4 219 signatures (9 183 au 22/4/23)
Campagne lancée par Coalition La Déroute des Routes
Depuis janvier 2022, 47 collectifs en lutte contre des projets routiers se sont rassemblés au sein de la coalition La Déroute des routes. Nous unissons nos forces pour résister face à ces projets destructeurs qui nous enfermeraient toujours plus dans le modèle du tout routier.
55 projets routiers sont actuellement contestés, partout en France
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Pourquoi faut-il agir maintenant ?
La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de :
- diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation
- diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact.
L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires.
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Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses :
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Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous !
Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute !
- SOS Oulala Montpellier
- Manche Nature
- Caveirac Vaunage Nîmes
- Non à l'autoroute A133-A134 Rouen
- Non à un contournement Nord de Maubeuge destructeur
- Vivre respirer se déplacer en Tricastin Drôme
Alternatives A480 Grenoble - Axe vert de La Ramée Toulouse
- Non à la Jonction Est à Toulouse
- AutreCOM Montpellier
- La Voie est Libre Castres Toulouse
- La Lutte des Sucs
- Coordination La Loire Vivra Orléans
- Collectif Saint Etienne de Monluc
- Puma LEO Avignon
- GCO Non merci Strasbourg
- Non au contournement sud d’Auxerre
- Collectif RN126 Castres Toulouse
- Association Nacicca Arles
- Évreux Nature Environnement
- Collectif Ussel
- Collectif citoyen contre le développement du projet Sublimes routes du Vercors
- Agissons pour le climat Granville Terre et Mer
- Fédération Environnement Eure et Loir
- Nord Écologie Conseil (contre la Lino au sud de la MEL)
- Coordination Viure Pyrénées Orientales
- Bien vivre en Vallespir Céret
- Copra 184 IDF
- Vivre sans BIP Val d'Oise
- Seta
- VN33 Non merci Lyon
- Agis Ta Terre Chateaubourg
- Vitré Vitalu
- Non à la rocade Nord de Fougères
- Eaux et Rivières de Bretagne
- PassPasud2
- Collectif Les Lichens
- Association CITEE Reventin Vaugris
- Association ACPAT Thonon Machilly
- ALTERRE St Péray
- Comité de défense contre la déviation de St Christol Les Alès
- Association Roya Expansion Nature
- Association Sentinelle Nature 31650
- Coopérative Citoyenne Cherbourg
- INATN A31bis Toul
- Collectif Sequana Poissy
- Collectif 924 Orne
Catégories Biodiversité ; CLimat ; Justice Sociale & Environnement ; Transfert & Urbanisme
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Le 19 octobre 2020, l'Assemblée nationale débattait de la contribution de la France au budget de l'Union européenne. Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une augmentation sans précédent de cette contribution (+5 milliards d'euros en un an, +54% depuis 2017) et a déclaré « jamais nous n'avons donné autant et reçu aussi peu». Il a expliqué la cause de cette augmentation des dépenses : les rabais obtenus par d'autres États moins solidaires que la France.
Le président du groupe « La France insoumise » a aussi dit que la situation actuelle pouvait mener à un décrochage des économies du sud de l'Europe par rapport à l'Allemagne et a alerté sur le risque d'explosion de la zone euro. Il a expliqué que le plan de relance n'en était pas vraiment un puisque les Français allaient payer davantage qu'il ne recevraient.
C’était la semaine du 49.3. Pas un des journaux télévisés du 20H de France 2 ni de TF1 n’ont parlé du vote de censure le soir où il avait lieu. ... En une semaine le Premier ministre a perdu 10 points d’intentions de vote au Havre.
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Ce jour, 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes ... l’alerte de Marina Mesure j’ai pensé que le mieux serait de diffuser son message. « En cette journée internationale des droits des femmes, le syndicat mondial BWI mène une campagne pour la ratification par tous les États de la convention internationale #C190 de l’OIT pour mettre fin à la violence et au harcèlement dans le monde du travail ! Il est temps de passer de la parole aux actes : la France doit ratifier la convention 190 et s’engager pleinement dans la lutte contre les violences faites aux femmes dans le monde du travail ! #powertowomen #ratifyC190 ».
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Magali Escot, syndicaliste CGT des Bouches-du-Rhône, précisait le contenu de cette Convention en réponse à mes questions sur le sujet. « Cela peut englober notamment la violence physique, la violence verbale, le harcèlement moral et le harcèlement collectif, le harcèlement sexuel, les menaces et la traque obsessionnelle. La Convention tient aussi compte du fait que, de nos jours, le travail ne s’effectue pas toujours sur un lieu de travail physique. Ainsi, elle englobe par exemple la violence et le harcèlement s’exerçant dans le cadre de communications liées au travail, y compris celles effectuées au moyen de technologies de l’information et de la communication. » Puis, elle m’a donné le lien d’une interview que je crois très utile et motivante. Il s’agit des propos de Shauna Olney, cheffe du Service des questions de genre, de l’égalité et de la diversité à l’Organisation internationale du Travail.
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le résultat est là. Ridicule. Il y a 315 députés macronistes, plus 40 députés Modem et la ribambelle des UDI et autres « indépendants » qui votent dans tous les sens. De cette masse de près de 400 députés, il n’y en aura eu que 98 pour adopter la loi scélérate de réforme des retraites. C’est une déroute. Le lendemain, un député de plus quittait le groupe LREM. Et démissionnait de son mandat. Ce n’est qu’un début, après pourtant onze départs depuis janvier. Quant on pense que le départ de six mécontents de leur place sur la liste des européennes me valurent la une du « Monde », on mesure la protection dont LREM jouit du fait de ses riches protecteurs alors même que dans n’importe quel autre pays, une telle saignée serait considérée comme une crise de régime. En France le larbinage est une institution.