mots-clés AstraZeneca COVID-19 déni effets indesirables graves janssen Moderna Mortalité vaccinale Pfizer pharmacovigilance tabou Vaccination générale Vaccins anti-covid
La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.
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prouver que la vaccination ne protège pas de la contamination et de la transmission du Sars-Cov-2, en particulier de l’actuel variant Delta (ou indien), ce qui contredit massivement les déclarations répétées des représentants du pouvoir exécutif français relatives à la « protection vaccinale ». Aux États-Unis, le directeur du NIAID, Antony Fauci, vient du reste de le reconnaître publiquement, recommandant même le port du masque en intérieur par les personnes vaccinées.
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la pharmacovigilance fonctionne presque partout de façon passive ... la sous-estimation de l’état réel des problèmes est à la fois permanente et massive. Les premières études françaises, au début des années 2000, estimaient qu’environ 95% des effets indésirables des médicaments n’étaient pas rapportés
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Conclusion
La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux.
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Connu / https://twitter.com/bloginfo/status/1422064156656689152
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Denis Szalkowski @bloginfo · 14h #TousVaccines Et au final, combien de morts de la #Vaccination ? - 3 - 0 - 1
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Ndlr : remis en cause par certains commentaires et par https://twitter.com/Mediapart/status/1422234753055531012
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https://twitter.com/OlivierSchneid/status/1422592315856654336
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Olivier Schneid @OlivierSchneid · 5h Dérive intellectuelle du sociologue @LMucchielli, qui cite pour référence le site #complotiste @france_soir : #illustration - 0 - 0 - 0
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= CONTROVERSE
124 commentaires 87 recommandés Épisode 56
mots-clés contagiosité COVID-19 Dynamique épidémique épidémiologie mortalité Passe sanitaire Saisonnalité Vaccination obligatoire vaccins génétiques variant delta
A en croire le discours politico-médiatique, seule la vaccination protègerait de l’épidémie et permettrait de «retrouver une vie normale». Or les campagnes vaccinales ont débuté depuis plus de 6 mois dans le monde. Délai trop court pour évaluer pleinement l’impact de la vaccination sur les formes sévères, mais qui suffit déjà à montrer que le «passe sanitaire» n’a pas de fondement épidémiologique.
Alors qu’ils avaient explicitement promis aux Français qu’ils ne le feraient jamais (note 1), le président de la République, le Premier ministre, le ministre de la Santé et tout le gouvernement ne cessent d’appeler par tous les moyens à la vaccination intégrale
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Conclusions
... l’examen de ces quelques données statistiques de base (la vaccination, les cas positifs, la mortalité) suffit à montrer que la réalité de la dynamique des épidémies suscitées par les différents variants du Sars-Cov-2 n’a pas grand-chose à voir avec les discours politico-médiatiques vantant le miracle vaccinal. En réalité, la vaccination ne semble pas avoir davantage d’impact sur cette dynamique que les mesures de confinement. En clair : elle ne protège pas de la contamination (et bien moins que l’immunité naturelle acquise par les anciens contaminés). Si c’est « la circulation du virus » qui inquiète, alors, à la question-piège « vaut-il mieux la vaccination ou le reconfinement ? » posée par le pouvoir exécutif français, la seule réponse sérieuse est : ni l’un, ni l’autre. Et le simple fait que la vaccination ne protège pas d’une contamination (note 2) suffit également d’emblée à discréditer le projet de « passe sanitaire » qui discriminerait les vaccinés des non-vaccinés
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Reste la deuxième question, celle de la possible réduction des formes sévères de la Covid ... trois hypothèses ... dans presque tous les pays occidentaux, le nouveau variant dit Delta provoque une reprise épidémique tandis que la mortalité n’augmente pas ... H1 effet de la vaccination ... H2 la bien moindre dangerosité de ce variant ... H3 la saisonnalité des maladies infectieuses ... Certains généticiens (voir notre entretien avec Christian Vélot) préviennent d’ailleurs du risque que la vaccination générale (avec des vaccins génétiques à ARN ou ADN) contribue elle-même au développement de variants qui pourraient échapper à l’immunité acquise lors de la première épidémie.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?UjqtQA
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Le 14 septembre 2020 à l'Assemblée nationale, @La France insoumise - Groupe parlementaire organisait un colloque sur le thème « Sécurité, violences, délinquance : retour à la raison ».
Animé par Ugo Bernalicis et @Députée Obono, ce colloque regroupe différent.es chercheur.ses et professionnel.les de la sécurité a pour but de faire émerger une autre vision de la sécurité, après des années de durcissement des doctrines de maintien de l'ordre et de répression.
Parmi les invité.es, sont intervenu.es Laurent Mucchielli (chercheur au LAMES), Bénédicte Desforges (ancienne policière, collectif "Police contre la prohibition"), Dominique Attias (avocate au barreau de Paris), Virginie Macholet (chercheuse au CESDIP) et Rym Khadraoui (chercheuse à Amnesty international).
En conclusion de ce colloque, retrouvez un discours de @JEAN-LUC MÉLENCHON sur la sécurité.
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*Transcription : ... un adolescent sur 5 a fait une tentative de suicide ... la France n'aime pas ses enfants ... on stigmatise les jeunes, on ne donne pas de moyens à la justice des mineurs ...