Clément Sénéchal (à droite), au Climat Libé Tour de Marseille, ce samedi. (Patrick Gherdoussi/Libération)
publié le 19 octobre 2024 à 19h09 par Maud Mathias
Auteur d’un essai fustigeant notamment l’écologie du spectacle, le spécialiste des questions climatiques Clément Sénéchal revient sur l’urgence de retravailler la question écologique à partir des inégalités réelles.
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Responsable pendant plusieurs années du plaidoyer chez GreenPeace France, Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques, milite pour une écologie révolutionnaire qui tranche radicalement avec celle «du spectacle» dans laquelle s’embourbent les ONG depuis des années. Auteur de l’essai Pourquoi l’écologie perd toujours (Seuil, octobre 2024), il décrypte les causes politiques qui conduisent systématiquement l’écologie dominante à l’échec. Présent au Climat Libé Tour à Marseille pour débattre de la question «La justice peut-elle sauver la nature ?», il revient sur la nécessité d’une écologie populaire, les inégalités subies par les populations vulnérables face à la catastrophe climatique et la passivité complaisante des «professionnels de l’écologie».
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Il faut une écologie de la lutte des classes et que la bourgeoisie sensibilisée accepte de se mettre au service des classes populaires. L’écologie doit devenir antifasciste, parce que l’un des principaux freins à la transformation sociale, c’est la fragmentation des classes populaires par le racisme. Or il y a toute une écologie bourgeoise qui fait basculer des parties entières des classes populaires vers l’extrême droite, parce qu’elles se sentent victimes d’une forme de violence symbolique de l’écologie officielle. Il faut ensuite consolider les alliances de classe possibles pour massifier le mouvement de contestation contre l’ordre établi.
Dans une note confidentielle que franceinfo a consultée, le ministère de l'Intérieur liste l'ensemble des menaces, jour par ...
Connu / TG
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(Re)Découvrez la conférence "Violences contestataires et violence d'État" , tournée aux Amfis 2023, avec :
- Antoine Léaument, député LFI-NUPES
- Isabelle Sommier, professeure de sociologie à l’université Paris 1
- Animé par Marlène Benquet, sociologue, co-animatrice du département de sociologie de l’Institut La Boétie
- Hugo Bernalicis, député LFI-NUPES
68 commentaires
- @Bouggieee il y a 7 jours Bravo à vous tous
5 - @snugglewhim il y a 4 jours
0:00: 📚 Une discussion sur les violences contestataires et la violence d'État avec des experts en sociologie.
7:33: 👮♂️ La vidéo aborde la formation des policiers, la violence d'État et la relation avec la violence contestataire.
16:39: 📊 La violence en France a diminué au cours des dernières années, avec une forte proportion de violences contre les biens par rapport aux violences contre les personnes.
25:28: 📰 Institutionnalisation et désinstitutionnalisation du conflit dans les défilés de rue.
33:53: 👮♂️ Formation et maintien de l'ordre des CRS et des gendarmes mobiles.
41:23: 💥 Les gouvernements successifs ont répondu à la violence des manifestants par des concessions financières, mais ont également perdu en légitimité.
48:08: 📜 La vidéo discute de l'oppression potentielle liée à la Constitution de 1793 et de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen.
54:54: 🔍 Un débat sur la justice et l'utilité des peines de prison pour des délits mineurs.
1:01:37: ⚖️ La relation entre la police et l'État, selon Weber et Robespierre, est discutée dans la vidéo.
1:10:16: ⏱️ La nécessité d'une révolution et d'une nouvelle constitution pour une Sixième République.
1:17:59: 👮♂️ La vidéo discute de l'impact du changement de direction politique sur le fonctionnement de la police.
1:24:28: 🗣️ Le débat porte sur la réforme du code pénal et l'efficacité de la répression préventive.
1:32:16: 👮♂️ L'importance de solidarité entre la police et le peuple dans les luttes sociales.
Résumé par Tammy AI
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1h05 Terminer ACT
Le projet de ligne grande vitesse Lyon-Turin resurgit dans l'actualité, à l'occasion de la mobilisation ce week-end des Soulèvements de la Terre en Maurienne... Celui-ci s'inscrit dans plus de trente ans d'opposition à un projet qui tarde à voir le jour.
Avec Kevin Sutton maître de conférence en géographie au laboratoire PACTE à l’Université Grenoble Alpes
Genèse du projet Lyon-Turin
Quel est l'objectif de cette construction pour les pouvoirs publics ? "Le projet Lyon-Turin a eu plusieurs vies", explique le maître de conférence en géographie Kevin Sutton. "A la fin des années 80, le projet avait une dimension très programmatique, avec un grand schéma directeur, une ligne qui part de l'est, de Lyon vers la frontière italienne, vers l'Italie dans ce contexte de l'Europe des Douze puis des Quinze, qui place la France au cœur de cet espace européen. Ensuite, il y aura vraiment une dimension plus opérationnelle dans les années 2000 avec les premiers travaux de reconnaissance". Il ajoute : "C'est à partir du milieu des années 2010 que le projet va devenir un chantier continu pour sa partie du tunnel de base".
"Le projet actuel n'est pas seulement une ligne grande vitesse, ajoute Kevin Sutton, c'est un projet de grande capacité, c'est-à-dire un projet mixte pour avoir des trafics voyageurs - et pas nécessairement à grande vitesse - au sens premier du terme et également du trafic fret". Il note alors que "cette dimension "grande vitesse" colle à la peau de l'appellation du projet Lyon-Turin, du fait de sa genèse programmatique des années '90. Il y a vraiment une rupture avec la fin des années '90 et notamment l'incendie du mont Blanc en 1999, qui fait émerger la problématique du transit routier dans les Alpes, et notamment avec une dimension sécuritaire du fait du report du trafic du mont Blanc vers la vallée de la Maurienne".
Comment la contestation a-t-elle évolué ?
"La contestation débute déjà dans les années 1990.", indique Kevin Sutton. "Elle était plutôt en lien avec les effets d'annonce d'une nouvelle autoroute et justement d'un projet de nouvelle ligne entre Lyon et Turin sur la partie axée. Un nouveau foyer de contestation émerge ensuite en Maurienne, autour des réalisations des galeries de reconnaissance, par exemple autour de Villars ou dans le Bourget au milieu des années 2000. Il y a donc à l'origine deux foyers de contestations sur des objets assez différents et avec des motivations différentes et la coordination de ces deux foyers s'établit au début des années 2010".
Le maître de conférence en géographie relève que "la contestation s'est fondée sur une posture d'argumentation pour démontrer l'inutilité de la réalisation de ce nouveau tunnel. Depuis quelques années, on voit très clairement un tournant vers une dimension d'opposition avec une politisation plus forte du coût du mouvement. Les opposants au projet mettent notamment en avant le fait que la ligne historique n'est pas utilisée à 100 % et par conséquent, les opposants revendiquent une utilisation en premier lieu de cette ligne historique avant la réalisation du tunnel".
À réécouter : NO TAV, la zad à l'italienne
LSD, la série documentaire
58 min
Clés : Info Environnement Écologie SNCF
Ndlr : il élude un grand nombre de sujets comme les émissions de gaz à effet de serre, la privatisation de la ligne actuelle, etc ACT
Des militants de l'association Extinction Rebellion affirment avoir enchainé le portail de la Chambre d'agriculture de Metz, dans la nuit de dimanche à lundi. Ils dénoncent les méga-bassines dans les Deux-Sèvres et les actions menées par les Jeunes agriculteurs et la FDSEA.
Photo Les militants d'Extinction Rebellion ont ciblé la Chambre d'agriculture de Metz dans la nuit. - Extinction Rebellion
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Connu / TG le 25/04/23 à 07:43
Le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau a demandé à l'Agence française de sécurité sanitaire (ANSES) de revenir sur sa volonté d'interdire les principaux usages de l'herbicide S-métolachlore, encore autorisé dans l'Union européenne, a-t-il indiqué jeudi lors du congrès de la FNSEA
[ 720 participations ]
Cyberaction mise en ligne le 02 avril 2023
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Présidente de l'AN
Elle prendra fin le : 02 juillet 2023
https://www.anses.fr/fr/content/s-metolachlor-preserver-qualite-eaux
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"C'est une déclaration extrêmement grave qui porte atteinte à l'indépendance de l'Anses", s'est scandalisé auprès de l'AFP le député socialiste Dominique Potier. "Elle remet en cause une loi de 2014 qui fait consensus depuis dix ans et qui prévoit que les ministères abandonnent leur prérogatives pour faire confiance à l'Anses".
https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/pesticides/pesticides-le-gouvernement-veut-revenir-sur-la-procedure-d-interdiction-d-un-herbicide-conteste_5742506.html
L'Anses avait annoncé le 15 février sa volonté d'interdire les principaux usages du S-métolachlore, un herbicide agricole très utilisé en France, dont les dérivés chimiques ont été détectés au-delà des limites autorisées dans des eaux souterraines.
https://www.linfodurable.fr/sante/un-desherbant-repandu-depasse-les-limites-autorisees-dans-leau-anses-36911
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L'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) est chargée depuis 2015 de réévaluer l'autorisation de cet herbicide. Elle l'a classé comme "substance cancérigène suspectée" en juin dernier, et semble s'orienter vers une interdiction, selon l'ONG Générations Futures.
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L'eurodéputé (Renaissance) Pascal Canfin, cité par Le Monde, a souligné que la science était "maintenant très claire concernant cet herbicide" et que la priorité était "de travailler aux alternatives pour les agriculteurs, pas de mener des combats du passé".
... interpeller vos parlementaires.
Le collectif Bassines non merci a publié un contre-rapport critiquant les résultats du BRGM. Cette étude relance ...
Avec les manifestations à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) fin octobre contre les méga-bassines, la visibilité de ces projets de création ...
Cemil Hebdo
Cette semaine, revenant sur la manifestation de samedi 14 à Paris, il se penche sur le sens de l'action dans la rue, ses limites, ses pièges et surtout la stratégie d'un Etat violent pour broyer la contestation.
1:29 Tous traumatisés
4:13 Tous invisibilisés
6:38 Où est la violence ?
10:06 Légalité contre démocratie
10:53 Etat, Google et tracking
12:46 Loi Séparatisme
15:00 Institut Montaigne
15:47 Afghanistan, exilés et Police
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1428407160392671235
"3 - 58 - 72"
Mots clés : Abo Wind ; déviation Beynac ; Dordogne ; Frédéric Perissat ; Me Jean-Philippe Maginot ; Périgord Vert ; PNR Périgord Limousin ; projet de la Queue d’Âne ; projet éolien ; Saint-Jory-de-Chalais ; Saint-Saud-Lacoussière ; Sepanso Dordogne ; société Ferme éolienne de la Queue d’âne
Politique Santé Covid-19
Le Conseil constitutionnel a validé jeudi le passe sanitaire et l’obligation vaccinale du personnel soignant, refusant néanmoins les mesures sur la rupture d’un CDD ou contrat d’intérim, et l’isolement obligatoire des malades.
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« Une décision en demi-teinte, qui accepte des discriminations, charge des personnes privées de contrôle et qui repose sur un équilibre bien instable entre santé et libertés », a remarqué sur Twitter l’avocate écologiste Corinne Lepage. De son côté, le juriste Nicolas Hervieu précise : « Pour valider l’élargissement du passe sanitaire, le Conseil constitutionnel souligne qu’il vise les lieux avec un nombre important de personnes, ne fait pas obstacle à l’accès aux soins et aux biens de première nécessité, et sera mis en œuvre sous le contrôle du juge. »
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Le passe sanitaire est de plus en plus contesté en France, avec plus de 200 000 personnes mobilisées à travers le pays le week-end dernier au cœur des vacances d’été. Lors du rassemblement parisien du 24 juillet, une manifestante, soignante, confiait par exemple à notre reporter : « Depuis le début de l’épidémie, on est allé de contradiction en contradiction. Au début le masque était inutile. Puis, il est devenu obligatoire. Ensuite, nous les soignants, on a été obligés de venir travailler même si on était malades. Et aujourd’hui, on voudrait nous stigmatiser si on ne se fait pas vacciner. On est juste infantilisés et en plus, on bafoue nos libertés. »
Publié : 19 juillet 2021 à 14 h 30 min
Auteur : entreleslignesentrelesmots
Catégories : Santé, médecine...
Quelques réflexions sur la contestation à la politique sanitaire La situation actuelle - en France mais surtout, « dans la rue », dans les réactions aux annonces, dans les polémiques - amène à la réflexion. Et surtout, devrait inviter un peu plus à l'action de la « gauche de lutte » dans son ensemble. À mon avis il faut calmement mais […]
Ndlr : pour compléter, venant de l'April :
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https://wiki.april.org/w/Libre_%C3%A0_vous_!_Radio_Cause_Commune_-_Transcription_de_l%27%C3%A9mission_du_29_septembre_2020
Puisque c'était le sujet de l'émission /Libre à vous !/ du 29 septembre
une pétition sur le site du sénat pour la création d'une commission d'enquête à propos de ce sujet : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-455
Un collectif qui s'est monté : https://interhop.org/blog/
Je ne sais pas s'il y a une action en justice.
"
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Le 7 juillet, 165 associations anti-éoliennes de la région Nouvelle-Aquitaine, criant à « l’invasion », déposaient un recours devant le tribunal administratif de Bordeaux contre le schéma régional d’aménagement et de développement durable (Sraddet) approuvé le 27 mars dernier par la préfète de région. Ce document prévoit une multiplication par 2,5 des capacités installées en Nouvelle-Aquitaine, en ligne avec les objectifs nationaux.
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Ndlr : article controversé dans les commentaires
"
Toute amende est contestable. Vous avez la possibilité de la contester sur le fameux portail de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions. Mais là encore, il y a des difficultés. Hier, dans le cas jugé à Paris, il n’a été remis au prévenu aucun procès-verbal d’amende. C’est tout de même problématique... Une amende n’est définitive que si elle est payée. Si vous voulez la contester, ne la payez pas. C’est le concept en droit contraventionnel : payer l’amende, c’est reconnaître son infraction. Il n’est ensuite plus possible de contester.
"
selon https://www.marianne.net/societe/contraventions-pour-non-respect-du-confinement-la-police-n-pas-le-droit-de-verbaliser-parce
L’auteur de cette tribune, élu local écologiste, a voté Yannick Jadot aux élections européennes. Depuis, sa déception est grande devant la stratégie d’Europe Écologie-Les Verts pour les municipales.
Jean-Claude Oliva est conseiller municipal Écolos solidaires de Bagnolet (Seine-Saint-Denis).
Les Verts autrichiens exultent. Ils sont enfin au pouvoir… avec les conservateurs. Pour Romaric Godin, « en acceptant les politiques néolibérales et identitaires de la droite pour prix d’une politique écologique ambitieuse sur le papier, mais sans moyens concrets, les Verts renoncent à allier l’écologie aux intérêts des classes moyennes, acceptent de se taire sur la question des migrants et reconnaissent que la priorité réelle doit être non pas l’environnement, mais bien la compétition économique (…) Faute de sauver la planète, les Verts autrichiens semblent donc s’engager à sauver le néolibéralisme ». Est-ce la voie sur laquelle nous entraînent Yannick Jadot et ses ami-es ?
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À Paris, EELV mène la bataille contre la maire Anne Hidalgo, dont le bilan écologique est pourtant incontestable https://reporterre.net/Anne-Hidalgo-a-Paris-maire-de-la-betonisation-ou-ecologiste-efficace et résulte en grande partie de l’action d’élu-es écologistes comme Célia Blauel ou Christophe Nadjovski. Dans le club planétaire des grandes villes, Paris est une de celles qui se sont engagées le plus fort dans les politiques écologiques de réduction de la place de la voiture ou de végétalisation. Certes, cela n’est pas encore suffisant, aucune ville, aucun pays n’en fait assez, ne cesse de répéter Greta Thunberg. Mais de là à se rapprocher de Cédric Villani, député La République en marche (LREM), dont le seul engagement écologique consiste à s’absenter de l’hémicycle lors de certains votes… La volonté de rompre avec la social-démocratie de gouvernement pourrait se comprendre, tant cette dernière s’est compromise, encore faudrait-il que l’écologie soit la boussole des nouvelles alliances !
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Débats et conférences - 0
Le 17 novembre 2018, le rond-point d’Aimargues, dans le Gard, est occupé par des manifestant.es vêtu.es de gilets jaunes contestant la politique d’Emmanuel Macron. Certains Gilets Jaunes filment avec leurs téléphones portables la vie sur le rond-point durant le mois que dure le blocage. Un collectif de réalisateur.ices-monteur.ses a décidé d’en monter un film autoproduit.
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« Liberté, égalité, fraternité. C’est fou, je vis ces trois mots ici. C’est magique »
« Le rond-point de la colère » est réalisé par un collectif de réalisateur-monteurs, dont Pierre Carles, réalisateur de La sociologie est un sport de combat ; et Clara Menais, journaliste à Radio Parleur. L’objectif est simple : rendre compte du mouvement des Gilets Jaunes de la manière la plus juste, à hauteur de rond-point. Quoi de mieux, pour illustrer ce mouvement que d’utiliser ses propres productions : des matériaux bruts témoignant de la réalité du rond-point, contrebalançant les stéréotypes et discours médiatiques dominants ? L’histoire du film, c’est celle de ce petit peuple, pris de la volonté de se battre pour une vie digne, venu bousculer un temps l’ordre du monde, montrant à l’Histoire qu’elle ne se fera pas sans lui.
« Le rond-point de la colère » (61 mn – France – 2019) de Pierre Carles, Olivier Guérin, Bérénice Meinsohn, Clara Menais, Laure Pradal, Ludovic Raynaud. Photo de Une : Sylvain Lefeuvre.
Connue / https://twitter.com/radioparleur/status/1227281105205825539
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Alexis Corbière était face à Roselyne Bachelot sur LCI tout à l'heure. Ils ont notamment abordé la question de la Réforme des retraites, dont les débats vont commencer dans quelques jours dans l'hémicycle.
Catégorie Actualités et politique
Politique Entretien vidéo
Natacha Polony reçoit Régis Debray dans le nouveau studio vidéo de Marianne pour un entretien d'actualité et un bilan de l'année 2019 : contestation contre la réforme des retraites, crise de la démocratie, gilets jaunes, engagement écologique... Peut-on encore faire une révolution en 2019 ?
Marianne évolue et inaugure son nouveau studio !
Régis Debray, qui a rejoint Marianne avec sa bande des médiologues en octobre dernier, ouvre le bal. Natacha Polony, directrice de la rédaction, l'a interrogé sur la période politique, la contestation contre la réforme des retraites, le cadre politique de l'Union européenne, la question écologique...
Lire aussi Violences, par Régis Debray https://www.marianne.net/debattons/les-mediologues/violences-par-regis-debray
... le mouvement national-populaire ... combinaison d'une mémoire et d'un projet, ça me guide un peu ...