Cette plateforme va extraire l’uranium de l’eau de mer pour alimenter des centrales nucléaires
La Chine a planifié un programme dantesque de construction de 150 réacteurs nucléaires d’ici 2035. ...
Connu / TG le 26/05/23 à 9:42
Communiqué de presse
Paris, le 23 février 2022 - Alors que les grandes entreprises pétrolières
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Connu / tg 23/2/22 11:04
ÉNERGIE
La fusion nucléaire progresse en France. Le réacteur Iter, en construction dans le sud du pays, vient d'accueillir une pièce essentielle à son fonctionnement. Il s'agit de la première partie d'un gigantesque aimant, annoncé comme le plus puissant au monde. Iter devrait atteindre sa pleine puissance en 2035.
... le plus grand démonstrateur industriel ... D’un poids de 1 000 tonnes et de la taille d'un immeuble de sept étages, la première pièce d'un gigantesque aimant, annoncé comme le plus puissant au monde, est arrivée sur site. Cet aimant appelé "Central Solenoid" constitue un jalon majeur d'Iter. Fabriqué par General Atomics en Californie, il est le premier des six modules qui doivent équiper le réacteur au plus tard en 2024. ... 150 millions de degrés ... 830 mètres cubes de plasma (l’équivalent d’un tiers d’une piscine olympique). La première production de plasma devrait intervenir en 2026 ...
Entretien EDF Organisation industrielle Ain - 5 min. de lecture
Emmanuel Macron a annoncé le 9 novembre vouloir lancer de nouveaux réacteurs nucléaires en France. Quelques jours auparavant, le directeur exécutif en charge de la direction ingénierie et des projets nouveau nucléaire d’EDF, Xavier Ursat, revenait pour L’Usine Nouvelle sur l’avancée des projets EPR2 et SMR, les calendriers et les coûts prévus.
Pour les futurs EPR français, EDF entre seulement dans "la phase de « detailed design », où l'on fait les plans détaillés", explique Xavier Ursat, directeur Ingénierie et nouveau nucléaire d'EDF.
Edition du 01 octobre 2021
Le dernier numéro
L'Usine Nouvelle - La France va construire de nouveaux réacteurs nucléaires. De quoi parle-t-on exactement ?
Xavier Ursat - A partir d'une demande politique exprimée en 2018, EDF a travaillé sur une proposition de construction de trois paires de réacteurs de type EPR en France, avec une première paire sur le site de Penly en Normandie, une deuxième sur le site de Gravelines près de Dunkerque, et la troisième dans un site en Rhône-Alpes, soit à Bugey (Ain), en amont de Lyon, soit à Tricastin (Drôme). Le choix de ces sites, tous des sites nucléaires existants, reste à confirmer par le pouvoir politique. Mais nous sommes prêts à lancer la construction de ces réacteurs, grâce au travail réalisé depuis plusieurs années avec Framatome et les autres entreprises de la filière, dans le cadre du plan excell.
Quel est le calendrier envisagé ?
Nous sommes à un niveau d'études techniques très avancé sur le modèle que l'on appelle l'EPR 2, qui est au même niveau de sûreté que l'EPR et utilise les mêmes composants. Nous avons tout fait pour que l'EPR 2 ne soit pas une tête de série. Mais nous avons intégré tout les retours d'expérience des EPR précédents, en standardisant le plus possible le modèle, y compris en s’appuyant sur les fournisseurs, pour faciliter la construction et réduire les coûts. Nous devons poursuivre ce travail technique et continuer d’embarquer la filière en préparant les appels d'offres. Des projets de cette taille nécessitent également de consulter les citoyens, au travers de la Commission nationale du débat public. Il faut compter six à huit mois de préparation des dossiers entre la saisie et le début des débats. Un troisième train d'actions, très important, concerne le financement, la régulation et les autorisations européennes. Nous sommes en discussion depuis plusieurs mois avec les différentes administrations, notamment celles du ministère de l'Économie et des Finances pour définir le financement le plus adapté, qui impliquerait probablement à la fois l'État et EDF. Plusieurs options sont en cours d'étude, il faudra choisir la plus adaptée. Il faudra aussi une régulation car, pour définir un financement, il faut savoir à quel prix l'électricité produite sera vendue. Sur l'EPR 2, nous avons atteint les cibles de coût de production au mégawattheure que nous nous étions fixées dans la proposition remise aux pouvoirs publics [soit 65 euros par MWh, ndlr].
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Etats-Unis , Nucléaire , Climat , Framatome , Technos et Innovations
Framatome a annoncé le 13 octobre un partenariat avec l’américain General Atomics Electromagnetic Systems pour développer un concept de petit réacteur nucléaire modulaire de 50 MWe. Commercialisation possible vers 2035.
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En septembre 2019, on apprenait que le consortium français Nuward, constitué en 2017 par le CEA, EDF, Naval Group et TechnicAtome, allait collaborer avec l'américain Westinghouse pour développer un SMR de 170 MW tout intégré afin d’être prêt à le produire en série en 2030. Si TechnicAtome maîtrise bien la conception de réacteur nucléaire de puissance embarqué dans les sous-marins, le CEA et EDF disposent de la technologie et de l’ingénierie et Naval Group d’un outil industriel ad hoc, il leur manquait une brique, celle de de sûreté passive, pour faire fonctionner les mini-réacteurs avec un minimum de maintenance. Cette brique, l’américain Westinghouse en dispose. L’accord avec lui devrait aussi permettre d’accélérer les procédures auprès des autorités de sûreté américaine et canadienne.
Un projet américain
Cette fois, c’est Framatome, filiale à 75 % d’EDF, qui vient d’annoncer un partenariat avec un américain, General Atomics Electromagnetic Systems (GA-EMS), pour développer son SMR. Ce sont ses équipes aux États-Unis qui travailleront à la conception de plusieurs structures, systèmes et composants critiques de ce SMR, dont les options technologiques sont très différentes de celles de Nuward.
Le duo franco-américain veut construire un réacteur modulaire rapide (FMR) de 50 mégawatts électriques (MWe) à sûreté passive et refroidi à l'hélium, un gaz chimiquement inerte qui n'est ni explosif, ni corrosif, et qui ne s'active pas. Il pourra être fabriqué en usine, puis monté sur site, pour réduire les coûts financiers et augmenter sa capacité. Le combustible fonctionnera pendant environ 9 ans avant d'être remplacé. L'équipe, dirigée par GA-EMS, voudrait finaliser la conception du FMR dès 2030 pour une utilisation commerciale au milieu des années 2030, précise General Atomics dans son communiqué.
Framatome déjà partenaire d'Holtec
Ce n’est pas la première incursion de Framatome dans les SMR. À l’origine, avec Siemens, de la conception du réacteur nucléaire de troisième génération français EPR, le français a aussi une activité dans les phases aval de la production de combustibles. En mai 2020, il a annoncé avoir été retenu par l’équipementier nucléaire américain Holtec International a pour fournir du combustible nucléaire à son petit réacteur modulaire SMR-160. "L’inclusion de Framatome dans notre programme SMR-160 garantit qu’un futur propriétaire de centrale utilisant un SMR-160 aura facilement accès à une solide chaîne d’approvisionnement internationale en combustible", expliquait alors l’entreprise américaine dans un communiqué. Holtec aurait déjà des prospects sérieux pour ses SMR, notamment Energoatom en Ukraine.
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Ndlr :
- délai compatible avec le réchauffement climatique ? NON ! Cela ne risque-t-il pas de bloquer encore le déploiement massif des ENR ? ACT
- quelle différence entre sûreté passive et sécurité intrinsèque ? Des éléments à https://fr.qaz.wiki/wiki/Passive_nuclear_safety Continuer ACT
... nous livre sa vision de l'avion décarboné en 2035 plutôt qu'en 2050 ... gagner 30% est possible, plus reste un défi. /hydrogène liquide défi à -253°C ; avion électrique ou hybride sera dans les petits avions. /open rotor ?
Clés : aviation et environnement
Pour le groupe aéronautique, l'objectif de baisse des émissions de 50% en 2050 par rapport à 2005 (malgré la hausse du trafic) est atteignable. Mais sa réalisation ne passera pas par des avions 100% électriques, mais par la combinaison de plusieurs facteurs : l'entrée en service vers 2035 de nouveaux avions ultra-efficaces à moteurs thermiques, la généralisation des carburants alternatifs associant des biocarburants et des carburants synthétiques, et l'amélioration de la gestion des opérations. Pour autant, les obstacles sont nombreux.
La suppression des vols de courte distance et la course à l'avion électrique ne permettront jamais, selon le groupe aéronautique français Safran, de réduire en 2050 les émissions de CO2 générées par l'aviation de 50% par rapport à 2005, comme l'a fixée l'organisation internationale de l'aviation civile (OACI).
Les batteries électriques sont insuffisamment puissantes
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Les vols de plus de 1000 km représentent 80% des émissions de l'aviation
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faire voler sur des distances maximales de 500 km des engins volants de très petite capacité comme les VTOL (véhicules à décollage vertical), et des avions commuter de 10-20 places (voire éventuellement des avions régionaux), mais ils ne pourront jamais faire voler des avions de 200 places sur plus de 1000 kilomètres d'ici à 2035 ...
Les vols de plus de 1000 km représentent 80% des émissions de l'aviation
... combinaison de plusieurs leviers. Trois exactement : - l'entrée en service vers 2035 d'un nouvel avion court et moyen-courrier ultra-efficace; - le développement de carburants alternatifs, des biocarburants dans un premier temps, puis des carburants synthétiques, tous compatibles avec les moteurs thermiques; - et une gestion des opérations aériennes optimisée. Si ce dernier point peut réduire à lui seul 10% les émissions de CO2, voire de 20% si des mesures de baisse de la vitesse des avions étaient décidées, le renouvellement des flottes pourrait quant à lui apporter un gain de 50% et les nouveaux carburants de 40%.
Sauter une génération d'avion
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Le débat entre des architectures traditionnelles avec un fuselage et des moteurs sous les ailes et des architectures en rupture comme l'introduction de moteurs "open rotor", situés à l'arrière de l'avion se poursuit. ... L'"open rotor" pourrait en effet apporter un gain de 15% par rapport au moteur "Leap" qui équipe l'A320 Neo et le B737 MAX, et être disponible vers 2035, selon Philippe Petitcolin. Mais "toutes les options sont sur la table", rappelle néanmoins Stéphane Cueille.
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Ndlr : le titre est véritablement mensonger !
Connu / https://twitter.com/assoCLER/status/1203962906011951105
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CLER @assoCLER · 9 déc. #climat Le prix interne du #carbone, un outil de résilience qui se répand dans les #entreprises...
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Durée de lecture : 5 minutes
Obtenir l’interdiction des pesticides de synthèse dans l’Union européenne d’ici quinze ans est-il possible ? C’est l’objectif que se sont fixé 90 organisations européennes, qui ont lancé une initiative citoyenne européenne, pour récolter un million de signatures à déposer sur le bureau de la Commission européenne.
... Demandée depuis plus d’un an en France par l’Appel des coquelicots, elle est maintenant promue à l’échelle européenne. Plus de quatre-vingt-dix organisations de dix-sept pays de l’Union européenne (UE) ont lancé lundi 25 novembre une Initiative citoyenne européenne (ICE). Intitulée « Sauvons les abeilles et les agriculteurs », elle demande à l’UE d’en finir avec les pesticides de synthèse d’ici quinze ans. ... Les porteurs de cette ICE ont dix mois, jusqu’au 30 septembre 2020, pour recueillir les signatures. Le nombre de signatures par pays est proportionnel au nombre d’habitants, il faudra donc en France qu’au moins 55.500 personnes signent cette ICE. ... L’association coordinatrice dans l’hexagone est Générations futures, rejointe par le réseau France nature environnement (FNE), l’Union nationale des apiculteurs français (Unaf), Justice pesticides, Greenpeace et les Amis de la Terre. ... Alain Chabrolle, vice-président de FNE ... La PAC, de par les subventions qu’elle octroie aux agriculteurs, pourrait permettre d’accompagner une reconversion de l’agriculture européenne vers l’agroécologie, espèrent les organisations écolos. ... « le récent rapport sur l’état de l’environnement en France a indiqué que 65 % des ressources d’eau profonde ne présentent plus des critères de potabilisation suffisants à cause de la présence de pesticides. » ... François Veillerette, directeur de Générations futures mais aussi président de l’ONG européenne Pesticide Action Network, reconnaît que la France « est l’un des pays les plus mobilisés sur le sujet des pesticides. ... deux étapes. La première serait une première réduction de 80 % d’ici 2030, en commençant par les produits les plus dangereux. Puis une deuxième étape en 2035 marquerait la fin des pesticides de synthèse sur le territoire de l’UE. Elle formule également deux autres demandes : « restaurer les écosystèmes naturels dans les zones agricoles », et « réformer l’agriculture en accordant la priorité à une agriculture diversifiée et durable à petite échelle » en accompagnant les agriculteurs dans cette transition. « Une suppression des pesticides de synthèse d’ici 2035 implique un rythme de conversion à l’agriculture bio de 6 % des surfaces agricoles par an, a calculé François Veillerette. En France, nous n’en sommes qu’à 1 % par an. »
Voulant se démarquer des accusations « d’agribashing », les porteurs de l’ICE entendent promouvoir « une vision positive de l’agriculture, vue comme un moyen de rétablir la biodiversité »,
Lire aussi : L’Union européenne sous-estime la dangerosité des pesticides https://reporterre.net/L-Union-europeenne-sous-estime-la-dangerosite-des-pesticides
Ndlr : avis de la confédération paysanne ? ACT
TRANSITION. L'essor des énergies renouvelables intermittentes ne mettra pas à mal le réseau énergétique français, suffisamment souple et pilotable, estime l'Opecst. La question du développement de nouvelles capacités de stockage inter-saisonnières ne se posera que dans une quinzaine d'années affirme l'Office. Décryptage.
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Pierre Speer
Publié : il y a 17 heures
bah ca c'est un rapport stupide uniquement dans l'intérêt de l'état ( EDF) !
En effet, si les particuliers et les entreprises stockent l'électricité, la consommation sera bien moindre, car nous ferons tous appel à de la production en autonomie complète.......
Connu / https://twitter.com/AnneBringault/status/1100350440905023488
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Anne Bringault @AnneBringault
"il est excessif de présenter [le stockage] comme une condition nécessaire de l'essor des #EnR variables, car il n'est qu'un levier de flexibilité parmi d'autres".
@rte_france le disait déjà. Maintenant c'est l'@AN_OPECST .
12:02 - 26 févr. 2019
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avec
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Atimo @Zokusuji 14 hil y a 14 heures
Vous avez conscience qu'ils disent cela en le justifiant justement par la présence du parc nucleaire existant ?
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