Une « mort digne », mais pour qui ? Approche anti-validiste de la loi fin de vie - Billet de blog 20 mai 2024 / Les Dévalideuses
Les mouvements handicapés en lutte pour leurs droits ont beaucoup à apporter au débat sur la loi fin de vie. La proposition d’une mort assistée advient dans un contexte où la vie digne des personnes vulnérabilisées n’est pas du tout assurée (voir même empêchée). Les voix « progressistes » du débat pourraient combler leurs angles morts en se saisissant des analyses l’anti-validistes.
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ASSEMBLÉE NATIONALE - PALAIS BOURBON
"La loi dont nous allons débattre va garantir l'ultime liberté, celle de regarder sa souffrance en face et de lui dire : tu ne vaincras pas"
Le 27 mai 2024 à l'Assemblée Nationale dans le cadre des débats sur le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades et à la fin de vie.
Notre étude exclusive montre qu'il y a 14 000 décès par an en plus dans les zones rurales que ce qui serait attendu ...
Connu / TG le 24/04/23 à 12:57
france-5 Interviews 1 h 7 min Français tous publics
diffusé le 03/04/23 à 22h44 Disponible jusqu'au 03/05/23
Retour sur les travaux de la Convention Citoyenne sur la fin de vie, qui vient de remettre ses conclusions au président de la République… Faut-il légaliser le suicide assisté voire l’euthanasie ? S’agit-il d’un progrès ou d’une dangereuse rupture anthropologique ? Choisir sa mort est-il un droit, une liberté individuelle ? Donner la mort peut-il relever du soin ?
➤ Claire THOURY, Présidente du comité de gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vie
➤ Claude GRANGE, Médecin, praticien hospitalier, ex-chef du service de soins palliatifs de l’hôpital de Houdan (78), co-auteur avec Régis Debray de « Le dernier souffle. Accompagner la fin de vie » aux éditions Gallimard (02/03/23)
➤ Benoit COHEN, Cinéaste, écrivain, auteur de « Formidable » aux éditions Flammarion (01/03/2023)
➤ Vanessa SCHNEIDER, Grand reporter au Monde, romancière
➤ Frédéric WORMS, Philosophe, directeur de l’École normale supérieure, ancien membre du Comité consultatif national d’éthique
➤Jérôme CHAPUIS, Directeur de la rédaction de La Croix
Présenté par : Karim Rissouli, Laure Adler, Camille Diao
Maison de production : France Télévisions / Together Media
72 780 ont signé
magazine L'OBS a lancé cette pétition
Chaque année, des Françaises et des Français, atteints de maladies graves et incurables, sont confrontés à des souffrances physiques et morales que les traitements ne parviennent plus à soulager. Ils demandent à leur médecin de les aider à mourir et se heurtent à un refus, condamnés à subir une fin de vie longue et douloureuse, en contradiction avec leur volonté libre et réfléchie.
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nous appelons aujourd’hui le président de la République, Emmanuel Macron, la Première ministre, Elisabeth Borne, ainsi que les parlementaires à prendre la mesure de ces drames et à réformer la loi.
Voici nos 109 premiers signataires :
Laure Adler, journaliste et productrice
Christophe André, psychiatre
Clémentine Autain, députée LFI
Jean Baubérot, historien
Nathalie Baye, comédienne
Nicolas Bedos, comédien et réalisateur
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Marion Villez, sociologue
Catherine Vincent, journaliste
Martin Winckler, médecin et écrivain
La startup Mecaware, incubée par PULSALYS et portée par Arnaud Villers d’Arbouet, recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares. Ce procédé vert, unique au monde, se base sur le captage du CO2 et répond à deux problématiques environnementales : la réduction du CO2 et le recyclage des matériaux stratégiques non accessibles mais indispensables à l’industrie des nouveaux outils technologiques. Après avoir déjà séduit Lyon Vallée de la Chimie en 2021 lors de l’AMI « les Ateliers Cleantech », Mecaware effectuera sa première levée de fonds dans les prochains mois afin de poursuivre son développement.
Une innovation de rupture unique au monde issue de la recherche publique française
Le procédé chimique mis au point par le Professeur Julien Leclaire du Laboratoire Chimie Supramoléculaire Appliquée de Lyon (ICBMS : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, CPE Lyon et CNRS) fait intervenir des amines et du CO2 présent dans les fumées industrielles pour générer un ensemble d’extractants qui vont s’associer de manière distincte à chaque molécule métallique. Les caractéristiques physiques et chimiques différenciées de chaque métal permettent leur sélectivité et leur extraction.
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ne rejette pas d’effluent et est peu énergivore, donc économiquement performante, mais également évolutive en s’adaptant au gisement. Simple à mettre en œuvre, elle permet de produire un métal compatible avec les filières industrielles.
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A l’heure des nouvelles technologies, le recyclage de tous ces produits est déterminant pour assurer un cycle vertueux contribuant au développement durable. » souligne Sophie Jullian, Présidente de PULSALYS.
Le soutien décisif de 2 SATT pour aboutir à la création de la startup
... 3 brevets ... mise en relation entre le chercheur et l’entrepreneur ...
l’inventeur Julien Leclaire
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Une levée de fonds pour industrialiser le processus dans une future usine
... la startup Mecaware, acronyme de MEtal CApture for WAste REcycling, apporte sa contribution à l’émergence de filières de production de produits technologiques et spécifiquement à la mise en place de la filière européenne de batteries de nouvelle génération dans une logique d'économie circulaire et de souveraineté industrielle.
... Son procédé ayant fait l’objet de plusieurs PoC (preuve de concept) ... les premiers partenariats industriels et commerciaux (2021-2022) ... la future usine (2022-2023) ...
Connu / https://twitter.com/Pulsalys/status/1390247468407873537
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PULSALYS @Pulsalys
Ce matin, nous présentions à la presse la startup #Mecaware, boostée par @Pulsalys & @SATTse_, qui recycle les batteries pour récupérer écologiquement les métaux stratégiques et les terres rares. Elle s'appuie sur une innovation issue de @ICBMSLyon
Sophie Jullian et 9 autres personnes
12:10 PM · 6 mai 2021·- 12 Retweets 14 J'aime
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Ndlr :
- "la startup MeCaWaRe créée en décembre 2020" selon https://www.pulsalys.fr/article/mecaware-le-recyclage-des-metaux-precieux-et-des-terres-rares
- est-ce l'heure des nouvelles technologiques comme le pense Sophie Jullian, ou plutôt celle de l'anthropocène ? En d'autres termes, la tech, centrale ou secondaire ? ACT
- usine en 2023 ? c'est donc du moyen-long terme. À suivre ACT
Auteur(s) : François Rousseau , Magali Audes, Marie-Pierre Grange, Raphaël Daufresne
Des solutions concrètes pour faire cesser ou prévenir les maltraitances envers les personnes vulnérables
Cette troisième édition de l’ouvrage a été profondément remaniée et comprend de nombreux compléments et actualisations : législatives, avec notamment les apports de la loi ASV, théoriques, au regard de l’avancée de nos connaissances gérontologiques et sociologiques sur le vieillissement et de la meilleure compréhension que nous avons des facteurs de risque, prospectifs.
La prévention de la maltraitance en direction des aînés et son éradication nécessitent une action qui s’inscrit dans la durée. Elle suppose des approches systémiques permettant d’anticiper les impacts possibles des mutations démographiques, technologiques, sociétales, institutionnelles sur son évolution….comme d’apporter des réponses permettant d’agir à différentes échelles (le territoire, le milieu familial, l’institution d’accueil…), et en premier lieu dans nos interactions quotidiennes avec les aînés.
Extrait du sommaire
Préface du Professeur Robert MOULIAS, Comité scientifique de la Fédération 3977 contre la maltraitance
1- État des lieux de la maltraitance
2-Les caractéristiques de la maltraitance en institution et à domicile
3-Les politiques et les mesures gouvernementales
La lutte gouvernementale contre la maltraitance
Les obligations réglementaires
Les nouvelles orientations législatives gouvernementales
4-Les nouveaux enjeux de la prévention de la maltraitance en direction des personnes âgées vulnérables
Mieux comprendre le vieillissement pour prévenir la maltraitance
Mieux cerner les enjeux à long terme de la prévention de la maltraitance
Appréhender la maltraitance comme un construit social en vue de mieux la prévenir
5-Les solutions, les outils et les procédures en matière de signalement et de gestion de situations de crise
Le signalement : une démarche d’écoute et de déontologie
Le signalement d’une situation de maltraitance, les obligations et la procédure
Les ESSMS : obligations et rôle de la direction en matière de signalement
Les formes de soutien à apporter aux acteurs
Libérer la parole
6-Les solutions pour promouvoir une politique de bientraitance institutionnelle
Définir et faire vivre un projet d’établissement
Veiller à la qualité d’accueil et d’accompagnement dès l’admission
Garantir la liberté d’aller et venir
Favoriser la reconnaissance, les formes de soutien et de formation des personnels travaillant auprès des personnes âgées
Mettre en place un dispositif de veille et d’évaluation partagée des risques de maltraitance
Renouveler l’approche de l’évaluation
Accompagner le projet de fin de vie
Magali AUDES est titulaire d’un DESS de psychologie gérontologique spécialisée en neuropsychologie. Elle a mené toute sa carrière auprès d’un public présentant des troubles cognitifs : du diagnostic, en participant à la création d’une consultation mémoire, à la vie à domicile, en créant des ateliers de stimulation cognitive. Elle exerce actuellement en EHPAD au Havre.
Raphaël DAUFRESNE est chargé de projet et coordinateur de formation à l’Institut de formation d’éducateurs de Normandie. Il mène des actions de conseil et de formation auprès des établissements sociaux, médico-sociaux et de collectivités locales et territoriales. Docteur en sociologie du travail et des organisations, il participe à des actions de recherche à l’IFEN. En partenariat avec l’Université du Havre-Normandie, il coordonne un master sur « l’innovation et le développement dans le champ de l’ESS ».
François ROUSSEAU est prospectiviste et expert en innovation sociale territoriale. Il accompagne des institutions nationales et régionales, des collectivités, des structures de l’économie sociale et solidaire, des organismes de sécurité sociale et de prévoyance, des comités d’entreprise, des collectifs d’habitants, dans la définition et la mise en œuvre de leur projet et dans la conduite du changement. Intervenant tant en France qu’à l’étranger, il est directeur du cabinet FR Consultants et membre fondateur et administrateur de la Société française de prospective.
Marie-Pierre GRANGE, assistante de service social de formation initiale, est titulaire d'un master 2 AGIS (action gérontologique et ingénierie sociale). Elle travaille au conseil départemental du Rhône.
Les plus de l'ouvrage : Interroger et améliorer ses pratiques pour lutter contre la maltraitance
Connaître les repères et outils nécessaires pour offrir des environnements sécurisants
Mettre en œuvre des actions et développer une véritable éthique de l'accompagnement
Pour qui ? : S’adressant aux professionnels du soin, aux intervenants des structures spécialisées, aux aidants, cet ouvrage s’adresse plus largement à l’ensemble des acteurs des politiques mises en œuvre en direction des aînés : élus, responsables de CCAS, organismes de sécurité sociale, bénévoles, acteurs de l’Économie sociale et solidaire, citoyens….
Ndlr : est-il question de la maltraitance par manque de moyens ? Vérifier ACT
Conférence des #AMFiS2020 avec :
- Jean-Luc Romero-Michel (président de l’ADMD)
- Raquel Garrido (Avocate)
- Pierre-Yves Cadalen (groupe 6e République LFI)
- Antoinette Baujard (CNRS)
Terminer >29:50 ACT
ont vu le jour suite à l’intégration, en 1975 dans le code de l’environnement, d’une loi introduisant le principe de Responsabilité Élargie des Producteurs. Cette nouvelle obligation impose alors à chaque fabricant, importateur ou distributeur de prendre en charge, notamment financièrement, la gestion des déchets générés par ces produits.
Les éco-organismes ont tous en commun le fait que leur gouvernance est assurée par les premiers intéressés (producteurs, actionnaires ou adhérents). In fine, leur rôle est d’assurer pour le compte des producteurs ou distributeurs la gestion des produits en fin de vie. Ils en sont donc responsables financièrement.
Pour pouvoir fonctionner, l’éco-organisme perçoit depuis 2006 une éco-contribution de ses membres ou adhérents. ... fixée / chaque filière. Elle s’ajoute au prix de vente et doit être visible pour le consommateur.
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Au-delà du statut juridique, les éco-organismes sont principalement organisés / secteur – ce qui est assez logique compte tenu du fait que les éco-contributions sont identiques pour une même filière. Nous pouvons par exemple distinguer :
Eco-Emballages pour les emballages ménagers
Eco-Systèmes ou Recylum pour les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) ou les lampes usagées
Ecofolio pour les déchets de papiers graphiques
Eco TLC pour les textiles, le linge et les chaussures
Corepile ou Screlec pour les piles et accumulateurs
Eco-mobilier pour les déchets d’éléments d’ameublement ménagers
Il est à noter qu’il n’existe pas d’éco-organisme pour toutes les filières (l’automobile, par exemple, ne dispose pas de structure attitrée – excepté pour les pneus), et que des solutions complémentaires, comme Le Relais ou Emmaüs, peuvent constituer de bonnes alternatives pour les produits n’étant pas arrivés en fin de vie.