(e)(s)