🔴Le modèle sylvicole de notre pays est dans un tournant. ➡️L'industrialisation de la gestion forestière, menée par de ...
Connu / TG le 08/08/23 à 22:05
28213 signatures (135425 au 13/9/23)
Signez la pétition pour transformer notre modèle d'élevage !
Environ 60% des animaux d'élevage sont concentrés dans 3010 fermes-usines*, qui ne représentent que 3% des fermes d'élevage en France.
Ces méga-exploitations qui comptent des centaines de milliers d'animaux entassés sont un danger environnemental, sanitaire et social :
- Un fléau pour l'environnement : en France les fermes-usines polluent nos sols, l’eau, et l’air que nous respirons (pollutions aux nitrates et à l’ammoniac).
- Un fléau pour les forêts : en important massivement du soja d’Amérique du Sud pour alimenter les animaux d’élevages industriels, les fermes-usines aggravent la déforestation.
- Un fléau pour notre santé : l’usage excessif d’antibiotiques pour les animaux entassés a des conséquences dramatiques sur la santé humaine puisqu’il développe notre résistance aux antibiotiques. Le confinement des animaux augmente aussi le risque de zoonoses, des maladies qui se transmettent de l’animal à l’être humain, comme la grippe aviaire.
- Un fléau pour les paysans et les paysannes : ces méga-fermes menacent l’existence même de modèles paysans et accélèrent la disparition des fermes à taille humaine. Les éleveurs perdent peu à peu leur autonomie en se retrouvant pieds et poings liés à l’agro-industrie et à la grande distribution.
- Un fléau pour les animaux ...
Je demande au Ministère de la Transition écologique et au Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de mettre un terme à la course à l’industrialisation de l’élevage en instaurant un moratoire sur les fermes-usines en France.
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Le fabricant ambitionne de rendre commercialisables des modules à haute performance basés sur des cellules tandem en pérovskite à hétérojonction. Ces travaux visent à industrialiser dans les années à venir des cellules et des modules affichant des taux de rendement de 30 %.
décembre 21, 2022 Sandra Enkhardt - D’après pv magazine Allemagne - Traduction assurée par Christelle Taureau.
Clés : Innovation Modules et production en amont Allemagne
Meyer Burger met à nouveau l’accent sur la technologie à pérovskite, notamment pour l’associer à ses modules solaires à hétérojonction.
Meyer Burger a conclu un nouvel accord de coopération sur plusieurs années avec le CSEM de Suisse, le Centre Helmholtz de Berlin (HZB), l’Institut Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire (ISE) de Fribourg et l’Université de Stuttgart en vue d’industrialiser la technologie tandem en pérovskite. L’objectif est de produire des cellules solaires affichant un rendement supérieur à 30 %, en faisant appel exclusivement aux techniques de production propres à Meyer Burger, comme l’a annoncé mardi dernier le fabricant suisse de photovoltaïque.
« Avec une longue tradition de développement exclusif, Meyer Burger dispose d’un vaste portefeuille de processus, de technologies et de techniques de production pour la fabrication de masse potentielle en interne de cellules et de modules solaires tandem, a indiqué Marcel König, directeur de la section Recherche et Développement chez Meyer Burger. Cela comprend les processus de fabrication et les machines indispensables pour les cellules solaires tandem en pérovskite à base de silicium, ainsi que les modules solaires correspondants dotés de la technologie de connexion SmartWire exclusive de Meyer Burger. Associés aux compétences de nos partenaires académiques, c’est la recette idéale pour réussir ».
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Des premiers succès en matière de développement auraient d’ailleurs déjà été enregistrés : le CSEM et Meyer Burger ont ainsi atteint un rendement record de 29,6 % pour une cellule solaire tandem à pérovskite de 25 cm². Pour y parvenir, les chercheurs ont associé des cellules en silicium à hétérojonction avec des structures en pérovskite. « Cet excellent résultat prouve le potentiel des cellules tandem pérovskite-silicium pour atteindre des rendements élevés, se réjouit le Professeur Christophe Ballif, directeur du Sustainable Energy Center du CSEM. Il reste encore beaucoup à faire, mais l’industrialisation de cellules solaires affichant un rendement supérieur à 30 % est sur la bonne voie ».
Un point clé sur Made in Europe
Le HZB, qui mène lui aussi des recherches sur la technologie pérovskite depuis longtemps, a déjà atteint des rendements de plus de 31 % en laboratoire en associant des cellules à hétérojonction. À présent, avec Meyer Burger et les autres partenaires, il s’agit de transposer ces résultats à l’échelle de la fabrication de masse. « Meyer Burger fabrique en Europe, créant des emplois de grande qualité. L’entreprise s’appuie en outre sur des technologies qui ont été développées en Europe », explique Rutger Schlatmann, directeur du Centre de compétences en photovoltaïque de Berlin (PVcomB) au HZB.
La stabilité du processus de fabrication industriel ainsi que la grande fiabilité des modules revêtent une importance centrale pour le succès de la technologie en tandem pérovskite-silicium. « Notre but est que les modules pérovskite-silicium réalisent des performances aussi élevées en matière de fiabilité et de longévité que la technologie photovoltaïque classique en silicium », précise Andreas Bett, directeur du Fraunhofer ISE. Son institut est prêt à s’investir dans la transposition à grande échelle des processus de fabrication ainsi que dans la certification des modules solaires.
Les scientifiques de Stuttgart travaillent eux aussi avec ardeur sur les caractéristiques des nouveaux matériaux destinés à la nouvelles technologie de cellules solaires. Pour les cellules à pérovskite, il s’agit d’une nouvelle catégorie de semi-conducteurs qui émettent et absorbent de la lumière dans l’ensemble du spectre visible et de l’infrarouge, et dont les composants sont peu coûteux et largement répandus. « C’est grâce à cette équipe performante qu’il sera possible de faire des semi-conducteurs en pérovskite un produit durable et concurrentiel », estime Michael Saliba, directeur de l’Institut pour le photovoltaïque (ipv) de l’Université de Stuttgart. Dans ce projet, Meyer Burger joue un rôle pivot. En effet, transposer les avancées de la recherche à la fabrication de masse constitue un élément fondamental pour établir une production photovoltaïque Made in Europe, conclut Michael Saliba.
Connu / https://twitter.com/pvmagfrance/status/1605581251439919104
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Vincent Boulanger a retweeté pv magazine France @pvmagfrance · 21 déc.
#solarenergy #solar #sustainability
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50 pages
TABLE DES MATIÈRES
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LES FERMES-USINES EN ÉLEVAGE :
- COMMENT LES DÉFINIR ET ÉVALUER LE PHÉNOMÈNE 6
● Tour d’horizon des définitions utilisées : un concept complexe 6
● Évaluer le phénomène des fermes-usines à partir des ICPE soumises à autorisation, c’est-à-dire des méga-installations en élevage 9
○ Encadré : Qu’est-ce qu’une ICPE ? 10 - ÉTAT DES LIEUX DE L’INDUSTRIALISATION DE L’ÉLEVAGE EN FRANCE 12
● Environ 3300 ICPE soumises à autorisation en élevage, principalement dans le Grand-Ouest 12
● Un nombre d’exploitations soumises à autorisation variable en fonction des filières mais qui produisent des volumes conséquents 13
● Quelle évolution de l’industrialisation de l’élevage ? 15 - UNE INDUSTRIALISATION DE L’ÉLEVAGE ENCOURAGÉE ET NON CONTRÔLÉE 19
● Le détricotage de la réglementation qui encadre les ICPE en élevage 19
● Des subventions qui facilitent l’agrandissement des fermes : l’exemple de la région Bretagne 24
● Des accords de libre-échange au détriment d’un élevage écologique 27 - CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS AU MINISTÈRE 32
- ANNEXES 34
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Pour Greenpeace, les fermes-usines se définissent donc par un grand nombre d’animaux élevés sur une exploitation qui ne dispose pas d’une surface suffisante pour produire leur nourriture et/ou pour épandre sans risque le lisier ou fumier qu’ils ont produit. La définition d’une ferme-usine dépend donc beaucoup du territoire et notamment de la disponibilité en terres agricoles.
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Connu / GPP
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Deux géants de l’électronique de puissance s’associent. Le 13 septembre, le CEA-Leti et Valeo ont annoncé la signature d’un accord pour collaborer sur les prochaines générations de l’électronique de puissance, un domaine devenu stratégique avec l’essor du véhicule électrique. Entretien avec Philippe Despesse, adjoint aux programmes de la division systèmes du CEA-Leti.
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5 min. de lecture - © Francois HENRY/REA
Le CEA-Leti a signé un partenariat avec Valeo pour développer le futur de l'électronique de puissance.
Le CEA-Leti et Valeo, deux spécialistes de l’électronique de puissance, ont annoncé le 13 septembre avoir signé un accord de collaboration sur le sujet. Objectif: concevoir les prochaines générations de ces composants indispensables à la fabrication de voitures électriques, entre autres. Philippe Despesse, adjoint aux programmes de la division systèmes du CEA-Leti, explique à L’Usine Nouvelle les enjeux de ce domaine devenu stratégique. Et les axes de recherche des nouveaux partenaires.
L’Usine Nouvelle. – Pourquoi ce regain d’intérêt pour l’électronique de puissance?
Philippe Despesse. – Ce domaine n’est pas nouveau: l’électronique de puissance remonte aux années 1950. Sa particularité est de pouvoir supporter de très hautes tensions et courants, de quelques centaines de volts jusqu’à 1 kilovolt, voire beaucoup plus. Dans le ferroviaire par exemple, c’est ce qui permet de transformer le courant continu et haute tension du caténaire en des tensions alternatives pour alimenter le moteur du train ou les prises basse tension des passagers.
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Durable, Enviro, Hydraulique - 0 Commentaires - 562 Vus
Les nouvelles éco-membranes à haut rendement de la start-up bretonne Sweetch Energy peuvent propulser l’énergie osmotique au rang des sources d’énergie renouvelable les plus compétitives pour la première fois en 50 ans.
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pionnière des nanotechnologies avancées et des éco-matériaux appliqués à l’énergie osmotique, a annoncé aujourd’hui avoir obtenu un financement de 5,2 millions d’euros pour lancer sa phase d’industrialisation et développer un premier prototype industriel. ... énergie renouvelable au potentiel immense, en particulier grâce à sa nature non-intermittente et son abondance.
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financement de sociétés industrielles à fort potentiel disruptif telles que Ÿnsect, Meatable ou McPhy Energy. L’opération a été dirigée par le nouvel investisseur Future Positive Capital et codirigée par les investisseurs existants Demeter et Go Capital. D’autres investisseurs tels que Dominique Gaillard, co-fondateur d’Ardian, et Fabio Ferrari, fondateur de Symbio, l’un des pionniers européens de l’industrie de l’hydrogène, ont également participé. L’ADEME apporte des financements complémentaires.
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La technologie de Sweetch Energy combine les récentes avancées des domaines de la nanofluidique et des matériaux écologiques à faible coût pour développer des membranes de nouvelle génération
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Lyderic Bocquet, chercheur au CNRS, directeur de l’Institut Pierre-Gilles de Gennes (Université PSL) et l’une des autorités mondiales de la science nanofluidique, est l’inventeur original de la technologie et l’un des cofondateurs de l’entreprise
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Nicolas Heuzé, PDG et co-fondateur de Sweetch Energy
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Alexandre Terrien, co-fondateur de Future Positive Capital et nouveau membre du conseil d’administration
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Olivier Bordelanne, associé chez Demeter
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Clés : catalyseur membrane nanotechnologie osmotique
Ndlr:
- "potentiel immense" à nuancer selon https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?IiACgA Suivre ACT
- bureaux rennais selon https://www.greenunivers.com/2021/04/sweetch-energy-leve-52-me-et-passe-a-letape-pre-industrielle-256684/
- tech de type PRO ou RED ? ACT
Sujets relatifs : Matériaux & Chimie, Hydrogène, Electrolyse
L'électrolyseur de 2 mégawatts au cœur de l'usine de production d'hydrogène décarboné inaugurée le 12 juin par Apex Energy en Allemagne ne représente qu'une étape pour McPhy. Le français mise sur la maturité de l'électrolyse alcaline pour faire passer cette technologie à l'échelle industrielle et réduire le coût de production de l'hydrogène vert.
Produire de l’hydrogène zéro-carbone à grande échelle pour aider à décarboner l’industrie, voilà le défi que s'est donné McPhy. Son électrolyseur de 2 mégawatts (MW) au cœur de l'usine de production d'hydrogène zéro-carbone inaugurée par Apex Energy le 12 juin à Laage, en Allemagne, ne représente qu'une étape.
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l’électrolyse alcaline est certes moins innovante que sa concurrente, l’électrolyse à membrane échangeuse de protons (Proton Exchange Membrane, ou PEM) qui utilise un électrolyte solide et est réputée pour avoir un meilleur rendement. ... Mais « le PEM n’est pas arrivé à une maturité suffisante pour inspirer confiance aux industriels
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Au final, McPhy revendique presque égaler pour ses installations le niveau d'empreinte au sol de la technologie PEM, a priori plus compacte : « Le PEM utilise environ 40 m²/MW, et nous, nous sommes aux alentours de 45 m²/MW grâce aux opérations de pressurisation. » ... deux autres atouts du procédé alcalin : efficacité énergétique et durabilité. « Avec notre procédé, nous consommons environ 55 kWh/kg d’hydrogène produit, avec le PEM, nous serions aux alentours de 58 à 60 kWh/kg, ce qui est extrêmement dommageable. » Quant à la durée de vie des stacks, elle atteint 80 000 heures pour l’alcalin contre 40 000 heures pour le PEM, selon Laurent Carme, qui résume : « Avec l’alcalin, l’exploitant devra changer le stack une fois tous les vingt ans. » Un argument de poids pour se lancer dans la production du gaz léger.
Connu / https://twitter.com/IndustrieTechno/status/1280817862177890304
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McPhy a retweeté Industrie & Technologies @IndustrieTechno · 8 juil. @McPhyEnergy
mise sur la maturité de l'électrolyse alcaline pour faire passer cette technologie à l'échelle industrielle et réduire le coût de production de l'hydrogène vert.
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Ndlr : hydrogène décarboné ? IMPOSSIBLE vu que l'électricité, même produite par ENR nécessite des matériaux produits en utilisant des énergies fossiles :-(
CAP'TRONIC a retweeté @SFLinuxFR · 11 févr.
Cercle vert JOUR 1 du @FElectronique ! @VilledeGrenoble
Venez rencontrer notre équipe d'experts sur le STAND D90B pour parler industrialisation de plateformes #Yocto #Linux embarquées
Manchot #IoT #embedded #embarqué #IA #AI #SEPEM #industrie40 @sepemindustries
@Captronic_ #innovations - 0 - 2 - 4
(Savoir-Faire Linux France - Siège au Québec)