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Déclaration de politique générale d'E. Borne : la réponse de Boris Vallaud
Après la #DPG d'E. Borne, le patron des députés PS, Boris Vallaud, a lancé à la Première ministre : "il va falloir écouter et renoncer aussi à beaucoup de vos projets les plus injustes" après la #DPG d'E. Borne.
C'est l'évènement politique de la semaine, un moment fort de la vie parlementaire : Elisabeth Borne, à la barre d'un gouvernement remanié, fait sa déclaration de politique générale devant le Parlement.
Les représentants des groupes politiques se succèdent à la tribune pour donner leur position :
Mme Aurore Bergé
Mme Marine Le Pen ; Mme Mathilde Panot
M. Olivier Marleix ; M. Jean-Paul Mattei M. Boris Vallaud
M. Laurent Marcangeli ; Mme Cyrielle Chatelain ; M. André Chassaigne
M. Bertrand Pancher ; M. Julien Bayou
M. Nicolas Dupont-Aignan
Julien Pique il y a 2 heures
Je fais partie de ceux ayant beaucoup critiqué les socialistes français ces dernières années mais je suis fier de vous pour ce discours ainsi que votre appartenance à la NUPES.
Je continuerai de vous garder à l'œil au vu des dérives dont votre parti a pu se démontrer capable mais votre bifurcation suite a votre échec présidentiel est clairement notable et à saluer. Bravo à vous.
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Discours de Mathilde Panot en réponse au discours de politique générale de la Première Ministre Élisabeth Borne.
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Découvrez la réaction de François Ruffin au discours de politique générale de la Première ministre Elisabeth Borne, hier, à l'Assemblée nationale.
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Que retenir du discours de politique générale de la Première ministre ? Analyses de Catherine Tricot, Pierre Jacquemain et Pablo Pillaud-Vivien dans #LeDébrief de la rédaction.
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Cyrielle Chatelain et Julien Bayou, co-président·es du groupe écologiste à l’Assemblée nationale ont pris la parole à la tribune de l’Assemblée pour répondre au discours de politique générale de la Première ministre Elisabeth Borne.
La France insoumise @FranceInsoumise
Après #Macron hier, #Castex aujourd'hui : deux interventions, deux pertes de temps pour le pays. Une victoire culturelle pour les insoumis : le Haut Commissariat au plan. Pour le reste, la rentrée sociale s'annonce bouillante. #DirectAN
Édito @AQuatennens pour @L_insoumission. 2,9 k vues - 5:18 / 7:44 - 6:37 PM · 15 juil. 2020·- 97 Retweets avec un commentaire 187 J'aime
Le mercredi 12 juin 2019, Jean-Luc Mélenchon répondait au discours de politique générale d’Édouard Philippe depuis la tribune de l’Assemblée nationale. Voici la retranscription de son intervention
...
vous êtes absolument et aveuglement hostile à toute planification écologique. C’est normal, puisque vous êtes un inconditionnel de la concurrence « libre et non faussée ». ...
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Avec sa déclaration de politique générale, ce mercredi 12 juin, le Premier ministre, Édouard Philippe, fait entrer le gouvernement et la majorité de plain-pied dans l’acte II du quinquennat. Après des mois d’omniprésence présidentielle dans la foulée de la crise des gilets jaunes, c’est à lui qu’il revenait aujourd’hui de préciser les réformes annoncées par Emmanuel Macron fin avril et de fixer le calendrier politique des douze mois qui viennent, juste avant les municipales. Au programme : réformes de l’État, de l’administration, des retraites, de l’assurance-chômage, de la dépendance, de la fiscalité, loi sur la bioéthique avec la PMA, débat annuel sur la politique d’asile et d’immigration, plan pauvreté et nouveaux engagements écologiques.
C’est aussi à Édouard Philippe qu’il revenait de décliner le changement de méthode qu’Emmanuel Macron a esquissé hier à l’Organisation Internationale du Travail (OIT) : reconnaissant une « erreur fondamentale », celle d’« avoir construit des bonnes réponses, trop loin de nos concitoyens », le chef de l’État a promis « plus d'humanité et plus de proximité » pour la suite de son quinquennat. « Il nous faut changer de méthode », a repris ce mercredi le chef du gouvernement. « Certains de nos compatriotes ont pu croire que nous faisions les réformes sans eux, voire contre eux. À nous de changer de méthode, de les convaincre que nous les faisons pour eux. Changer de méthode, c'est aussi changer de ton », a-t-il insisté.
Retour donc au schéma classique de la Ve République avec un président qui préside, un Premier ministre qui coordonne et une majorité parlementaire très confortable (plus de 350 députés sur 577) mais dont l’exécutif voudrait voir les rangs grossir. D’où le choix d’engager la confiance du gouvernement ce mercredi à l’Assemblée et demain au Sénat.
Après les élections européennes, il est temps de se compter… Alors que vont faire les députés centristes ou de droite qui se déclarent « Macron compatibles » hors de l’hémicycle ? Quels sont les chantiers prioritaires des douze prochains mois du quinquennat ?
Invités :
• Françoise Fressoz, journaliste au Monde.
• Christophe Barbier, éditorialiste à L’Express.
• Rémi Lefebvre, politologue.
• Dominique Seux, directeur de la rédaction des Échos.
Catégorie Divertissement