Our Trauma Resilience Initiative is focused on advancing the mental and behavioral health fields through several regional and national initiatives that support a broad range of health system
15,2 k abonnés - 2,8k+ - 147 226 vues - 53 commentaires
#quantumway #développementpersonnel #TPV
👉 Découvrez-en plus encore sur la Théorie Polyvagale et le trauma lors du Sommet Trauma, Attach(e)ment & Résilience 2024 : https://sommet2024.quantum-way.com
👉 28 conférences gratuites en direct avec les plus grands experts du trauma et de la TPV (Stephen Porges, Deb Dana...)
La Théorie Polyvagale est une approche avant-gardiste qui prône une vision holiste de la guérison, centrée sur le système nerveux. Elle nous apprend, entre autres, qu’il n’y a pas de bien-être en isolation avec autrui et que les relations humaines que nous nourrissons au quotidien sont essentielles pour gérer son stress et s’épanouir. Dans nos relations personnelles comme au travail, nous avons tout intérêt à cultiver ce savoir-faire pour mener une vie saine et harmonieuse.
copyright © 2021 Polyvagal Institut
copyright version Française © 2021 Quantum Way
Traduction et voix : Anne-Laure Gex
#quantumway #développementpersonnel #TPV #théoriepolyvagale #polyvagaltheory #stephenporges #debdana #trauma #therapy #thérapie
Connu / TG le 5/12/23 à 7:55 (TG-HLC-Pepites_et_ressources_pratiques_preventives)
Ndlr :
- consistant, à faire valider par des experts, qui ? François Ducrocq ? Chercher ACT
- en fin de vidéo, il est faire référence à THE TRAUMA FOUNDATION https://thetraumafoundation.org/ i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?hZHzTA
- quelle relations lient Quantum Way, Polyvagal Institut (https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?eNZpxQ) à cette fondation ?
Manifestation en Israël, près de Jérusalem, pour la libération des otages du Hamas ©Maxppp - Jim Hollander/UPI
François Ducrocq : "Un événement traumatique, il marque le sujet à jamais" - Jeudi 23 novembre 2023 / L'invité de 6h20
Quelles sont les séquelles psychologiques d'anciens otages ? François Ducrocq psychiatre au CHU de Lille, coordinateur national adjoint des CUMP (cellules d'urgence médico-psychologique).
Avec François Ducrocq Psychiatre au CHU de Lille
Alors que les premières libérations d'otages israéliens du Hamas devraient avoir lieu dans les heures qui viennent, zoom ce matin sur ce qui attend ces otages une fois libérés : des médecins vont les examiner, ils auront droit à toute une batterie d'examens, mais il faudra gérer aussi le traumatisme psychologique qu'ils ont vécu. Une procédure que connait bien François Ducrocq, qui a notamment travaillé avec des victimes des attentats du Bataclan et de Nice.
Des troubles qui peuvent survenir "dans les années" qui suivent
Quand on est libéré, explique-t-il, "il y a évidemment quelque chose de l'ordre d'un soulagement et d'une libération, au sens propre du terme". "Mais on sait également qu'il y a très souvent des réactions un peu particulières, qu'on appelle des réactions dissociatives, avec l'impression que ce n'est pas la réalité, un sentiment de dépersonnalisation, l'impression d'être détaché de son corps. Des symptômes qui sont perçus, à la fois par le sujet lui-même et par son environnement, comme assez atypiques."
D'autant que ces séquelles peuvent ne pas apparaître immédiatement, mais faire l'effet de bombes à retardement. "Ces pathologies, qui tournent essentiellement autour de ce qu'on appelle le trouble stress post-traumatique, sont susceptibles de survenir dans les jours, dans les semaines, dans les mois et parfois même dans les années qui suivent un événement traumatique."
"C'est un trouble qui s'articule autour de quatre grands axes", précise le psychiatre. "Des symptômes de répétition, le fait de revivre les scènes traumatiques, le jour au travers d'intrusions, de flashbacks, la nuit au travers de cauchemars traumatiques. Un deuxième groupe s'articule autour des conduites d'évitement des situations, des conversations, des lieux... Il y a également des problèmes d'humeur, de cognition, un sentiment de honte, de perte d'intérêt. Et enfin, un quatrième groupe très parlant, qui provoque d'ailleurs souvent l'accès aux soins, d'hyper-éveil, avec des sentiments d'hyper-vigilance, un sentiment d'insécurité qui peut devenir permanent."
"On va leur apprendre à vivre avec"
Ces symptômes peuvent toucher toutes les victimes, qu'il s'agisse d'hommes, de femmes, ou d'enfant, sans réelle spécificité. "Chez l'enfant, il y a des symptômes un peu particuliers, notamment autour de ces réactions dissociatives, et des symptômes parfois assez atypiques, qui peuvent ressembler à de la dépression ou à de l'anxiété générale. Mais globalement, même si les grilles de lecture divergent un peu, l'approche et la prise en charge est à peu près la même."
Est-ce qu'à terme, certains parviennent à tout effacer, à ne plus y penser ? "Effacer, ce n'est pas le terme le plus adéquat", explique François Ducrocq. "Et pourtant, c'est souvent la demande des patients, qui nous disent qu'ils veulent effacer tout ça, vivre sans. On leur répond souvent qu'on va plutôt leur apprendre à vivre avec. Ce qui peut s'effacer, ce sont les symptômes. Ce trouble de stress post-traumatique peut guérir et va guérir si la prise en charge est adaptée. C'est vrai que ça dépend d'un tas d'éléments, cette médecine est complexe. Mais l'événement traumatique, j'ai envie de dire qu'il est gravé à jamais, qu'il marque le sujet à jamais, au point de fausser son destin psychique."
Clés : Monde Société Proche et Moyen-Orient Santé Israël Santé psychologique – Psychiatrie Bande de Gaza Prise d'otages
Un mot, une insulte ou une injure peuvent avoir des effets de blessures, parfois anodines ou à l'inverse avoir des effets de gifles en plein visage, qui peuvent être douloureuses. Parfois le psychanalyste peut, lui aussi, infliger ces blessures, en les banalisant, en les majorant ou les minorant.
Avec Laurie Laufer Pyschanalyste
Et rendez-vous sur France Inter Dimanche 11 juin, à 15h, pour retrouver les réponses à vos questions de la psychanalyste.
Un patient dit avoir été traité de « petit gros » lorsqu’il était enfant, une expression qu’il entendait dans la cour d’école et que sa mère employait souvent ; ce signifiant, cette expression, lui « colle à la peau » dit-il. Une autre dit au sujet de l’analyste: « qu’il ne peut pas comprendre le langage de l’oppresseur parce qu’il est du côté de ceux qui dominent ». Une autre encore dit à quel point elle a été « insultée » par ses parents sans comprendre pourquoi. Un jeune homme dit qu’il n’a conscience de sa couleur de peau que lorsqu’on la lui rappelle violemment. Aujourd’hui il y a des mots génériques pour caractériser ces injures : racisme, sexisme, antisémitisme, homophobie, lesbophobie, transphobie, grossophobie, validisme, etc. L’injure, entendue par certains patients, a parfois des effets de traumatisme, d’effraction.
Laurie Laufer vous parle de mots qui peuvent être entendus, ressentis comme une violence, qui peuvent avoir un effet d’effraction, des mots que le sujet vit comme un traumatisme. On parle aujourd’hui, parfois, de psychotraumatisme – un mot, une expression, que d’ailleurs le psychanalyste peut lui-même employer sans en mesurer les effets.
Clés Bien-être Psychologie Psychanalyse
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Uw0GMA
Tr.: ... CAIIP ... groupes de parole ... Le parcours de soin des victimes d'inceste ...Enquête faite aux USA dans les années 1990 sur 17000 personnes : L'étude ACE (Adverse Childhood Experiences) met en évidence un lien entre les traumatismes de l'enfance avec des problèmes de santé et sociaux. ... comme violences, négligences, exposition à la violence, à la consommation de substances psychoactives, à la maladie mentale, la séparation des parents, l'incarcération. Disfonctionnements familiaux
...
Conséquences multiples et de tous ordres ... psychosociologue le retrouve dans le travail ... Sondage de 2020 réalisé par Ipsos pour l'association Face à l'inceste : pour les 10% de français déclarant avoir été victimes d'inceste, il y a le plus souvent un cumul de traumatismes :
- L'inceste et les violences (sexuelle, psychique, physique, exposition à la violence)
- L'inceste et les négligences,
- L'inceste et la séparation avec le(s) parent(s),
- L'inceste et les addictions familiales,
- L'inceste et la maladie mentale
L'inceste se développe dans une famille dysfonctionnante. Plus le nombre de traumatismes augmente, plus le risque pour la santé est important.
...
Les conséquences de l'inceste / Ce qui se dit dans les groupes de parole
*Durant l'enfance ou l'adolescence :
- Un enfant fragile : spasmophilie, vertiges, migraines, maux de ventre, infections urinaires, verrues, eczéma.
- Un enfant anxieux, déprimé, dans la lune :
. anxiété, insomnie, mutisme, troubles de l'attention.
52 minutes
Troubles cardiovasculaires, douleurs chroniques, diabète de type 2... Quel est le lien entre certaines épreuves de la vie, des traumatismes et des maltraitances passées et l’apparition de pathologies à l’âge adulte ?
On sait par exemple que des agressions sexuelles vécues dans l’enfance ont un impact sur la santé à l’âge adulte.
Coup de projecteur sur les effets de l’adversité dans l’enfance et l’adolescence sur notre corps.
On s’intéresse aux pensées négatives qui peuvent provoquer des symptômes désagréables, mais aussi aux conséquences des chocs émotionnels sur notre santé.
N’hésitez pas à témoigner et à poser vos questions au 01 45 24 7000 ou en laissant une note vocale sur l’appli France Inter.
Invités
Cyril Tarquinio, professeur de psychologie clinique et psychologie de la santé à l’Université de Lorraine (Metz), co-responsable du Master « Psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé », directeur et fondateur du Centre Pierre Janet. Ses recherches portent sur l’étude des différentes formes de prise en charge de la santé et de la maladie.
Auteur de "Les maladies ne tombent peut-être pas du ciel – Comment les évènements négatifs ont un impact sur notre santé", préface de Boris Cyrulnik (éditions Dunod, mai 2022).
Patrick Lemoine, psychiatre, docteur en neurosciences, ancien praticien hospitalier et directeur d’enseignement clinique à l’université Claude Bernard de Lyon. Il est actuellement le directeur médical international de la Division psychiatrique du groupe de cliniques ORPEA-Clinea. Spécialiste du sommeil, il a publié de nombreux ouvrages consacrés au sommeil et à ses troubles, à l’anxiété et au sevrage des médicaments.
Auteur de "Docteur, j’ai mal à mon sommeil – Pour dormir naturellement", de "Le mystère du nocébo" et de "La santé psychique de ceux qui ont fait le monde" (éditions Odile Jacob).
La chronique santé Alors Voilà de Baptiste Beaulieu.
Tr.: ... épigénétique, mutation transmise à la descendance ex viol d'une mère à sa fille ... soupe d'hormones de stress ... pathogène ... tuteurs de résilience ... le psychotrauma ... le traumatisme nait de la rencontre entre un événement et un individu, une histoire de vie ... générer des états émotionnels qui dépassent nos capacités, le psychotraumatisme, douleurs chroniques, conduites addictives, expressions d'une grande complexité ... ensemble de paramètres qui vont pondérer les événements, inégaux face au traumatisme ... rien n'est anodin ... même la vie intra-utérine ... gènes de vulnérabilité ... ex. génocide du Rwanda ... troubles du sommeil ... choc émotionnel ... traiter le trauma par approche ouverte, pas la thérapie verbale, aller plus loin ... trauma du lien ... environnement sécurisant qui répare ... le microbiote ... stress produit cortisole ... si permanent, ulcère, hypertension, etc ... changer les conséquences du passé ... thérapies EMDR, hypnose, etc prise en charge intégrative ... en boucle, décompensation ... l'amour, environnement positif, on réinverse l'épigénétique ...
-> http://rf.proxycast.org/5383825a-0e3f-4cb1-9b50-09199773c4c7/16173-09.05.2022-ITEMA_23020028-2022F26104S0129-22.mp3
Cemil Hebdo
Cette semaine, revenant sur la manifestation de samedi 14 à Paris, il se penche sur le sens de l'action dans la rue, ses limites, ses pièges et surtout la stratégie d'un Etat violent pour broyer la contestation.
1:29 Tous traumatisés
4:13 Tous invisibilisés
6:38 Où est la violence ?
10:06 Légalité contre démocratie
10:53 Etat, Google et tracking
12:46 Loi Séparatisme
15:00 Institut Montaigne
15:47 Afghanistan, exilés et Police
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1428407160392671235
"3 - 58 - 72"
Émissions Géopolitique 3 minutes
Les violents affrontements entre juifs et arabes dans les villes mixtes d’Israël ont fait ressurgir de vieux réflexes hérités de blessures historiques profondes de part et d’autre. Mais chacun ignore les traumatismes de l’autre.
Les forces de sécurité israéliennes sur le qui-vive dans la ville de Lod, soumise au couvre-feu après de violents affrontements entre juifs et arabes depuis trois jours. © AFP / AHMAD GHARABLI / AFP
Le conflit entre Israéliens et Palestiniens a des causes bien connues et identifiées : territoriales, historiques ou religieuses. Mais il en existe d’autres plus souterraines, plus inconscientes, qui remontent à la surface lorsque se produisent des événements dramatiques.
C’est ce qui se passe avec les scènes très violentes qui se sont déroulées ces derniers jours dans les villes mixtes d’Israël, Lod, Ramleh ou Acre. Elles font remonter de chaque côté des traumatismes historiques profonds.
Lorsqu’une synagogue et des commerces juifs ont été incendiés à Lod, le maire de la ville a immédiatement fait la comparaison avec la nuit de Cristal, en 1938, lorsque les nazis ont brûlé des synagogues, saccagé les commerces juifs, et fait plus de cent morts.
Lorsque des juifs d’extrême droite s’en sont pris, dans la même ville, aux commerces arabes et ont lynché un homme sorti de sa voiture en direct à la télévision, les Palestiniens ont aussitôt évoqué 1948, ce qu’ils appellent la « Nakba », la « catastrophe » ; l’expulsion ou le départ de centaines de milliers de Palestiniens lors de la création d’Israël.
Ces deux références historiques sont devenues constitutives des identités de chaque peuple. Chaque Israélien et chaque Palestinien grandit dans l’ombre de la grande histoire. Le calendrier est rythmé par ces références : en Israël, le « jour de la Shoah » perpétue le souvenir de la destruction des juifs pendant la guerre et le serment « plus jamais ça » ; les Palestiniens ont leur « Journée de la Nakba », journée du souvenir qui tombe justement demain, le 15 mai, jour de tension prévisible.
Il ne s’agit pas ici de comparer ces deux événements, ou de procéder à une quelconque concurrence victimaire ; il s’agit de comprendre les réflexes que déclenchent ces traumatismes historiques distincts.
Un souvenir personnel : après les Accords de paix d’Oslo, en 1993, alors que j’étais correspondant à Jérusalem, j’avais réuni deux intellectuels, l’un Israélien, l’autre Palestinien. Le Palestinien avait suggéré que chacun reconnaisse le traumatisme de l’autre, pour les dépasser afin de vivre en paix, évoquant justement la Shoah et la Nakba, en prenant bien soin de ne pas les comparer. C’était un geste de bonne volonté, mais qui ne fut pas compris, la discussion tourna court. Un quart de siècle plus tard, on retrouve cette problématique dans les affrontements de Lod.
Le poids de l’histoire peut être étouffant, surtout quand celle-ci n’est pas partagée. Rien n’effacera la réaction d’un juif face à ce qu’il vit comme la répétition de l’innommable ; mais quand les jeunes Palestiniens se mobilisent pour empêcher des expulsions de résidents dans le quartier de Sheikh Jarrah, à Jérusalem-Est, le même réflexe est à l’œuvre.
Ignorer l’histoire de l’autre et ses traumatismes, c’est garantir de ne jamais se comprendre ; c’est rendre la cohabitation plus difficile encore. Dans la crise actuelle, ce sont ces affrontements entre citoyens Israéliens, juifs et arabes, qui constituent la dimension la plus dangereuse pour l’avenir, plus encore que les roquettes du Hamas.
Pour surmonter ce fossé qui s’est creusé, et dont le ministre israélien de la défense, Benny Gantz, a redouté hier qu’il n’entraîne une « guerre civile », peut-être faut-il commencer par comprendre ce qu’il y a dans la tête de l’autre, ses rêves et ses cauchemars.
Thèmes associés Monde géopolitique Israël Palestine Jérusalem Moyen-Orient Seconde Guerre mondiale Hamas
Connu / https://twitter.com/pierrehaski/status/1393091155122868224
"thomas legrand a retweeté pierre haski @pierrehaski · 21h - 19 - 122- 217"
30 min - Disponible du 28/01/2021 au 27/07/2021
Au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, un psychanalyste (Frédéric Pierrot) reçoit cinq patients, comme lui en plein désarroi. Avec des interprètes au sommet, Éric Toledano et Olivier Nakache adaptent la série israélienne "Betipul" pour sonder avec autant d'intensité que d'humanité un pays en état de choc. Premier épisode, avec Mélanie Thierry.
Ariane – Lundi 16 novembre 2015, 9 h
Un cabinet de psychanalyse dans le 11e arrondissement de Paris. Ariane, jeune chirurgienne, est depuis un an la patiente de Philippe Dayan. Après les attentats, elle s’est retrouvée en première ligne à l’hôpital et a passé un week-end cauchemardesque. Pourtant, aujourd’hui, elle n’est pas là que pour ça : elle se sent enfin prête à partager un lourd secret avec son thérapeute…
De l’intime au collectif
Le concept créé par la série israélienne Betipul, à la fois simple et puissant, a fait ses preuves : un psy qu’on suit en séance, semaine après semaine, dans son cabinet, en relation avec plusieurs patients choisis. Éric Toledano et Olivier Nakache en ont imaginé, avec les productrices Yaël Fogiel et Laetitia Gonzalez, l’adaptation française, lui trouvant un ancrage fort dans le traumatisme collectif des attentats de Paris, en novembre 2015. Même si les histoires personnelles d’Ariane, d’Adel, de Camille, de Léonora et Damien n’y font pas toutes référence, leur ensemble reflète l’image d’une société fragilisée, déboussolée, en quête de nouveaux repères. Ces tranches de vie se dévoilent dans des face-à-face tantôt libres, tantôt tendus, où la parole et l’écoute finissent presque toujours par apaiser. Épaulés par une fine équipe de scénaristes (David Elkaïm et Vincent Poymiro, créateurs d’Ainsi soient-ils) et de réalisateurs (Pierre Salvadori, Nicolas Pariser et Mathieu Vadepied, également directeur artistique), Toledano et Nakache proposent une œuvre collective, dont le cœur repose principalement sur le jeu des comédiens "en séance". On les regarde, on les écoute faire vivre leurs personnages, tous remarquables autour de Frédéric Pierrot, exceptionnel en thérapeute aussi investi que vulnérable.
Réalisation : Olivier Nakache Eric Toledano
Scénario : David Elkaïm Vincent Poymiro Pauline Guéna Alexandre Manneville Nacim Mehtar Olivier Nakache Eric Toledano
Production : Les Films du Poisson Federation Entertainment Ten Cinéma ARTE F
Producteur/-trice : Yaël Fogiel Laetitia Gonzalez Eric Toledano Olivier Nakache Lionel Uzan Pascal Breton
Image : Quentin de Lamarzelle
Montage : Thomas Marchand
Musique : Yuksek
Avec : Frédéric Pierrot (Philippe Dayan) Mélanie Thierry (Ariane)
Costumes : Anne-Sophie Gledhill
Décors de film : Mathieu Menut
Chargé(e) de programme : Adrienne Fréjacques
Son : Pascal Armant
Pays : France Année : 2020
Ndlr : ++
Voir les nouveaux Tweets
Conversation
Lev Plant @Rosenlev
Vendredi 13 = Vendredi THREAD
Flèche vers le bas Flèche vers le bas Pansement adhésif
Vous connaissez sûrement les premiers secours, mais est-ce que vous connaissez les Premiers Secours Psychologiques ?
Le RT est doux, pour plus de soin collectif
Flèches en cercle ouvert vers la droite et vers la gauche en sens horaire
12:10 PM · 13 nov. 2020·Twitter Web App
138 Retweets 4 Tweets cités 110 J'aime
Lev Plant @Rosenlev · 13 nov.
En réponse à @Rosenlev
Les Premiers Secours Psychologiques (PSP), c'est quoi ?
Stéthoscope
C'est une technique de réduction des risques d'apparition de trouble de stress post-traumatique (PTSD)
Index pointant vers la droite
Ils sont massivement utilisés dans le cadre du travail humanitaire et de la gestion de catastrophes
Lev Plant @Rosenlev · 13 nov.
Coche blanche en gras
Objectifs des Premiers Secours Psychologiques:
- apporter soutien et soin sans intrusion
- évaluer besoins et préoccupations et aider à y répondre
- réconfort et aide au retour au calme
- aide pour obtenir informations, services et soutien social nécessaire
Lev Plant @Rosenlev_ · 13 nov.
C'est fait pour qui ?
Index pointant vers la droite
Les PSP ont été créés par et pour les travailleurs humanitaires, mais sont tout aussi utiles aux particuliers.
On peut penser à celles et ceux travaillant en contact étroit avec le public: personnel éducatif, travail social, militantisme.
...
Suite de l'épisode 1 : https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Pt5Gcg
Pédocriminalité
Deuxième épisode de notre plongée dans une affaire vertigineuse, l’affaire Jeffrey Epstein. Une affaire qui montre le silence d’une caste, la “jet set”, “le gotha”, qui était consciente des agissements de ce pédocriminel et qui a parfois aussi participé à ses folles fêtes. Têtes couronnées, financiers internationaux, scientifiques, intellectuels, participant à un délire où le pouvoir et le vice font bon ménage.
Et dans ce deuxième épisode, nous quittons les États-Unis pour nous rendre dans un autre pays ou les horreurs d'Epstein se sont déroulées en toute impunité : La France.
Un personnage central dans le réseau français du pédocriminel américain : Jean-Luc Brunel, qui apparait de manière très marquée dans le fameux carnet de Jeffrey Epstein, remis aux médias par son ancien majordome.
Non seulement il aurait trouvé des filles pour Jeffrey, mais il est lui aussi accusé d'avoir violé des jeunes femmes après les avoir droguées. Nous avons pu parler à l'avocate et à l'une des survivantes de l'agression et du viol de Jean-Luc Brunel, qui nous livre un témoignage glaçant.
Puis nous revenons avec Mié Kohiyama, présidente de l'association "moi aussi amnésie" sur la question de l'amnésie traumatique; un mécanisme qui fait que les victimes de viol parfois enfouissent dans leur mémoire cette agression, et qui ressort et leur explose au visage des années plus tard, qui rendent compliqué les procès contre ces prédateurs sexuels.
Gilets Jaunes ; Grève ; Répression ; Violences policières
&
https://www.youtube.com/watch?v=EDTHdbhlCl0
"
LES TRAUMATISÉS INVISIBLES DES VIOLENCES POLICIÈRES
13 046 vues - 1,8 k - 13 - 283 k abonnés
D’innombrables arrestations, des milliers de blessés, et des centaines de personnes traumatisées parmi les manifestants : la violence de la répression policière affecte les corps et les esprits. Ceux qui ne sont pas atteints dans leur chair souffrent aussi, tétanisés par la peur, et voient leur existence bouleversée par les cauchemars ou la paranoïa.
#ViolencesPolicières
#Traumatisés
Catégorie Actualités et politique 185 commentaires