Adresse : lieu-dit Chez Gadeau 16260 Les Pins - Tel : 06 71 05 17 02
Et aussi https://www.gralon.net/mairies-france/charente/association-cm16-charente-miniature-16-les-pins_W163001413.htm
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Présentation association : C.m.16 charente miniature 16
Date de création : 25/09/2017 Date de publication : 07/10/2017 Type : Loisirs et vie sociale Objet de l'association : rassembler tous les collectionneurs de miniatures ; promouvoir la création, la modification de miniatures, la création de dioramas, organiser des bourses d'échange miniatures
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Connu / salon de Taponnat du 9/2/25
pdt J.Jacques Ducouret, 06 20 04 60 53
3,32 M d’abonnés - 57+ - 4 566 vues - 0 commentaire #hommage #philosophie #BrunoLatour
ARTE vous présente une série inédite de 11 entretiens du sociologue et philosophe Bruno Latour menés par le journaliste du Monde Nicolas Truong.
Sociologue et anthropologue des sciences et des techniques, professeur émérite associé au Médialab et à l’Ecole des arts politiques de Science Po, Bruno Latour est l’un des philosophes français les plus lu, écouté et traduit dans plus de vingt langues. Son oeuvre a été distinguée par les prix les plus prestigieux en Europe, Amérique et Asie. Il est considéré par le New York Times comme le plus célèbre et le plus incompris des philosophes français.
En exclusivité pour ARTE, il a demandé en octobre 2021 à Nicolas Truong, grand reporter au Monde, spécialiste de la vie des idées, de revisiter ses 50 années de recherche. Étalés sur quatre matinées, ces entretiens étaient destinés à compléter sous une autre forme, audiovisuelle cette fois, l’ensemble de son œuvre si singulière et marquante. Avec une grande finesse et non sans humour, Bruno Latour reprend et poursuit face à la caméra les éléments les plus importants de sa pensée.
Disponible jusqu'au 23/12/2024
Contribution SUD-Énergie au dossier lignes d’attac #132
Pour une sobriété collective et partageuse - Janvier 2023
Contexte : consensus sur l’objectif, dissensus sur les moyens
La gravité de la crise climatique et environnementale fait aujourd’hui consensus, tout comme la nécessité et l’urgence de mesures d’ampleur et d’investissements massifs pour amoindrir ses effets et s’y adapter. Cela passe par la décarbonation de nos modes de production et la baisse de nos consommations énergétiques, évaluée à –40% dans la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) à l’horizon 2050 [1].
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Connu / TG le 12/12/23 à 09:57
C’est une problématique méconnue à laquelle sont confrontés les éboueurs : la radioactivité accidentelle. Alors ...
Connu / TG le 07/04/23 à 17:04
Les naturalistes du Muséum national d’histoire naturelle de Paris veillent sur des collections d’insectes d’une grande richesse qu’ils continuent d’étoffer, alors que les milieux de vie des papillons et autres diptères se dégradent. Un patient travail qui permet notamment d’analyser les conséquences du changement climatique.
Thierry Gourvénec a fait sa thèse de psychiatrie sur les bouffées délirantes. Il a étudié à ce titre la propagation de rumeurs délirantes, en particulier celle d’Orléans qui voulait que des femmes disparaissent et soient livrées à des réseaux de prostitution, après avoir visiter des commerçants de la ville. Il a noté que la propagation de cette rumeur est intervenue au moment où De Gaulle allait quitter le pouvoir et laisser la France orpheline de son ange tutélaire. « La rumeur d’Orléans éclot en 1969 après que De Gaulle ait perdu son référendum et quitté le pouvoir. C’est une angoisse majeure, œdipienne… La mort politique du Grand Charles est un peu comme la mort du père…" Il s’appuie sur ce type de phénomène de croyance collective pour inscrire l’histoire du coronavirus dans la longue litanie des épidémies, dont très peu au final se révèlent réellement meurtrières à grande échelle.
On a nettement exagéré la portée et la violence de l’épidémie de Covid et nous nous sommes collectivement enfoncé dans une sorte de bouffée délirante collective (et médiatique) dès l’origine de l’épidémie sans pouvoir faire machine arrière: telle pourrait être résumée son hypothèse. « Les gens individuellement ne sont pas fous, c’est la communication collective qui est délirante, explique-t-il avant de faire un lien entre le contexte politique angoissant, la peur archaïque de toute épidémie, instrumentalisée ou pas, et la naissance d’un délire collectif. Denis Robert remonte avec lui le cours des histoires des délires collectifs: des sorcières brûlées au Moyen Age à la grippe aviaire (qui n’aurait fait qu’une seule victime humaine) en passant par épidémie allemande d'Escherichia Coli de 2011 dont la souche d'origine aurait été liée à l’ingestion de concombres bio originaires d’Espagne. Il note que la rumeur qui s’avèrera fausse est lancée quelques jours après Fukushima et que l’épidémie, dont tout le monde parle, fera une cinquantaine de victimes, pour qui la suspicion de recto-colites dues à du césium japonais ne peut être écartée: La très questionnante saga de l'Escherichia Coli Entéro-Hémorragique - AgoraVox le média citoyen ). « Chaque épidémie gérée de manière inconséquente est le fruit d’une peur panique et politique » conclut-il. La conversation roule et fait réfléchir. De la confrontation entre le raisonnement du psychiatre et le scepticisme affiché par son intervieweur nait une mise en abime qui brise certaines idées reçues et nous donnent à penser. C’est un des mérites de cette conversation pas si savante que ça, toujours sur un fil; « Et si l’épidémie que nous venons de vivre fonctionnait d’abord sur la transmission d’une peur ? » Bonne question…
Aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?udqi3A
Dans de précédents articles (catégorie ENERGIE/GPII), nous vous avons présenté un projet (GPII) avec les arguments pour le réfuter. (relire ENERGIE – THT – conférence de presse du CADE https://www.cade-environnement.org/2017/10/22/tht-conference-de-presse-du-cade-le-25-octobre-2017/ )
Depuis, il est apparu que le Gouf de Capbreton présentait un empêchement majeur à la réalisation du projet. (voir articles précédents: Franchissement du canyon de Cap Breton : RTE s’interroge http://Franchissement du canyon de Cap Breton : RTE s’interroge et Projet d’interconnexion électrique dans le Golfe de Gascogne Note d’information https://www.cade-environnement.org/2019/10/21/projet-dinterconnexion-electrique-dans-le-golfe-de-gascogne--note-dinformation/ ).
Or d’importants financements ont été prévus par la Commission européenne: le CADE et ses amis associatifs outre frontière avec l’Espagne se mobilisent donc à nouveau par l’envoi d’une lettre. Tous les détails explicatifs: lettre financement Inelfel https://www.cade-environnement.org/wp-content/uploads/2019/11/lettre-financement-Inelfel.doc
Le contre G7 ne se résume pas aux black blocs et à la violence. Il est aussi le théâtre d'un fourmillement d'idées nouvelles ou remâchées. Au menu : rejet du capitalisme et de l’impérialisme avec comme mot d'ordre le localisme, l'environnement et l'autogestion. Morceaux choisis à Hendaye.
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Trois termes peuvent résumer ces discussions.
Le premier parle du territoire, de géographie, du groupe et de son espace, d’expérience collective.
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Le second aborde les finalités. Il tourne autour d’un objectif autonomie et souveraineté.
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Le dernier n’est jamais prononcé mais il peut s’appeler pragmatisme, ou art de l’adaptation.
par Giv Anquetil , Antoine Chao , Charlotte Perry - 53 minutes
Comme un bruit qui court retourne en Guyane, avec celles et ceux qui font de la forêt un champ de bataille.
Les Amérindiens se battent pour défendre la forêt dont ils vivent
Les Amérindiens se battent pour défendre la forêt dont ils vivent © Radio France / Giv Anquetil
Nous vous avions fait entendre le mois dernier les voix de guyanais mobilisés contre des grands projets extractivistes qui menacent l’environnement.
Et si la mine industrielle Montagne d’or (en plein cœur de la forêt tropicale) est toujours dans le collimateur de 70% des habitants, on célèbre ces jours-ci en Guyane la victoire par abandon sur Total et son forage off-shore, qui vient de jeter l’éponge après 100 millions d’euros dépensés en prospection.
On retourne cette semaine dans ce paradis vert, cette fois avec les Amérindiens qui se battent pour défendre la forêt dont ils vivent.
Les Amérindiens qui se battent pour défendre la forêt dont ils vivent © Radio France / Giv Anquetil
Dans son abattis, sa parcelle cultivée sur brûlis avant d’être rendue à la forêt pour 30 ans, Franck Nénesse pratique l’agroforesterie en utilisant les cycles naturels et les savoir-faire traditionnels pour que les sols ne s’épuisent pas. Cécile Kouyouri, première femme devenue chef coutumier voilà 21 ans, nous reçoit dans son petit village de Bellevue, où elle a réussi à imposer une « Zone de droits d'usage collectifs » (ZDUC) pour un autre usage communautaire de la forêt et du monde.
C’est aussi le message que porte une nouvelle génération d’Amérindiens réunis dans les Jeunesses Autochtones de Guyanes (JAG), dont fait partie Christophe Yanuwana Pierre que l’on retrouve près de Saint Laurent du Maroni.
Pour la reconnaissance officielle des peuples autochtones
Pour la reconnaissance officielle des peuples autochtones © Radio France / Giv Anquetil
Alors qu’environnement et climat peinent à devenir des priorités pour le monde développé, toutes et tous partagent –comme Jean Paul Fereira, le maire Kali’na d’Awala-Yalimapo, l’idée que le « retard » en développement de la Guyane est peut-être une chance pour prendre d’autres voies. Plutôt que de répéter les mêmes erreurs - climaticides - qui ont échoué ailleurs.
Un reportage de Giv Anquetil
Programmation musicale
16h40
Le focus de la semaine
Martelage et syndicalisme forestier
Mots-clés : Société
Résoudre la problématique du financement des énergies renouvelables auprès des ménages modestes : tel est le défi que s’est lancé le bureau d’études Tecsol en créant l’initiative Tecsolidaire.
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André Joffre, fondateur de Tecsol, estime qu’en autoconsommation collective, un quart de la production d’électricité peut être fournie par le solaire. L’idée de Tecsolidaire est donc de mobiliser des fonds privés afin de financer la quote-part qui n’est pas financée par les aides publiques sur ce type de projet. Une part fixe évaluée entre 20 et 25 % du montant des travaux. Comment mobiliser les fonds privés nécessaires ? En créant une unité de valeur, une monnaie, baptisée le Sol. Toutes les installations solaires sont concernées et tous les candidats intéressés par ce programme pourront demander la délivrance d’un Sol pour chaque MWh produit, que cette électricité soit injectée au réseau ou autoconsommée.
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on va être consommateurs et producteurs, avec la blockchain, 1/4 produit sur un immeuble 1kWcrête par logement, investir des sols sur un pj réel, 1500 €/logement
~chèque énergie privé
organisme sans but lucratif dont le mandat est de promouvoir l'adoption, l'usage et la démocratisation de l'informatique libre.
À propos du nom
L'acronyme FACIL signifie FACIL, pour l’appropriation collective de l'informatique libre. Il s'agit d'un acronyme récursif comme celui du projet GNU (GNU’s Not UNIX) de la Free Software Foundation.
Historique
FACIL a été fondé officiellement en avril 2003. L'organisation est issue de l'évolution de Linux-Québec.org et de l'implication d'acteurs provenant de divers horizons dont :
des groupes d'utilisateurs de GNU/Linux, (GULs)
des groupes d'intérêts tels PHP Québec et Île sans fil
des groupes communautaires tels Communautique et Alternatives
des organes para-gouvernementaux comme le Resoll
des entreprises, des consultants
des journalistes et des passionnés
Le projet Services FACiLes s'incrit dans le cadre du Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires (CHATONS) initié par Framasoft, champion de la dégooglisation massive de la France occupée par les Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM) de ce monde.
Aidé de ses partenaires, FACiL se donne pour mission de mener cette bataille au Québec.
Site collaboratif d'information locale animé par un collectif de militant-es bénévoles. En rodage.
La Rotative est un site collaboratif d’information locale géré par un collectif autonome. Ce collectif n’est pas composé de professionnels des médias, mais de militants bénévoles. La Rotative veut offrir à celles et ceux qui luttent pour le changement social et l’émancipation un espace pour s’exprimer, diffuser des informations et médiatiser des activités et projets.
Crédits
Propulsé par Spip
Installé par l'IT Crowd Rebellyon
Hébergé par la colo SEACCP
Secouru et inspiré par Riseup
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aujourd’hui le hiatus devient trop grand entre la stratégie électorale de conquête du pouvoir et l’accélération de phénomènes susceptibles de provoquer un effondrement à la fois écologique et social à l’échelle mondiale.
Climat, biodiversité, montée des extrémismes, des inégalités, dévissage culturel, mondialisation des échanges et contrôle des algorithmes, la vulnérabilité de nos sociétés est de plus en plus critique. Et ce sont toujours les mêmes qui sont sous le joug, de plus en plus exposés, en première ligne des victimes présentes et à venir. Nous devons nous laisser percuter par la situation et en prendre la mesure avec lucidité et responsabilité.
Or il me semble que la stratégie et les moyens mis en œuvre par la FI aujourd’hui au mieux passent à côté des enjeux, au pire desservent les fins. Dans les deux cas elles me semblent en-deçà de l’exigence écosocialiste. Les « signifiants vides » du populisme et de la stratégie anti-Macron, visant à fédérer le plus largement possible, étouffent trop souvent la radicalité du projet initial. Les affaires internes et le commentaire systématique de l’actualité me semblent de plus en plus hors-sol. Les réactions auto-centrées nous coupent les ailes. J’ai toujours plaidé pour l’alliance d’une aménité de ton et d’une radicalité de fond, je vois l’opposé. La critique interne, même bienveillante, est vécue comme une attaque, le pas de côté comme une trahison. J’en viens donc à la conclusion que c’est ailleurs que je serai la plus efficace, que les choses pourront bouger.
Depuis deux ans, des montagnards aux forestiers en passant par les rapports scientifiques sur les risques d’effondrement, j’explore des chemins de traverse, au contact d’espaces intellectuels et militants différents. Face à l’urgence il y a d’autres formes politiques à inventer, des passerelles à faire et des réseaux à activer, des actions de désobéissance civique à organiser (*), des risques et des conflits à anticiper collectivement. C’est crucial, et cela se heurte à trop de limites dans un cadre soumis aux échéances électorales et à l’injonction médiatique. L’heure est venue de sortir de nos zones de confort et de repenser en profondeur nos stratégies et modes d’action. Pour ma part je ressens la nécessité de recentrer mon temps et mon énergie, en cohérence avec le cheminement de ma réflexion (dont j’avais déjà posé quelques bribes ici).
https://lvsl.fr/entretien-avec-corinne-morel-darleux
Le centre de gravité de l’action politique est en pleine évolution. Il y a des parcours de radicalité à accompagner du côté des mouvements climat, une alerte écologique à amplifier du côté des mouvements sociaux. Des arbres à planter et des chantiers à bloquer. De nouveaux récits collectifs à construire, et une bataille culturelle à mener. Voilà ce à quoi je souhaite me consacrer. Je crois qu’il faut agir là où on se sent utile, accueillie et en phase avec ses convictions. Ce que je lis, vois et entends, me fait penser que nous sommes nombreux à envisager cette période troublée comme une bifurcation et à ressentir le besoin d’un grand pas de côté.
Je reste plus que jamais écosocialiste, attachée à la dignité du présent, avec la ferme détermination de continuer à militer activement.
- Petit bonus pour celles et ceux qui m’ont lue jusqu’au bout : je reste au PG, en compagne de route exigeante mais bienveillante, je continue à assurer le mandat régional qui m’a été confié face à Laurent Wauquiez, et oui, j’ai été approchée, mais non je ne pars ni pour une place chez EELV, ni chez Générations, ni pour rejoindre Place Publique. En fait je sais que ça parait toujours étrange à certains, mais on ne quitte pas toujours une fonction pour choper une place ailleurs. Parfois on fait simplement ce qui semble juste à un moment donné.
(*) Comme le font déjà les "malfaiteurs en bande organisée" à Bure, les opposants au projet GCO qui plantent des arbres le long du tracé tout en bloquant les chantiers de Vinci, ou encore Extinction Rebellion en Angleterre. »
Cinq mois après l’évacuation partielle de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, ses habitant·e·s appellent leurs soutiens à revenir sur la zone les 29 et 30 septembre afin de défendre l’usage collectif des terres. Pour la chercheuse Sarah Vanuxem, la propriété de la terre peut se fonder en droit sur la faculté d’habiter.
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ils ont un « droit à l’existence » même s’ils n’ont pas la « propriété territoriale ». Surtout s’ils ont pris soin de la terre et ont permis à l’État de respecter les lois et les règlements qui lui incombent. Celui qui est incontestablement privilégié par rapport à une terre, parce qu’il en est le dénommé « propriétaire », ne saurait, dans cette vision, méconnaître entièrement le droit de la communauté des habitants sans titre.
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Faire des Cabanes
from Jonas M. on Vimeo
https://vimeo.com/291501146
Réseau d'agendas militants. Chaque agenda publie les manifestations, projections, débats, actions et autres rendez-vous de sa région.
Agendas alternatifs
/ rendez-vous politiques, culturels et festifs. Chaque agenda couvre une large gamme de thématiques et de sensibilités de la gauche alternative.
Des collectifs indépendants
Les agendas sont gérés par des collectifs entièrement indépendants. Les collectifs s'organisent comme ils l'entendent et mènent leur propre politique éditoriale.
Un outil technique
Démosphère s'appuie sur un logiciel libre que nous développons et des serveurs. Le logiciel offre à la fois une interface publique complète et une interface privée. Celle-ci fournit de nombreux outils pour aider à trouver, publier et gérer les rendez-vous.
Créez votre agenda !
Le média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs.
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Le site est un commun, maintenu techniquement par le Collectif PointCommuns, hébergé par la LSC-L1, et édité par une communauté ouverte que vous pouvez rejoindre.
Le PAD de nos rencontres téléphoniques
Le kanban de la salle de rédaction
La liste de diffusion par mail
Petite histoire du blog
Le 12 mai 2016, l’association VECAM organisait une rencontre intitulée « Soirée reboot VECAM » afin de réfléchir à son avenir.
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collectif ouvert de personnes motivées venues de divers horizons (Collectif SacoirsCom1, Fabrique lyonnaise des Communs, Assemblée des Communs de Lille, Collectif Point Communs,…). De l’idée à la réalisation, plusieurs mois se sont écoulés, jusqu’à la sortie officielle du blog en janvier 2017.
Les trois partenaires trouvent dans ces projets un intérêt commun :
- le Département des Pyrénées Orientales inscrit le territoire dans la transition énergétique en mettant en œuvre des solutions innovantes,
- la société Sunchain définit des modalités d’échanges et des règles de répartition des flux d’électricité à l’aide de la technologie blockchain,
- Enedis développe une solution permettant l’autoconsommation collective. Cette solution, qui s’appuie sur les compteurs communicants, calcule les données nécessaires à la réalisation de l’opération et les met à disposition des parties prenantes. Capables de collecter, de transmettre, de stocker et de garantir les données certifiées provenant des différents points de production et de consommation, les compteurs communicants déployés par Enedis, jouent un rôle central dans ce dispositif.
«Pire que le bruit des bottes
Le silence des pantoufles»
Collectif lancé par plusieurs militant-e-s, universitaires, journalistes, afin d’informer sur les collusions entre la haute administration et les mondes des affaires – industrie, finances etc. –, en particulier en France.
Il ne vise pas à dénoncer quelque complot fomenté par d’obscures sociétés secrètes, ni à s’exclamer sur la corruption généralisée du personnel politique ou administratif: la collusion entre certains haut-e-s fonctionnaires et le monde de la finance et de l’industrie s’explique avant tout par une porosité sociologique.
« Quand vous êtes fonctionnaire à Bercy, vous savez qu’à 45 ans, vous allez plafonner dans votre carrière. Si vous ne voulez pas moisir dans votre bureau, vous irez pantoufler dans une banque, avec un salaire multiplié par 10 ou 50 » explique ainsi l’économiste Gaël Giraud. Un principe qui s’applique aussi bien aux banques qu’aux entreprises du CAC40…
Cette proximité pose évidemment des problèmes de conflits d’intérêts, est mortifère pour la démocratie : le monde de la haute administration et celui des dirigeant-e-s de grandes entreprises ne font plus qu’un. L’intérêt général est bâillonné dans le silence feutré des pantoufles.
Faire la lumière sur les pratiques de pantouflage est un premier pas pour lutter contre la capture du pouvoir politique par une oligarchie. Pour ce faire nous tenons une revue de presse et réalisons des enquêtes thématiques sur le monde de la haute fonction publique et ses liens avec les intérêts économiques.
Email : pantouflewatch (à) gmail.com
Twitter : @PantoufleW
http://g3l.org/le_site/index.php?dlm/16/103 … (odt) http://g3l.org/le_site/index.php?dlm/16/104 … (pdf) cc @framasoft
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Shnoulle Thierry Thomas jfmourgues jdll_lyon
22:07 - 5 avr. 2017
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https://twitter.com/mmu_man/status/849715189859659776
né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur seule dimension économique et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative.
Le Collectif réunit aujourd’hui :
plus de 7 000 responsables associatifs
plus de 1 500 associations
dont 140 réseaux nationaux
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Aujourd’hui le Collectif poursuit trois orientations principales :
- lutter contre la marchandisation de l’action associative
- poursuivre le dialogue institutionnel
- accompagner les mobilisations locales et sectorielles
Le Collectif a entrepris de mettre en lien les associations qui se mobilisent au niveau local ou régional contre leur situation, de plus en plus difficile. Il s’agit également de redonner espoir aux associations et leur donner conscience de la portée de leur action pour l’avenir de la société.