Lundi 14 octobre 2024
La pollution de l'air à baissé ces vingt dernières années dans la plupart des grandes villes mais la France ne fait pas partie des bons élèves de l'Europe affirment deux spécialistes à l'occasion de la journée "on respire" sur France Inter,
Avec
- Karine Léger Ingénieure en environnement, directrice d'Airparif
- Augustin Colette Responsable de l’Unité de Modélisation Atmosphérique et Cartographie Environnementale de l’INERIS
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Selon le spécialiste, "dans 97% des agglomérations, les seuils recommandés par l'OMS ne sont pas respectés. Donc seul 3% de la population qui vit en ville qui respire un air sain". Il s'agit de villes moins denses, côtières et distantes des grands centres urbains. En revanche, Augustin Colette rappelle que "la pollution concerne tout le monde". La campagne souffre notamment d'autres sources de pollution comme comme "l'usage du chauffage au bois et tout ce qui est lié aux émissions agricoles".
Clés : Environnement Société Pollution Santé Politiques de santé publique Organisation mondiale de la santé (OMS)
Tr.: ... les particules fines ... émises aussi par les engrais agricoles ...
L'ACRO, l'association pour le contrôle de la radioactivité dans l'ouest milite pour plus de transparence ...
Connu / TG le 22/10/24 à 10:49
Pollution plastique, mer. ©Getty - Rosemary Calvert
... lutte contre la pollution plastique, son fondateur est Patrick Deixonne. Les Chroniques Littorales reçoivent Bruno Nicolas ; le président d'Expédition 7ème Continent...
Expédition 7ème continent, c’est 13 ans d’expéditions scientifiques, 40 000 relevés de plastique, plus de 170 escales pédagogiques autour du monde. Leur dernière étude est "Exploration Bleue".
"Exploration Bleue", c'est une première mondiale"
"C'est une étude qui est lancée en partenariat avec des laboratoires du CNRS, avec le soutien actif de nos principaux mécènes et en particulier de la Fondation CRESS et qui vise à établir entre autres la relation entre la pollution plastique et les perturbateurs endocriniens." Bruno Nicolas
septiemencontinent.com
Clés : Monde Environnement Pollution Outre-mer – DOM-TOM Mers et océans Nature
Durée de lecture : 1 minute
Pollutions
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redémarrer son nouvel atelier dit de « pre-compound », émetteur de PFAS, à Oullins Pierre-Bénite, près de Lyon.
La préfecture du Rhône a autorisé
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il fallait pour cela une autorisation d’exploitation, et pas seulement une autorisation d’extension.
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« Pour nous conformer aux exigences de l’État, nous avons installé des filtres dits “absolus”, qui utilisent des filtres Hepa H14 (filtration de très haute efficacité). Ces derniers, fournis par AAF une filiale de Daikin, réduisent de façon drastique nos émissions de poussières à 1 à 2 grammes par an », a expliqué Gaël Marseille, président de Daikin Chemical France, dans l’Usine nouvelle.
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Des collectifs de riverains ont annoncé leur intention d’attaquer l’arrêté ...
Connu / https://framapiaf.org/@AmeliePoinssot@piaille.fr/113310074008985544
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Mediapart a partagé 8 h
AmeliePoinssot@piaille.fr mediapart@mediapart.social
Par Amélie Poinssot @AmeliePoinssot@piaille.fr
La pollution de l’eau potable et des eaux souterraines serait-elle sous-estimée ? La nouvelle enquête de l’association Générations futures sonde un pan méconnu de l’infiltration des #pesticides dans nos écosystèmes, puis dans nos corps : leurs métabolites.
Les métabolites de pesticides, la partie immergée de l’iceberg
Par Amélie Poinssot
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EDF a déclaré un « événement significatif environnement » auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire le 30 septembre, trois jours après que la centrale de Flamanville a dépassé le seuil annuel de 100 kg d'émissions d'hexafluorure de soufre (SF6). Ce gaz à effet de serre a un potentiel de réchauffement 23 000 fois supérieur à celui du CO2.
Réservé aux abonnés
15 octobre 2021 \ 17h36 / Valentin Hamon--Beugin - 2 min. de lecture
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Ce n'est pas la première fois que la centrale de Flamanville dépasse le seuil autorisé. Cette situation a déjà été observée au moins en 2018 (149 kg) et en 2020 (102 kg). Avant 2018, la déclaration des dépassements de seuil n'était pas obligatoire. Mais le site n'est pas le seul à devoir progresser sur la question. L'Autorité de sûreté nucléaire de Caen avait déjà épinglé la centrale de Penly (Seine-Maritime) en juillet lors de son bilan annuel 2020, évoquant des « lacunes persistantes concernant les rejets de gaz SF6 ».
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Heureusement, des alternatives au SF6 commencent doucement à émerger, comme le Novec 4710 du conglomérat américain 3M. Ce mélange gazeux possède un potentiel de réchauffement 99,99% inférieur au SF6, pour une durée de vie dans l'atmosphère de 16 jours. Une solution défendue par General Electric, et depuis en partie adoptée par le gestionnaire français RTE. De son côté, le géant Schneider Electric veut faire une croix sur le SF6 grâce à son tableau électrique innovant, qui n’utilise que de l’air pur et du vide.
Les deux scientifiques affirment, dans une tribune au « Monde », que les coûts de santé publique engendrés par les pollutions agricoles et industrielles dépassent de beaucoup les gains de pouvoir d’achat par lesquels on les justifie. Ils en appellent à en finir avec la procrastination, qui « sauve l’existant en sacrifiant l’avenir ».
Publié hier à 17h00, modifié à 07h53 Temps de Lecture 3 min. - Article réservé aux abonnés
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Vies mutilées, coûts sanitaires : notre gestion de l’environnement nous punit. Notre santé a des fondements écologiques : comment croire que les atteintes répétées à notre environnement ne génèrent pas de désordres dans notre santé et notre bonheur ? Médecins et vétérinaires commencent à penser le concept de « santé unique », qui relie la santé humaine à celles des animaux, des plantes, des sols, de l’air… bref aux écosystèmes dont nous dépendons totalement. Un collectif de médecins a dénoncé, en mars, la suspension du plan national Ecophyto limitant l’usage des pesticides.
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Connu / https://x.com/GabrielMalek9/status/1826499988811047055
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Gabriel Malek @GabrielMalek9
🌍 « Finissons-en avec l’écologie punitive, celle qui tue et coûte. Développons une écologie préventive »
Deux biologistes affirment que les coûts de santé publique engendrés par les pollutions industrielles dépassent largement les gains de pouvoir d’achat sensés les justifier.
En toute logique, ils appellent à cesser la procrastination, qui « sauve l’existant en sacrifiant l’avenir », et à promouvoir une manière de produire plus écologique.
🤔Pourquoi d’ailleurs n’appliquons nous pas ce modèle préventif depuis des décennies ?
Attention ça risque d’être un choc mais en fait notre modèle économique privilégie la rentabilité financière à la préservation de notre santé et de la vie sur Terre. Ça parait tout à fait insensé mais c’est ainsi.
Si on favorisait l’agro-ecologie, les circuits courts et la prévention, on risquerait d’avoir moins de points de PIB. Quel scandale !
Dieu nous en préserve 🙏👉 Une tribune de Gilles Boeuf et Marc-André Selosse à découvrir dans Le Monde
Illustration - Nausicaa de la Vallée du Vent (1984)
#décroissance #prevention #bonheur
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8:01 AM · 22 août 2024 · 5 309 vues
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Débats Pollutions
« Le temps est à l’action pour sécuriser le principe de l’eau potable au robinet pour tous »
Tribune / Collectif
Alors que la pollution liée aux pesticides augmente et que les sécheresses sont récurrentes, des collectivités organisatrices du service public de l’eau plaident, dans une tribune au « Monde », pour la sanctuarisation des aires d’alimentation de captages et pour une transition agroécologique.
Publié le 29 mai 2024 à 07h00 Temps de Lecture 3 min.
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Connu /
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Comme en août 2022, la Communauté d’Agglomération de La Rochelle est confrontée à la présence de fosétyl dans l’eau du fleuve Charente, sa principale ressource en eau potable. ... produit phytopharmaceutique couramment utilisé pour lutter contre le mildiou, notamment sur les vignes. Il est facilement lessivable, aussi les pluies de ces dernières semaines expliquent en partie qu’il se retrouve dans le fleuve.
... des pics allant jusqu’à 0,43 microgrammes par litre alors que le seuil de qualité est établi à 0,1 microgrammes par litre. Le seuil
de potabilité établi par l’ANSES pour cette molécule est quant à lui très élevé : 9 000 microgrammes par litre.
En l’absence de traitement immédiat possible, pour respecter au maximum les seuils de conformité et dans un contexte où les besoins sont les plus importants de l’année, des solutions complexes ont pu être mises en œuvre par l’agglomération. Grâce à la réouverture des captages d’Aunis en juin dernier, un savant équilibre entre les eaux de Coulonge et celles des forages a pu être réalisé pour obtenir un mélange d’eau de la meilleure qualité possible au robinet : l’eau est donc potable mais classée non conforme.
La Communauté d’Agglomération a engagé un travail de recherche sur des solutions dont l’objet serait à terme de réduire la présence de cette molécule dans l’eau potable. Par ailleurs, un dialogue est amorcé avec la profession viticole dans le cadre du contrat Re Sources 2022/2026 de l’Établissement Public Territorial de Bassin EPTB du fleuve Charente pour prévenir et empêcher à la source ces épisodes de pollution.
Cette nouvelle pollution fait suite à série d’autres ... Pourtant des moyens colossaux ont ete et continuent d’etre mobilises par la Ville puis l’Agglomeration, les Agences de l’eau, les institutions et les professionnels pour preserver la qualite sanitaire de l’eau potable. Des actions a long terme sont engagees pour soutenir la transition agro-environnementale. 100 hectares de terrains ont ete acquis autour des captages. Une longue et fastidieuse procedure reglementaire a ete lancee pour proteger le captage des Mortiers a Clavette ferme depuis janvier 2021 suite a un pic de pollution au chlortoluron.
Investi au sein de la Fédération nationale des collectivités dévolue au services publics locaux en réseau FNCCR, Guillaume Krabal, Vice-Président de la Communauté d’Agglomération chargé de
l’eau potable, à l’initiative tribune de Le Monde le 29 mai 2024 intitulée L'eau potable en péril : il est temps d'agir.
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3 016 signataires
Destinataire(s) : Métropole de Montpellier
Campagne lancée par Contacter Collectif B.A.M. B.
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80% des déchets des mers et océans sont générés par l'activité sur terre, et sont en majorité transportés par les cours d'eau.
... Signalons toute pollution constatée sur l’adresse mail alerte.pollution@hotmail.com. ... tapis qui asphyxie la vie sous-marine, en l'anéantissant. ... Nous demandons à la métropole d’agir à nos côtés :
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sur l’axe préventif, avec :
des campagnes d’information efficaces sur la question du plastique, le seul déchet qui ne disparait jamais, mais qui se fragmente en micro plastiques, que l’on retrouve par transport atmosphérique jusqu’aux lacs isolés en altitude, et que nous devons impérativement arrêter d’utiliser au maximum,
une campagne d’information et de sensibilisation sur la différence entre égout et réseau pluvial urbain, réseaux unitaires et séparatifs, et les conséquences d’une pollution des réseaux pluviaux
des interventions dans les écoles,
une sensibilisation auprès des commerçants et des industriels,
et surtout en en priorité immédiate, un travail de réduction à la source des déchets en limitant sur le territoire tous les emballages, entre autres, et en mettant en place une vraie politique zéro déchet. -
Sur l’axe correctif également, avec :
un état des lieux sur la pollution chimique, et un plan d’action précis pour limiter les rejets des industriels,
des actions montrant une vraie prise de conscience collective sur les conséquences de l’eutrophisation (rejet de matière organique dans les cours d’eau qui tue littéralement toute la vie qui s’y trouve par prolifération végétale et consommation de tout l’oxygène, appelé plus communément : pollution aux eaux usées),
des ramassages et quantification de déchets réguliers,
l'installation de filets récupérateurs de déchets solides sur les exutoires et avaloirs stratégiques,
une aide au développement de la filière « gestion et tri » des flux récupérés par ces filets,
l’adaptation des bassins d’orages pour gérer les volumes d’eau colossaux et éviter la saturation des stations d’épuration mais aussi le débordement des réseaux unitaires dans les cours d’eau,
la remise en état des réseaux d’eaux usées pour diminuer la pollution des nappes phréatiques,
une meilleure surveillance des réseaux pour identifier les ruptures de canalisation et des interventions plus rapides,
la suppression des trop nombreux rejets d’eaux usées directement dans les cours d’eaux, ou encore sur les réseaux pluviaux,
la mise en sécurité des réseaux d’évacuation des eaux usés simplement posés dans le fond de ces cours d’eau …
une étude technique systématique de faisabilité de réemploi des eaux grises (eaux de la douche ou de vaisselles pour alimenter les WC par exemple) devrait être systématiquement envisagé pour les constructions neuves des collectivités, tant le sujet de l’eau potable et notre responsabilité à en préserver la ressource est cruciale.
des récupérateurs d’eau de pluie et panneaux solaires en collectivité,
Il y a tant de sujets à aborder, tant de mesures à mettre en place, il est temps de se mettre ensemble en mouvement !
Afin d’entrer en action à vos côtés, collectivement et efficacement sur des sujets aussi variés que transversaux, nous demandons la création en urgence d’un CONSEIL DE PROTECTION ENVIRONNEMENTAL, déjà validé pour certains élu.e.s, constitué d’élus et d’associations de protections environnementales.
Ce format de réunion de travail régulières est indispensable pour une communication efficace entre les services municipaux qui ont à gérer tous ces sujets transversaux, mais aussi pour permettre aux problématiques locales de remonter
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Quel est le point commun entre une hache, une moto et des bombes de la Seconde Guerre Mondiale ? Ce sont des objets qu’on retrouve dans le Lahn, la rivière qui traverse la ville allemande de Marburg. Pour remédier à cette pollution toxique pour la faune et la flore, les plongeur⸱euses de l’association Lahntaucher (plongeurs du LAHN en allemand, prononcer lantorer) organisent des opérations de nettoyage. L’occasion de dénicher des trésors historiques vieux de plusieurs siècles… quand ils et elles ne risquent pas leur vie en dénichant des armes englouties. Dans cet épisode, découvrez les interventions d’ampleur réalisées par les bénévoles, et la façon dont ils ambitionnent d’étendre leur action à l’Europe entière.
Éveille ta Ville, c’est quoi ?
Dans Éveille ta Ville, notre équipe de journalistes indépendant·es a sillonné l’Europe à la rencontre des faiseur·euses de changement. L’objectif : couvrir les solutions concrètes en faveur de la transition écologique et sociale dans un réseau de cinq villes européennes : Pavia (Italie), Iași (Roumanie), Marburg (Allemagne), Salamanca (Espagne) et Coimbra (Portugal).
Dans ce périple de cinq mois réalisé 100% en transports en commun, nous vous emmenons à la découverte des initiatives qui font vraiment la différence. De quoi vous inspirer à changer votre vie et votre ville dans un même mouvement.
Au rythme d’un épisode par semaine, embarquez avec nous pour une aventure sonore haletante, où la prise de conscience personnelle engendre l’action collective. Abonnez-vous sur les plateformes d'écoute (Spotify, Apple Podcasts, etc.) pour ne pas manquer le prochain reportage !
Éveille ta Ville, le podcast des initiatives écologiques et sociales des territoires en transition.
Un podcast réalisé par Hildegard Leloué, Kelly Gourdin et Rémi Augais, membres d’Aether narratio, association de création de contenu et de transmission de savoirs autour de la transition écologique et sociale. L’habillage sonore a été confectionné par Victor Dubin. Mattis Underhill a pris la photo de couverture du podcast. Merci à Thomas Becking, Louise Idmond et Isthun pour le doublage des voix. Cette aventure sonore est soutenue par la Ville et le Crous de Poitiers, la Fondation Université de Poitiers, l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, la Fondation Banque Populaire Val de France et la Région Nouvelle-Aquitaine.
Tr.: ... préserver l'une de nos ressources les plus précieuses, l'eau ... rivière LAHN ...
Pollution de l'eau : la nanofiltration, une technique d'adoucissement qui permet aussi d'éliminer les résidus de pesticides / France 3 Hauts-de-France
Il y a dix ans, le syndicat des eaux de Sinceny-Autreville, près de Chauny dans l'Aisne, a choisi la nanofiltration pour adoucir son eau. Un pari qui se révèle gagnant aujourd'hui, puisqu'il permet aussi d'éliminer les pesticides...
Connu / TG le 31/01/24 à 21:09
Le soissonnais se soulève pour préserver le vivant ! - paru dans lundimatin#411, le 15 janvier 2024
Sur le plateau de Soissons, dans l’Aisne, l’entreprise danoise Rockwell?? souhaite installer une usine de laine de roche. Au programme : 950 tonnes de polluants toxiques et 22 000 tonnes de CO2 à l’année et en bonus, 200 poids lourds en rotation au quotidien. Étonnement, les riverains se mobilisent pour empêcher que ce projet n’aboutisse. Le comité des Soulèvements de la Terre de Laon, nous a transmis un point d’étape quant à cette mobilisation locale. On y apprend notamment que le terrain sur lequel souhaite s’installer le géant danois se nomme : Le bras de fer !
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Lutter contre Rockwool, c’est aussi être l’eau qui se défend !
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la Terre qui se défend !
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préserver le vivant !
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[1] C’est fou mais sur les cartes le terrain de Rockwool sur le plateau de Courmelles se nomme : Le bras de fer !
[2] A l’heure actuelle, les travaux consistent a installer la base de vie et le cloturage du site.
[3] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/12/10/la-publicite-mensongere-de-rockwool/
[4] https://reporterre.net/Rockwool-Comment-l-Etat-peut-il-soutenir-des-multinationales-financant-Poutine
[5] Les cailloux utilisés c’est du basalte.
[6] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/05/15/synthese-du-projet-rockwool-a-soissons/
[7] https://stoprockwool.wordpress.com/2022/11/10/rockwool-dans-le-top-10-des-industries-francaises-les-plus-polluantes/#comments
[8] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/11/23/dossier-de-presse-de-novembre-2023/
[9] La commune de Courmelles
[10] Le village contre la multinationale, Arnaud Svreck et David Breger, Seuil, novembre 2022.
[11] https://reporterre.net/Les-enquetes-d-utilite-publique-sont-faites-pour-etre-inutiles
[12] Voir dossier de presse, stop rock wool, novembre 2023.
[13] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/08/30/rockwool-et-la-secheresse/
[14] Aisne nouvelle du 11 novembre 2023.
[15] Préservons le vivant, Manifeste d’agriculteurs du Soissonnais, opposés à la construction d’une usine de laine minérale Rockwool sur les hauteurs de Soissons.
Connu / TG le 15/01/24 à 15:17
Connu / TG le 17/11/23 à 20:34
Une pollution a été détectée dans les eaux de la Garonne, dimanche 24 décembre 2023, entre le Tarn-et-Garonne et le Lot-et-Garonne. EDF a annoncé qu'il s'agit d'un dysfonctionnement au niveau de la centrale nucléaire...
Connu / TG le 25/12/23 à 12:21
Chlorothalonil. Élus et syndicat de l'eau partent en croisade contre les produits phytosanitaires et fustigent "l'inaction de l'État" / France 3 Nouvelle-Aquitaine
Cette semaine, le syndicat Eau 17 et le département de la Charente-Maritime signent deux ...
Connu / TG le 14/12/23 à 13:33
France : Golfech : 350 kilos de produits chimiques dans l’environnement / Réseau Sortir du nucléaire
Fin octobre 2023, en contrôlant un matériel qui refroidit certains locaux du réacteur 2 de la centrale ...
Connu / TG le 13/10/23 à 17:26
Irrigation et pollution dans la Vienne : deux fermes mises à l’amende / lanouvellerepublique.fr
Deux fermes ont été condamnées devant le tribunal de police de Poitiers : la première pour une irrigation interdite, la seconde pour ...
Connu / TG le 14/10/23 à 16:31
Maman, j'ai arrêté l'avion ! - Le numérique : une giga pollution
MAGAZINE - duration 57 minutes
Disponible du 10 octobre 2023 au 8 octobre 2025
« Maman, j'ai arrêté l'avion » s'intéresse à notre empreinte numérique, qui n'a vraiment rien de virtuel.
Quel est le coût écologique d'un mail, d'un selfie, d'un like, d'une vidéo en streaming ? Tous les jours, nous sommes plusieurs milliards à communiquer par courriels, à scroller, poster, liker, tchater, zoomer, visionner, streamer... et à se vautrer, le plus innocemment du monde, dans une débauche énergétique qui ressemble furieusement à un désastre environnemental. Mais derrière tout cela, il y a un giga business...
Et cette pollution numérique est invisible : « Le cloud » n'est pas un nuage, en réalité ce sont des millions de câbles, de serveurs et d'antennes relais. Sans parler de la 5G qui va démultiplier nos usages. Si l'on veut sauver la planète, il va donc falloir sérieusement revoir nos comportements. Mais est-ce seulement possible à l'heure du monde globalisé et des apéros zoom ? Mails, 5G, streaming, terminaux... qu'est-ce qui pollue vraiment ? Et que peut-on faire dans un monde digitalisé où plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d'énergie ? Et enfin, l'IA s'apprête-t-elle à révolutionner nos vies ?
Pour répondre à ces questions, Daphné ROULIER, en collaboration avec Raphaël HITIER reçoit :
- Raphaël GUASTAVI, directeur adjoint de l'économie circulaire à l'ADEME, l'agence de la transition écologique
- Sheila O'HARA, en charge des solutions technologiques pour le développement durable chez IBM France.
- Guillaume PITRON, journaliste et spécialiste du numérique, auteur de « L'Enfer numérique » (Les Liens Qui Libèrent).
Présenté par : Daphné Roulier, avec la collaboration de Raphaël Hitier
Année : 2023 / Durée : 52' - Production : LCP-Assemblée nationale, en collaboration avec Nova Production
"Maman j'ai arrêté l'avion" est un magazine sur la transition écologique présenté par Daphné Roulier.
Chaque mois, Daphné Roulier abordera un thème lié à l'actualité suivi d'un débat avec ses invités. Ensemble ils se poseront des questions concrètes et politiques quant à la transition écologique que nous devons tous mener. Comment agir ? Comment s'organiser collectivement ? Quelles solutions sont à notre portée ? Quelles sont les fausses pistes à éviter ?
L'émission de 52 minutes est construite autour de reportages tournés sur le terrain et d'interviews de politiques et/ou d'experts en plateau menées par Daphné Roulier avec, à ses côtés, Raphaël Hitier, docteur en neuroscience et réalisateur de documentaires scientifiques.
La militante écologiste Camille Etienne participera également à l'émission sous une forme artistique et percutante.
Mis à jour le 08/09/2023 à 17:26
Quasiment toutes les eaux distribuées dans la Vienne ont des concentrations en chlorothalonil R471811 supérieures à 0,1 µg/L. © (Photo d'illustration NR-CP, Xavier Benoit)
Encouragés par les autorités sanitaires, Eaux de Vienne et Grand Poitiers ont demandé une dérogation pour distribuer l’eau potable malgré les métabolites du fongicide chlorothalonil.
Tout le monde le sait : les taux des métabolites de dégradation du fongicide chlorothalonil (R471811 et R417888) dépassent les seuils de qualité et parfois les seuils sanitaires dans l’eau potable distribuée (1) depuis la découverte dans plusieurs points de captages au printemps 2023 (2). La Vienne est le premier département de France à être confronté à une contamination quasiment globale de cette ampleur. Et les distributeurs d’eau ont des sueurs froides.
« Tout le monde ne fait pas correctement son travail »
Une dérogation aux limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine a été demandée pour une durée de trois ans concernant 61 unités de distribution d’eau et 220.000 habitants par Eaux de Vienne. Grand Poitiers (13 communes) a fait la même demande de son côté. La question a été abordée dans le cadre du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (3), jeudi 7 septembre 2023. Cette demande est légalement possible, en s’appuyant sur les articles R 1321-31 à 36 du Code de la santé publique. Contacté dans la journée, le préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier, a confirmé : « Ces demandes de dérogations sont une demande réglementaire souhaitée par les autorités sanitaires. »
À LIRE AUSSI. Pesticides dans l’eau de la Vienne : diluer ou traiter coûtera des millions d’euros
« La limite de qualité dépassée de longue date »
Les autorités sanitaires, en l’occurrence, sont la direction générale de la santé (DGS) et son émanation régionale, l’Agence régionale de santé Nouvelle-Aquitaine (ARB-NA). Olivier Serre, directeur de cabinet, éclaire d’un jour nouveau une problématique propre à la Vienne. Selon lui, « tout le monde ne fait pas correctement son travail, cette demande de dérogation doit permettre aux distributeurs d’eau de s’organiser mieux, notamment dans le cadre de l’interconnexion des réseaux. On ne retrouve pas ce même niveau de difficulté dans d’autres départements ».
L’interconnexion entre différentes sources destinée à diluer les teneurs ne fera pas disparaître les métabolites de chlorothalonil. Mais elle pourrait permettre de continuer à distribuer de l’eau dans des valeurs sanitaires acceptables. Une situation justifiant aussi cette demande de dérogation, au moins pour Eaux de Vienne, distributeur le plus concerné actuellement.
« Totalement illusoire de considérer que la conformité de l’eau sera rétablie »
Selon un document du syndicat, datant de juillet 2023 et que nous avons pu consulter, la dérogation résonne comme un aveu d’impuissance à résoudre une problématique qui dépasse dans l’immédiat ses capacités techniques et financières (lire par ailleurs) : « La contamination généralisée d’une grande partie des ressources d’Eaux de Vienne, l’absence ou l’insuffisance des interconnexions entre unités de distribution voisines […], l’absence de traitements des pesticides ou l’inefficacité des traitements existants ne permettent pas, à ce jour, de distribuer à de très nombreux abonnés une eau respectant les limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine. »
Et même en dérogeant aux limites de qualité, Eaux de Vienne ne semble pas optimiste : « Il paraît totalement illusoire de considérer que la conformité de l’eau sera totalement rétablie à l’échéance de cette dérogation (2026). Il est même illusoire, en l’état de nos connaissances, de pouvoir s’engager sur une remise en conformité à l’échéance d’une seconde dérogation (mai 2029). »
(1) Le seuil de qualité est fixé à 0,1 µg/L et le seuil sanitaire à 3 µg/L pour les eaux mises en distribution. La valeur de 3 µg/L est fixée comme valeur transitoire dans l’attente de définition d’une valeur maximale sanitaire d’exposition par l’Agence de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) « courant 2024. »
(2) Dans les eaux brutes de sept forages à Cuhon, Saint-Genest-d’Ambière et Mirebeau (plus de 16.000 habitants concernés), les eaux concentrent plus de 2 et jusqu’à plus de 5 µg/L de métabolite du chlorothalonil. Les analyses ont même ponctuellement détecté jusqu’à 7,5 µg/L.
(3) Le Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (CoDERST) est notamment chargé d’émettre un avis sur les projets d’actes réglementaires en matière d’installations classées, de déchets, protection de la qualité de l’air, d’eaux destinées à la consommation humaine et de police de l’eau et des milieux aquatiques. Présidé par le préfet, il comprend des représentants des services de l’État, de l’Agence régionale de santé (ARS), de collectivités territoriales, d’associations agréées de consommateurs, de pêche et de protection de l’environnement.
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Clés : A la Une local Vienne Poitiers Santé Environnement
Connu / TG le 12/09/23 à 19:35