Basta! @bastamedia_ · 21h
Contre la fièvre catarrhale ovine, la stratégie de vaccination du gouvernement c'est :
👉 des millions de doses prises en charge pour les élevages du Nord destinés à l'export
👉 ø doses, ø indemnisation pour ceux du Sud-Ouest tournés vers la vente directe
Alors que la fièvre catarrhale ovine ravage des troupeaux depuis juin dans le Sud-Ouest, le gouvernement démissionnaire a attendu mi-août pour lancer une campagne de vaccination, uniquement dans le...
Suivi par certains des comptes que vous avez aimés
Fred Meurice, 1 des rien d'en bas sans dents @fred_meerkat
Plus besoin de mouton français maintenant avec l'accord de libre échange avec la Nouvelle Zélande
"...la Nouvelle-Zélande bénéficiera d'un quota supplémentaire de 38 000 tonnes de viande ovine libres de droits de douane"
douane.gouv.fr
Entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande
Réduction d’environ 140 millions d’euros par an de droits de douane pour les entreprises de l’UE dès la première année d’application.
Ndlr : surpris car https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ZDEhAQ n'y fait pas allusion. Effectif ? OUI : confirmé par https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/07/01/l-union-europeenne-et-la-nouvelle-zelande-signent-un-accord-de-libre-echange-tres-politique_6132890_3234.html dès 2022 ! Dénoncer ACT
=> https://x.com/JulienDelalande/status/1837099163806220615
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Julien Delalande @JulienDelalande · 3h
L'#Agrivoltaïsme repose sur plus de #Moutons
MAIS
Gouv #Macron @EmmanuelMacron
#GouvernementDeLaFrance #France SIGNE un #AccordDelibreÉchange avec la #NouvelleZélande / importer ENCORE PLUS
où est la cohérence ?
#Élevage #Ovins #ÉlevageOvin #Mouton #MoutonFrançais #Agriculture
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Libre échange : l'accord UE-NZ est une bombe climatique et sanitaire - 19 janv. 2024 / Matthias Tavel
978 abonnés -146+ - 2 248 vues - 22 commentaires - #souveraineté #CETA #Mercosur
#CETA #Mercosur #souveraineté
Connue / mel attac
Ndlr : Matthias résume de manière excellente les enjeux pour les agriculteurs et le climat, avec humour, de surcrois ! Valoriser ACT
14 k abonnés - 24+ - 753 vues - #élevage #vache #agroforesterie
#fourrage #arbresfourragers #pâturage #bovins
[Elevage et agroforesterie] Les étapes de l'affouragement du troupeau via les haies fourragères, avec Adrien Messéan
A l’aide des premières branches issues du début de la taille des trognes, Adrien Messéan nourrit son troupeau de vaches allaitantes limousines.
Cette vidéo vous présente les différentes étapes de l’affouragement du troupeau à partir des ressources ligneuses présentes sur l’exploitation. De la taille au repas du bétail, découvrez en images l’alimentation du troupeau via les haies fourragères.
Adrien est éleveur agroforestier à la Ferme de Montchevillon dans l’Aisne (02) et formateur sur le sujet des haies fourragères. Il est en compagnie d’Etienne Compagnon, producteur de viande bovine de race limousine en Ardèche, fondateur du podcast The Regenerative Agroforestry Podcast et réalisateur du podcast de l’agroforesterie, Cambium.
En fin de vidéo, Adrien Messéan aborde les conditions idéales d’affouragement en extérieur à partir d’arbres fourragers. Il met notamment en garde sur les conditions climatiques et le mode de stockage nécessaires pour tirer le meilleur des haies fourragères :
✅ La taille ne doit pas être réalisée si des pluies sont prévues
✅ Le fourrage ne doit pas être laissé au sol sous risque d’être trop humide et d’être délaissé par les animaux
A noter également que le choix des essences se fait selon leur digestibilité et leur appétence : ici un mélange de saule, de cornouiller et d’un tout petit peu d’érable champêtre.
Pour en savoir plus sur la valorisation de la haie au service du troupeau : • [Elevage et agroforesterie] Valoriser... https://www.youtube.com/watch?v=BCxyFhAPe0s&t=0s
Pour plus de contenus sur l’élevage associé à l’agroforesterie : • Agroforesterie et élevage https://www.youtube.com/playlist?list=PLHs1NENSYnCssz5QX-u2rCWht4BIsWQRl
Pour aller plus loin dans l’utilisation du fourrage ligneux, découvrez notre formation animée par Adrien Messéan : https://www.youtube.com/redirect?event=video_description&redir_token=QUFFLUhqa3Rwem1sZXkwcnVtU1RCNEt..
1 commentaire / @jackcrowbrownsugar il y a 2 mois
L'affouragement ligneux ne présente d'intérêt que lorsque l'herbe manque ce qui n'est pas le cas ici.
1+
Connu / mel Sujet : Agroforesterie - formations - Hiver & Printemps 2024
Date : Sat, 13 Jan 2024 14:00:33 +0000
De : Agroforesterie Association Française
Douarnenez Communauté propose une conférence sur le secteur laitier dans le Finistère, ce mardi 21 novembre à 20 h à Douarnenez. Docteur en anthropologie et salarié agricole, Jules Hermelin ...
Connu / TG le 23/11/23 à 21:30
Agriculture
Alors que Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a présenté ce matin le très attendu pacte d’orientation agricole, Greenpeace France déplore le contenu de ce pacte. Les mesures proposées passent à côté des enjeux essentiels pour faire face aux multiples crises subies par le monde agricole, notamment celui de réformer en profondeur notre système d’élevage [1].
...
quelle cohérence entre cette politique agricole et la planification écologique présentée il y a quelques mois par le gouvernement, qui mentionnait la nécessité de réduire la consommation et la production de viande et d’orienter nos élevages vers des modèles vertueux plutôt que industriels ? Le ministère de l’Agriculture ne semble pas être concerné
...
l’ONG appelle les député·es à faire évoluer le contenu de cette loi qui ne répond pas aux enjeux immenses de la transition de notre modèle agricole.
Un moratoire pour amorcer une sortie de l’élevage industriel
...
Sandy Olivar Calvo. Cela permettrait de réduire nos volumes de production et de consommation de produits issus de l’élevage industriel. En parallèle, le gouvernement doit planifier une meilleure répartition de l’élevage sur tout le territoire et soutenir les modèles d’élevages écologiques, au service de la transition agro-écologique [5].”
Notes aux rédactions :
[1] Voir “Élevage industriel : Greenpeace exige un moratoire sur les fermes-usines”, communiqué de presse de Greenpeace France, 16/05/2023.
[2] Acter l’urgence, engager les moyens, Haut Conseil pour le Climat, juin 2023, p.105. Ce chiffre ne tient pas compte des émissions de gaz à effet de serre importées (telles que les importations directes de viande et les émissions liées à la déforestation).
[3] Voir “Élevage en France : des fermes, pas des usines !”, dossier de presse de Greenpeace France, 05/2023
[4] Voir la carte des fermes-usines en France (Greenpeace, mai 2023). Pour quantifier les fermes-usines, il est intéressant de regarder les “installations classées pour la protection de l’environnement” (ICPE) d’élevages bovins, porcins et de volailles qui sont soumises à autorisation et en fonctionnement : ce sont les ICPE qui correspondent au plus haut niveau de classification, c’est-à-dire celles qui doivent obligatoirement obtenir une autorisation préfectorale et faire l’objet d’une enquête publique en raison des impacts massifs qu’elles peuvent avoir sur l’eau, l’air, les sols, et des dangers qu’elles peuvent présenter pour l’environnement. Leur densité sur un territoire accentue d’autant plus cette pression environnementale. Source : « Tout savoir sur les ICPE », site du ministère de la Transition écologique, mars 2023
[5] Voir “Pas d’agriculture sans élevage !”, tribune collective publiée dans Ouest-France, 27/02/2023.
Connu / TG le 15/12/23 à 15:04
50.870 signatures
Auteurs : Sandrine Olier (formatrice, militante) - Magà
Ettori (Cinéaste, journaliste, militant)
Destinataires :
Monsieur le Président MACRON, Monsieur le Ministre de l'agriculture FESNEAU, Madame la Ministre de la transition écologique DE MONTCHALIN, Monsieur le Député MILLIENNE
...
connu / https://twitter.com/GPFrancepresse/status/1700861971237638387
"
Greenpeace - Groupe local du Mans a reposté Greenpeace France - presse @GPFrancepresse · 10 sept.
[Réaction] Loi d'Orientation Agricole : "Durant son discours aux Terres de Jim, le ministre n’a pas daigné aborder l’épineuse question de la transition de l’élevage, pourtant au cœur de la transition agricole et alimentaire" ⬇️
greenpeace.fr
Loi d’Orientation Agricole : M. Fesneau passe à côté des enjeux de transition de l’élevage
Alors que Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, vient de présenter les grandes lignes de la loi d’orientation ...
"
28213 signatures (135425 au 13/9/23)
Signez la pétition pour transformer notre modèle d'élevage !
Environ 60% des animaux d'élevage sont concentrés dans 3010 fermes-usines*, qui ne représentent que 3% des fermes d'élevage en France.
Ces méga-exploitations qui comptent des centaines de milliers d'animaux entassés sont un danger environnemental, sanitaire et social :
- Un fléau pour l'environnement : en France les fermes-usines polluent nos sols, l’eau, et l’air que nous respirons (pollutions aux nitrates et à l’ammoniac).
- Un fléau pour les forêts : en important massivement du soja d’Amérique du Sud pour alimenter les animaux d’élevages industriels, les fermes-usines aggravent la déforestation.
- Un fléau pour notre santé : l’usage excessif d’antibiotiques pour les animaux entassés a des conséquences dramatiques sur la santé humaine puisqu’il développe notre résistance aux antibiotiques. Le confinement des animaux augmente aussi le risque de zoonoses, des maladies qui se transmettent de l’animal à l’être humain, comme la grippe aviaire.
- Un fléau pour les paysans et les paysannes : ces méga-fermes menacent l’existence même de modèles paysans et accélèrent la disparition des fermes à taille humaine. Les éleveurs perdent peu à peu leur autonomie en se retrouvant pieds et poings liés à l’agro-industrie et à la grande distribution.
- Un fléau pour les animaux ...
Je demande au Ministère de la Transition écologique et au Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de mettre un terme à la course à l’industrialisation de l’élevage en instaurant un moratoire sur les fermes-usines en France.
...
En bref — Agriculture - Durée de lecture : 2 minutes
Agriculture Animaux
C'est une solution innovante expérimentée par des vignerons qui cherchent des alternatives aux produits chimiques : des petits cochons ont fait leur apparition pour désherber des vignes en Champagne.
Jean-Étienne Bonnaire dirige avec son frère le domaine familial du même nom. 22 hectares de vignes sur la commune de Cramant, près d'Epernay. Sur une parcelle du domaine à flanc de côteau, dans un enclos provisoire agrémenté d'une petite cabane, au pied des vignes s'offre un spectacle insolite : quatre cochons qu'on ne s'attend pas à trouver en pareil paysage. Mais pas n'importe quels cochons !
"Ce sont des petits cochons qui viennent de Nouvelle Zélande. C'est une espèce maorie. Au niveau morphologique, leur particularité, c'est qu'ils sont petits, 30 à 35 kilos. Donc ils peuvent passer sous les fils de la vigne. En plus, ils ont très peu de muscles dans le cou, ce qui les empêche de relever la tête et, donc, de manger les bourgeons ou les grappes de raisin !"
C'est un avantage sur les moutons, qui ont parfois été testés aussi dans les vignes, avec des résultats mitigés.
"Le mouton tond, alors que le cochon mange la racine, donc elle ne repousse pas. Le chardon, le liseron, que les vignerons connaissent bien, ne peuvent pas repousser, par exemple."
Jean-Étienne Bonnaire pourra aussi vérifier à l'automne, après la vendange, si ces cochons mangent les feuilles de vigne qui tombent au sol et sont parfois porteuses du mildiou, ce champignon grand ennemi des vignerons.
"S'il mange aussi le mildiou, c'est vraiment intéressant pour le vignoble."
Autre avantage de ces petits cochons au pelage brun appelés kune kune en langue maori : ils sont strictement herbivores et ne mangent pas les vers de terre, qui sont utiles pour les sols.
Une solution complémentaire
Le domaine Bonnaire est en transition Bio et à mis en place des alternatives aux herbicides dès 2005 mais le désherbage avec des machines a des inconvénients.
"Le travail mécanique des sols est réalisé avec des tracteurs, des charrues. Des fois vous cassez des pieds de vignes, des piquets... C'est traumatisant pour la vigne et pour le sol. On est en train de les abîmer, de les dégrader. Ce n'est pas ce qu'on souhaite. Avec les petits cochons, vous n'avez pas ce problème-là."
C'est Olivier Zebic, un ami ingénieur agronome de Jean-Étienne Bonnaire, qui lui a suggéré d'essayer cette solution qu'il avait déjà testée dans le bordelais. A Cramant, les cochons vont travailler sur plusieurs parcelles jusqu'à l'automne prochain. Car il s'agit bien pour l'instant d'une expérience explique le vigneron à ses confrères curieux. Pas une solution miracle mais une option parmi d'autres, plutôt prometteuse.
"Il y a beaucoup d'amis, de confrères vignerons qui sont venus les voir. Ils sont vraiment intéressés par le projet. A chaque fois, je leur dit bien que nous sommes en phase expérimentale. On va les laisser à des périodes différentes de l'année sur des temps plus ou moins longs.
"Je pense que ça peut être une solution complémentaire pour les parcelles les plus difficiles, celles qui sont en pente. C'est un outil en plus."
Pas question non plus pour Jean-Étienne Bonnaire de devenir éleveur de porcs. Son ami Olivier Zebic pense plutôt mettre en place une filière d'élevage de ces petits cochons qui pourrait proposer ses prestations aux vignerons. Il a même déjà créé un site pour les exploitants intéressés : cochonsdesvignes.fr.
Clés : Société Élevage Innovation Agriculture biologique
L'équipe Lionel Thompson
Un outil à destination des éleveurs et des gestionnaires de centrales photovoltaïques au sol
Publié le 02/09/2021 par Crestey Milène, Vigan Dervishi (Institut de l'Elevage), Julien Fradin (Institut de l'Elevage), Jérôme Pavie (Institut de l'Elevage)
Cultures fourragères Equipements d'élevage Gestion du pâturage Pastoralisme Production d'énergie Systèmes fourragers Ovin viande Ovin lait Caprin Equin Bovin viande Bovin lait
Les projets d’agrivoltaïsme, couplant élevage de ruminants et production d’électricité photovoltaïque au sol, émergent un peu partout sur le territoire français. Dans ce cadre, les sociétés gestionnaires de centrales photovoltaïques et les acteurs de la filière élevage sont en recherche de ressources et d’appui technique pour les accompagner dans ces projets. En réponse à ce besoin, Idele, associé à la Fédération Nationale Ovine et à trois entreprises privées gestionnaires de centrales photovoltaïques, propose un guide technique pour donner les principales clés de réussite des projets d’agrivoltaïsme couplant élevage de ruminants et production photovoltaïque au sol.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?-Uy3wg
Mis à jour le : 2 avril 2023, 18:05 CEST
auteurs et Déclaration d’intérêts
- Michel-Pierre Faucon Enseignant-chercheur en écologie végétale et agroécologie - Directeur à la recherche UniLaSalle Beauvais, UniLaSalle. Membre du conseil d'administration du pôle de compétitivité Bioeconomy For Change. Il a reçu des financements de la Région des Hauts de France, de l'Europe (FEDER) et de AGCO SAS.
- Marc Legras Directeur des Formations - UniLaSalle, . A reçu des financements de la Région Normandie. Il est membre du conseil scientifique de la SFR Normandie Végétal
- Romain Gloaguen Enseignant-Chercheur en Agronomie, UniLaSalle. A reçu des financements de la Région des Hauts-de-France, de l'Europe (FEADER) et de l'ADEME.
Ces dernières années, on entend de plus en plus parler d’« agrivoltaïsme », dont l’Ademe recense environ 200 projets en cours pour la France. Un cadre réglementaire et législatif a également été récemment adopté pour cette filière émergente.
https://presse.ademe.fr/2022/04/photovoltaique-et-terrains-agricoles-un-enjeu-au-coeur-des-objectifs-energetiques.html
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b0443_projet-loi
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Une étude publiée dans la revue Nature estime que si 1 % de la surface utilisée pour l’agriculture était combinée à la production photovoltaïque, la totalité de la demande mondiale en électricité serait couverte. https://www.nature.com/articles/s41893-019-0364-5.
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*Des effets contrastés sur la production agricole
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Sur quelles parcelles agricoles s’installer ?
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Quels impacts sur la biodiversité ?
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Actuellement, la législation française considère que les exploitations agricoles concernées par une installation agrivoltaïque ne sont pas comptabilisées « dans la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers dès lors que les modalités de cette installation n’affectent pas durablement les fonctions écologiques du sol ».
Ceci peut s’expliquer par des techniques d’installations et de démantèlement spécifiques qui ne modifieraient pas de manière irréversible la vocation initiale du terrain et les fonctions du sol.
Freins et leviers à l’échelle de l’exploitation agricole
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Des risques de spéculation
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Quel avenir ?
... la priorité du photovoltaïsme reste la valorisation des friches et les zones d’activités économiques dont les sols ont largement été artificialisés.
... peut trouver sa place dans les territoires ruraux au regard de la filière des biocarburants (éthanol de blé et de betterave, diester de colza), consommateurs de surfaces agricoles (plus d’un million d’hectares en France), d’énergie et davantage émetteurs de GES
...
La filière agrivoltaïque doit ainsi se structurer en s’assurant du maintien de la vocation première de l’agriculture (produire des aliments) ; pour cela, elle peut notamment s’appuyer sur le label « Projet agrivoltaïque » créé par l’Afnor, le guide pour l’agrivoltaïsme appliqué à l’élevage des ruminants par l’Idele, et le développement de travaux de recherche réalisés avec une diversité d’acteurs (énergéticiens, conseillers, agriculteurs et habitants).
https://certification.afnor.org/energie/label-agrivoltaique-positif
https://idele.fr/detail-article/guide-pratique-lagrivoltaisme-applique-a-lelevage-des-ruminants -> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ScmD-A
Clés : agriculture énergie solaire élevage panneaux solaires
Connu /* TG le 02/04/23 à 18:01
« L’élevage est primordial pour l’équilibre de l’agriculture et de la société en général » tiennent à affirmer plusieurs représentants d’importantes ONG et de syndicats (Greenpeace, confédération paysanne, Oxfam…). Mais pas n’importe quel modèle d’élevage. Explications.
Photo : Un troupeau en transhumance, en Mayenne. | OUEST-FRANCE.
Alors que les partisans de l’agriculture industrielle s’évertuent à créer des clivages entre éleveurs et consommateurs, nos organisations souhaitent réaffirmer une vérité fondamentale : l’élevage est primordial pour l’équilibre de l’agriculture et de la société en général. Il n’existe pas d’agronomie sans élevage.
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Nous défendons un modèle d’élevage qui respecte les agriculteurs et agricultrices, crée des emplois, garantit un lien humain-animal équilibré et protège les écosystèmes, la biodiversité, le climat et notre santé. Les élevages paysans, écologiques ou biologiques favorisent la biodiversité en s’appuyant sur l’utilisation de pâtures et de résidus alimentaires pour nourrir les animaux, évitant ainsi la concurrence avec les terres destinées à nourrir directement les humains. Ils contribuent aussi au dynamisme territorial via la relocalisation d’une alimentation de qualité et accessible, notamment pour la restauration collective.
Enfin, ces modèles d’élevage renforcent l’agriculture dans son ensemble en brisant notre dépendance, entre autres, aux engrais de synthèse. Plus autonomes dans leurs pratiques, les agriculteurs sont plus résilients face aux crises climatiques et à la forte volatilité du prix des matières premières.
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Les pouvoirs publics doivent encourager la diversification et les installations en polyculture- élevage sur tout le territoire, entamer une sortie des systèmes de production animale industrielle en adoptant un moratoire sur les fermes usines et des politiques commerciales qui protègent et valorisent les productions françaises, et faciliter l’accès à des régimes alimentaires diversifiés et sains pour les humains et la planète. En cela, la future loi d’orientation agricole doit être un levier décisif pour la transition agroécologique, via la rénovation de l’enseignement agricole et l’installation de nombreux paysans dans les territoires.
() Respectivement directeur exécutif de Greenpeace France, porte-parole de la Confédération paysanne et directrice générale d’Oxfam France. Ce point de vue est également cosigné par Alain Bonnec, président d’Eau et Rivières de Bretagne, Philippe Camburet, président de la Fédération Nationale d’Agriculture Biologique et Aurélien Leray, président du réseau CIVAM.
Clés : Point de vue Agriculture Élevage Réflexion
Connu / TG le 04/03/23 à 10:46
À 27 ans, il élève ses animaux pour « nourrir les gens correctement »
Fils d’agriculteur, avec une solide expérience de boucher et de traiteur, Yannick Rey veut nourrir les gens correctement avec des ...
Connu / TG 06/01/23 à 08:20
Appel aux volontaires pour sauver 10 000 poules pondeuses d’un élevage avant le 22 janvier
Sauver 10 000 poules destinées à finir leur vie dans un abattoir, ça vous tente ? Si oui, sachez que c’est possible. Une vaste opération ...
Connu / TG 04/01/23 à 16:57
50 pages
TABLE DES MATIÈRES
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LES FERMES-USINES EN ÉLEVAGE :
- COMMENT LES DÉFINIR ET ÉVALUER LE PHÉNOMÈNE 6
● Tour d’horizon des définitions utilisées : un concept complexe 6
● Évaluer le phénomène des fermes-usines à partir des ICPE soumises à autorisation, c’est-à-dire des méga-installations en élevage 9
○ Encadré : Qu’est-ce qu’une ICPE ? 10 - ÉTAT DES LIEUX DE L’INDUSTRIALISATION DE L’ÉLEVAGE EN FRANCE 12
● Environ 3300 ICPE soumises à autorisation en élevage, principalement dans le Grand-Ouest 12
● Un nombre d’exploitations soumises à autorisation variable en fonction des filières mais qui produisent des volumes conséquents 13
● Quelle évolution de l’industrialisation de l’élevage ? 15 - UNE INDUSTRIALISATION DE L’ÉLEVAGE ENCOURAGÉE ET NON CONTRÔLÉE 19
● Le détricotage de la réglementation qui encadre les ICPE en élevage 19
● Des subventions qui facilitent l’agrandissement des fermes : l’exemple de la région Bretagne 24
● Des accords de libre-échange au détriment d’un élevage écologique 27 - CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS AU MINISTÈRE 32
- ANNEXES 34
...
Pour Greenpeace, les fermes-usines se définissent donc par un grand nombre d’animaux élevés sur une exploitation qui ne dispose pas d’une surface suffisante pour produire leur nourriture et/ou pour épandre sans risque le lisier ou fumier qu’ils ont produit. La définition d’une ferme-usine dépend donc beaucoup du territoire et notamment de la disponibilité en terres agricoles.
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Connu / GPP
10 décembre 2021 à 09h27 Mis à jour le 11 décembre 2021 à 10h12 / Marie Astier (Reporterre)
Durée de lecture : 9 minutes - Clés : Agriculture Animaux
220 vaches à l’abattoir. En Haute-Savoie, Éric, éleveur, a le cœur lourd : à cause d’un cas de brucellose, tout son troupeau va être abattu. Ces normes rigides « profitent aux industriels », critiquent deux expertes.
...
Les formes graves et chroniques sont rares chez les humains », explique Coralie Amar. Vétérinaire, choquée par ce qui arrive à Éric, elle a décidé de l’aider. « On la surveille surtout parce que c’est une maladie commerciale », estime-t-elle.
...
« Ce sont des engagements internationaux pris dans le cadre de l’OIE [Organisation mondiale de la santé animale] », explique Bernard Mogenet, éleveur et président de la FDSEA [2] des deux Savoie. Il a assisté aux réunions interministérielles à la suite de la détection du cas. « Si l’abattage n’est pas fait dans les trente jours, la France pourrait perdre son statut “indemne”. »
...
Notes
[1] Direction départementale de la protection des populations
[2] Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles
Connu / https://twitter.com/ConfPaysanne/status/1453979752075866115
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Conf' Paysanne @ConfPaysanne · 11h
C'est tout l'élevage de volailles plein-air qui est menacé. Notre combat continue. D'autres actions sont à venir.
Soutenez les éleveurs et éleveuses et le modèle paysan du #pleinair
Signez la pétition https://mesopinions.com/petition/animaux/elevage-volailles-plein-air-toute-annee/124160
Citer le Tweet
Marie-Monique Robin @m2rfilms · 28 oct. Canard enchaîné
Les volailles bio n'ont + le droit de vivre en plein air. @J_Denormandie a cédé aux pressions de l'agroindustrie.Motif: la grippe aviaire. Pourtant, un rapport de @Anses_fr dit que l'élevage intensif est le 1er coupable (densité et brassage extrêmes des animaux).
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Suite à la comdamnation de 125 000 € pour dénigrement de Valérie Murat pour avoir démontré au niveau des vins de Bordeaux certifiés HVE (Haute Valeur Environnementale), certification ministérielle, que ceux ci étaient chargés en pesticides, il s'est tenu ce matin à Bordeaux un rassemblement pour la demande de renvoi en appel. Le conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux s'y oppose. La décision de la cour sera rendu le 10 novembre prochain.