OC avec AFP
Il s'associe au fonds d'investissement Otium Capital pour lancer Alfeor, un équipementier du nucléaire français qui s'est donné pour objectif de rassembler des PME sous-traitantes de la filière.
"Les équipes du Made in France", entreprise d'Arnaud Montebourg, et le fonds d'investissement Otium Capital ont annoncé mercredi le lancement d'Alfeor, un équipementier du nucléaire français qui s'est donné pour objectif de rassembler des PME sous-traitantes ... fédérer au sein d'une entreprise de taille intermédiaire indépendante leurs savoir-faire à haute technicité et à forte valeur ajoutée", tels que la chaudronnerie, l'usinage et les contrôles non destructifs.
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Connu / TG le 28/09/23 à 18:12
L’Université des Métiers du Nucléaire présente son plan d’actions compétences pour la filière nucléaire française | Mon Avenir dans le Nucléaire
Découvrez les formations et les métiers du nucléaire. La filière offre des opportunités en France
Connu / TG le 27/06/23 à 10:27
Transport de l’uranium naturel, importations d’uranium enrichi… L’ONG Greenpeace détaille, dans un ...
Connu / TG le 17/04/23 à 13:35
Énergies Enquête
Cheffe de file de la majorité présidentielle sur le nucléaire, la nouvelle députée était salariée d’EDF jusqu’à son entrée au Parlement. Quand on a le pouvoir de voter la loi et de représenter la nation, où passe la ligne rouge entre biais professionnel, interférence, conflit d’intérêts et intérêt général ?
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Le 28 décembre dernier, la députée faisait partie de la délégation de parlementaires qui a visité la centrale de Flamanville, ainsi que le chantier du réacteur pressurisé européen (l’EPR) sur place. Dix jours plus tôt, EDF avait annoncé un nouveau retard pour ce chantier cauchemardesque (douze ans de retard, 10 milliards d’euros de dérapage).
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défendre la filière nucléaire
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corapporteuse du projet de loi sur le nouveau nucléaire, qui doit entrer en discussion à l’Assemblée en mars – et au Sénat dès la semaine prochaine. Ancienne salariée du seul exploitant de centrales nucléaires en France, elle participerait à l’écriture d’une loi dont EDF serait le grand bénéficiaire. On ne peut s’empêcher de s’interroger : Maud Bregeon est-elle en conflit d’intérêts ?
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Poussée par le programme de nouveau nucléaire français, Framatome prévoit 100 millions d’euros d’investissements pour son site du Creusot (Saône-et-Loire). Cette enveloppe comprend notamment un nouveau bâtiment pour réaliser les internes de cuves à partir de l’été 2026 et un centre d’usinage et de soudage. Elle s’accompagnera de 70 nouveaux emplois directs sur le site.
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Laurent Gless, directeur du site Framatome au Creusot (Saône-et-Loire)
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Le site fabriquait déjà les composants carbone et inox des îlots nucléaires pour les générateurs, les pompes ou encore le circuit primaire. Avec les internes de cuves, ensemble d’équipements pour maintenir les éléments combustibles dans la cuve du réacteur, le site du Creusot assurera la chaîne de production d’un bout à l’autre. «Les nouveaux équipements nous amèneront à fabriquer près de 8 000 articles par EPR, à les usiner, les souder, les assembler… depuis le Creusot», détaille le responsable.
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La filière nucléaire tente de recruter de la main-d’œuvre. Le défi s’annonce de taille, tant les conditions de travail difficiles des salariés
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Connu / TG le 06/03/23 à 11:12
340 signatures
Soutenez Catherine F. en signant cette pétition.
Destinataire(s) : Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs
Campagne lancée par FNE Normandie, Stop EPR, Sortir du Nucléaire, ATTAC Dieppe, Enercoop Normandie
Vous allez prochainement vous positionner sur le futur énergétique de la France dans le cadre de la révision de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) début 2023, et donc sur la relance ou non de la filière nucléaire française.
Les raisons de refuser l’implantation de ces EPR2 sur notre territoire et partout ailleurs sont nombreuses :
⚠️ Le nucléaire est hors délai, impuissant et fragile face au dérèglement climatique : au moins 15 ans à 20 ans pour construire un réacteur alors que nous devons agir dès maintenant.
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⚠️ Ne misons pas sur une énergie dont l’approvisionnement en uranium nous fait dépendre de pays comme la Russie à qui on continue d’acheter de l’uranium enrichi en temps de guerre en Ukraine.
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nous exigeons :
✔️ L’abandon du projet EPR2 : ni à Penly ni ailleurs,
✔️ Le respect de la Convention d’Aarhus, pour que le public puisse exercer une RÉELLE influence sur les décisions en matière d’environnement,
✔️ Une vraie indépendance énergétique grâce à l’abandon des énergies fissiles et fossiles remplacées par de la sobriété, de l’efficacité énergétique et des renouvelables pour favoriser une transition énergétique respectueuse de notre environnement et inséparable de la justice sociale.
Connue / https://actionpopulaire.fr/messages/3f011e4b-1ac9-4bca-803b-ffa6896ef2dd/
Entretien avec le sociologue Martin Denoun, qui a soutenu en novembre 2022 à l’EHESS une thèse sur l’évolution des visions du futur dans la filière nucléaire française.
https://www.theses.fr/s135182
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Ce que j’appelle le « régime de sauvetage » consiste en la maintenance des conditions minimales d’existence de l’infrastructure nucléaire. Sa progression graduelle, entamée à partir du début des années 1980, puis de manière plus sévère au tournant des années 2000, embarque les acteurs de l’industrie dans un nouveau questionnement et dans des incertitudes ... l’arrêt en 2019 du programme « Astrid », point de départ de ma thèse, a pu être interprété comme l’écroulement des derniers résidus du régime de salut et d’indépendance énergétique. Le travail sur l’expérimentation et le prototypage d’une technologie de réacteur à neutrons rapides, refroidi au sodium, était vu comme un horizon dont la mise en place n’a cessé d’être repoussée dans le temps.
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aller au-delà des réacteurs et s’intéresser à l’infrastructure du combustible, qui a été invisibilisée
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alors que les critiques contre le nucléaire soulignaient son effet d’étouffement d’alternatives possibles, désormais le nucléaire est défendu comme une énergie qu’il faut sauver en raison de sa capacité à être complémentaire à l’intermittence des renouvelables pour la décarbonation de son mix électrique.
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L’Ademe, autre acteur qui est monté en puissance, a aussi produit des scénarios pour atteindre la neutralité carbone. Puis, à l’occasion du débat national sur la transition énergétique, d’autres acteurs du secteur comme EDF, RTE, ou le CEA, des chercheurs universitaires et même des administrations centrales ont été sollicités afin de multiplier des scénarios alternatifs. Et cela en dit beaucoup sur les visions du futur mises à l’œuvre dans ce type de travaux : il est notamment demandé à la filière d’explorer et de scénariser les conditions de la fin du nucléaire, et donc de penser ses dysfonctionnements. Ces scénarios sont pris dans une tension habituelle chez les gouvernants : ils représentent à la fois une contrainte avec laquelle il faut composer, un appui pour défendre certaines positions et un moyen d’intégrer des discours critiques.
Connu / TG du 27/01/23 à 13:20
Clés : Enquête EDF Framatome Organisation industrielle
Comment EDF a remis sur les rails la filière nucléaire française... et la prépare à bâtir des EPR2
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En trois ans au lieu de deux, le plan Excell de reconquête dans la confiance dans la filière nucléaire d’EDF a presque atteint son objectif: être prêt à construire de nouveaux réacteurs en France. Retour sur cet immense chantier, et les défis qu'il reste à relever.
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Aurélie Barbaux
18 Novembre 2022 \ 08h00
7 min. de lecture
Comment EDF a remis sur les rails la filière nucléaire française... et la prépare à bâtir des EPR2
© EDF Energy
Le plan Excell d'EDF ne vise pas seulement à remettre la filière nucléaire française sur les rails pour construire les EPR2 en France, mais à éviter de nouveaux dérapages sur le chantier d'Hinkley Point C au Royaume-Uni.
Trois ans après son lancement en décembre 2019 par Jean-Bernard Levy, c’est l’heure du bilan pour le plan Excell d’EDF, qui vise à assurer la reconquête de la confiance dans la filière nucléaire. Et il semble plutôt positif. «Malgré le contexte énergétique, qui pourrait rendre mes propos décalés, Excell, c’est puissant et progressivement, cela délivre», assure Alain Tranzer, un ancien de PSA (désormais Stellantis) arrivé fin avril 2020 au poste, nouvellement créé alors chez EDF, de délégué général à la qualité industrielle et aux compétences nucléaires. Seuls quatre des 30 objectifs fixés ne sont pas complètement atteints. «Un coup de collier reste à donner», convient celui qui assure sa mise en oeuvre d'Excell.
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Chercher quelqu'un qui l'est ACT
Un transport de combustible Mox va prochainement partir du port de Cherbourg (Manche), vers la centrale de Takahama au Japon. Le tribunal a interdit toute action de blocage.
Comme l’année dernière, le port de Cherbourg sera le point de départ d’un convoi de Mox en direction du Japon. (©Jean-Paul BARBIER/La Presse de la Manche)
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Connu / tg 3/9/22 à 17:32
Greenpeace dénonce le double discours d’E. Macron qui ferme les yeux sur le business nucléaire avec la Russie
Au lendemain des déclarations d’Emmanuel Macron exhortant la communauté internationale à n’avoir “aucune faiblesse, aucun esprit de compromission” face à la Russie et appelant les Français à accepter de payer le “prix de la liberté” pour l’Ukraine, la France continue à importer massivement du combustible nucléaire en provenance de Russie.
Hier matin au port de Dunkerque, 52 fûts (des enveloppes de type 30B) contenant de l’uranium enrichi ont été déchargés du cargo Mikhail Dudin en provenance de Saint-Pétersbourg. Ils ont ensuite été chargés dans des camions qui ont pris la direction de la vallée du Rhône, où se trouvent les sites nucléaires de Pierrelatte et de Romans-sur-Isère.
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Yannick Rousselet
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Dans sa note L’industrie nucléaire française, une alliée du régime de Vladimir Poutine, publiée en mars dernier, Greenpeace France démontrait les interdépendances entre les filières nucléaires française et russe à tous les niveaux de la chaîne de cette industrie, de l’extraction de l’uranium au retraitement du combustible usé, de la construction des centrales à leur exploitation. EDF et Orano ont été mis en demeure pour leur coopération avec Rosatom qui occupe et gère illégalement la centrale ukrainienne de Zaporijia en violation du droit international. Greenpeace demande l’arrêt du commerce et des contrats entre les industries nucléaires française et russe.
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Dans ce portrait-vidéo, nous vous proposons de découvrir le candidat de la 2e circonscription de la Drôme : Gilles Reynaud !
Il s'engage contre le nucléaire et se battra pour une convention collective pour ces salariés.
12 commentaires
emmanuelle legrand il y a 7 heures
Félicitations Gilles pour votre candidature✌Parfait et atout précieux, cette expertise sur la filière nucléaire et sur les conditions de travail effectives dans ces métiers👏🙏
Votons massivement pour la NUPES aux législatives
Les problèmes sur l'EPR TAISHAN 1 pourraient avoir de lourdes conséquences sur la filière EPR
@fondarespublica 11h
⚡Cédric Lewandowsksi, directeur exécutif d'@EDFofficiel, publie dans la collection "Que sais-je ?" un livre sur le nucléaire. Il livre les détails de sa vision de cette source d'énergie dans un entretien au @FigaroVox
.Symbole du lien
Cédric Lewandowski: «Il n'y aura pas de victoire dans la lutte contre le changement climatique sans...
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans son ouvrage Le Nucléaire, le directeur exécutif d'EDF Cédric Lewandowski, revient sur cette énergie qui divise. Il explique qu'elle ne doit pas être sacrifiée au nom...
lefigaro.fr
1:14 PM · 28 juil. 2021·- 4 Retweets 6 J'aime
- Bulle de dialogue« Selon le GIEC, les émissions de CO2 pour produire 1 kWh d'électricité nucléaire sont d'environ 12g, un niveau comparable à l'éolien, 2.5 fois plus faible que le solaire photovoltaïque, 40 fois moindre que les centrales au gaz et 70 fois moins que les centrales au charbon. »
- « Dans le domaine du nucléaire, la sûreté est une préoccupation prioritaire et permanente. Les moindres événements, incidents ou anomalies font systématiquement l'objet d'une analyse, permettant d'améliorer en permanence la sûreté des installations. »
- « Plus de 90% des déchets de l'industrie électronucléaire sont faiblement radioactifs ou à durée de vie courte. Les déchets à haute activité, sur lesquels on projette pas mal de fantasmes, correspondent à 95% du niveau de radioactivité, mais à seulement 0,2% du volume total. »
- « Il faut additionner les moyens sans carbone, non les substituer les uns aux autres. Le progrès scientifique n'a cessé de nous surprendre. Il est possible que des énergies alternatives remplacent à long terme le nucléaire ou que de nouvelles technologies nucléaires s'imposent. »
- « La "diplomatie nucléaire" est plus active que jamais, sur fond de guerre technologique et économique entre la Russie, les USA et la Chine. La décroissance du nombre de réacteurs en Europe contribue à affaiblir notre capacité à peser dans la gouvernance mondiale de ce secteur. »
- « Le nucléaire est l'une des plus importantes filières industrielles de France, avec plus de 220000 salariés et 3000 entreprises. N'oublions pas que depuis plus de 30 ans, les exportations d'électricité contribuent positivement à la balance des paiements de notre pays. »
Ndlr : quand EDF plpdla ? approfondir ACT
Invitée de France Info lundi matin, jour anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima, la ministre de l'Ecologie et de l'Energie a vanté les mérites du nucléaire, "énergie décarbonée". Delphine Batho a par ailleurs affirmé que le renoncement de l'Allemagne au nucléaire avait fait "monter ses émissions de CO2". Vrai ou faux ?
Faux.
Car le nucléaire, ce ne sont pas que les centrales, c'est toute une filière : il faut extraire l'uranium, l'enrichir, le transporter, construire les centrales — et la fabrication du béton produit énormément de gaz carbonique.
Un ancien cadre de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Daniel Weisser, a compilé 103 études rédigées dans le monde entier, sur l'empreinte carbone des différentes énergies. En moyenne, chaque kilowatt/heure d'électricité nucléaire produit rejette 66 grammes de CO2 dans l'atmosphère. C'est beaucoup moins que les centrales à gaz naturel (près de 500 gr) ou les centrales à charbon (autour d'un kilo). Mais cela reste deux fois plus que l'énergie solaire (32 gr) ou les éoliennes offshore (9 gr).
Parler d'énergie "décarbonée" est donc un abus de langage, un greenwahsing entretenu par Delphine Batho mais initié par Nicolas Sarbozy en 2007. Si on ne "verdit" pas le nucléaire, on exportera moins facilement nos centrales atomiques. Et on n'atteindra pas notre objectif de 23 % d'énergies renouvelables à l'horizon 2020.
...
Enfin, concernant la tendance générale des pouvoirs politiques à "verdir" l'énergie nucléaire, nous n'évoquons ici — car c'est le sujet de cette interview — que les gaz à effet de serre. Il ne faut pas oublier l'ensemble des éléments polluants utilisés par la filière nucléaire, et ce qu'elle laisse commé héritage aux générations futures : rappelons que de l'uranium usagé reste dangereux durant plusieurs centaines de milliers d'années.