réchauffement climatique Explosion de la climatisation, virus, maladies : une étude pointe les risques climatiques dans près de 1.000 grandes villes qui abritent aujourd’hui 26 % de la population mondiale
Publié le 19/09/2024 à 12h17 • Mis à jour le 19/09/2024 à 12h40 / 20 Minutes avec AFP
Rogier van den Berg, du groupe de réflexion américain WRI, qui publie cette étude montrant une possible multiplication des difficultés pour les habitants de Dakar, Rio ou Padang (en Indonésie).
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dans près de 1.000 grandes villes qui abritent aujourd’hui 2,1 milliards de personnes, soit 26 % de la population mondiale. Toutes villes confondues, c’est même plus de la moitié de l’humanité qui habite dans des centres urbains.
Les auteurs montrent la différence majeure pour les citadins entre un réchauffement mondial de 1,5 °C par rapport à l’ère pré-industrielle - limite la plus ambitieuse de l’accord de Paris - et de quasiment 3 °C, vers lequel se dirige actuellement le monde.
Les engagements climatiques pris jusqu’ici par les Etats placent en effet la planète sur une trajectoire de réchauffement allant jusqu’à 2,9 °C au cours de ce siècle, selon les dernières données de l’ONU, publiées en novembre dernier.
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Connu / https://x.com/ClimateOfChange/status/1837010618986930372
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Un Climat de Changement @ClimateOfChange
Réchauffement climatique
« La différence entre 1,5 °C et 3 °C représente un enjeu de vie ou de mort pour des milliards de personnes à travers le monde »
20minutes.fr
Bientôt des canicules d’un mois dans les grandes villes ?
Des milliards d'habitants seront durement frappés si le réchauffement atteint 3°C, alerte un rapport
8:07 AM · 20 sept. 2024 · 244 vues
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Climat - Mis à jour le 26 juin 2019 à 09h07 - Durée de lecture : 5 minutes
Clés : Climat Énergie Quotidien
A l’heure où les climatologues annoncent des canicules répétées, la climatisation « classique », chère, polluante, et vorace en énergie, n’est certainement pas la solution miracle. Dans le sud de la France, une solution alternative émerge : la climatisation solaire.
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Clés : DECISIONS PUBLIQUES, ETM / OTEC / SWAC
Polynésie Française – Lundi 22/03/2021 – Arrivées par conteneur d’Italie, les portions du futur Swac de Taaone ont été déposées sur les bords de la baie de Phaeton, à Papeari.
Elles font douze mètres chacune et 710 mm de diamètre. Depuis janvier, des tuyaux sont soudés entre eux par «polyfusion», lestés avec des blocs de béton, protégés et petit à petit mis à l’eau le long d’un rail, où leur étanchéité est testée… Des petits tronçons – jusqu’à 650 mètres de long tout de même – sont déjà stockés en mer, non loin de la passe Teputa. Quand la dernière section de 2,4 km de dimension sera terminée, au mois de juin 2021, le «pipe», sera remorqué vers l’extérieur du lagon, et autour de Tahiti jusqu’au large de Pirae.
L’installation Swac doit permettre au Centre Hospitalier de la Polynésie Française dirigée par Claude Panero depuis janvier 2020, première polynésienne à diriger l’établissement, de réduire sa facture d’électricité de 350 millions de Fcfp par an, avec une énergie entièrement renouvelable.
C’est, face au centre hospitalier, que le Swac (Sea-water air conditioning ou climatisation à eau de mer) sera immergé le long du tombant et du récif, de 900 mètres de fond jusqu’à la côte. Le tuyau doit permettre, pendant 30 ans, de pomper de l’eau de mer à 5°C pour l’amener vers le système de climatisation à eau de l’hôpital, qui pourra donc se passer de ses refroidisseurs si gourmands en électricité. L’eau doit être ensuite rejetée à environ 12°C dans le lagon, qui d’après les études préparatoires ne subira « aucun impact environnemental ».
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Ndlr : "aucun impact environnemental" ? Questionner ACT
Frédéric Pignard, directeur RSE et relations institutionnelles, Daikin France
TAGS Chauffage climatisation énergies renouvelables Pompes à chaleur
Traditionnellement, la climatisation était sous nos latitudes considérée comme un luxe réservé aux classes aisées, voire un gaspillage d’énergie. Avec l’hyperisolation des logements et le réchauffement climatique, le refroidissement des locaux en été devient un impératif de santé publique. La pompe à chaleur air/air est là pour répondre de façon vertueuse à ce nouveau défi.
Le confort d’été : un nouvel impératif
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dans une PAC air/air, seules les fuites de réfrigérant peuvent générer des émissions de GES. Or elles sont très faibles. Des études européennes menées sur le terrain concernant 69 000 installations ont démontré que les appareils de chauffage et de climatisation en « split » étaient parmi les moins fuyards de tous, avec des taux de fuite d’environ 1,3 % par an contre 6,1 % sur les appareils de réfrigération commerciale. ... le règlement F-gaz 517/2014 du 16 avril 2014 relatif aux gaz à effet de serre fluorés, a renforcé toutes les exigences notamment celles sur le confinement, faisant progresser considérablement la qualité des installations et ainsi diminuer encore les taux de fuite. ... Sur la base du réfrigérant R32 et d’un taux de fuite de 2 % par an, une PAC air/air émet en moyenne 20 kg CO2/an soit, dans le cas de la maison de 100 m2 analysée dans le tableau 1, 0,2 kg de CO2eq par m2 et par an.
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L’association avec le photovoltaïque : un mariage gagnant
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Des PAC air/air devenue intelligentes :
- fonctionnement en régime variable du compresseur qui adapte précisément la production de chaud ou de froid à la demande afin d’éviter les arrêts et les redémarrages trop fréquents ;
- détecteurs de présence ;
- programmation sur place ou à distance ;
- algorithmes d’auto-apprentissage aux usages et de lissage de la puissance appelée ; etc.
Ndlr :
- signification de "en split" : "Une fois relié au compresseur, un split chauffe ou rafraîchit, il déshumidifie gràce à sa sonde hygrométrique, il élimine 100 % des odeurs, ainsi que les poussières à l'aide de ses filtres anti-poussières et les bactéries." selon https://pompe-a-chaleur.ooreka.fr/qr/voir/26972/pompe-a-chaleur-que-signifie-split-pour-une-pompe-a-chaleur
- autopromotion ? impartialité ? quels autres acteurs du marché ? ACT
37.701 signatures
Pétition soutenue par un Super contributeur
Auteur : Atmos'fier
Destinataire(s) : FIFA FFF
Mise à jour
A l'heure où les tempêtes se déchaînent, où l'Australie brûle, où de nombreux phénomènes, conséquences du réchauffement climatique, nous alertent, comment accepter l'émission de gaz à effet de serre qui sera induite par les stade climatisés construits au Qatar pour l'organisation du mondial 2022 ?
A l'heure où on demande aux particuliers de faire des efforts au quotidien pour sauver la planète, comment ne pas s'indigner que les nations du monde cautionnent un tel manque de respect de l'environnement ?
Allons-nous laisser les préoccupations financières prendre le pas sur l'urgence d'agir pour la planète ?
Connu / https://framasphere.org/posts/8631374
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Claude - il y a environ 2 heures / Fenyx - il y a environ 5 heures
Le HFC-23 devrait disparaître de l’atmosphère. Sa concentration ne cesse au contraire d’augmenter.
Au lieu d’une baisse, un record d’émissions de HFC-23
Connaissez-vous le trifluorométhane, ou HFC-23 ? Ce gaz provient de la production de réfrigérant pour les réfrigérateurs et les climatiseurs. Officiellement reconnu comme gaz néfaste, il devait paradoxalement remplacer d’autres aérosols jugés dangereux pour l’environnement et la couche d’ozone : les CFC ou chlorofluorocarbures.
Hélas, ce gaz s’est révélé tout aussi nocif : son impact sur le changement climatique est estimé comme étant 12.000 fois supérieur par tranche d’une tonne à celui du dioxyde de carbone. La réduction des gaz à effets de serre aurait dû entraîner sa disparition, les prévisions tablant sur une baisse de 87 % depuis 2015. Pourtant, au lieu d’une baisse, c’est un nouveau record qui a été constaté, comme le souligne le dernier rapport de Nature Communications. Elles n’ont jamais été plus hautes qu’en 2018.
Des émissions sauvages en Inde et en Chine
Selon cette étude, cette augmentation historique de ces émissions de trifluorométhane provient tout particulièrement de la Chine et de l’Inde. Ces deux pays avaient pourtant affirmé avoir procédé à une réduction drastique de leurs émissions. Au lieu des 2.400 tonnes prédites en fonction des affirmations, ce sont en fait 15.900 tonnes de HFC-23 qui ont été rejetées dans l’atmosphère terrestre.
Un tel écart équivaut à l’ensemble des émissions carbones d’un pays comme l’Espagne sur une année. De quoi supposer que la Chine et l’Inde n’ont en rien tenté de réduire leurs émissions de trifluorométhane. Ou que, comme le suppose ce rapport, il existe une « production substantielle non-déclarée (…) dans un lieu inconnu, dont résulterait une quantité non comptabilisée de HFC-23 se libérant dans l’atmosphère ».
.#environnement #climat #écologie #nature
Alerte : un gaz plus toxique que le CO2 se répand dans l'atmosphère
Alors que la présence de trifluorométhane ou HFC-23 , devrait décroître dans l'atmosphère, sa présence bat des records à cause d'émissions illégales en Asie
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Maîtrise des Fluides CVC
La maîtrise des fluides et plus particulièrement des installations CVC (Chauffage – Ventilation – Climatisation) ou HVAC (Heating, Ventilation and Air-Conditioning) constitue la première dépense énergétique d’un bâtiment avec plus de 65%* de la consommation énergétique dédié au chauffage.
*Source Ademe « Fiche thématique énergie et climat : l’essentiel bâtiment »