L’ONG Oxfam dénonce la « déconnexion » accrue entre dividendes et salaires depuis 2018 / Le Monde.fr
En France, ce déséquilibre dans le partage de la valeur dans les grandes entreprises s’accompagne d’un manque d’investissement dans ...
Connu / TG le 26/06/23 à 08:57
233 k abonnés - 4,8k+ - 109 060 vues - 730 commentaires
Notre regard singulier sur l'état de la France et la marche du monde. Au-delà des faits, le sens de l'actualité.
“Nous sommes agents des services publics. Issu.e.s de milieux d'oùprendre la parole est découragé. Constatant chaque jour une perte de sens. Aujourd'hui nous brisons le silence pour dénoncer les dysfonctionnements de l'Etat” voilà comment le collectif Nos services publics se présente. Collectif qui est allé chercher dans les chiffres et dévoile que l’État a : soit le projet de baisser le nombre et le salaire des fonctionnaires ; soit a gonflé artificiellement le déficit annoncé ; déficit qui sert à légitimer la réforme des retraites. Les fonctionnaires : ces soignant.es, profs, agent.es des diverses instutions, etc. Toustes celles et ceux qui font nos services publics.
Lisa Lap reçoit Arnaud Bontemps, fonctionnaire et co-porte-parole du collectif Nos services publics. Avec lui, on revient sur les chiffres du COR, donné par le gouvernement, qui ont servi à dessiner le déficit prévu pour les années à venir et permet de légitimer la réforme des retraites pour le gouvernement. Il prévoit une diminution de 11% de la rémunération des fonctionnaires sur le quinquennat et une diminution de leur nombre. On revient aussi sur les arguments du gouvernement pour justifier la réforme : est-ce pour financer nos services publics ? L'argent des retraites ne servira-t-il qu'aux retraites ? Le discours a de nombreuses fois changé. Décryptage.
230 k abonnés - 2,4 k+ - 20 191 vues - 226 commentaires
C'est un hold-up tranquille, qui s'opère depuis 1982 : entre 5% et 10% de la valeur ajoutée ont glissé du Travail vers le Capital. C'est le point aveugle, et pourtant central, du débat économique, y compris pour nos retraites. Comment s'opère ce chapardage géant ? Je vous explique !
Tr.: ... Jacques Atali ... cause, la mondialisation, le libre-échange ... tension à l'intérieur de la société ... vampirisation par le sommet (les multinationales) ... thomas d'avril? jacquy faillolle?
20:45 - 61 k vues
#PJLPouvoirDAchat - 85,4 k abonnés - 4,4 k - 61 569 vues - 833 commentaires
👉 Débats autour #PJLPouvoirDAchat - Jour 1
Retrouvez les interventions d'Adrien Quatennens, député du Nord, coordinateur de la France Insoumise, lors de la séance publique à l'Assemblée nationale ce lundi 18 juillet 2022 sur le projet de loi du gouvernement "Mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat"
Commentaires 839
1 438 vues - 201 - 8,46 k abonnés - 36 commentaires
61 362 vues - 3,7 k - 185 - 560 k abonnés
Le lundi 20 septembre, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Ruth Elkrief sur LCI. Le candidat de l’Union Populaire a expliqué les raisons pour lesquels il a décidé d’affronter Eric Zemmour en débat sur BFMTV le 23 septembre prochain. Il a souligné les conceptions aux antipodes entre lui et le (presque) candidat d’extrême-droite.
Jean-Luc Mélenchon a également pu s’exprimer sur ses propositions concernant l’insécurité alimentaire. Il est revenu sur les 5 fruits et légumes à petits prix bloqués, le rationnement du sucre et du sel dans l’alimentation, la fin des fermes usines, ou la conversion au bio de l’agriculture française. Autant de propositions qu’il a longuement développé récemment dans une interview au journal Libération et sur son blog.
Président du groupe La France Insoumise a également été interrogé sur son opposition au pass sanitaire, qu’il a continué de critiqué comme inefficace, autoritaire et absurde.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon a réagit à la perte par la France d’un contrat de sous-marins pour l’Australie, suit à l’intervention des Etats-Unis. L’occasion pour lui de rappeler ses positions sur la nécessaire indépendance de la France et donc sa sortie de l’OTAN.
1 061 commentaires
Données
En équivalent temps plein, les femmes touchent 18,5 % de moins que les hommes, selon l’Insee. La discrimination pure serait d’environ 10 % d’après le ministère du Travail.
Clés : Femmes et hommes ; Revenus et patrimoine ; Salaires ; Revenus
Le salaire mensuel net moyen des hommes, en équivalent temps plein [1] est de 2 438 euros en 2015, celui des femmes de 1 986 euros, soit un écart de 452 euros. Les femmes perçoivent donc, en moyenne, 81,5 % du salaire des hommes (1 986 divisé par 2 438), ou ont un salaire inférieur de 18,5 %. Ou encore, ce qui revient au même, les hommes touchent en moyenne un salaire supérieur de 22,8 % à celui des femmes (voir notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).
...
[1] Les salaires en équivalent temps plein permettent de prendre en compte les emplois à temps complet et à temps partiel. On transforme un salaire obtenu à temps partiel en déterminant à quel niveau il aurait été si l’emploi avait été à temps plein.
[2] « Ségrégation professionnelle et écarts de salaires femmes-hommes », Dares Analyses n°082, ministère du Travail, novembre 2015. http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-syntheses/dares-analyses-dares-indicateurs-dares-resultats/article/segregation-professionnelle-et-ecarts-de-salaires-femmes-hommes
Date de première rédaction le 27 mars 2017
Connu / https://blogs.mediapart.fr/arielle-kies/blog/151219/contre-projet-pour-un-systeme-de-retraites-universel-et-plus-juste i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Jljkmw