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Le 7 octobre 2023, 1 200 Israélien·nes étaient tué·es par le Hamas et d’autres groupes palestiniens dans le sud d’Israël. D’autres étaient kidnappé·es. À ce jour, une centaine d’otages se trouvent encore à Gaza : leur sort reste inconnu, malgré les demandes de leurs familles, qui manifestent régulièrement contre le gouvernement d’extrême droite israélien.
Immédiatement après, le gouvernement de Benyamin Nétanyahou lançait la guerre pour « éradiquer » le Hamas à Gaza. Depuis un an, des dizaines de milliers de bombes ont été larguées sur l’enclave de 360 kilomètres carrés, avec des cadences de frappes inédites par rapport à d’autres conflits.
Hôpitaux ciblés, stratégie de la famine, déplacements forcés de population : « Il n’y a pas de lieu sûr à Gaza », répètent ses habitant·es depuis un an. Selon le ministère de la santé palestinien, 42 000 habitant·es de l’enclave ont été tué·es en un an par les frappes israéliennes. Près de cent mille autres ont été blessé·es. D’autres sont morts, ou mourront de faim, de maladies ou d’absence de traitement. « Le taux de létalité à Gaza est quasiment inconnu au XXIe siècle », analysait cet été sur Mediapart la chercheuse Amélie Férey. Quant au Hamas, il n’a pas disparu de l’enclave.
Alors que Gaza a été humainement et culturellement détruite et que la colonisation violente se poursuit en Cisjordanie, c’est désormais sur le Hezbollah libanais, allié du Hamas et de l’Iran, qu’Israël porte son offensive. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a été tué par une frappe israélienne. En un peu plus d’une semaine, 700 Libanais·es ont été tué·es, et 100 000 ont fui vers la Syrie. Après des frappes iraniennes sur Israël mercredi 1er octobre, le spectre d'une guerre régionale est chaque jour plus menaçant.
Benyamin Nétanyahou est-il engagé dans une guerre totale ? Rendra-t-il un jour des comptes devant la justice internationale ? Entrons-nous dans une guerre régionale entre Israël et l'Iran? Comment mettre un terme à une escalade alors que la négociation paraît illusoire ?
Quelles sont aujourd’hui les dynamiques sociales et politiques à l’intérieur d’une société israélienne traumatisée par le 7-octobre, où le sort des Palestiniens n’intéresse plus qu’une minorité de la société ?
Comment donner la mesure du « Gazacide » en cours, ce mot trouvé par le journaliste gazaoui Rami Abou Jamous pour décrire l’enfer de Gaza ? Dans cette émission, il nous raconte son année sous les bombes à Gaza City, Rafah et Deir el-Balah.
Nos invité·es :
- Amélie Férey, chercheuse au Centre des études de sécurité et responsable du laboratoire de recherche sur la défense de l’IFRI, chroniqueuse à Mediapart
- Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO, coordinatrice du Livre noir de Gaza (éd. Seuil), en librairie le 4 octobre
- Raphaël Pitti, médecin humanitaire
- Rami Abou Jamous, journaliste
- Ibrahim Awad, professeur de français
- Iyad Alasttal, cinéaste, animateur du projet « Gaza Stories »
- Jonathan Dagher, responsable du bureau Moyen-Orient de Reporters sans frontières
- Julia Grignon, professeure de droit humanitaire, directrice scientifique de l’IRSEM
- Nitzan Perelman, doctorante en sociologie politique, réalisatrice
- Alon-Lee Green et Rula Daood, codirecteurs de Standing Together
- Samy Cohen, politiste
- Martial Manet, chercheur en droit international
- Lamia Ziadé, artiste
100 commentaires
- @yasminesabri4789 il y a 5 jours
Ce genre de plateau serait malheureusement impossible sur une chaîne d'info mainstreem ou même sur le service public. C'est dramatique .Et cela en dit beaucoup de l'état dans lequel se trouve notre démocratie, et de l'invisibilisation totale de ce qui se passe, de l'horreur absolue que subissent les palestiniens. Je suis écoeurée et ne supporte plus du tout d'entendre les commentaires dégueulasses sur LCI, BFM et compagnie, leur double standard (vs Ukraine) me dégoûte. . merci à Mediapart de se tenir au-dessus du lot. Même si ces témoignages sont très durs à entendre
56+ - @PhHa547 il y a 5 jours
Merci pour cette émission.
Mme Julia Grignon est d'un courage extraordinaire. Après 20 ans de droit humanitaire, elle ne baisse toujours pas les bras.
Ceux qui ne veulent toujours pas employer le mot génocide , après avoir entendu tous ces témoignages ne peuvent être que de mauvaise foi.
Si après la deuxième guerre mondiale on pouvait dire "on ne savait pas" Là cest sous nos yeux, l'ONU se réunit en urgence tous les jours. Gesticulation ! C'est désespérant 😥
23+ - @achaoPSG il y a 5 jours
Pourquoi persister à tout ramener au 7 octobre. Parce que sans ça, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes ?
40+ - @lucielpr4517 il y a 5 jours
Merci Mediapart ! Une émission importante et éclairante.
17+ - @3475-m9e il y a 5 jours
Le premier plateau est très émouvant et rappelle très justement la situation à Gaza. La 2e partie ressemble aux débats que l’on voit depuis 1 an et chacun reste sur son point de vue. Merci à mediapart d’avoir organisé cette émission pour que l’on n’oublie pas Gaza.
11+ - @sergedurand7345 il y a 5 jours
bizarre tout de même que l'on évoque si peu la spoliation des palestiniens de leur terre .
"spoliation" n'est pas un mot anodin , il signifie le vol sans vergogne du bien de l'autre ...
8+ - @blacksad2049 il y a 5 jours
Merci de votre travail - Honte sur notre exécutif actif complice de cette tragédie par son soutien aux criminels fascistes
13+ - @karlcolomer5697 il y a 4 jours
Invitez Francesca Albanese, ILAN PAPPE, des membres UJFP !! Sinon bon Docu !!
6+ - @salemfathi2532 il y a 5 jours
La photo de votre présentation esr celle, je crois où une petite Palestinienne pleure la mort de son frère et dit à travers ses larmes; ' j'aimerais juste une minute pour te dire adieu" Papa est mort de mort naturelle et j'aurais tant voulu lui dire combien je l'aimais, mais je n'ai pas pu. Si ce n'est pas elle sur cette photo, il y a des milliers d'autres comme elle; Ces horreurs impunies, ce sont les notres
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Connu / https://framapiaf.org/@Greguti@pouet.chapril.org/113253866642099479
"
Mediapart a partagé 3 j Greguti@pouet.chapril.org mediapart@mediapart.social Grégory Gutierez @Greguti@pouet.chapril.org
40 000 morts identifés à #Gaza (évaluation confirmée par d'autres sources que le seul Ministère de la Santé du #Hamas), dont une centaine de journalistes palestinien·nes.
Beaucoup d'autres décès dûs aux maladies et à l'extrême précarité dans laquelle est plongée la population.
Russie, Chine, Israël, Syrie : on assiste à un renoncement au droit international et à l'effondrement de la crédibilité morale de l'Occident.
Que fait la Cour Pénale Internationale ?
FF @mediapart
"
Tr.: ... ghetto, camp de concentration, urbanicide, terroriser la population, détruire une culture, ... les israéliens n'ont pas protégé les populations ... volonté délibérée de massacrer la population de Gaza ... génocide ... journalistes ciblés en tant que tels, blackout médiatique d'Israël ... des centaines de journalistes assassinés ... crimes de guerre ... le pire, la perte de la dignité humaine ... il faut rappeler nos ambassadeurs d'israël ... le droit humanitaire est le seul corpus ... garder espoir, devoir moral
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cisjordanie catastrophique ... plan pour recoloniser, vrai projet politique, finir le travail de 1948 par une stratégie de la terreur.
2ème plateau
...
Terminer* >1:31:39 ACT
...
L'objectif réel de ce ballet diplomatique est ailleurs
Pour les factions palestiniennes, signer et parler de gouvernance avec le Hamas, qui est présent dans la délégation, c'est affirmer qu'il ne va pas disparaître. Israël n'a d'ailleurs pas manqué de réagir. Sur X, son ministre des Affaires étrangères accuse, en somme, l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas de signer avec les terroristes qui seront écrasés, promet-il.
Pour la Chine, comme pour les Palestiniens, c'est également un pied de nez aux États-Unis, traditionnellement la principale puissance diplomatique au Proche et au Moyen-Orient. L'année dernière, Pékin avait déjà frappé un grand coup en permettant la reprise du dialogue entre deux autres ennemis jurés dans cette région - l'Arabie Saoudite et l'Iran.
Une signature, qui elle aussi, n'a pas vraiment été suivie de faits conséquents en matière de détente. Néanmoins, la Chine s'impose progressivement comme un médiateur de poids dans les affaires du monde. Aujourd'hui, c'est au tour du ministre ukrainien des affaires étrangères d'être à Pékin pour y évoquer un plan de paix entre son pays et la Russie.
Clés : Monde Proche et Moyen-Orient Asie Chine Conflit israélo-palestinien Bande de Gaza Diplomatie
L'équipe Gallagher Fenwick Production
Ndlr : comment concilier la puissance et la médiation ? Un médiateur peut-il avoir un pouvoir ? Il me semble que non à cause de l'obligation de neutralité du médiateur ? Approfondir ACT
🦏 PROCÈS MÉDIATIQUE EN ANTISÉMITISME : PEUT-ON ENCORE DÉFENDRE LES INSOUMIS ? - 28 avr. 2024 / BLAST, Le souffle de l'info
1,06 M d’abonnés - 27k+ - 364 948 vues - 3 618 commentaires #Rhinocéros #LFI #Palestine
Dans ce nouveau numéro de Rhinocéros, Usul et Lumi décryptent le traitement médiatique des Insoumis et de la gauche radicale. Ils vont même défendre la liberté d’expression. Mais en ce moment c'est compliqué. Surtout s'ils parlent de la Palestine... un Rhinocéros à hauts risques !
Erratum :
Jean-Christophe Camart n’est plus président de l’université de Lille depuis 2022. C’est Régis Bordet qui a pris sa place à ce poste.
Nos excuses pour cette erreur
Chroniqueurs : Lumi, Usul ... Directeur de la publication : Denis Robert
par Selim Derkaoui | 25 Avr 2024 | Décrypter - Médias
Septembre 2023, 12h56. Mon téléphone vibre. Le stress monte, je sais que c’est la programmatrice de BFM TV pour l’émission « le 20h de Ruquier ». Elle m’envoie les thèmes du débat du jour. « LFI attise-t-elle le feu sur les violences policières ? ». Ce ne sont pas les violences policières qui allument le feu, le problème ? Leur rédaction n’était pas censée ne plus employer l’expression « violences policières » ? Ça commence bien. Deuxième thème: un plan d’essence par an pour les plus modestes, est-ce suffisant ? Macron affirme « adorer la bagnole ». La seule bagnole qu’il apprécie est celle de son chauffeur privé, je note cette boutade dans un coin. La programmatrice m’explique le « trombinoscope »: il faut commenter une série de photos qui défilent pendant quelques minutes. Karim Benzema dans le viseur de Jordan Bardella accusé d’être « un compagnon de l’islamisme », un sénateur de droite – je ne sais même pas qui c’est -, un joueur de rugby – idem -, Justin Trudeau, encore une ou deux photos.
Deux débats et six photos en une heure, ça promet.
...
Connu / https://mastodon.top/@DionyZack@piaille.fr/112331340930109443
Ce n’est pas seulement une humanité concrète, celle des vies irrémédiablement perdues, qui se meurt au Proche-Orient. C’est l’idée même d’une humanité commune que ruine la vengeance sans frein ni limites de l’État d’Israël contre la population
palestinienne de Gaza en riposte au massacre commis par le Hamas.
Pense aux autres, est le titre et le refrain d’un célèbre poème de Mahmoud Darwich (1941-2008), sans doute le plus grand poète arabe de notre modernité ... « Quand tu mènes tes guerres, pense aux autres. / (N’oublie
pas ceux qui réclament la paix.) » ... Ce poème est aussi un témoignage car Darwich a
grandi dans la conscience de ce souci de l’autre, fût-il ennemi, ayant vécu en Israël jusqu’en 1970, appris l’hébreu comme sa première langue étrangère et découvert dans cette langue la littérature européenne. ... il ne s’agit pas de dommages collatéraux mais bel et bien d’une stratégie guerrière qui s’en prend au peuple tout entier dont est issu l’ennemi particulier visé : but de guerre proclamé par Israël, l’anéantissement du Hamas est devenu sous nos yeux la destruction de la bande de Gaza, de ses villes, de son histoire et de sa sociabilité, ... « Nous sommes proches de l’heure la plus sombre
de l’humanité. » Richard Peeperkorn, responsable de l’OMS dans les Territoires
palestiniens ...
Connu / mel Sujet : Fwd: CR CA CPS jeudi 7 décembre + un article Date : Thu, 7 Dec 2023 21:35:52 +0100 De : Charente Palestine
L'émission 01 h 17 - Ce contenu vous a été offert par un abonné
Avec Sylvain Cypel et Stéphanie Latte Abdallah, Presentation Paul Aveline, Préparation Adèle Bellot, Réalisation Antoine Streiff
Chapitrage
1 Un "fossé béant" entre l'Occident et le reste du monde
2 Où est la troisième voie européenne ?
3 La Cisjordanie vit-elle sous un régime d'"apartheid" ?
4 Pour aller plus loin
Comment nommer ce qui se déroule sous nos yeux en Israël, à Gaza et en Cisjordanie ? Le conflit israélo-palestinien est aussi celui des mots : "Génocide", "Crimes de guerre", "Crimes contre l’humanité", "Colonisation", "Apartheid". Peut-on comparer le Hamas à Daesh ? Le sort de Gaza a-t-il fait oublier celui de la Cisjordanie ? Certains de ces mots perdent leur sens à force d’être répétés, d’autres sont plaqués sur le sort des Gazaouis qui subissent depuis le 7 octobre des bombardements continus, et désormais une opération terrestre de l'armée israélienne. Après le choc du 7-Octobre, la guerre des propagandes et des images, voici venue la guerre des mots. Une guerre que nos deux invités du jour se proposent d'analyser, de décortiquer, pour tenter de donner des définitions précises de ce qui se joue au Proche-Orient. En plateau, nous recevons Stéphanie Latte Abdallah, directrice de recherche au CNRS rattachée au CéSor, le Centre d'études en sciences sociales du religieux à l'EHESS, spécialiste du Moyen-Orient et de la Palestine, autrice de l'ouvrage Des morts en guerre. Rétention des corps et figures du martyr en Palestine (Karthala, 2022) ; Sylvain Cypel, journaliste pour l'hebdo le 1, auteur de L'État d'Israël contre les Juifs (La Découverte, 2020).
Un "fossé béant" entre l'Occident et le reste du monde
Un mot a quasiment disparu du traitement médiatique de la situation à Gaza : "Colonisation". Pour Sylvain Cypel, le "fossé" qui se creuse entre le monde occidental et le reste du monde s'explique par cet impensé majeur : "Dans tout ce qu'on entend sur les radios et les télévisions, la musique qu'on entend, essentiellement, est une musique qui ne tient pas compte de l'aspect colonial" du conflit israélo-palestinien.
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La disparition du fait colonial ASI, 3 novembre 2023 - 01 m 54 - Où est la troisième voie européenne ?
Alors que Benyamin Nethanyahu - qui joue sa survie politique depuis les attaques du 7 octobre - a prononcé un discours prophétisant la lutte du Bien contre le Mal, celle du peuple de la lumière contre celui de l'ombre, l'Occident semble décidé à soutenir en bloc Israël. Une situation que regrette Stéphanie Latte Abdallah, qui cherche où est la troisième voie que la France s'était efforcée de porter en 2003, lors de l'invasion de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis : "Il y a une responsabilité politique de nos gouvernements à ne pas s'aligner sur ce découpage du monde entre l'ombre et la lumière, le Bien et le Mal."
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Le retour des blocs ASI, 3 novembre 2023 - 02 m 14
La Cisjordanie vit-elle sous un régime d'"apartheid" ?
Alors que Gaza concentre l'attention médiatique, la Cisjordanie continue de subir l'occupation et la colonisation menée par Israël. Une situation qui fait dire à certains qu'un apartheid y est appliqué au détriment des Palestiniens. Une définition que Sylvain Cypel a un temps refusée, avant de la faire sienne : "Les Palestiniens ont tous des statuts différents, mais il y a une chose qui les rassemble tous, sans exception. C'est que quelque soit le statut qu'ils ont, ils ont moins de droits que les citoyens juifs. Point à la ligne."
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La Cisjordanie, apartheid oublié - ASI, 3 novembre 2023 - 01 m 51
Pour aller plus loin
- Des morts en guerre. Rétention des corps et figures du martyr en Palestine (Karthala, 2022), le livre de Stéphanie Latte Abdallah.
- L'État d'Israël contre les Juifs (La Découverte, 2020), le livre de Sylvain Cypel.
- Notre dossier complet sur les conséquences des attaques du 7 octobre.
- Nos deux précédentes émissions post-7-Octobre, l'une sur l'impossibilité d'un débat médiatique serein, l'autre sur la guerre des propagandes.
Dossier Israël-Palestine, le cauchemar asymétrique
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Israël-Hamas : "Une guerre du contrôle de l'accès à l'information"
Connu / Jean-Gabriel Vous pouvez y accéder 10 fois gratuitement en cliquant sur le lien du mel du Tue, 07 Nov 2023 14:30:02
Pétition Jusqu'au 30.12.2023 - 57578 soutiens
Un nouveau cycle de violence extrême a débuté le samedi 7 octobre 2023, en Israël, à Gaza et en Cisjordanie. Le bilan civil est tragique. Chaque jour qui passe, le nombre de civil·es tué·es augmente. Des milliers de personnes sont déjà mortes et d’innombrables vies ont été détruites ou bouleversées. La priorité : la protection des civil·es. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat de toutes les parties.
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Des combattants palestiniens du Hamas regardent une antenne de surveillance israélienne depuis la bande de Gaza, le 19 juillet 2023. ©AFP - MAHMUD HAMS
Guerre entre Israël et Hamas : cécité de l’État ou défaillances des services de renseignement ?
Cette semaine nous consacrons une émission spéciale à l'attaque commise par des terroristes du Hamas contre Israël. Avec nos trois invités, nous tentons de comprendre comment sa préparation a pu passer sous les radars des services de renseignement israéliens.
L’attaque meurtrière du Hamas le 7 octobre 2023 contre des habitants de l’État d’Israël a eu lieu 50 ans et un jour après le déclenchement de la guerre du Kippour. Les similitudes entre ces deux évènements interrogent : comment une attaque meurtrière d’une telle gravité a-t-elle pu être préparée sans éveiller les soupçons des services de renseignement ? L’État israélien a-t-il fait preuve d’une forme de cécité face aux alertes ?
Pour tenter de répondre à ces interrogations, nous accueillons trois spécialistes :
- Frédérique Schillo, historienne spécialiste d’Israël et des relations internationales à Jérusalem, co-autrice du livre La guerre du Kippour n’aura pas lieu, Archipoche (2023).
- Marius Schattner, ancien journaliste et correspondant de l’AFP à Jérusalem, co-auteur du livre La guerre du Kippour n’aura pas lieu, Archipoche (2023).
- Yvonnick Denoël, historien spécialiste du renseignement et auteur des Guerres secrètes du Mossad, Nouveau Monde (2022).
Chroniques Interview Le masculinisme : une pensée dangereuse qui progresse en France 11 min
Clés : Info Conflit israélo-palestinien Conflits – Guerres Renseignements – Services secrets Benyamin Netanyahou Bande de Gaza Territoires palestiniens Hamas
L'équipe Jacques Monin Production Cellule investigation de Radio France
Tr. ... le Hamas entraîné par le eszbolla ... nationalisme technologique des Startup israéliennes ... conflit entre netaniahou et ses généraux ... le Hamas a frappé 50 ans et un jour après la guerre du kipour en 1967 ... l'opinion publique sait que netaniahou a failli ...
LE MASCULINISME volonté de domination, anti-féministe ... LES INSELS célibataires involontaires, subis ... haine des femmes ... haine des homosexuels ... intersectionnalité des haines ...
L'invité de 7h50 du week-end Par Ali Baddou
Tr.: ... Poutine principal bénéficiaire de l'attaque du Hamas ... Ukraine ...
ISRAEL : SOUS LA PRESSION DES ULTRA-ORTHODOXES - 2 déc. 2020 / 100% Docs - Crime
350 k abonnés - 27k - 3 724 114 vues - 11 589 commentaires
Dans les rues de Jérusalem, on les reconnaît à leurs longs costumes et grands chapeaux noirs. Leurs épouses portent perruques et jupes sous les genoux. Ces ultra-orthodoxes juifs prônent une lecture fondamentaliste de la Torah et refusent la société moderne. Ils forment une petite communauté radicale, très fermée, hermétique même, dont l’influence pèse de plus en plus sur la société israélienne.
Pour la première fois, une journaliste a réussi à pénétrer cet univers fermé, avec une caméra. Elle en rapporte un témoignage troublant. Un document rare, un portrait d’hommes, de femmes et de leurs très nombreux enfants, dont les projets sont une menace contre les principes démocratiques de l’état d’Israël.
Un film de Bethsabée Zarka - Première Diffusion : 06/06/16
Tr.: ... les hommes n'ont pas le droit de travailler ... la famille ... celui qui sort du gheto risque de perdre le mode de vie ultra-orthodoxe. Résultat, c'est comme la Shoah ... certains veulent la destruction d'israël. Chaque année, lors de la fête nationale, ils brûlent le drapeau d'Israël et déploient celui de la palestine. Ils n'hésitent pas à serrer la main du leader iranien Ahmadinejad qui appelle à rayer Israël de la carte ! ... ils rendent même visite à ismale amide leader du Hamas à Gaza pourtant en guerre avec Israël, et à l'humoriste Dieudonné accusé d'antisémitisme en France. ... groupe sectaire ...
Dieudonné
#Politique #Israele #international
🟢 Notre chaine d'actualité quotidienne Actu Réfractaire
Connu / TG le 17/10/23 à 08:37
Cube de sucre en feu — avec des cendres comme catalyseur
Robin Müller
Il y a une économie générale de la violence. Ex nihilo nihil : rien ne sort de rien. Il y a toujours des antécédents. Cette économie, hélas, ne connaît qu’un principe : la réciprocité – négative. Lorsque l’injustice a été portée à son comble, lorsque le groupe a connu le meurtre de masse et, pire peut-être, l’invisibilisation du meurtre de masse, comment pourrait-il ne pas en sortir une haine vengeresse ? Les rationalités stratégiques – faire dérailler la normalisation israélo-arabe, réinstaller le conflit israélo-palestinien sur la scène internationale –, si elles sont réelles, n’en ont pas moins trouvé parmi leurs ressources le carburant de la vengeance meurtrière.
...
Connu / TG le 15/10/23 à 22:13
3,18 k abonnés - 151+ - 13 864 vues - 16 commentaires
Avi Primor, ex-ambassadeur d'Israël en Allemagne, à l'Union Européenne, en Belgique et au Luxembourg, ancien porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères dans le gouvernement d'Yitzhak Rabin, déclare sur i24news:
« C'est le gouvernement israélien, c'est nous qui avons créé le Hamas, afin de créer un poids contre le Fatah à l'époque. Et nous avons pensé que ce serait une organisation de prière qui va se chamailler avec le Fatah , on n'a pas pu prévoir ce que ça allait devenir, mais c'est notre création, alors d'abord les faits. Ensuite conquérir Gaza, détruire le Hamas, à quel prix?.. »
Connu / TG le 13/10/23 à :47
La position de Jean-Luc Mélenchon sur la situation Israël / Palestine - 11 oct. 2023 / L'insoumission
50,4 k abonnés - 21k+ - 758 271 vues - 6 923 commentaires
Jean-Luc Mélenchon était en conférence à Bordeaux pour son nouveau livre #FaitesMieux le 11 octobre 2023.
Il a commencé par mentionner l'opération de guerre déclenchée par le Hamas en Israël. Il souligne l'importance d'appeler ces actions par leur nom, en qualifiant les actions du Hamas de crimes de guerre. Cela va au delà de la simple qualification de terrorisme. Reconnus par le droit international, ils peuvent ainsi être poursuivis et jugés par la Cour pénale internationale.
Jean-Luc Mélenchon appelle alors à un cessez-le-feu et demande que la France travaille activement sur le plan politique et diplomatique pour y parvenir. Les peuples palestinien et israélien doivent pouvoir vivre en paix et en sécurité.
Retrouvez la conférence en intégralité sur : https://www.youtube.com/live/G17AMt9SpvM
Connu / TG le 12/10/23 à 16:49
Xavier Guignard, membre du centre de recherche indépendant Noria, spécialiste de la Palestine, analyse les ressorts du retour de la question palestinienne après les attaques du Hamas. Il récuse l’idé…
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Connu / TG le 11/10/23 à 15:47
93 commentaires - Guerre Israël-Hamas : nos reportages Reportage
Ce sont des voix minoritaires mais précieuses. Dans un pays traumatisé par les attaques du Hamas, où l’esprit de revanche, voire de vengeance, anime le sommet de l’État et les profondeurs de la société, les pacifistes tentent encore de se faire entendre.
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« La seule façon d’affaiblir le Hamas, juge ainsi Avner Gvaryahou, c’est de trouver un débouché politique différent de tout ce qui existe aujourd’hui. Nous devons dès maintenant penser au jour d’après. Ce sont les destins du peuple palestinien comme du peuple israélien qui sont aujourd’hui en jeu. »
Nos alliés, s’ils étaient de vrais amis, pourraient obliger Israël à mettre fin à l’occupation.
Guy Hirschfeld, fondateur de Looking Occupation in the Eye
Pour Michel Warchawski, « quand il y a de la volonté politique, tout est possible, même dans le bon sens ». « Mais on sent que la société reste clivée entre celles et ceux qui sont prêts à un compromis et les jusqu’au-boutistes. Même si je partage le sentiment de plus en plus répandu que c’est bientôt la fin du régime Nétanyahou, qui était déjà détesté par toute une partie du pays pour ses attaques contre la démocratie et qui est maintenant critiqué par ceux qui le jugent inapte sur les questions sécuritaires et militaires ».
Guy Hirschfeld voit toutefois deux conditions nécessaires au renversement de la situation actuelle et à l’avènement d’une solution politique. « [D’abord], nos alliés, s’ils étaient de vrais amis, pourraient obliger Israël à mettre fin à l’occupation. Nous ne sommes pas vraiment un pays indépendant. Sans le soutien de l’Occident, qu’il soit militaire, financier ou appuyé sur le veto de l’ONU, Israël n’existerait pas. En tant que citoyen israélien, j’exige désormais que vous nous obligiez à nous mettre autour de la table de négociation et que vous nous empêchiez de commettre de nouveaux massacres à Gaza. »
Ensuite, « il faudra une guerre civile ». Quoi ? La guerre avec le Hamas ne suffit pas ? Il s’agit d’une métaphore pour parler de la mobilisation des forces de gauche pour les prochaines élections ? « Non, je suis sérieux, poursuit Guy Hirschfeld. Nous sommes face à des suprémacistes juifs qui ont fait de la domination raciale leur objectif. Nous devrons nous battre si nous voulons qu’ils quittent les territoires occupés. Pour faire dérailler le processus d’Oslo, qui est le moment où nous étions le plus proche d’une paix, ils n’ont pas hésité à tuer le premier ministre. Aujourd’hui, ces gens sont au pouvoir. Nous devons leur reprendre le pouvoir, et je ne pense pas que cela puisse se faire uniquement par des moyens pacifiques. »
Apolline de Malherbe reçoit Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce vendredi 27 octobre 2023.
Le 27/10/2023 à 2:00 | Durée : 21:08 Par Apolline de Malherbe
Connu / https://mastodon.top/@Mediapart@mastodon.social/111296567305356857
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1 h Mediapart @Mediapart@mastodon.social
La chercheuse Héloïse Fayet revient sur la proposition d’#EmmanuelMacron de bâtir une coalition internationale contre le #Hamas, à l’instar de celle qui combat les djihadistes de l’organisation État islamique. Elle en pointe l’imprécision et le manque de pertinence stratégique.
À Hébron, le 22 octobre 2023, un palestinien brandit un drapeau du Hamas lors d'un rassemblement contre les frappes militaires israéliennes sur la bande de Gaza. © Photo Hazem Bader / AFP
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Edition spéciale : Israël-Gaza : l'onde de choc en replay - diffusé le 19/10/2023 à 21h11 - France 2
Politique 1 h 51 min Français tous publics - Disponible jusqu'au 18/10/2024
Le 7 octobre 2023, une série d'attaques menées par le Hamas depuis la bande de Gaza a fait de nombreuses victimes en Israël, en majorité civiles. Depuis, la riposte menée par l'Etat hébreu a entraîné la mort et le déplacement de nombre de Palestiniens. Des milliers de blessés sont en outre à déplorer dans les deux camps. Devant la gravité de la situation, le service politique de France Télévisions propose une émission spéciale pour tenter de faire le point sur le conflit afin de mieux comprendre ses tenants et ses aboutissants. Tout au long de la soirée, de nombreux spécialistes du Moyen-Orient s'expriment sur le plateau pour éclairer cet événement géopolitique qui rebat les cartes de la dynamique enclenchée par les accords d'Abraham en 2020.
Présenté par : Caroline Roux, Julian Bugier
Tr. après avoir eu des propos empathiques et modérés pour toutes les populations touchées, Kahina Bahloul, Imam ++ a dénoncé le biais dans le tableau de la première partie sur la question de ce conflit israëlo-palestinien : on a tendance à réduire ce problème là au Hamas. Le conflit israëlo-palestinien n'est pas le Hamas. On a parlé pendant plus d'une heure du Hamas. Ya aussi le peuple palestinien qu'il ne faut pas oublier. À chaque attentat tout le monde exprime son soutien au peuple israëlien et c'est normal de le faire. Mais pourquoi on ne le fait jamais pour le peuple palestinien ? On ne le fait pas assez. On ne le fait jamais assez. Ça fait 75 ans que le peuple palestinien souffre, qu'il est chassé de ses terres, de ses maisons, qu'il subit des exactions de la part de l'État Israëlien, que des enfants palestiniens sont emprisonnés dans des prisons Israëliennes. Ça, l'Europe ne veut pas en parler. Et ça, c'est ressenti comme étant une injustice.
NDLR : elle a dit très exactement ce que je ressentais : l'émission évoque le conflit Hamas-Israël en ne le remettant pas en perspective avec le conflit principal Israëlo-Palestinien. D'ailleurs, l'invité historien Mr BADIE (professeur de relations internationales à Sciences Po) n'a pas pu dérouler tout son raisonnement, interrompu à de nombreuses reprises. Dénoncer ACT L'Europe a créé le problème, elle doit le résoudre, c'est sa responsabilité.
-> https://twitter.com/infofrance2/status/1715108329813356966
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Image de profil carrée Info France 2 @infofrance2
🗣 "Je tiens à m’adresser à la population juive de France pour leur dire que leurs vies sont précieuses et que toute vie humaine est sacrée que ce soit les juifs, les chrétiens, les musulmans, les athées" rappelle la première imame de France Kahina Bahloul. 10:51 PM · 19 oct. 2023 · 2 962 vues
- Julien Delalande @JulienDelalande · 26 min
#KahinaBahloul, Imame, a ensuite dénoncé le biais dans le tableau de la première partie sur la question de ce conflit israëlo-palestinien : on a tendance à réduire ce problème là au Hamas.
#France2 #ConflitIsraelPalestine
1/n - Julien Delalande @JulienDelalande · 23 min
Le #ConflitIsraelPalestine n'est pas le #Hamas. On a parlé pendant + d'1 heure du Hamas. Ya aussi le peuple palestinien qu'il ne faut pas oublier. À chaque attentat tt le monde exprime son soutien au peuple israëlien & c'est normal de le faire.
#France2 #Israël #Palestine
2/n - Julien Delalande @JulienDelalande · 18 min
Mais pourquoi on ne le fait jamais / le peuple palestinien ? On ne le fait pas assez. On ne le fait jamais assez. Ça fait 75 ans que le #PeuplePalestinien souffre, qu'il est chassé de ses terres, de ses maisons, qu'il subit des exactions de la part de l'État Israëlien,
#Nakba
3/n - Julien Delalande @JulienDelalande · 14 min
que des enfants palestiniens sont emprisonnés dans des prisons Israëliennes. Ça, l'Europe ne veut pas en parler. Et ça, c'est ressenti comme étant une injustice.
#France2 #ConflitIsraelPalestine #Nakba #GrandeCatastrophe #Injustice #Europe #France #GrandeBretagne #Israël
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Plateau spécial aujourd'hui à 8h20, autour de la situation en Israël, après les offensives lancées par le Hamas samedi 7 octobre. ©Maxppp - Mohammed Saber
8h20 - Baddou - L'hour
Un grand entretien aujourd'hui pour faire le point sur la situation après l'offensive armée du Hamas contre l'état d'Israël ce samedi.
Avec
- Elie Barnavi Historien et diplomate
- Hala Abou Hassira Ambassadrice de Palestine en France
- Gérard Araud Diplomate, ancien ambassadeur de France aux États-Unis
- Vincent Lemire Historien, géographe, directeur du Centre de recherche français à Jérusalem
Depuis 24 heures, les écrans du monde entier sont envahis d'images de guerre, de morts et de destruction, après l'attaque du Hamas contre Israël puis la réponse militaire israélienne à Gaza. "J'ai le sentiment de me réveiller dans un pays en guerre", confirme l'historien et ancien ambassadeur d'Israël à Paris Elie Barnavi, depuis Tel Aviv. "C'est une espèce de cauchemar éveillé. C'est encore pire que ce qui nous est arrivé lors de la guerre du Kippour en octobre 1973, en ce sens que pour la première fois depuis la guerre d'indépendance en 1948, il y a des combats de rue, de maison à maison, sur le territoire souverain d'Israël. Une attaque terroriste que personne n'a vue venir. Le traumatisme est encore pire que ce qu'on a connu auparavant."
À lire aussi : Israël : dans les zones proches de la bande de Gaza, la sidération et la colère des habitants https://www.radiofrance.fr/franceinter/israel-dans-les-zones-proches-de-la-bande-de-gaza-la-sideration-et-la-colere-des-habitants-6912049
"La réaction israélienne sera violente, mais ce qui se passe est inacceptable"
Le Premier ministre israélien évoque déjà une "vengeance noire", laissant prévoir une escalade dans les jours qui viennent. "Un général israélien a dit en arabe aux Gazaouis : le Hamas vient d'ouvrir sur vous les portes de l'Enfer", raconte l'historien. "Je crois que la réaction israélienne sera effectivement très dure, très violente. Mais ce qui se passe depuis hier est inacceptable, il faut montrer au Hamas mais aussi à l'ensemble de la région qui nous regarde, que ce genre d'actions a un prix."
Un point de vue que ne partage pas Hala Abou Hassira, ambassadrice de Palestine en France, dont la famille vit à Gaza. "La situation actuelle, c'est Israël qui en est entièrement et seule responsable, de par la continuité de son occupation", accuse-t-elle. "Le peuple palestinien est sous attaque depuis 75 ans, sous occupation militaire depuis 56 ans, il subit la négation totale de son droit inaliénable à l'autodétermination. Hier, Israël a décidé de collectivement punir le peuple palestinien, comme elle le fait toujours. Ils ont coupé l'électricité sur toute la bande de Gaza, pendant des heures. C'est le peuple palestinien dans son entièreté qui est pris en otage par Israël. Les deux millions d'habitants de Gaza ont passé une nuit de terreur."
"La question de la vie des civils israéliens est une question centrale" en Israël
"Je ne suis pas là pour dire qui a tort ou raison dans ce conflit", assure de son côté Gérard Araud. Pour l'ancien ambassadeur français, "ce qu'il faut voir désormais, c'est quels sont les scénarios probables dans les heures qui viennent. Il y a la quasi certitude, et ça a déjà commencé, d'une opération israélienne qui va être dure. Avec cette différence que d'un côté, il y a la tentation d'y aller très fort, étant donné les centaines de civils israéliens qui viennent de souffrir, et de l'autre il y a les otages. En Israël, la question de la vie des civils israéliens est une question centrale."
À lire aussi : Israël "en guerre" avec Gaza après une attaque meurtrière du Hamas sur son sol
"Les Israéliens peuvent libérer des centaines de prisonniers pour récupérer un seul prisonnier israélien ou même le cadavre d'un prisonnier israélien", rappelle Gérard Araud. "Le Hamas va les utiliser comme des boucliers humains. Israël va-t-elle quand même prendre le risque de ruer des Israéliens, ça c'est une question qui rend la situation très différente. La deuxième question, c'est le Hezbollah, qui visiblement ne veut pas s'en mêler, mais il y a une pression de plus en plus grande de l'opinion publique locale et peut-être de l'Iran."
Clés : Monde Proche et Moyen-Orient Israël Palestine Bande de Gaza Conflit israélo-palestinien
NDLR : la hiérarchie de la présentation introduit une partialité :-( De plus, Mme Hassira n'a pas cessé d'être interrompue; Dénoncer ACT