... est à l'origine le nom du premier navire hydrogène autonome et zéro émissions, à la fois plaidoyer et laboratoire de la transition écologique. Devenu aujourd'hui un organisme qui réunit à la fois expéditions et innovations, Energy Observer explore et développe les solutions qui prouvent qu'un autre avenir énergétique est possible, un avenir optimiste, plus respectueux de la planète et des êtres qui y vivent.
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Le projet Energy Observer est né en 2013 de l'engagement de Victorien Erussard, marin au long cours. Il réunit autour de lui une équipe complémentaire de skippers, marins professionnels, ingénieurs et reporters, afin de créer le premier navire autonome capable de puiser son énergie dans la nature tout en la préservant.
Développé à partir d’un catamaran de légende maintes fois récompensé, Energy Observer est un laboratoire de la transition écologique conçu pour repousser les limites des technologies zéro émissions. Hydrogène, solaire, éolien, hydrolien, toutes les solutions y sont expérimentées, testées et optimisées pour faire des énergies propres une réalité concrète et accessible à tous.
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Site édité par : Energy Observer, Société par Actions Simplifiée au capital social de 1 300 003 euros
Immatriculée au Registre des Sociétés de Saint-Malo sous le N° 812 988 020 RCS Saint-Malo
Siège social : 27, quai Duguay Trouin - 35400 Saint-Malo - France
Responsable de la publication : Victorien Erussard
Informations hébergeur
Hébergé par : Digital Ocean, dans un data center alimenté aux énergies renouvelables basé en Allemagne et appartenant à la société Interxion
Les images sont hébergées sur des serveurs d’Amazon Web Services (AWS) en Irlande.
contact@energy-observer.org.
Photographes : Amélie Conty ; Jérémy Bidon ; Marta Sostres ; Kévin Peyrusse ; Antoine Drancey ; George Conty ; Agathe Roullin ; Francine Kreiss ; Fitzgérald Jégo
Réalisation du site : Base Design
Identité visuelle : Base Design
L’année prochaine, le port d’Amsterdam mettra un service un bateau à hydrogène. Sa particularité : ce « gaz » sera stocké dans ses cales sous forme solide. Déjà baptisé Neo Orbis, le navire sera utilisé pour des courts trajets dans le port et sur les canaux de la ville. Mais faut-il vraiment applaudir cette innovation ?
Photo Pilotine Station de Pilotage Maritime de Sète - ©Ewan Lebourdais
H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Passer de combustibles fossiles à la combustion H2, le fondateur de la société H2YAM, Alexandre Marc, présente son procédé dans les Chroniques Littorales. Le moteur essence ou diesel brûle un combustible qui produit de l'énergie thermique, qui est transformée en énergie mécanique. H2 fait exactement la même chose avec le gaz hydrogène qui est aussi un combustible. H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Selon le mode de stockage, H2YAM s'attaque dans un premier temps aux moteurs
Mais aussi à des solutions de stockage de l’hydrogène plus facilement intégrées pour des navires. Si H2YAM a travaillé sur la conversion d’un moteur hors-bord en test, mais son premier démonstrateur est une barge conchylicole, parce que H2YAM cible les professionnels artisans en premier. Prochainement, H2YAM deviendra EcoNautik !...
Clés : Économie Entreprises – Marchés
L'équipe Jose Manuel Lamarque
DECISIONS PUBLIQUES, ENVIRONNEMENT, éolien posé, Fondations, Navires
... Ailes Marines a annoncé le retour sur zone de l’Aeolus à partir de ce vendredi. Cette décision fait suite à l’accord des autorités maritimes pour une reprise des opérations de forage et d’installation des pieux des fondations jackets aux positions les plus nord.
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Le système électronique de sécurité du gabarit servant de guide pour les forages avait détecté une fuite soudaine d’une centaine de litres de fluide hydraulique biodégradable de type « PANOLIN HLP SYNTH ». La fuite identifiée provenait d’une connexion hydraulique qui s’était desserrée au cours des travaux de forage des emplacements des pieux des fondations. ... réévaluer à la hausse tous les seuils d’alertes d’incidents ... être capable de circonscrire et traiter immédiatement toute éventuelle nouvelle fuite d’huile hydraulique ...
Connu / https://twitter.com/energiesdelamer/status/1415979520683909124
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41 783 ont signé
SOS MEDITERRANEE FRANCE a lancé cette pétition adressée à Autorités italiennes
Mercredi 22 juillet, les autorités italiennes ont placé en détention, le navire humanitaire Ocean Viking, en invoquant des « irrégularités techniques et opérationnelles ».
Affrété par l’association civile européenne de sauvetage en mer SOS MEDITERRANEE, ce navire-ambulance a secouru plus de 2000 personnes en un an. Depuis sa création en 2015, l’association a porté assistance à plus de 31 000 femmes, hommes et enfants.
Bloqué à quai en Sicile, le navire-ambulance est désormais empêché de mener sa mission vitale de sauvetage en mer, alors que chaque semaine des centaines de personnes continuent de traverser la Méditerranée au péril de leur vie, pour fuir la misère, les violences et l’ “enfer libyen”.
Cette détention est une étape supplémentaire dans le harcèlement administratif incessant que subissent les navires humanitaires en Méditerranée. La manœuvre politique est cynique : elle vise à stopper les activités de sauvetage des ONG, qui comblent pourtant le vide laissé par les Etats européens.
Sans bateaux humanitaires pour secourir les naufragés, le nombre de morts aux portes de l’Europe augmentera encore cet été.
Demandez aux autorités italiennes de libérer l’Ocean Viking, signez cette pétition ! #FreeOceanViking
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https://framasphere.org/posts/9900552
41 185 ont signé
Association Stand Up For The Planet a lancé cette pétition adressée à Ministre de la transition écologique et solidaire et à 1 autre
Lors d’une sortie d’exploration des cétacés en Mer Méditerranée en octobre 2019 à bord du bateau « Santo Sospir » de l’association Sos Grand Bleu St. Jean Cap Ferrat un rorqual commun a été observé au large de Cannes avec la nageoire Caudal déchiquetée.
Les chances de survie avec une telle amputation sont minces.
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Chaque année, une quarantaine de grands cétacés décèderaient des suites d’une collision avec un navire en Méditerranée.
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Avec un trafic maritime annuel estimé annuellement à 220 000 navires marchands, la navigation commerciale est particulièrement intense en Méditerranée occidentale. Le Sanctuaire Pelagos et ses frontières n'y échappe donc pas, avec 2 des 8 « nœuds de concentration du trafic maritime » (Gênes et Marseille) identifiés dans tout le bassin et une trentaine de liaisons par jour assurées par au moins 8 compagnies de transport de passagers entre le continent, la Corse et la Sardaigne.
Vous n’êtes Bien entendu pas sans savoir qu’il existe un système efficace « REPCET » permettant aux navires équipés de s'informer en temps réel de la présence de cétacés dans une zone à risque.
Malgré le faible coût en comparaison des frais des compagnies maritimes, le montant de l'abonnement REPCET reste le principal argument avancé par les compagnies qui ne souhaitent pas s'équiper. Une minorité des bateaux faisant route en Méditerranée aujourd’hui en sont équipés.
En effet, La plus grande hérésie qui soit vient de la loi biodiversité de 2016 qui oblige l’installation du système REPCET pour tous les navires commerciaux de plus de 24 mètres battant pavillon français.
En 2019, 36 navires sont équipés du système REPCET, ce qui correspond à 0,04% du trafic maritime.
C’est presque un déni de se dire qu’on l’oblige au Pavillon Français quand on sait que personne (ou presque) ne bat Pavillon Français non ?
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En plus de cet aspect écologique, les collisions posent un problème de sécurité dans le cas des navires rapides. Un choc avec une baleine à 30 ou 40 nœuds peut causer l'ouverture de brèches sur les coques des navires, et une voie d'eau est alors possible. C'est ce qui s'est passé à plusieurs reprises sur les routes de liaisons avec les îles ces dernières années. Sans compter les problèmes sanitaires, de respect d'horaires, de coûts de réparation et d'image auxquels la compagnie maritime concernée doit faire face en cas de collision.
Madame la Ministre , ne serait t’il pas possible, dans un premier temps, d’imaginer de légiférer pour que 100% des bateaux passant au sein des routes maritimes du sanctuaire Pélagos soit obligatoirement équipées d’un système de localisation des cétacés ?
Dans l’idéal vous devriez légiférer pour qu'aucun navire de commerce ne passe dans le sanctuaire des Pelagos, ce passage est antinomique d'un endroit destiné à préserver la tranquillité des animaux marins.